Ventes aux enchères - Année 2016

Nous parlions justement de ces fameux seaux dans le sujet consacré au service de porcelaine de Marie-Antoinette à Rambouillet ; sans, pour autant, que j'obtienne une information claire sur l'origine de ses seaux : Trianon ou Rambouillet ?

C'est ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2425p15-service-de-marie-antoinette-pour-rambouillet-en-porcelaine-de-sevres?highlight=rambouillet

Enfin bref, ce sont des copies de la fin du XIXè siècle qui seront proposées en vente aux enchères, le 9 février prochain, par Christie's New-York :

- A Pair of Sèvres Style (Samson) Porcelain Milk-Pails "à la Marie-Antoinette"
Late 19th Century, spurious blue interlaced S marks
Estimation : 6000 USD - 8000 USD



Description du lot
Modeled after the Sevres Tinette de La Laiterie de Marie-Antoninette a Rambouillet, of tapering cylindrical form with fuax paneling, applied with four gilt ram's head terminals below extending sections pierced with a single aperture.
Samson Porcelain Factory - 19 ½ in. (49.5 cm.) high

La mise aux enchères est importante, même pour des copies XIX° siècle car la fabrication serait de chez SAMSON/PARIS  - de plus ces tinettes ne sont pas complètes comme souvent  !!!!!

MARIE ANTOINETTE àè-è\':


Serving fonctionne à nouveau, pour le plaisir voici à nouveau la tinette
de ma collection qui ne vient pas de SEVRES, mais pourrait être une SAMSON -  je fais la recherche dès ce soir avec le livre consacré à cette manufacture !!!!!

Cela dépassera mon budget mais  on peut admirer gratuitement...
http://www.thierrydemaigret.com/flash/index.jsp?id=26753&idCp=90&lng=fr

Cela a l'air bien tentant juste pour y faire un tour.

Il y a de quoi tomber en pâmoison tant cela a l'air magnifique !

Entre autres, des dentelles des XVIIe et XVIIIe siècles de Madame K.

Qui est Mme de K. ?

Messages déplacés ici.

Le catalogue est consultable en ligne, ici : http://www.thierrydemaigret.com/flash/index.jsp?id=26753&idCp=90&lng=fr

CLIOXVIII a écrit:Cela dépassera mon budget mais  on peut admirer gratuitement...
http://particuledeluxe.com/vente-textiles-et-mode-ancienne-a-drouot/

Je ne trouve pas le catalogue ...

Ici : http://www.thierrydemaigret.com/flash/index.jsp?id=26753&idCp=90&lng=fr

Merci

Au vu des prix, c'est le moment d'investir dans les chasubles et la parmentique !!!! :;;::,:!!!ùùù: difficile de sortir avec, mais ça tient chaud !

Sont annoncés les lots de la vente aux enchères de Souvenirs historiques organisée, le 23 mars 2016, à Drouot Paris, par l'étude Coutau Bégarie :



La vente thématique propose de nombreux lots divers et variés, de la fin du XVIIIè siècle au XXè siècle, et notamment :

Un joli pastel du XIXè siècle, d'après le portrait de Mme Elisabeth par Elisabeth Vigée Le Brun :




Ou encore cet autre pastel, école française du XVIIIè siècle, portrait de Marie-Antoinette dauphine, que nous avions déjà présenté dans nos galeries :


Voir notre sujet ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t1141-recherches-autour-dun-portrait-de-marie-antoinette-non-attribue

On a envie de papouiller son petit double-menton ...

La nuit, la neige a écrit:Sont annoncés les lots de la vente aux enchères de Souvenirs historiques organisée, le 23 mars 2016, à Drouot Paris, par l'étude Coutau Bégarie :

Quelques autres lots de cette vente que nous avions annoncée, dont :

Cette jolie vue du château de Saint-Cloud (XIXè siècle)



Une gravure et un dessin, représentant Charlotte Corday (et l'assassinat de Marat)



Quels terribles dossiers et lettres étaient rangés dans ce portefeuille en maroquin rouge de François Baucheton, Accusateur public ?




Mon lot préféré :, ce joli bicorne de Chambellan de la cour impériale de Russie, en feutre noir brodé de fils d'or et plumes d'autruche

La nuit, la neige a écrit:
Une gravure et un dessin, représentant Charlotte Corday (et l'assassinat de Marat)

Ce doit être l'étude de Marat assassiné ! 13 juillet 1793, 8 h du soir par Jean-Joseph Weerts, conservé à la Piscine de Roubaix :


Bien à vous.

... :\\\\\\\\:

Bon débarras !

Mme de Sabran a écrit:Bon débarras !  

:\\\\\\\\:

La femme en rouge à droite est à faire frémir , limite bestiale

Le 15 avril 2016, l'étude Millon, proposera à l'occasion d'une vente aux enchères organisée à Drouot Paris, entre autres lots :

Un tableau que nous avions déjà présenté il y a quelques mois...

- Portrait du grand - duc de Toscane, Léopold 1er
Sur sa toile d’origine



Note de l'expert :

Troisième fils de Marie-Thérèse d’Autriche et de François de Lorraine, Léopold (Schönbrunn 1747 - Vienne 1792), devint l’héritier du grand - duché de Toscane en 1761, et grand - duc à partir de 1765.

Entre 1770 et 1790, il administra son petit état, introduisant de nombreuses réformes assez libérales dans le domaine de l’économie et de l’administration, mais ne fut jamais populaire.

Il succéda en 1790 à son frère Joseph II comme empereur germanique.
Frère également de Marie-Antoinette, il signa la déclaration de Pillnitz en 1791, aux côtés de la Prusse, visant à faire maintenir la monarchie en France. Il signa, toujours avec la Prusse, une alliance défensive contre la France en 1792.
Il avait épousé Marie-Louise d’Espagne. Son fils aîné, François II, lui succéda comme empereur germanique en 1792, et son deuxième fils devint le grand-duc de Toscane Ferdinand III.


- Ecole FRANCAISE du XVIIIème siècle, atelier de Louis Michel van LOO
Portrait de Philippe V
Huile sur toile. 102 x 81,5 cm

Reprise du tableau de Louis Michel van Loo peint en 1745 et conservé à Madrid.





- John MORGAN (1823 - 1886) - La mort de Mozart
Sur sa toile d’origine




Pour notre chère Trianon, qui disait récemment vouloir un... boudoi32

- Eventail en nacre à décor à incrustations de métaux à deux tons
La toile est brodée au centre d’un portrait de Marie-Antoinette
Fin du XIXème siècle




Le catalogue de la vente : http://www.millon.com/flash/index.jsp?id=26766&idCp=61&lng=fr

Cette vente aux enchères mérite bien un sujet à elle toute seule.

Le 13 avril prochain, au Rockefeller Plaza Center, est organisée par Christie's New-York la vente : Revolution.



Voir Ici : http://www.christies.com/lotfinder/salebrowse.aspx?intSaleid=25986&viewType=list


Très opportunément, alors que l'exposition Vigée Le Brun, Woman Artist in Revolutionary France est toujours à l'affiche au Met Museum de New York (jusqu'au 15 mai), ce sont quatre Vigée qui seront proposés à la vente.
Dont un qui nous intéresse tout particulièrement...


Elisabeth-Louise Vigée Le Brun (Paris 1755-1842)
Portrait of the Count Siemontkowsky Bystry; and Portrait of the Countess Siemontkowsky Bystry
signed and dated 'LE. Vigee Le Brun / a Vienne 1793'
oil on canvas. Each 32 x 24 3/8 in. (81 x 62 cm.)
Estimation : 300 000 $ – 500 000 $


© CHRISTIE'S 2016

Description (extraits)
Following her flight from Paris in October 1789, Vigée Le Brun lived in exile in Italy, passing quickly through Turin, Parma, Modena and Bologna, before arriving in Florence in mid-November. Staying there less than two weeks, the artist moved on to Rome, then spent much of the next two years shuttling between Rome, Florence and Naples (with side trips to Venice) as she studied the collections of the Uffizi and the Pitti and juggled her numerous portrait commissions.
(...)
Upon her arrival in Austria from Italy in the autumn of 1792, Vigée Le Brun rented a house on the outskirts of Vienna, with Count and Countess Bystry, her travelling companions from Italy and the subjects of this pair of lively portraits. The artist had met the glamorous couple at a concert in Milan that autumn, and was charmed by them. As she recounts in her Souvenirs.
(...)
In fact, the thirty-six year old Count Romuald Joachim Bystry (1756-1824) and his Polish-born wife, the former Anna Rakowska, were on their extended honeymoon in Milan when they befriend Vigée Le Brun. It was the young noblewoman’s second marriage (her previous husband, Ignacy Kordysz, had died in 1788). The three were close in age – Count Bystry was thirty-six years old when they met and Vigée Le Brun a year older – and they seem to have retained close relations for some years afterward. The couple owned a self-portrait by the artist that remained with their descendants at least until the First World War (...)


© CHRISTIE'S 2016


© CHRISTIE'S 2016


Elisabeth-Louise Vigée Le Brun (Paris 1755-1842)
Maria Grigorievna Viazemskaïa, Princess Golitsyna (1772-1865), seated three-quarter-length
Signed, dated, and inscribed ‘L.E. Vigée / Le Brun / a petersbourg / 1798’
Oil on canvas. 43 ¾ x 36 in. (111.2 x 91.4 cm.)
Estimation : 600 000 $ - 800 000 $


© CHRISTIE'S 2016

Description (extraits)
During her prolonged stay in Russia, Vigée Le Brun would have the opportunity to portray many members of the prestigious and powerful Golitsyn dynasty. This grand portrait, signed and dated ‘1798’, depicts the beautiful and vibrant twenty-six year old Maria Grigorievna Viazemskaïa, Princess Golitsyna (1772-1865), daughter of Prince Grigory Ivanovich Viazemsky, who betrothed her at an early age to a member of one of Russia’s oldest noble families, Alexander Golitsyn.

The union would prove disastrous. Prince Alexander was a spendthrift and bankrupt who quickly dissipated his immense inheritance. His young wife had no choice but to endure the situation, endorsing the crippling debts of her prodigal husband, as his extravagances consumed her own fortune.
In 1801, she requested that the Czar intervene on her behalf in order to restrain Alexander’s expenditures, but he declined to set such a precedent. In 1802, however, the marriage would be dissolved when, with Prince Alexander’s approval, Maria Grigorievna married her lover, Count Leon Kyrilovich Razumovsky (1757-1818).
This second marriage was regarded as scandalous, both by the bridegroom’s family and Russian Society; the Czar would only recognize its legitimacy in 1809.
In her old age she lived off her extensive landholdings and made frequent excursions abroad, especially to Paris. She died in Saint-Petersburg at the age of 93 and was buried alongside her second husband (...)


Elisabeth-Louise Vigée Le Brun (Paris 1755-1842)
Portrait of Marie Antoinette (1755-1793), bust-length, in a trompe l'oeil stone niche
Signed and dated ‘L. E. Vigée Le Brun’ (lower right) and inscribed ‘8eme Juillet 1800-’ (on the reverse)
oil on panel, in a trompe l'oeil stone niche
12 ½ x 10 ¼ in. (31.8 x 26.1 cm.)
Estimation : 600 000 $ - 800 000 $


© CHRISTIE'S 2016

Provenance :
Sent by the artist in 1800 to Marie Thérèse Charlotte de France, duchesse d’Angoulême, daughter of Marie-Antoinette.
Property of a distinguished european collector.
With Wildenstein, New York, where acquired by the present owner.


© CHRISTIE'S 2016

Je posterai à nouveau les images de ce portrait, ainsi que l'intéressante description de l'expert, dans notre sujet consacré aux portraits posthumes de Marie-Antoinette, peints par Mme Vigée Le Brun, ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t174-portraits-posthumes-de-marie-antoinette-par-mme-vigee-lebrun

J'aime particulièrement ce portrait posthume .     Merci !
Il semble que pour conjurer la mort elle-même, Mme Le Brun ait rendu à Marie-Antoinette la grâce de la jeunesse.

J'aime aussi beaucoup ce portrait boudoi30 boudoi30 boudoi30
Mais il semble que le nez ne soit pas vraiment le Sien... il ressemblerait plutôt à celui de Madame de Polignac :
Ce serait donc là un double hommage !


Bien à vous.

J'ignorais que ce portrait fut offert par l'artiste à Marie-Thérèse. 
Je suis abasourdie d'apprendre qu'il fut dans une collection privée et l'est de nouveau ! àè-è\':

Reinette a écrit:
Je suis abasourdie d'apprendre qu'il fut dans une collection privée et l'est de nouveau ! àè-è\':

Pour ne parler que de Vigée, nous avons vu à l'exposition du Grand Palais que beaucoup de toiles sont en collection privée.
Cela ne me gênerait nullement d'en posséder un. Un petit... :


Egalement présentés, à l'occasion de cette très belle vente :


- Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732-1806 Paris)
The Hurdy-Gurdy Player
oil on copper. 11 7/8 x 7 ¾ in. (30.2 x 19.7 cm.)
Estimation : 400 000 $ - 600 000 $


© CHRISTIE'S 2016

Note de l'expert (extrait)
The best-known of the female hurdy-gurdy players (vielleuses) in 18th-century Paris was Françoise Chemin, nicknamed “Fanchon la vielleuse,” who was apparently born in Savoy around 1737.

Throughout the 18th-century, thousands of men and women left the mountain regions of their native Savoy each desolate winter to migrate to the large cities of France, Italy and Germany, where they worked as chimney sweeps, knife-grinders, shoe-shine boys, or – like our Hurdy-Gurdy player – street entertainers. In Paris, most lived in poverty in their own communities, their primary concern being to send money back to their families; in the warm weather they returned home to tend their farms.
They were popular subjects for French artists like Watteau and, later in the century, Greuze, Fragonard and Boilly, who were interested in the sympathetic study of “exotic” types. The attraction of picturesque entertainers who roamed the streets of Paris would endure beyond the revolutionary period.



- Hubert Robert (Paris 1733-1808)
A party in the garden at Ermenonville
oil on canvas. 21 3/8 x 36 ½ in. (54.3 x 92.7 cm.)
Estimation : 250 000 $ - 350 000 $


© CHRISTIE'S 2016

Note de l'expert (extrait) :
The picturesque grounds shown here depict revelers enjoying a fête at Ermenonville, an early exemplar of the late 18th-century 'follies' that had become popular in France and England and a major influence on the development of the French landscape garden.
Ermenonville was the brainchild of René Louis, Marquis de Girardin (1735-1808), who in his youth had been an officer in the army of Louis XV and an official at the court of Stanislas Leszcynski at Lunéville in Lorraine.
Girardin was the author of an influential treatise on garden design (De la composition des paysages, 1777), and may have collaborated on the landscaping of Ermenonville with Hubert Robert, who was himself quite accomplished in this regard.

In 1778, just a few years before this picture was painted, the French writer, philosopher and political theorist Jean-Jacques Rousseau went to reside at Ermenonville at the invitation of the Marquis.
Rousseau's ideal of human excellence, which involved human beings acting together in a free and equitable moral community, was of central inspiration to the leaders of the Revolution, in particular for Robespierre and Saint-Just, who regarded themselves as egalitarian republicans obliged to do away with superfluities and corruption.
The Marquis de Girardin had himself for some time been a friend and patron of Rousseau, and even his plans for the gardens drew inspiration from Rousseau's novels and philosophy of the nobility of Nature.


- Jacques-Louis David (Paris 1748-1825 Brussels)
A Vestal
signed 'L. David.' (center right)
oil on canvas. 32 x 25 ¾ in. (81.1 x 65.4 cm.)
Estimation : 3 000 000 $ - 5 000 000 $ (s'il vous plaît : )


© CHRISTIE'S 2016

Note de l'expert (extrait)
This singular masterpiece by Jacques Louis David is the last history painting by the artist in private hands from the period immediately preceding the French Revolution, the years when David galvanized – indeed, transformed – European art with the creation of world-famous images that would henceforth define this revolutionary era (...)

The subject of Vestal Virgins, as they appeared in most art and popular literature in France in the earlier part of the 18th century, imbricated archaeology with a leavening of erotic fantasy. Madame de Pompadour, the mistress of Louis XV, who was herself painted by Drouais in 1760 in the guise of a Vestal, had in her library, for example, a text entitled Secret History of Vestals (1700), which, typically, began as a fairly accurate outline of the history and practices of the cult of Vesta based on classical sources, but quickly descended into a lurid love story that dwelt on chastity, its loss, and the cruel punishments that resulted.

For David, however, who was heeding the call in the 1780s to regenerate the French School and reintroduce edifying subject matter into the canon, the Vestal could be seen as an exemplum virtutis.
The artist himself considered the painting as a history subject and recorded it under the category “Tableaux d’Histoire” in the two autograph lists of his works that he drew up in 1810 and 1819, describing it as “une vestale à mi-corps” and “un tableau demi-figure d’une Vestale”.
Rather, than interpreting it as a ‘portrait historique’, the painting should be understood in more abstract terms: as a personification of the classical virtues of chastity, devotion and restraint.
Seen in this way, David’s Vestal, emblematizes the themes of purity, sacrifice and Republican virtue that characterize the artist’s major works in the years immediately preceding the Revolution.



- Henri J. François (active France, late 18th century)
Portrait of Trophime-Gérard de Lally, Marquis de Lally-Tollendal (1751-1830)


© CHRISTIE'S 2016

Qui était-il ? Allez ! En français cette fois-ci... :

La bio Wikipédia (extrait) :

En 1789, il est délégué de la noblesse aux États généraux et membre du comité de constitution de l'Assemblée nationale constituante.
Il est l'auteur de l'addition relative à la « distinction des vertus et des talents » dans l'article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen d'août 1789.

Démissionnaire de l'Assemblée après les journées des 5 et 6 octobre 1789, il émigre en 1790, mais revient en France en 1792 pour tenter, en vain, d'en faire sortir le roi et ses proches.
Il est arrêté le 10 août et incarcéré à la prison de l'Abbaye, d'où il est libéré le mois suivant, peu avant les massacres de septembre.
Il prend de nouveau le chemin de l'exil, mais ne tarde pas à se proposer, par courriers échangés avec la Convention nationale, pour participer à la défense du roi lors de son procès, ce qui lui est refusé.

Il revient en France après le coup d'État du 18 brumaire, mais ne retrouvera un rôle officiel qu'à partir de la Restauration, où il sera couvert d'honneurs et créé marquis de Lally-Tollendal en 1815.

Il est nommé membre de l'Académie française en 1816 par ordonnance royale, au fauteuil 31, peu après l'exclusion d'Emmanuel Joseph Sieyès pour cause de régicide. Le marquis de Lally-Tollendal est pair de France et ministre d'État, grand officier de la Légion d'honneur, chevalier commandeur et grand trésorier du Saint-Esprit.

Cher LNLN, c'est le petit Lally dont Voltaire s'est occupé de la réhabilitation du père ?

Yep !