Le jeu de l'Eté

Armande de Rambures, Francoise de Mailly ?

... ou bien encore Diane Adélaïde Mazarini Mancini ?

non point !

Elle fut assez connue en son temps par son esprit et sa conversation. Elle fut proche de la comtesse de Soissons et la duchesse de Bouillon.

... la prétendue empoisonneuse !

en effet

Donc, c'est Jacqueline du Roure !   C'est mon dernier mot, Jean-Pierre  .   :

En effet !

Ce portrait fut peint par Gobert pour l'électeur Max Emmanuel pour sa galerie des Beauté au château de Nymphenbourg.

Tu me l'apprends, mon petit Lulu, et je n'avais jamais vu le portrait de cette dame .
Elle était la troisième femme de Louis Armand XIX de Polignac. Saint Simon dit qu'elle était " une maîtresse femme, de grande intrigue et de fâcheuses affaires, son mari, un honnête homme . "

L'arrestation le 25 mars 1675, dans un couvent de Liège alors occupé par l'armée française, d'une certaine marquise de Brinvilliers marque le début de la fameuse affaire des poisons. Recherchée plus ou moins ardemment depuis trois ans, la marquise a été trahie par des documents compromettants détenus par son amant, l'officier Godin de Sainte-Croix. À sa mort en 1672, la police s'était emparé des biens et effets du jeune homme, poursuivi pour dettes. Parmi ceux ci, une cassette renferme les preuves écrites de sa main des amours de la marquise mais aussi des courriers révélant les manigances du couple. Avec l'aide d'un poison efficace, les amants ont mis fin aux jours du père et des deux frères de madame de Brinvilliers afin d'accélérer la succession. Le marquis de Brinvilliers, soupçonnant sa femme, échappe lui à la mort grâce aux multiples précautions prises. Plusieurs fioles, renfermant une décoction à base d'arsenic, sont également découvertes : une préparation qui deviendra bientôt célèbre sous le nom de " poudre de succession ".

S'appuyant sur cette série de pièces à conviction, le lieutenant de police La Reynie, en place depuis 1667, mène une enquête exemplaire. Les milieux les plus différents sont bientôt compromis, à commencer par la noblesse de cour. En effet, la marquise de Brinvilliers, née Marie-Madeleine d'Aubray, est la fille d'un conseiller d'État. La liste des empoisonneurs s'allonge par ailleurs rapidement et implique plusieurs proches de Louis XIV : les deux nièces de Mazarin, la comtesse de Soissons et la duchesse de Bouillon ; le maréchal de Luxembourg ; les comtesses de Polignac et de Gramont le dramaturge Racine. Madame de Brinvilliers, malgré les pièces manuscrites qui l'accablent, n'avoue ses crimes que quelques jours avant son exécution en 1676. Il n'est pas impossible non plus que certains suspects aient gonflé aveux et dénonciations dans l'espoir d'une réduction de leur peine. Mais le scandale est immense et passionne l'opinion publique, surtout à Paris, l'on suit avec assiduité les comptes-rendus du procès ouvert devant la grande chambre du Parlement. Face à l'ampleur de l'instruction, une chambre spéciale est constituée qui prononce trente-quatre condamnations à mort entre 1679 et 1682.

http://versailles.chez.com/vie/poison.htm

Il faut donc que je cherche une énigme : je n'ai rien sous le coude tout de suite .

Voici ! :n,,;::::!!!:

Je vous demande ce que refuse l'Assemblée en novembre 1789 ?

Et bien, qu'est-ce qu'on refuse en 1789 !

Est-ce un refus fait au Roi, à un ministre, à un particulier, à un de ses membres ?

Non, rien de tout cela .

Est-ce politique ou plus bénin ?

C'est très politique et pas bénin du tout .

Refuse-t-il de faire quelque chose ou d'accorder quelque chose ?

Le refuse-t-il à une personne en particulier ou à un corps ?

Refuse-t-il de faire quelque chose : oui
ou d'accorder quelque chose : oui

Le refuse-t-il à une personne en particulier: non
ou à un corps : oui

A la ville de Paris ? A un pays étranger ? A la noblesse, au clergé, au tiers ? A une corporation ?

Non, à toutes tes propositions .

à l'armée ? à une administration ?
est-ce un corps d'état ? un corps intermédiaire ?

Rien de tout cela . :

une nation ?
un groupe d'intérêt ?
une école ?