Louis XVII et la piste argentine
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Re: Louis XVII et la piste argentine
Pierre Benoît c'est la "piste argentine" que Jacques R. Soppelsa soutient avoir découvert :
Extrait de France Soir :
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/louis-xvii-piste-argentine-141454.html
Louis XVII, La piste argentine
Le nouveau livre-évènement de Jacques Soppelsa. Qu’est-ce qui a pu motiver un agrégé de géographie et spécialiste reconnu de géopolitique à écrire un roman (passionnant) sur le sort mystérieux de Louis XVII, dont le sort ne sera probablement jamais réellement élucidé?
« Louis XVII, La piste argentine »* Il est vrai que Jacques Soppelsa, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, docteur d’Etat en Lettres et Sciences Humaines, Professeur titulaire de la Chaire de Géopolitique en Sorbonne, Président honoraire de l’Université, Paris I Panthéon Sorbonne, a commis de nombreux essais de géopolitique et avait plutôt habitué ses lecteurs aux thématiques liées à la guerre froide, aux relations transatlantiques, ou encore aux nouveaux défis de l’ordre international. En fait, lorsque l’on y regarde de plus près, les choix du thème éminemment historique de « Louis XVII » et du sous-titre du livre, « la piste argentine », ne sont pas si étrangers qu’il n’y paraît à la carrière universitaire et à l’expérience de Soppelsa, qui, rappelons-le, a été diplomate aux Etats-Unis et en Argentine, et a toujours été féru d’histoire. Etv c’est en tant qu’ancien Conseiller culturel en Argentine, en fonction à Buenos Aires que Jacques Soppelsa – toujours resté fort attaché à l’Argentine et qui y séjourne régulièrement - a mené une longue enquête depuis 1994. Il raconte lui-même au début de ce roman original et fort bien écrit, que le sujet lui est tombé dessus par le plus grand des hasards, lorsqu’il fut un jour invité à Buenos Aires à un étrange dîner par une certaine Elisa. Celle-ci lui raconta que son ancêtre, Pierre Benoit, loin d’être un simple roturier aventureux venu s’installer en Argentine en 1818, aurait été l’héritier d’une « très très grande famille française, la plus grande ! »… Peu habitué à ce genre d’intrigues familiales et peu crédule de nature, Jacques Soppelsa pensa dans un premier temps qu’il avait affaire à une folle ! Puis il accepta tout de même de se rendre au dîner puis d’échanger avec deux membres de la famille Zapiola qui achevaient la rédaction d’un ouvrage complétant et poursuivant lui-même une recherche rédigée sur l’illustre famille française par un grand-oncle. C’est à la lecture de cet opuscule que notre géopolitologue-diplomate devint enquêteur, impressionné qu’il fut par la documentation abondante faite de documents administratifs, de correspondances, de photos et de coupures de presse. On apprend ainsi dès le début du livre de Soppelsa que Pierre Benoit, dans sa vie « officielle », aurait été élevé par les meilleurs précepteurs privés, eux-mêmes rémunérés par les services du premier Consul français puis du futur empereur ( !), aurait bénéficié d’une éducation hors-pair, excellant dans la peinture, la sculpturr, parlant six langues couramment, comme les membres des meilleures familles, puis menant une vie plus que mystérieuse en Amérique latine, devenant même Grand Maître de la loge de Philadelphie, celle de Simon Bolivar. On apprend enfin que le fascinant personnage mourut empoisonné mystérieusement en août 1852, par un étrange visiteur français, le docteur Lavergne, lequel regagna illico l’hexagone où il fut lui-même immédiatement guillotiné… Républicain convaincu et ancien militant de gauche, donc supposé être à des années lumières des préoccupations et nostalgies royalistes, Jacques Soppelsa se se passionne et se prend peu à peu d’affection pour Louis XVII, dont l’historiographie officielle raconte qu’il serait mort à l’âge de 15 ans au Temple. Certes, la curiosité teintée de compassion naîtra très progressivement chez le professeur Soppelsa, ceci au fil de nombreuses années passées à explorer Buenos Aires et les archives familiales des supposés descendants du petit Dauphin bourbon. Mais Soppelsa fait sienne la thèse selon laquelle Louis XVII se serait évadé ou aurait été « exfiltré », comme on dit aujourd’hui, de sa sinistre geôle du Temple grâce aux sbirres de Barras. Peu à peu, ne pouvant résister à la force des nombreux indices toujours plus nombreux conservés chez des Argentins d’origine française, Soppelsa commence à considérer comme crédible la version selon laquelle le jeune Dauphin aurait finalement débarqué à Buenos Aires et s’y serait caché dans le plus grand secret. L’ouvrage de Jacques Soppelsa a par ailleurs le mérite de faire renaître la polémique autour du coeur soi-disant « authentifié » de Louis XVII, qui attesterait de sa mort au Temple. S’appuyant cette fois-ci sur des enquêtes menées en France et ailleurs par nombre de spécialistes, Soppelsa émet de forts doutes quant aux résultats de l’analyse scientifique de 2000 qui aurait « définitivement » réglé la controverse relative au cœur du dauphin. Certes, le cœur retrouvé appartient bel et bien, comme montre l’ADN, à un enfant apparenté à Marie Antoinette, mais ce cœur conservé dans l’alcool est probablement, selon Soppelsa, celui du frère aîné de Louis XVII , Louis Joseph, retrouvé mort le 10 juin 1795. Certes, Soppelsa n’est pas un « survivationniste » au départ, et il conserve toujours un certain recul, y compris vis-à-vis de ce dauphin qu’il affectionne. Mais il confesse au début de son livre qu’il a surtout cherché à éveiller la curiosité du lecteur. Mission accomplie ! Car une fois commencée, la lecture du livre ne peut être interrompue. Jacques Soppelsa, Louis XVII, La piste argentine, A2C Medias, collection histoire, 2011, 187 p. 20 euros.
Extrait de France Soir :
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/louis-xvii-piste-argentine-141454.html
Louis XVII, La piste argentine
Le nouveau livre-évènement de Jacques Soppelsa. Qu’est-ce qui a pu motiver un agrégé de géographie et spécialiste reconnu de géopolitique à écrire un roman (passionnant) sur le sort mystérieux de Louis XVII, dont le sort ne sera probablement jamais réellement élucidé?
« Louis XVII, La piste argentine »* Il est vrai que Jacques Soppelsa, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, docteur d’Etat en Lettres et Sciences Humaines, Professeur titulaire de la Chaire de Géopolitique en Sorbonne, Président honoraire de l’Université, Paris I Panthéon Sorbonne, a commis de nombreux essais de géopolitique et avait plutôt habitué ses lecteurs aux thématiques liées à la guerre froide, aux relations transatlantiques, ou encore aux nouveaux défis de l’ordre international. En fait, lorsque l’on y regarde de plus près, les choix du thème éminemment historique de « Louis XVII » et du sous-titre du livre, « la piste argentine », ne sont pas si étrangers qu’il n’y paraît à la carrière universitaire et à l’expérience de Soppelsa, qui, rappelons-le, a été diplomate aux Etats-Unis et en Argentine, et a toujours été féru d’histoire. Etv c’est en tant qu’ancien Conseiller culturel en Argentine, en fonction à Buenos Aires que Jacques Soppelsa – toujours resté fort attaché à l’Argentine et qui y séjourne régulièrement - a mené une longue enquête depuis 1994. Il raconte lui-même au début de ce roman original et fort bien écrit, que le sujet lui est tombé dessus par le plus grand des hasards, lorsqu’il fut un jour invité à Buenos Aires à un étrange dîner par une certaine Elisa. Celle-ci lui raconta que son ancêtre, Pierre Benoit, loin d’être un simple roturier aventureux venu s’installer en Argentine en 1818, aurait été l’héritier d’une « très très grande famille française, la plus grande ! »… Peu habitué à ce genre d’intrigues familiales et peu crédule de nature, Jacques Soppelsa pensa dans un premier temps qu’il avait affaire à une folle ! Puis il accepta tout de même de se rendre au dîner puis d’échanger avec deux membres de la famille Zapiola qui achevaient la rédaction d’un ouvrage complétant et poursuivant lui-même une recherche rédigée sur l’illustre famille française par un grand-oncle. C’est à la lecture de cet opuscule que notre géopolitologue-diplomate devint enquêteur, impressionné qu’il fut par la documentation abondante faite de documents administratifs, de correspondances, de photos et de coupures de presse. On apprend ainsi dès le début du livre de Soppelsa que Pierre Benoit, dans sa vie « officielle », aurait été élevé par les meilleurs précepteurs privés, eux-mêmes rémunérés par les services du premier Consul français puis du futur empereur ( !), aurait bénéficié d’une éducation hors-pair, excellant dans la peinture, la sculpturr, parlant six langues couramment, comme les membres des meilleures familles, puis menant une vie plus que mystérieuse en Amérique latine, devenant même Grand Maître de la loge de Philadelphie, celle de Simon Bolivar. On apprend enfin que le fascinant personnage mourut empoisonné mystérieusement en août 1852, par un étrange visiteur français, le docteur Lavergne, lequel regagna illico l’hexagone où il fut lui-même immédiatement guillotiné… Républicain convaincu et ancien militant de gauche, donc supposé être à des années lumières des préoccupations et nostalgies royalistes, Jacques Soppelsa se se passionne et se prend peu à peu d’affection pour Louis XVII, dont l’historiographie officielle raconte qu’il serait mort à l’âge de 15 ans au Temple. Certes, la curiosité teintée de compassion naîtra très progressivement chez le professeur Soppelsa, ceci au fil de nombreuses années passées à explorer Buenos Aires et les archives familiales des supposés descendants du petit Dauphin bourbon. Mais Soppelsa fait sienne la thèse selon laquelle Louis XVII se serait évadé ou aurait été « exfiltré », comme on dit aujourd’hui, de sa sinistre geôle du Temple grâce aux sbirres de Barras. Peu à peu, ne pouvant résister à la force des nombreux indices toujours plus nombreux conservés chez des Argentins d’origine française, Soppelsa commence à considérer comme crédible la version selon laquelle le jeune Dauphin aurait finalement débarqué à Buenos Aires et s’y serait caché dans le plus grand secret. L’ouvrage de Jacques Soppelsa a par ailleurs le mérite de faire renaître la polémique autour du coeur soi-disant « authentifié » de Louis XVII, qui attesterait de sa mort au Temple. S’appuyant cette fois-ci sur des enquêtes menées en France et ailleurs par nombre de spécialistes, Soppelsa émet de forts doutes quant aux résultats de l’analyse scientifique de 2000 qui aurait « définitivement » réglé la controverse relative au cœur du dauphin. Certes, le cœur retrouvé appartient bel et bien, comme montre l’ADN, à un enfant apparenté à Marie Antoinette, mais ce cœur conservé dans l’alcool est probablement, selon Soppelsa, celui du frère aîné de Louis XVII , Louis Joseph, retrouvé mort le 10 juin 1795. Certes, Soppelsa n’est pas un « survivationniste » au départ, et il conserve toujours un certain recul, y compris vis-à-vis de ce dauphin qu’il affectionne. Mais il confesse au début de son livre qu’il a surtout cherché à éveiller la curiosité du lecteur. Mission accomplie ! Car une fois commencée, la lecture du livre ne peut être interrompue. Jacques Soppelsa, Louis XVII, La piste argentine, A2C Medias, collection histoire, 2011, 187 p. 20 euros.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Mais l'auteur qualifie lui-même son livre de roman !
Car il a l'honnêteté de dire qu'il n'est pas historien, et qualifie donc son ouvrage de roman à thèse.
Contrairement à certaines ou certains historiens qui prétendent l'être alors qu'ils n'ont jamais fait d'études d'histoire ! (un comble!)
Il raconte son histoire sous forme de roman afin de faciliter la lecture.
Car il a l'honnêteté de dire qu'il n'est pas historien, et qualifie donc son ouvrage de roman à thèse.
Contrairement à certaines ou certains historiens qui prétendent l'être alors qu'ils n'ont jamais fait d'études d'histoire ! (un comble!)
Il raconte son histoire sous forme de roman afin de faciliter la lecture.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Est-ce un argument pour adhérer à cette thèse farfelue? àè-è\':
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Ce qui me sidère c'est que quelle que soit la thèse, la vôtre ou celle de Per, elle repose sur un roman.
Or comme l'un et l'autre n'avez pas la même piste, qui a raison ?
Trouver des arguments grâce à un roman risque d'être compliqué. àè-è\':
Or comme l'un et l'autre n'avez pas la même piste, qui a raison ?
Trouver des arguments grâce à un roman risque d'être compliqué. àè-è\':
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Ah mais oui, bien sûr, Cril 17 faisait partie du C.D.B. si je me souviens bien !
Mme de Sabran- Messages : 55300
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis XVII et la piste argentine
Mme de Sabran a écrit:
Ah mais oui, bien sûr, Cril 17 faisait partie du C.D.B. si je me souviens bien !
CDB ?
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Reinette a écrit:Mme de Sabran a écrit:
Ah mais oui, bien sûr, Cril 17 faisait partie du C.D.B. si je me souviens bien !
CDB ?
Ci-Devant Boudoir, alias la Conciergerie, et, pour JAG, l'Hadès ! ( j'aime bien aussi ! : )
Mme de Sabran- Messages : 55300
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Louis XVII et la piste argentine
J'avais bien compris alors ! Ma confusion venait de ce que je croyais sur le coup que la Cril 17 était le nom d'une association et non un pseudo.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Jacques Soppelsa (président honoraire de l'université Paris I Panthéon Sorbonne, professeur de géopolitique en Sorbonne. Diplomate et ancien conseiller culturel à l'ambassade de France à Buenos Aires) nous livre dans son ouvrage : Louis XVII la piste argentine la thèse de l'exfiltration de Louis XVII vers l'Argentine.
Avant-propos
Volontairement traité par le canal du roman à thèse où, au fil de chaque chapitre apparaissent progressivement des indices convergents, l'auteur souhaite contribuer à démontrer que Louis XVII, s'il n'est pas mort au temple, ne fut ni un Naundorff, ni un Hervagault, ni un Charles de Navarre, mais l'officier de Marine Pierre Benoit, arrivé à Buenos Aires en 1818 et assassiné dans des conditions mystérieuses dans cette même ville en 1852.
[i]Un Pierre Benoit qui , contrairement à toute la gamme des prétendants officiels, n'a jamais revendiqué sa royale origine...
En 94, Soppelsa reçoit une dame dans ses bureuax de Buenos Aires : Elais Zapiola qui lui explique que son ancêtre français débarqué de la goélette venue du Havre en 1818, ne serait pas selon la version officielle un ancien officier de marine du nom de Pierre Benoit : mais l'héritier direct d'une très grande famille fraçaise, la plus grande ! le trisaïeul serait le Dauphin, l'évadé du temple, Louis XVII.
Ce que pense Soppelsa, à ce moment là : "Mon dieu, encore une folle !"
Sauf qu'au fil des mois cette dame apporte une impressionnante documentation : papiers administratifs, coupures de presse, portraits, photos, objets personnels, correspndance...
Madame Zapiola posséderait une tresse de Marie-Antoinette, et aurait fait des démarches auprès de Carnavalet afin de faire authentifier les cheveux, mais le musée serait resté sans réponse.
Pierre benoit (Louis XVII) peignait et aurait fait les portraits de Marie-Antoinette, Elisabeth et Madame Royale toujours visibles du reste à la Casa Rosada en Argentine :
En 94, les archives de la marine nationale française au château de Vincennes, sont interrogées par le canal diplomatique sur le contenu du dossier de l'aspirant de marine P. Benoit, radié des cadres actifs le 23 août 1814. La réponse est plus que laconique : il n'y a plus de dossier "Pierre Benoit", aspirant de marine, dans les dites archives, alors qu'ils possèdent une photocopie dans les mains :
Son autoportrait :
P.Benoit apparait revêtu, de son costume d'officier de marine : ce portrait était disposé à l'origine dans un cadre ovale, jusqu'au jour où son fils Pedro le retrouve et le fait tombé malencontreusement tomber. Le cadre brisé révèle alors qu'il était en réalité rectangulaire et que la partie jusqu'alors masquée était ornée d'une frise de fleurs de Lys.
Autoportrait de Pierre Benoit
Photo de Pedro, fils de P.Benoit, petit fils supposé de Louis XVI et Marie-Antoinette.
La tresse de cheveux blond vénitien à priori semblable à celle de Carnavalet était enfermée dans une bourse de soie brodée aux armes des Bourbon et ornée de fleurs de lys, une bourse découverte sur le corps de P.Benoit.
Le livre renferme d'autres indices concordant avec la thèse de l'auteur.
Ecriture comparée entre LouisXVI et P.Benoit
Plan de la prison du temple, demeure de Louis XVII à l'âge de 8 ans.
Avant-propos
Volontairement traité par le canal du roman à thèse où, au fil de chaque chapitre apparaissent progressivement des indices convergents, l'auteur souhaite contribuer à démontrer que Louis XVII, s'il n'est pas mort au temple, ne fut ni un Naundorff, ni un Hervagault, ni un Charles de Navarre, mais l'officier de Marine Pierre Benoit, arrivé à Buenos Aires en 1818 et assassiné dans des conditions mystérieuses dans cette même ville en 1852.
[i]Un Pierre Benoit qui , contrairement à toute la gamme des prétendants officiels, n'a jamais revendiqué sa royale origine...
En 94, Soppelsa reçoit une dame dans ses bureuax de Buenos Aires : Elais Zapiola qui lui explique que son ancêtre français débarqué de la goélette venue du Havre en 1818, ne serait pas selon la version officielle un ancien officier de marine du nom de Pierre Benoit : mais l'héritier direct d'une très grande famille fraçaise, la plus grande ! le trisaïeul serait le Dauphin, l'évadé du temple, Louis XVII.
Ce que pense Soppelsa, à ce moment là : "Mon dieu, encore une folle !"
Sauf qu'au fil des mois cette dame apporte une impressionnante documentation : papiers administratifs, coupures de presse, portraits, photos, objets personnels, correspndance...
Madame Zapiola posséderait une tresse de Marie-Antoinette, et aurait fait des démarches auprès de Carnavalet afin de faire authentifier les cheveux, mais le musée serait resté sans réponse.
Pierre benoit (Louis XVII) peignait et aurait fait les portraits de Marie-Antoinette, Elisabeth et Madame Royale toujours visibles du reste à la Casa Rosada en Argentine :
En 94, les archives de la marine nationale française au château de Vincennes, sont interrogées par le canal diplomatique sur le contenu du dossier de l'aspirant de marine P. Benoit, radié des cadres actifs le 23 août 1814. La réponse est plus que laconique : il n'y a plus de dossier "Pierre Benoit", aspirant de marine, dans les dites archives, alors qu'ils possèdent une photocopie dans les mains :
Son autoportrait :
P.Benoit apparait revêtu, de son costume d'officier de marine : ce portrait était disposé à l'origine dans un cadre ovale, jusqu'au jour où son fils Pedro le retrouve et le fait tombé malencontreusement tomber. Le cadre brisé révèle alors qu'il était en réalité rectangulaire et que la partie jusqu'alors masquée était ornée d'une frise de fleurs de Lys.
Autoportrait de Pierre Benoit
Photo de Pedro, fils de P.Benoit, petit fils supposé de Louis XVI et Marie-Antoinette.
La tresse de cheveux blond vénitien à priori semblable à celle de Carnavalet était enfermée dans une bourse de soie brodée aux armes des Bourbon et ornée de fleurs de lys, une bourse découverte sur le corps de P.Benoit.
Le livre renferme d'autres indices concordant avec la thèse de l'auteur.
Ecriture comparée entre LouisXVI et P.Benoit
Plan de la prison du temple, demeure de Louis XVII à l'âge de 8 ans.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
C'est peut-être le portrait de Marie-Antoinette le moins ressemblant qui soit .
Mais, merci l'amour menaçant .
.
Mme de Sabran- Messages : 55300
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis XVII et la piste argentine
Peut-être? Carrément, oui !
Je l'ai pris pour un portrait d'Anne d'Autriche d'où le fait qu'il ne m'avait pas choqué plus que ça...
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Peut-être, mais n'oublions pas que c'est un jeune homme qui peint le visage de sa mère qui l'a perdu lorsqu'il était enfant. Je doute qu'il faille rechercher la ressemblance absolue mais plutôt l'intérêt que suscite P.Benoit a peindre la famille royale.Mme de Sabran a écrit:
C'est peut-être le portrait de Marie-Antoinette le moins ressemblant qui soit .
.
Invité- Invité
Re: Louis XVII et la piste argentine
Oui, oui, c'est un argument recevable .
Mme de Sabran- Messages : 55300
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
XXXXX
Mme de Sabran a écrit:
C'est peut-être le portrait de Marie-Antoinette le moins ressemblant qui soit .
Mais, merci l'amour menaçant .
.
On dirait Dominique Besnehard.
Invité- Invité
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