Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
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Mme de Sabran
hastur
Trianon
Comtesse Diane
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Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Merci Eléonore ! Croquis et projets de la main même du marquis de Girardin
Gouverneur Morris- Messages : 11595
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Voici qui les rend doublement intéressants !
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
.
... de l'influence du jardin d'Ermenonville sur l'élaboration de celui de Trianon .
La naissance de notre paysage trouve son origine dans l'Air du Temps.
René Louis de Girardin, créateur du jardin d'Ermenonville, premier jardin anglais sur le continent, et protecteur du philosophe Jean-Jacques Rousseau, écrit en 1777, dans son petit livre sur la Composition des Paysages :
" Le fameux livre de Le Nôtre, qui fleurissoit au dernier siècle, acheva de massacrer la Nature en assujettissant tout au compas de l'Architecte; il ne fallut pas d'autre esprit que celui de tirer des lignes, & d'étendre le long d'une règle, celle des croisées du bâtiment; aussitôt la plantation suivit le cordeau de la froide symétrie ( ... ), les arbres furent mutilés de toutes manières ( ... ) , la vue emprisonnée par de tristes massifs ( ... ) , aussitôt la porte la plus voisine pour sortir de ce triste lieu fut-elle bientôt le chemin le plus fréquenté . "
Marie-Antoinette, jeune, sensible et gaie, la toute nouvelle reine, a envie de faire de ses jardins quelque chose de plus au goût du jour, plus tourné vers le sentiment et la flânerie ...
Elle rêve d'une nature qui ne soit pas emprisonnée dans des serres ou des parterres, " naturelle " comme le jardin de Clarens, près du lac Léman, en Suisse, décrit par Rousseau dans son roman d'amour " Julie, ou la Nouvelle Héloïse " : " un terrain presque uni a reçu des ornements très simples; des herbes communes, des arbrisseaux communs, quelques filets d'eau coulant sans apprêts, sans contraintes, ont suffit pour l'embellir. "
Le livre, apparu en 1761, a en effet influencé toute une génération de lecteurs et a inspiré Girardin pour son jardin, où le philosophe finira sa vien en cueillant des herbes, le 2 juillet 1778.
Le jardin devient un lieu de pèlerinage où même Louis XVI et Marie-Antoinette se déplacent, le 14 juin 1780 !
Le jardin de Girardin fuit la monotonie, et cela plaît à la jeunesse de Marie-Antoinette ! C'est un jardin pittoresque, qui en cela s'éloigne du " naturel " de Rousseau pour se tourner vers le Sentiment, une succession de tableaux de paysages créés autour de fabriques; des grottes et des ruines que le promeneur découvre au fur et à mesure.
Girardin dit : " Ce n'est donc ni en architecte ni en jardinier, c'est en Poète et en Peintre qu'il faut composer les paysages, afin d'intéresser tout à la fois l'oeil et l'esprit. " Il s'entoure de peintre comme Hubert Robert, célèbre ruiniste et Claude-Louis Châtelet qui deviendra un des peintres favoris de la reine et l'auteur des vues de notre album. Grand admirateur des idées de Rousseau, Châtelet a aussi illustré " Julie, ou la Nouvelle Héloïse ".
Nous savons que la quête de liberté était dans l'air du temps mais nous ne pouvons pas nous empêcher de penser au besoin que sentait la reine de se libérer des contraintes les plus difficiles de l'étiquette de Cour . Comme disait le duc de Croÿ parlant de notre paysage : " On se croit à cent lieues de la Cour ."
LECTURE DE PAYSAGE
d'une Vue incluant le château du Petit Trianon, à Versailles
de Anna-Maria Berglof
... de l'influence du jardin d'Ermenonville sur l'élaboration de celui de Trianon .
L'origine philosophique de notre paysage
( Trianon )
ou
L'Air du Temps
( Trianon )
ou
L'Air du Temps
La naissance de notre paysage trouve son origine dans l'Air du Temps.
René Louis de Girardin, créateur du jardin d'Ermenonville, premier jardin anglais sur le continent, et protecteur du philosophe Jean-Jacques Rousseau, écrit en 1777, dans son petit livre sur la Composition des Paysages :
" Le fameux livre de Le Nôtre, qui fleurissoit au dernier siècle, acheva de massacrer la Nature en assujettissant tout au compas de l'Architecte; il ne fallut pas d'autre esprit que celui de tirer des lignes, & d'étendre le long d'une règle, celle des croisées du bâtiment; aussitôt la plantation suivit le cordeau de la froide symétrie ( ... ), les arbres furent mutilés de toutes manières ( ... ) , la vue emprisonnée par de tristes massifs ( ... ) , aussitôt la porte la plus voisine pour sortir de ce triste lieu fut-elle bientôt le chemin le plus fréquenté . "
Marie-Antoinette, jeune, sensible et gaie, la toute nouvelle reine, a envie de faire de ses jardins quelque chose de plus au goût du jour, plus tourné vers le sentiment et la flânerie ...
Elle rêve d'une nature qui ne soit pas emprisonnée dans des serres ou des parterres, " naturelle " comme le jardin de Clarens, près du lac Léman, en Suisse, décrit par Rousseau dans son roman d'amour " Julie, ou la Nouvelle Héloïse " : " un terrain presque uni a reçu des ornements très simples; des herbes communes, des arbrisseaux communs, quelques filets d'eau coulant sans apprêts, sans contraintes, ont suffit pour l'embellir. "
Le livre, apparu en 1761, a en effet influencé toute une génération de lecteurs et a inspiré Girardin pour son jardin, où le philosophe finira sa vien en cueillant des herbes, le 2 juillet 1778.
Le jardin devient un lieu de pèlerinage où même Louis XVI et Marie-Antoinette se déplacent, le 14 juin 1780 !
Le jardin de Girardin fuit la monotonie, et cela plaît à la jeunesse de Marie-Antoinette ! C'est un jardin pittoresque, qui en cela s'éloigne du " naturel " de Rousseau pour se tourner vers le Sentiment, une succession de tableaux de paysages créés autour de fabriques; des grottes et des ruines que le promeneur découvre au fur et à mesure.
Girardin dit : " Ce n'est donc ni en architecte ni en jardinier, c'est en Poète et en Peintre qu'il faut composer les paysages, afin d'intéresser tout à la fois l'oeil et l'esprit. " Il s'entoure de peintre comme Hubert Robert, célèbre ruiniste et Claude-Louis Châtelet qui deviendra un des peintres favoris de la reine et l'auteur des vues de notre album. Grand admirateur des idées de Rousseau, Châtelet a aussi illustré " Julie, ou la Nouvelle Héloïse ".
Nous savons que la quête de liberté était dans l'air du temps mais nous ne pouvons pas nous empêcher de penser au besoin que sentait la reine de se libérer des contraintes les plus difficiles de l'étiquette de Cour . Comme disait le duc de Croÿ parlant de notre paysage : " On se croit à cent lieues de la Cour ."
LECTURE DE PAYSAGE
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Mme de Sabran- Messages : 55154
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Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Claude-Louis Châtelet qui deviendra un des peintres favoris de la reine
Gouverneur Morris- Messages : 11595
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Gouverneur Morris a écrit:Claude-Louis Châtelet qui deviendra un des peintres favoris de la reine
Hélas !
Marie-Antoinette ne reconnait que deux personnes parmi les jurés : son médecin de la prison de la Conciergerie et, encore un autre homme, nous raconte Emmanuel de Waresquiel dans son livre " Juger la Reine " :
" Un certain Claude-Louis Châtelet, qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps. Je doute qu'au premier moment elle l'ait aperçu, et dans un sens cela vaut mieux. Elle serait tombée à la renverse si elle n'avait pas déjà éprouvé depuis quatre ans tant de retournements et trahisons. Les procès ont tous leurs pauvres preuves. S'ils ont une vérité, c'est bien celle toujours changeante et ondoyante de la nature humaine . "
LECTURE DE PAYSAGE
d'une Vue incluant le château du Petit Trianon, à Versailles
de Anna-Maria Berglof
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Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Ne parlons effectivement pas de ce qu'il sera ensuite pour la Reine...
Ah...ben si...Éléonore en parle...
Bien à vous....pas à lui !
Ah...ben si...Éléonore en parle...
Bien à vous....pas à lui !
Invité- Invité
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
;
Nélie Jacquemart-André
La célèbre peintre, une des premières femmes de son temps à étudier la peinture à l’école des Beaux-arts rachète le Désert d'Ermenonville en 1902 ainsi qu’une partie de l’abbaye de Chaalis. Elle s’y installe et amène avec elle la moitié de sa considérable collection d’œuvres d’art accumulées au cours de ses voyages en Europe et au Proche-Orient. À sa mort en 1912, elle lègue ses biens à l’Institut de France, qui ouvrira le musée Jacquemart-André un an plus tard à Chaalis.
http://parc-rousseau.fr/le-jardin/girardin-rousseau-et-les-hotes-celebres/
Nélie Jacquemart-André
La célèbre peintre, une des premières femmes de son temps à étudier la peinture à l’école des Beaux-arts rachète le Désert d'Ermenonville en 1902 ainsi qu’une partie de l’abbaye de Chaalis. Elle s’y installe et amène avec elle la moitié de sa considérable collection d’œuvres d’art accumulées au cours de ses voyages en Europe et au Proche-Orient. À sa mort en 1912, elle lègue ses biens à l’Institut de France, qui ouvrira le musée Jacquemart-André un an plus tard à Chaalis.
http://parc-rousseau.fr/le-jardin/girardin-rousseau-et-les-hotes-celebres/
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Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Mme de Sabran a écrit:Gouverneur Morris a écrit:Claude-Louis Châtelet qui deviendra un des peintres favoris de la reine
........... Les procès ont tous leurs pauvres preuves. S'ils ont une vérité, c'est bien celle toujours changeante et ondoyante de la nature humaine . "
Oui, triste vérité. Parfois, cela fait si mal, que seul le silence apaise.
Trianon- Messages : 3306
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Gustave III se promenant à Ermenonville admirait le parc et la petite île de Rousseau . Mais quant au tombeau ... non, vraiment non, il ne manifesta aucun enthousiasme, disant même :
J'achèterais bien volontiers ces peupliers-là pour Stockholm, pourvu qu'on ne me donne pas le tombeau par-dessus le marché .
( Souvenirs du baron de Frénilly )
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Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Il faut faire le détour par Ermenonville où l'âme de Rousseau plane toujours.
Monsieur de la Pérouse- Messages : 477
Date d'inscription : 31/01/2019
Localisation : Enfin à bon port !
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
But mais alors, Monsieur de la Pérouse, je croyais que vous fustigiez les philosophes qui, au coin du feu, en charentaises, se mêlaient de défendre l'utopie du bon sauvage !
Rousseau trouverait-il grâce à vos yeux ?
Rousseau trouverait-il grâce à vos yeux ?
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Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Mme de Sabran a écrit:
Gustave III se promenant à Ermenonville admirait le parc et la petite île de Rousseau . Mais quant au tombeau ... non, vraiment non, il ne manifesta aucun enthousiasme, disant même :
J'achèterais bien volontiers ces peupliers-là pour Stockholm, pourvu qu'on ne me donne pas le tombeau par-dessus le marché .
( Souvenirs du baron de Frénilly )
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« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Mme de Sabran a écrit:But mais alors, Monsieur de la Pérouse, je croyais que vous fustigiez les philosophes qui, au coin du feu, en charentaises, se mêlaient de défendre l'utopie du bon sauvage !
Rousseau trouverait-il grâce à vos yeux ?
Le temps émousse les petits différents.
Monsieur de la Pérouse- Messages : 477
Date d'inscription : 31/01/2019
Localisation : Enfin à bon port !
Gouverneur Morris- Messages : 11595
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Merci, mon cher Momo. C'est un effet inattendu, mais très heureux, que ce mariage entre tours fuselées et élégants frontons !
Quelle lumière, quel soleil !!! Nous en avons bien besoin, ce matin ...
Quelle lumière, quel soleil !!! Nous en avons bien besoin, ce matin ...
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Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Il faudrait que j'y aille. Je vis de nouveau à côté d'Ermenonville !
Re: Le " Parc Rousseau ", à Ermenonville
Napoléon et Rousseau.
Voici le Premier Consul en visite à Ermenonville et l'on se demande un peu pourquoi, car il n'aime vraiment pas Jean-Jacques, le méprise vaguement et ne s'en cache pas.
Il parlait toujours des ouvrages de Rousseau avec âpreté et dédain, et, dans une circonstance, il saisit l'occasion de le faire d'une manière très-peu gracieuse. « C'était un mauvais homme, un méchant homme, dit-il un jour, à Ermenonville, à Stanislas Girardin, qui avait été élevé sous les auspices de Rousseau, et dont la propriété était décorée de divers monuments en l'honneur de cet écrivain. M. Girardin faisait valoir la beauté du style et de la composition chez Rousseau, et atténuait les défauts de son caractère en lui attribuant une grande pureté d'intentions et une philanthropie universelle.
« Non, c'était un méchant homme; sans lui la France n'aurait pas eu de révolution.»
Girardin fit observer en souriant qu'il ignorait que le premier consul considérât la révolution comme un mal absolument sans mélange. « Ah ! s'écria-t-il, vous vouliez dire que sans la révolution vous ne m'auriez pas eu, moi? Peut-être pas, je le crois mais aussi la France n'en serait-elle que plus heureuse. » ( )
Invité à voir l'ermitage, le chapeau, la table, le fauteuil, etc. de Jean-Jacques, « Ah bah! » dit-il, « non, je n'ai aucun goût pour ces niaiseries-là; montrez-les à mon frère Louis; il en est bien digne.» Le hasard faisait, il est vrai, qu'il était contrarié ce jour-là plus qu'à l'ordinaire Joséphine l'avait blessé de plus d'une manière. Il était assez pointilleux pour être fâché de ce qu'elle se fût assise avec le reste de la compagnie sans l'attendre; car même, avant d'avoir pris le titre d'empereur, il était devenu tant soit peu exigeant en fait d'étiquette. Il pensait peut-être qu'en insistant sur ce point comme consul, il préparait et familiarisait les esprits avec le cérémonial d'une cour.
( Lord Holland, Souvenirs diplomatiques )
Voici le Premier Consul en visite à Ermenonville et l'on se demande un peu pourquoi, car il n'aime vraiment pas Jean-Jacques, le méprise vaguement et ne s'en cache pas.
Il parlait toujours des ouvrages de Rousseau avec âpreté et dédain, et, dans une circonstance, il saisit l'occasion de le faire d'une manière très-peu gracieuse. « C'était un mauvais homme, un méchant homme, dit-il un jour, à Ermenonville, à Stanislas Girardin, qui avait été élevé sous les auspices de Rousseau, et dont la propriété était décorée de divers monuments en l'honneur de cet écrivain. M. Girardin faisait valoir la beauté du style et de la composition chez Rousseau, et atténuait les défauts de son caractère en lui attribuant une grande pureté d'intentions et une philanthropie universelle.
« Non, c'était un méchant homme; sans lui la France n'aurait pas eu de révolution.»
Girardin fit observer en souriant qu'il ignorait que le premier consul considérât la révolution comme un mal absolument sans mélange. « Ah ! s'écria-t-il, vous vouliez dire que sans la révolution vous ne m'auriez pas eu, moi? Peut-être pas, je le crois mais aussi la France n'en serait-elle que plus heureuse. » ( )
Invité à voir l'ermitage, le chapeau, la table, le fauteuil, etc. de Jean-Jacques, « Ah bah! » dit-il, « non, je n'ai aucun goût pour ces niaiseries-là; montrez-les à mon frère Louis; il en est bien digne.» Le hasard faisait, il est vrai, qu'il était contrarié ce jour-là plus qu'à l'ordinaire Joséphine l'avait blessé de plus d'une manière. Il était assez pointilleux pour être fâché de ce qu'elle se fût assise avec le reste de la compagnie sans l'attendre; car même, avant d'avoir pris le titre d'empereur, il était devenu tant soit peu exigeant en fait d'étiquette. Il pensait peut-être qu'en insistant sur ce point comme consul, il préparait et familiarisait les esprits avec le cérémonial d'une cour.
( Lord Holland, Souvenirs diplomatiques )
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