Au Louvre, Synthèse de l'œuvre immense d'Eugène Delacroix

Le Louvre tente sa synthèse de l'œuvre immense d'Eugène Delacroix
Publié le 30/03/2018




Dans la première salle, " La Liberté guidant le peuple " est installée aux côtés d’autres tableaux imposants du peintre.
(Photo NR, Léa Aubrit)



Delacroix encore ? L’un des plus grands peintres français a-t-il vraiment besoin d’être mis à l’honneur par le musée du Louvre ? Assurément, répondent les commissaires de l’exposition qui s’est ouverte cette semaine à Paris.

« Nous croyons connaître Eugène Delacroix dont le tableau " La Liberté guidant le peuple " a figuré sur les billets, les timbres et servi de modèle à Marianne, assure Sébastien Allard, directeur du département des Peintures du musée du Louvre. Mais de Delacroix nous ne connaissons finalement que certains moments épars de sa carrière : il nous a semblé qu’il manquait une vision plus globale. »





L'exposition présente plus de 200 pièces dont la majorité sont des peintures.
(Photo NR, Léa Aubrit)

Vision entière que s’attache donc à donner la rétrospective installée au Louvre, jusqu’au 23 juillet.
La dernière exposition réunissant un si grand nombre d’œuvres du peintre remonte à 1963, année du centenaire de sa mort.

Un véritable défi pour le musée du fait de la taille et de la fragilité de certaines œuvres de Delacroix qui rendent leur voyage délicat. « Mais le moment était venu, ajoute le commissaire de l’exposition, car si la première phase de son travail jusqu’aux " Femmes d’Alger " se comprend, ensuite son œuvre devient plus complexe avec à la fois des bouquets de fleurs luxuriants et des peintures religieuses plus pathétiques et sombres, avant, sur la fin de sa vie, de se consacrer aux paysages. »

Delacroix a laissé à ses contemporains un journal, dont certaines pages sont présentées au Louvre, mais aussi une correspondance foisonnante. Des sources multiples qui permettent d’appréhender le peintre mais contribuent aussi à rendre une synthèse quasi impossible.

L’exposition s’attache donc avant tout à « proposer une relecture de la carrière d’Eugène Delacroix en mettant l’accent sur des éléments moins connus de son œuvre », décrit Sébastien Allard.



De nombreux écrits du peintre sont également exposés, comme ici ses carnets de notes et croquis réalisés au Maroc.
(Photo NR, Léa Aubrit)

L’exposition réunit 200 pièces (peintures, œuvres graphiques et écrits manuscrits) qui viennent du Louvre et d’autres musées français, mais également américains, allemands, suisses, hollandais, belges et même mexicains.

La première salle met en scène les spectaculaires grands formats du début de la carrière du peintre (1822-34) avec la célèbre " Liberté guidant le peuple ", côtoyant la " Scène des massacres de Scio " et " La Bataille de Nancy ".

Suivent ensuite les évolutions du travail du peintre : travail d’atelier, modèles métissés et scènes de vie marocaine, écrits de jeunesse, grands décors muraux, scènes shakespeariennes et enfin dessins d’aquarelle et paysages.

https://www.lanouvellerepublique.fr/a-la-une/le-louvre-tente-sa-synthese-de-l-oeuvre-immense-d-eugene-delacroix

Voilà qui pourrait faire une sympathique sortie commune, les amis !   Non ?  
( ...  avant qu'il n'y ait plus de trains sur ma petite ligne secondaire .    Gaaaasp !    )

Mme de Sabran a écrit:

Voilà qui pourrait faire une sympathique sortie commune, les amis !   Non ?  
( ...  avant qu'il n'y ait plus de trains sur ma petite ligne secondaire .    Gaaaasp !    )

Ah, si j'pouvais, Eléo !

Mme de Sabran a écrit:
Voilà qui pourrait faire une sympathique sortie commune, les amis !   Non ?

Pourquoi pas ?
Delacroix n'est pas un peintre que j'aime, mais toutes les occasions sont bonnes de nous retrouver, n'est-ce pas ?  

En ce moment, si j'avais le temps d'organiser une petite escapade, c'est à Bruxelles que j'irais !

Mme de Sabran a écrit:
( ...  avant qu'il n'y ait plus de trains sur ma petite ligne secondaire .    Gaaaasp !

Ah oui ? Est-ce prévu ?

La nuit, la neige a écrit:

Mme de Sabran a écrit:
Voilà qui pourrait faire une sympathique sortie commune, les amis !   Non ?

Pourquoi pas ?
Delacroix n'est pas un peintre que j'aime, mais toutes les occasions sont bonnes de nous retrouver, n'est-ce pas ?  

Oh oui, n'est-ce pas !!!   Je suis ravie !      
Quand il n'est pas trop martial et pompier, Delacroix est tout de même un bon peintre !
Je suis libre comme l'air tous ces prochains jours, sauf le lundi 9 ( avril bien sûr ).
Qui est tenté ?

La nuit, la neige a écrit:

En ce moment, si j'avais le temps d'organiser une petite escapade, c'est à Bruxelles que j'irais !

Pompéi à Bruxelles ?!!   Quelle chance !      Comme cela se trouve !   J'y vais justement début juin et je verrai notre comte d'Hézecques à cette occasion .
 Tu te souviens que nous étions allés ensemble à celle de Paris, il y a quelques années ?  Elle présentait quelques merveilleux objets usuels.

La nuit, la neige a écrit:

Mme de Sabran a écrit:
( ...  avant qu'il n'y ait plus de trains sur ma petite ligne secondaire .    Gaaaasp !

Ah oui ? Est-ce prévu ?

Cela pend au bout du nez des petites lignes considérées comme soit-disant trop peu rentables .      Il est question de les fermer.  Tu parles d'un service public !   Pour la Normandie, ce serait catastrophique .   Il ne resterait plus que le Paris Cherbourg, je suppose .
Quelle castafouine !

Le TELERAMA hors série qui lui est consacré est très beau .

Quand même ! Quel artiste de génie ! 

Très belle expo. C'est une peinture "chaude" et "puissante" (je ne vois pas d'autres termes    ). Quelques photos :

En avez-vous entendu parler de ça ? 

• Par Alexis Ferenczi
  
  

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ART - Un tableau du peintre Eugène Delacroix, dont la valeur est estimée à plus de 600.000 euros, a été dérobé vendredi 30 novembre dans une galerie d'art parisienne par un inconnu, a-t-on appris de source proche de l'enquête, confirmant une information du quotidien Le Parisien.

L'œuvre dérobée, une toile de petite taille (15 cm de haut, 19 cm de large) p
en 1833 et intitulée Les Arabes d'Oran, était exposée dans une galerie rue Saint-Honoré (Ier) à Paris. Il pourrait s’agir de la galerie Schmit, qui ne répondait pas aux appels ce vendredi mais qui expose sur son site la toile en question:


Selon les premiers éléments, une employée de la galerie d'art se serait aperçue en début d'après-midi que le tableau n'était plus à sa place. Un inconnu aurait réussi à décrocher la toile et à s'enfuir avec, selon cette source. L'enquête a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne.

Jeudi 29 novembre, une statuette représentant la Victoire de Samothrace, dont la valeur est estimée à 40.000 euros, a été dérobée dans une boutique Lalique -spécialiste du cristal, de la porcelaine et de l'orfèvrerie- du VIIIe arrondissement de Paris, selon une autre source proche de l'enquête sans préciser si les deux vols étaient liés.
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Comtesse Diane a écrit:En avez-vous entendu parler de ça ? 

Mais non, quelle histoire !  

Merci, Notre Grâce, pour ces magnifiques photos !

Comment c'est possible ???