Notre Jeu de l'Eté !

Vicq d Azir a écrit:Cela a-t-il à voir avec le Duc de Chartres ?

Non, non .

... cet événement est t-il heureux ? malheureux ?
... rien à voir avec la météo ?

Dominique Poulin a écrit:... cet événement est t-il heureux ? malheureux ?
... rien à voir avec la météo ?

Oui, oui, malgré l'affront subi ( qui fait l'objet de notre énigme ) , Marie-Antoinette était relativement satisfaite de sa soirée .

Indice :
C'était en avril .

Le 26 avril 1784, Marie-Antoinette assiste à l'Opéra de Paris à une représentation de Glück et Salieri.
Elle est brillamment saluée par le public, mais rapidement le public remarque la présence du bailli de Suffren, revenu des Indes. C'est alors qu'une immense clameur d'applaudissements et de félicitations éclipse la reine.

Bravo Domi

L’histoire dit elle si, à l’opéra, le bailli bailla ?

Dominique Poulin a écrit:Le 26 avril 1784, Marie-Antoinette assiste à l'Opéra de Paris à une représentation de Glück et Salieri.
Elle est brillamment saluée par le public, mais rapidement le public remarque la présence du bailli de Suffren, revenu des Indes. C'est alors qu'une immense clameur d'applaudissements et de félicitations éclipse la reine.

Bravo, Domi !           L'opéra donnait Les Danaïdes; non pas de Gluck mais de Salieri .
Notre sujet :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t4588p25-mozart-salieri?highlight=salieri

Mais la reine ne fut pas du tout brillamment saluée par le public, au contraire .
Quelques très maigres applaudissements crépitèrent dans la vaste salle de l'opéra .  

Quelques instants après, l'entrée du bailli de Suffren, tout auréolé de gloire après la guerre contre l'Angleterre aux Indes, souleva un tonnerre d'acclamations.

A vous la main !!!  

Gouverneur Morris a écrit:
Bravo Domi

L’histoire dit elle si, à l’opéra, le bailli bailla ?

Nouveau " devoir " :

Vers 1800, le Premier Consul Napoléon Bonaparte adopte une formule militaire dans sa correspondance diplomatique pour définir Marie-Amélie, duchesse de Parme et sœur de Marie-Antoinette.

Quelle est cette formule ?

Castafouine, je l'ai su ... mais je ne m'en souviens plus !!!

C'est pas si compliqué, Bonaparte compare la duchesse à une sorte de fort militaire par haine de la France et des Jacobins.

... forteresse ? ... Bastille ?

Le terme utilisé par Napoléon concerne une unité militaire d'hommes pour désigner cette sœur de la reine.
Au XIXe siècle et au XXe siècle, en France, il y en avait un nombre important dans de nombreuses préfectures et sous-préfectures.

Une cohorte ? Une division ? Une légion ?

Pas loin.... Vous brûlez Momo.

On disait une ville de.....

garnison

X

... ce Momo !

Bravo Momo !  

Je donne ma source :

" L' Espagne et les derniers jours du duché de Parme "
de Jack Berte-Langereau / Revue Hispania : revista espanola de historia / 1954.

" ... Or, de son côté, Bonaparte était impatient de régler la question de Parme.
Situé au cœur de l'Italie, entre la République Cisalpine et la République Ligurienne, le duché le gênait beaucoup et il souhaitait de pouvoir transférer en d'autres régions l'infant, mais aussi sa femme qui prétendait-il " valia quanto una guarnicion enemiga por sa odio irréconciliable contra la Francia. "

En français, à quelques détails près, cela se traduit :
" ... équivaut à une garnison ennemie pour son horreur irréconciliable contre la France. "

A vous la main Momo !

Si nous sommes en panne d'énigme, les amis, j'ai une petite devinette rigolote sous le coude !

Je t’en prie vas-y !

Allez zou !
Eh bien dites-moi donc pourquoi Mme de Sérent prend Angélique de Bombelles à part et lui recommande la plus grande discrétion pour changer les fesses de son bébé ...

Pour sa réputation ?

Cette discrétion la préserve de qui ? du marquis de Bombelles ?

Dominique Poulin a écrit:Pour sa réputation ?

Cette discrétion la préserve de qui ? du marquis de Bombelles ?

Non, non !

Cela ne se faisait pas, dans le monde aristocratique ? C’eut- été déchoir que de s’occuper d’une tâche subalterne ?