Notre Jeu du Printemps !

Ils se goinfrent comme des morfales ?! et piochent dans l'assiette du voisin ?

Mme de Sabran a écrit:et piochent dans l'assiette du voisin ?

ce n'est pas dans l'assiette qu'ils piochent ! Tu brûles

il verse le plat dans son assiette ? il mange directement dans la soupière ?

... dans les plats ?!
Ils mettent les doigts dans le plat, comme des cochons qu'ils sont, pour attraper le morceau qu'ils veulent ?

Mmme de Sabran a écrit:Ils mettent les doigts dans le plat

Oui enfin !!!!!
Alors chez qui sont-elles ?

Ce n'est donc pas cette fois-là, chez le sculpteur Le Moine, avec l'affreux Lekain ?

Non !

Nous avons parlés de ou de ces personnages il n y a pas si longtemps.

c'est le maître de maison ?
à la Cour ?
grand bourgeois ?
artisite ?

Lucius a écrit:c'est le maître de maison

Oui mais qui est ou sont ils ?

à la Cour ?
grand bourgeois ?
artiste ? écrivain ?

à Paris ? lors d'un voyage ?

Lucius a écrit:à Paris ? lors d'un voyage ?

Oui alors ?...

oui au quel ?

Oui au deux tu brûles aussi Lucius

... pendant l'émigration ?

Non nous sommes avant la révolution. Tout va bien ou presque en France.

Ah oui, pardon : tu nous l'avais dit . Quelle tête à vent je suis ...

Alors résumons
Elles vont déjeuner chez quelqu'un à Paris qui met ses doigts ou leurs doigts dans les plats
Alors chez qui peuvent-t-elles être ?

... chez un gros sagouin !

Pourquoi sagoin, c'est peut être sa tradition (énorme indice)

Il n'est pas français ! Serait-ce un des ambassadeurs de Tippoo Sahib ? Peut-être celui dont Elisabeth a peint cet imposant portrait en pied ?

En 1788, des ambassadeurs furent envoyés à paris par l’empereur Tipoo-SaÎb. « Je vis ces indiens à l’Opéra, et ils me parurent si extraordinairement pittoresques que je voulus faire leurs portraits {…] Mme de Bonneuil à qui j’avais parlé de mes séances désirait beaucoup voir ces ambassadeurs. Ils nous invitèrent toute deux à diner, et nous acceptâmes par pure curiosité. En entrant dans la salle-à-manger, nous fûmes surprises de trouver le dîner servi par terre, ce qui nous obligea à nous tenir comme eux presque couchées autour de la table. Ils nous servirent avec leurs mains ce qu’ils prenaient dans les plats, dont l’un contenait une fricassée de pieds de mouton à la sauce blanche, très épicée, et de l autre je ne sais quel ragoût. Vous devez penser que nous fîmes un triste repas : il nous répugnait trop de les voir employer leurs mains bronzées en guise de cuillères. »

BRAVO ELEONORE

Nous avons partagé cette expérience au Maroc , avec Mesdames Troisième et Quatrième, chez le marchand de fezs où nous venions de faire nos emplettes. Ce monsieur hyper-gentil ne voulait plus nous laisser repartir ! Nous avons mangé par terre, avec notre main droite, ce que nous avons beaucoup aimé, contrairement à Mme Le Brun ! Le couscous était fameux, épicé, parfumé à souhait : un excellent souvenir !
Je cherche une prochaine énigme .

Qui a écrit, la queue basse :
Je n'ai pas l'honneur et ne l'aurai jamais d'être le ministre de Louis XVI .

Machaut d'Arnouville ?

Un révolutionnaire ?
Barnave