Notre Jeu du Printemps !

En effet, autant pour moi Lucius, je voulais parler de le princesse de Condé, née de Hesse, pas de la princesse de Condé suivante, née de Rohan Soubise.
La différence d'âge entre les époux était cependant énorme, Caroline de Hesse n'ayant que 14 ans, et le prince en était à ses deuxièmes noces, usé selon les contemporains par les excès, et remercié par Louis XV des affaires du gouvernement ou il avait laissé un souvenir mitigé en compagnie de la marquise de Prie.

Dominique Poulin a écrit:En effet, autant pour moi Lucius, je voulais parler de le princesse de Condé, née de Hesse, pas de la princesse de Condé suivante, née de Rohan Soubise.
La différence d'âge entre les époux était cependant énorme, Caroline de Hesse n'ayant que 14 ans, et le prince en était à ses deuxièmes noces, usé selon les contemporains par les excès, et remercié par Louis XV des affaires du gouvernement ou il avait laissé un souvenir mitigé en compagnie de la marquise de Prie.

C'est de la différence d'âge entre Louis-Joseph et Mlle de Soubise dont je parlais. L'écart du couple de la génération précédente est bien connu.

Nous repartons !

Protégé et tenu en haute estime par Louis XIV, mais ayant pléthore d'ennemis notamment parmi les princes, il ne put maintenir son crédit au règne suivant.
Qui est-ce ?

Le maréchal de Richelieu ?

Non.

Un homme de lettres ? Un aristocrate ? Un homme politique ? Un artiste ?

Lauzun ?
Villeroy ?

Maine ?

Bravo, Lulu, c'est bien le maréchal-duc de Villeroy !  
Compagnon de jeux et ami de Louis XIV, leurs solides liens permirent à Villeroy une faveur presque constante, et  malgré son incompétence en matière militaire et de grands revers par sa faute sur les champs de bataille, il n'en devint pas moins maréchal de France. Le duc du Maine, le duc de Vendôme et le duc d'Orléans ne pouvaient le supporter.
A la fin du règne, Louis XIV lui donna une entrée au conseil de régence et la place de gouverneur du jeune Louis XV, mais le Régent lui enleva peu à peu toutes ses charges, conscient du parti adverse qu'il représentait par sa capacité inutile de nuisance.

A vous la main Lulu !

Quelques pensées de contemporains sur le Maréchal :

« C'était, dit Saint-Simon, un grand homme bien fait avec un visage fort agréable, fort vigoureux, sain, qui sans s'incommoder faisait tout ce qu'il voulait de son corps […] Toute sa vie nourri et vivant dans le plus grand monde […] galant de profession, parfaitement au fait des intrigues galantes de la cour et de la ville, dont il savait amuser le roi, qu'il connaissait à fond, et des faiblesses duquel il sut profiter […] Il était magnifique en tout, fort noble dans toutes ses manières […] point méchant gratuitement, tout le langage et les façons d'un grand seigneur et d'un homme pétri de la cour ; glorieux à l'excès par nature, bas aussi à l'excès pour peu qu'il en eût besoin, et à l'égard du roi et de Mme de Maintenon valet à tout faire […] C'était un homme fait exprès pour présider un bal, pour être le juge d'un carrousel, et, s'il avait eu de la voix, pour chanter à l'opéra les rôles de roi et de héros, fort propre encore à donner les modes, et à rien du tout au-delà […] Sa politesse avait une hauteur qui repoussait, et ses manières étaient par elles-mêmes insultantes quand il se croyait affranchi de la politesse par le caractère des gens. Aussi était-ce l'homme du monde le moins aimé, et dont le commerce était le plus insupportable, parce qu'on [n']y trouvait qu'un tissu de fatuité, de recherche et d'applaudissement de soi […] Nulle lecture, nulle instruction, ignorance crasse sur tout, plates plaisanteries, force vent et parfait vide . Il traitait avec l'empire le plus dur les personnes de sa dépendance […] Enfin la fausseté, et la plus grande, et la plus pleine opinion de soi en tout genre mettent la dernière main à la perfection de ce trop véritable tableau. »

Pour La Bruyère, c'était un "oiseau paré de divers plumages qui ne sont pas à lui"

C'est ce qui s'appelle être habillé pour l'hiver !

Voila qui est dit !

Vous savez que les enfants illégitimes de Louis XIV reçurent en plus du prénom de leur père des prénoms ambitieux;  Louis-Auguste, Louis-César, Louis-Alexandre.

On oublie cependant que deux de ces seconds prénoms avaient déjà été donnés une fois dans la famille de France. A qui ?

Henri III avait été baptisé Alexandre, quand son petit frère François, duc d'Alençon, fut baptisé lui Hercule

Je continue de chercher notre Auguste ou César

et d'un !

On est d'accord que l'on parle de la famille royale légitime, et donc que César de Vendôme n'en fait pas partie ?

je n'ai rien dit de tel !
C'est bien César de Vendôme.

Je pensais qu'Alexandre serait plus dur à trouver ....

à vous la main !

Déjà ?!!     SuperMomo !!!  

Où suis-je ?

Es-tu en France ?!

Non !

Italie ?

Non plus

Allemagne ? Russie ?

Espagne, Olé !!!