Une empoisonneuse graciée par Louis XVI ?
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Une empoisonneuse graciée par Louis XVI ?
Connaissez-vous cette histoire-là, les amis ?!
Elle aurait eu aussi des retombées dans l'affaire du Collier ...
L'empoisonneuse graciée par Louis XVI
Publié le 07/02/2014
Fabrice Vigier, maître de conférence à la faculté de Poitiers a raconté l'histoire de façon vivante et documentée. La soixantaine de spectateurs n'a pas vu le temps passer.
La tentative d'empoisonnement du samedi du 13 août 1763 dans une maison proche de l'église ne sera pas élucidée. Mais la suspecte, Jeanne Courilleau, ira de Poitiers à la Rochelle, faire un séjour dans les fameuses prisons de Nantes avant de rejoindre la prison de la Salpetrière à Paris. C'est là qu'on la retrouve dans les archives pour avoir aidé Mme de La Motte à s'évader. Cette dernière est la principale comploteuse de l'affaire du collier de la reine qui tenta de déstabiliser Marie-Antoinette. On ne sait pas comment Jeanne Courilleau fut graciée par le roi Louis XVI, sûrement suite à une intervention promise par la dame de la Motte.
Cette palpitante histoire fit aussi la lumière sur Airvault au XVIIIe siècle, ville déjà riche de 2.500 habitants dont 200 familles de commerçants et trois bijoutiers-horlogers, l'équivalent de Châtellerault pourtant beaucoup plus peuplée. La ville disposait même d'un tribunal installé dans le château.
Le livre collectif sur les empoisonneuses en France, auquel participe Fabrice Vigier, paraîtra au printemps.
https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/airvault/l-empoisonneuse-graciee-par-louis-xvi
Le voici !
Une histoire d’empoisonneuse au pays des aïeux de Voltaire ?
L’affaire Jeanne Courillaud à Airvault en Poitou (1763-1767)
par Fabrice Vigier
Elle aurait eu aussi des retombées dans l'affaire du Collier ...
L'empoisonneuse graciée par Louis XVI
Publié le 07/02/2014
Fabrice Vigier, maître de conférence à la faculté de Poitiers a raconté l'histoire de façon vivante et documentée. La soixantaine de spectateurs n'a pas vu le temps passer.
La tentative d'empoisonnement du samedi du 13 août 1763 dans une maison proche de l'église ne sera pas élucidée. Mais la suspecte, Jeanne Courilleau, ira de Poitiers à la Rochelle, faire un séjour dans les fameuses prisons de Nantes avant de rejoindre la prison de la Salpetrière à Paris. C'est là qu'on la retrouve dans les archives pour avoir aidé Mme de La Motte à s'évader. Cette dernière est la principale comploteuse de l'affaire du collier de la reine qui tenta de déstabiliser Marie-Antoinette. On ne sait pas comment Jeanne Courilleau fut graciée par le roi Louis XVI, sûrement suite à une intervention promise par la dame de la Motte.
Cette palpitante histoire fit aussi la lumière sur Airvault au XVIIIe siècle, ville déjà riche de 2.500 habitants dont 200 familles de commerçants et trois bijoutiers-horlogers, l'équivalent de Châtellerault pourtant beaucoup plus peuplée. La ville disposait même d'un tribunal installé dans le château.
Le livre collectif sur les empoisonneuses en France, auquel participe Fabrice Vigier, paraîtra au printemps.
https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/airvault/l-empoisonneuse-graciee-par-louis-xvi
Le voici !
Une histoire d’empoisonneuse au pays des aïeux de Voltaire ?
L’affaire Jeanne Courillaud à Airvault en Poitou (1763-1767)
par Fabrice Vigier
EXTRAIT DU TEXTE
Au cours des années 1760, le grand Voltaire, pourtant déjà largement sexagénaire, s’investit sans compter dans de retentissantes affaires, qui défraient la chronique judiciaire du pays. Depuis son château de Ferney près de Genève, il dénonce alors avec véhémence les erreurs judiciaires et les dysfonctionnements de la procédure et de certains tribunaux. À cette fin, il écrit plusieurs centaines de lettres sur le sujet, et publie plusieurs mémoires – dont son célèbre Traité sur la tolérance (1763) et son Commentaire sur le livre des Délits et des Peines de Beccaria (1766) – afin d’essayer de peser sur le déroulement de certains procès et surtout sur l’opinion publique française alors naissante. On le voit ainsi intervenir, avec force, dans les affaires Calas (1761-1765), les affaires Sirven (1761-1764), les affaires du chevalier de La Barre (1765-1766) et aussi dans un nombre non négligeable d’autres actions en justice (affaires Lally, affaires Martin, affaires Lerouge ou Perra, a...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 54462
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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