Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
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LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La famille royale et les contemporains de Marie-Antoinette :: Autres contemporains : les femmes du XVIIIe siècle
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Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
Marie-Anne Richard née Barrassaint (ou Barrassin), ancienne marchande à la toilette, tient, avec son époux, Toussaint Richard, la loge de la Conciergerie ; elle arrondit ses fins de mois en vendant les cheveux des condamnés à mort.
Elle paraît avoir été généreuse vis-à-vis de la plus illustre de ses prisonnières.
Madame Élisabeth, dans sa correspondance (quelle correspondance, à qui???), la surnomme "Sensible" et nous savons qu'elle aurait tout fait pour adoucir les conditions matérielles de détention de Marie-Antoinette , allant , par exemple, lui chercher un melon.
Elle introduit également auprès de la détenue son fil François qui a à peu près le même âge que Louis-Charles.
Ce geste touchant provoque une grande détresse chez celle qu'on essaye de consoler de sa séparation d'avec les siens.
Madame Richard est la dépositaire du billet piqué à l'épingle, confié par la "veuve de Louis" au gendarme Gilbert.
Après le 16 octobre, le couple Richard est enfermé aux Madelonettes pendant six mois, accusé d'avoir été trop empressé auprès de la citoyenne Capet.
Ils sont remplacés par les époux Lebeau ou Bault qui arrivent de la Force. Madame Richard aurait été assassinée par un prisonnier que ses soins venaient de rappeler à la vie.
Son veuf retrouva sa place de concierge.
* Source texte : Marie-Antoinette. Anthologie et dictionnaire. De Catriona Seth
Elle paraît avoir été généreuse vis-à-vis de la plus illustre de ses prisonnières.
Madame Élisabeth, dans sa correspondance (quelle correspondance, à qui???), la surnomme "Sensible" et nous savons qu'elle aurait tout fait pour adoucir les conditions matérielles de détention de Marie-Antoinette , allant , par exemple, lui chercher un melon.
Elle introduit également auprès de la détenue son fil François qui a à peu près le même âge que Louis-Charles.
Ce geste touchant provoque une grande détresse chez celle qu'on essaye de consoler de sa séparation d'avec les siens.
Madame Richard est la dépositaire du billet piqué à l'épingle, confié par la "veuve de Louis" au gendarme Gilbert.
Après le 16 octobre, le couple Richard est enfermé aux Madelonettes pendant six mois, accusé d'avoir été trop empressé auprès de la citoyenne Capet.
Ils sont remplacés par les époux Lebeau ou Bault qui arrivent de la Force. Madame Richard aurait été assassinée par un prisonnier que ses soins venaient de rappeler à la vie.
Son veuf retrouva sa place de concierge.
* Source texte : Marie-Antoinette. Anthologie et dictionnaire. De Catriona Seth
Invité- Invité
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
Une occasion de faire remonter ce mini sujet biographique au portail...
Sera prochainement présenté, en vente aux enchères, le 20 février 2019, chez Era-Enchères Rhône Alpes :
Fac similé : Billet de Marie-Antoinette avant sa mort
12 x 17.5 cm
Photo : Era Enchères Rhônes-Alpes
Bien sûr il est apocryphe, mais je ne me souviens pas l'avoir jamais vu.
De quelle ancienne publication provient-il ? Mystère...
Pour plus d'informations au sujet de la dite Madame Richard, et en particulier du seul et fameux billet de la reine qui serait passé entre ses mains, je vous encourage à lire notre sujet consacré à la "Conspiration de l'oeillet".
Ici : Marie-Antoinette et l'affaire de l'oeillet
Photo : Le forum de Marie-Antoinette
La reine a reconnu avoir écrit ce billet avec une épingle lorsqu'il lui a été présenté lors de son second interrogatoire.
Ce billet est resté annexé aux papiers de l'enquête, qui se trouvent aux Archives nationales (selon le comte de Reiset).
Madame Richard a également attesté de l'authenticité du billet :
"Elle (Madame Richard) a reconnu que c'était le même qu'elle a remis au citoyen Michonis et a signé avec nous (signature de Madame Richard)".
Photo : Le forum de Marie-Antoinette
Sera prochainement présenté, en vente aux enchères, le 20 février 2019, chez Era-Enchères Rhône Alpes :
Fac similé : Billet de Marie-Antoinette avant sa mort
12 x 17.5 cm
Photo : Era Enchères Rhônes-Alpes
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Bien sûr il est apocryphe, mais je ne me souviens pas l'avoir jamais vu.
De quelle ancienne publication provient-il ? Mystère...
Pour plus d'informations au sujet de la dite Madame Richard, et en particulier du seul et fameux billet de la reine qui serait passé entre ses mains, je vous encourage à lire notre sujet consacré à la "Conspiration de l'oeillet".
Ici : Marie-Antoinette et l'affaire de l'oeillet
Photo : Le forum de Marie-Antoinette
La reine a reconnu avoir écrit ce billet avec une épingle lorsqu'il lui a été présenté lors de son second interrogatoire.
Ce billet est resté annexé aux papiers de l'enquête, qui se trouvent aux Archives nationales (selon le comte de Reiset).
Madame Richard a également attesté de l'authenticité du billet :
"Elle (Madame Richard) a reconnu que c'était le même qu'elle a remis au citoyen Michonis et a signé avec nous (signature de Madame Richard)".
Photo : Le forum de Marie-Antoinette
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
La nuit, la neige a écrit:
Bien sûr il est apocryphe, mais je ne me souviens pas l'avoir jamais vu.
N'est pas faussaire en écriture qui veut !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
Personnellement, je ne détaille jamais trop l'écriture.
Le fond, mais surtout la bonne grosse signature, me suffisent.
Le fond, mais surtout la bonne grosse signature, me suffisent.
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
La nuit, la neige a écrit:Personnellement, je ne détaille jamais trop l'écriture.
.
Je retiens le " truc " imparable de Févicq : le r .
La nuit, la neige a écrit:
Le fond, mais surtout la bonne grosse signature, me suffisent.
Oui, et là tout particulièrement .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
Anecdotes lues dans les
Mémoires de l'abbé de Salamon, informateur secret du pape pendant la Révolution
A prendre avec toutes les "pincettes historiques" d'usage...
Je fus conduit à la Conciergerie dans l'horrible équipage de l'avant-veille ; seulement cette fois, j'étais tout seul dans la voiture. J'arrivai au greffe, où l'on m'écroua dans les mêmes termes qu'à la Force, c'est à dire comme conspirateur et accusé de correspondance avec les ennemis de l'Etat.
Ces formalités, qui furent assez longues, étant remplies, le commissaire qui avait été délégué par l'accusateur public, et qui était présent, dit au concierge, nommé Richard : "Vous répondez maintenant de ce prisonnier, mettez-le donc en lieu sûr.
" - Il y a longtemps, répartit Richard, que je connais ce prisonnier...je l'ai vu venir ici tout autrement qu'aujourd'hui...; il faisait alors la visite des prisons en qualité de commissaire de la Cour, et maintenant, c'est comme criminel que je l'y vois entrer...Mais je réponds de lui...Je ne le perdrai pas un instant de vue.
" - Je serai obligé de vous faire coucher sous les verrous, me dit en effet ce brave homme, mais, pendant le jour, vous resterez chez moi, vous mangerez avec moi et vous pourrez voir qui vous voudrez, pourvu que vous disiez de s'adresser à moi...Puis, vous aurez un poêle dans votre chambre, et vous coucherez sur les deux matelas de cette pauvre femme, - il parlait de la Reine -, qui est morte sur l'échafaud. Ils m'ont coûté bien cher, ajouta-t-il : c'est pour les avoir achetés que j'ai fait six mois de prison aux Madelonnettes."
Je le remerciai du fond du coeur.
Marie-Antoinette à la Conciergerie
Ecole française, 19e siècle
Huile sur toile, 102,5 x 82 cm.
Ancienne collection Étienne L’Éveillé, directeur de la Conciergerie sous Napoléon III
Image : Drouot
Nous convînmes de quatre francs par jour pour ma nourriture. Il me dit encore que je pourrais inviter mes amis à dîner, et qu'ils se faisait fort de nous procurer, à trois francs par tête, un repas très convenable avec café et liqueurs. Beaucoup de mes amis accoururent, en effet, me voir.
(...)
Richard avait pour cuisinière une femme qui méritait d'habiter un meilleur lieu. Elle était animée de sentiments si élevés et avait de si bonnes façons, que je lui témoignai, en particulier, ma surprise de la voir domestique à la Conciergerie. Elle me donna l'explication de la chose.
Elle me raconta qu'elle était une vieille amie de la femme de Richard. Cette dernière, qui avait été tuée d'un coup de couteau par un scélérat qui partait pour les galères, et cela même au moment même où elle le consolait et lui donnait de l'argent. Comme elle se penchait vers lui pour l'embrasser, il lui plongea un couteau dans le coeur, et l'étendit raide morte, sans qu'on ait jamais pu savoir la cause d'une si affreuse ingratitude : " Et je restai, ajouta la domestique en question, avec M. Richard, qui a déjà assez de peine de se voir ici."
(...)
Portrait d'un gardien de la Conciergerie
Pauline Le Couteulx du Molay, marquise de Noailles (1776-1802)
Dessin, 18e siècle
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Le soir, je demeurais souvent en tête-à-tête avec M. Richard, et même nous mangions tous les deux ensemble. Il était plein de prévenances pour moi (...).
Ce bon Richard se trouvait si bien en ma compagnie que nous restions à causer à table quelquefois jusqu'à deux heures après minuit. Il ne me quittait qu'un instant, à dix heures, pour aller faire la visite de ses prisonniers.
Il me raconta sur ces scélérats mille choses vraiment surprenantes. C'étaient surtout leurs tentatives d'évasion qui le tenaient dans un inquiétude continuelle. Bien que n'ayant aucun outil, ils fabriquaient des clés de plomb qui ouvraient les portes sans faire aucun bruit. Il en saisit une fois jusqu'à six de cette espèce, qui allaient parfaitement : il n'en manquait qu'une seule, celle de la porte de la rue. Il me les fit voir toutes les six.
Je lui demandai comment il pouvait parvenir à tout découvrir. Il me répondit que dans les prisons où se trouvaient renfermés beaucoup de détenus, on entretenait toujours un espion, que l'on payait fort cher.
Les femmes des prisonniers étaient aussi un sujet d'inquiétude. On avait beau les fouiller quand elles venaient voir leurs maris, elles trouvaient toujours le moyen de leur apporter tout ce qui leur était nécessaire en fait d'étain, de plomb et de plâtre.
(...)
Entrée de la Conciergerie, quai de l'Horloge
Augustin-Hippolyte Collard
Aquarelle, 1831
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
J'avais confié en secret à la domestique de Richard combien j'éprouvais de répugnance à entrer dans ma prison, et surtout à m'y voir renfermé sous les verrous. Elle s'était empressée de le répéter à son maître, et avait obtenu qu'il fit ouvrir la porte dès la pointe du jour.
Le premier matin où je bénéficiai de cette mesure, je vis, comme ma porte s'ouvrait, un carlin entrer dans ma chambre, sauter sur mon lit, en faire le tour et s'en aller. C'était le carlin de la Reine, que Richard avait recueilli et dont il prenait le plus grand soin. Il venait de la sorte pour flairer les matelas de sa maîtresse. Je le vis faire ainsi tous les matins, à la même heure, pendant trois mois entiers, et, malgré tous mes efforts, je ne pus jamais l'attraper.
Au sujet de la meute de chiens qui entouraient prétendument Marie-Antoinette aux Tuileries, au Temple et à la Conciergerie , je vous renvoie à la lecture de notre sujet :
Les chiens de Marie-Antoinette
Mémoires de l'abbé de Salamon, informateur secret du pape pendant la Révolution
A prendre avec toutes les "pincettes historiques" d'usage...
Je fus conduit à la Conciergerie dans l'horrible équipage de l'avant-veille ; seulement cette fois, j'étais tout seul dans la voiture. J'arrivai au greffe, où l'on m'écroua dans les mêmes termes qu'à la Force, c'est à dire comme conspirateur et accusé de correspondance avec les ennemis de l'Etat.
Ces formalités, qui furent assez longues, étant remplies, le commissaire qui avait été délégué par l'accusateur public, et qui était présent, dit au concierge, nommé Richard : "Vous répondez maintenant de ce prisonnier, mettez-le donc en lieu sûr.
" - Il y a longtemps, répartit Richard, que je connais ce prisonnier...je l'ai vu venir ici tout autrement qu'aujourd'hui...; il faisait alors la visite des prisons en qualité de commissaire de la Cour, et maintenant, c'est comme criminel que je l'y vois entrer...Mais je réponds de lui...Je ne le perdrai pas un instant de vue.
" - Je serai obligé de vous faire coucher sous les verrous, me dit en effet ce brave homme, mais, pendant le jour, vous resterez chez moi, vous mangerez avec moi et vous pourrez voir qui vous voudrez, pourvu que vous disiez de s'adresser à moi...Puis, vous aurez un poêle dans votre chambre, et vous coucherez sur les deux matelas de cette pauvre femme, - il parlait de la Reine -, qui est morte sur l'échafaud. Ils m'ont coûté bien cher, ajouta-t-il : c'est pour les avoir achetés que j'ai fait six mois de prison aux Madelonnettes."
Je le remerciai du fond du coeur.
Marie-Antoinette à la Conciergerie
Ecole française, 19e siècle
Huile sur toile, 102,5 x 82 cm.
Ancienne collection Étienne L’Éveillé, directeur de la Conciergerie sous Napoléon III
Image : Drouot
Nous convînmes de quatre francs par jour pour ma nourriture. Il me dit encore que je pourrais inviter mes amis à dîner, et qu'ils se faisait fort de nous procurer, à trois francs par tête, un repas très convenable avec café et liqueurs. Beaucoup de mes amis accoururent, en effet, me voir.
(...)
Richard avait pour cuisinière une femme qui méritait d'habiter un meilleur lieu. Elle était animée de sentiments si élevés et avait de si bonnes façons, que je lui témoignai, en particulier, ma surprise de la voir domestique à la Conciergerie. Elle me donna l'explication de la chose.
Elle me raconta qu'elle était une vieille amie de la femme de Richard. Cette dernière, qui avait été tuée d'un coup de couteau par un scélérat qui partait pour les galères, et cela même au moment même où elle le consolait et lui donnait de l'argent. Comme elle se penchait vers lui pour l'embrasser, il lui plongea un couteau dans le coeur, et l'étendit raide morte, sans qu'on ait jamais pu savoir la cause d'une si affreuse ingratitude : " Et je restai, ajouta la domestique en question, avec M. Richard, qui a déjà assez de peine de se voir ici."
(...)
Portrait d'un gardien de la Conciergerie
Pauline Le Couteulx du Molay, marquise de Noailles (1776-1802)
Dessin, 18e siècle
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Le soir, je demeurais souvent en tête-à-tête avec M. Richard, et même nous mangions tous les deux ensemble. Il était plein de prévenances pour moi (...).
Ce bon Richard se trouvait si bien en ma compagnie que nous restions à causer à table quelquefois jusqu'à deux heures après minuit. Il ne me quittait qu'un instant, à dix heures, pour aller faire la visite de ses prisonniers.
Il me raconta sur ces scélérats mille choses vraiment surprenantes. C'étaient surtout leurs tentatives d'évasion qui le tenaient dans un inquiétude continuelle. Bien que n'ayant aucun outil, ils fabriquaient des clés de plomb qui ouvraient les portes sans faire aucun bruit. Il en saisit une fois jusqu'à six de cette espèce, qui allaient parfaitement : il n'en manquait qu'une seule, celle de la porte de la rue. Il me les fit voir toutes les six.
Je lui demandai comment il pouvait parvenir à tout découvrir. Il me répondit que dans les prisons où se trouvaient renfermés beaucoup de détenus, on entretenait toujours un espion, que l'on payait fort cher.
Les femmes des prisonniers étaient aussi un sujet d'inquiétude. On avait beau les fouiller quand elles venaient voir leurs maris, elles trouvaient toujours le moyen de leur apporter tout ce qui leur était nécessaire en fait d'étain, de plomb et de plâtre.
(...)
Entrée de la Conciergerie, quai de l'Horloge
Augustin-Hippolyte Collard
Aquarelle, 1831
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
J'avais confié en secret à la domestique de Richard combien j'éprouvais de répugnance à entrer dans ma prison, et surtout à m'y voir renfermé sous les verrous. Elle s'était empressée de le répéter à son maître, et avait obtenu qu'il fit ouvrir la porte dès la pointe du jour.
Le premier matin où je bénéficiai de cette mesure, je vis, comme ma porte s'ouvrait, un carlin entrer dans ma chambre, sauter sur mon lit, en faire le tour et s'en aller. C'était le carlin de la Reine, que Richard avait recueilli et dont il prenait le plus grand soin. Il venait de la sorte pour flairer les matelas de sa maîtresse. Je le vis faire ainsi tous les matins, à la même heure, pendant trois mois entiers, et, malgré tous mes efforts, je ne pus jamais l'attraper.
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Au sujet de la meute de chiens qui entouraient prétendument Marie-Antoinette aux Tuileries, au Temple et à la Conciergerie , je vous renvoie à la lecture de notre sujet :
Les chiens de Marie-Antoinette
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
Quel sujet , c'est tout l'attrait du forum merci
Mr ventier- Messages : 1122
Date d'inscription : 18/11/2020
Age : 58
Localisation : Rouen normandie
Re: Le couple Richard, concierges à la Conciergerie
Mme Tison devenue folle, Mme Richard assassinée ... eh bien vraiment, la passage par la case " Conciergerie " n'était pas un gage de bonne fortune !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55154
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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