Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
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Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Photographié dernièrement au Louvre. Cela change un peu des huiles sur toile, et le cadre est si joli...
Portrait équestre de Louis XV, émail peint sur cuivre
France, 1727
D'après un portrait par Charles Parrocel et Jean-Baptiste Van Loo, daté de 1724
Et le portrait original donc, conservé à Versailles :
Portrait équestre de Louis XV
Cahrles Parrocel
Jean-Baptiste Van Loo
Portrait équestre de Louis XV, émail peint sur cuivre
France, 1727
D'après un portrait par Charles Parrocel et Jean-Baptiste Van Loo, daté de 1724
Et le portrait original donc, conservé à Versailles :
Portrait équestre de Louis XV
Cahrles Parrocel
Jean-Baptiste Van Loo
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Je suis très contente que tu postes ce tout petit tableau car j'ai fait la même photo ... ( et pour cause ) mais la mienne ne saurait s'aligner !
Merci .
Merci .
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Chic !!! ... on danse ?!
Petit clin d'oeil à notre quatuor vocal ( ), au Palais Royal, dimanche ( ... ou comment l'envoûtante Sara Montiel emballe Maurice Ronet ):
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Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Merci Eléonore ! Par Coysevox en effet.
Gouverneur Morris- Messages : 11596
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Ils devraient de temps en temps dépoussiérer leurs bouquets de fleurs
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« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Nous remercions l'un de nos lecteurs qui nous rappelle très aimablement l'information suivante :
la chemise du sacre de Louis XV est au Portugal, où elle est conservée par la Royale et Vénérable Confrérie du Très-Saint-Sacrement de Mafra .
Nous le disions en amont de ce sujet, la confrérie possède un important patrimoine artistique et culturel. L'ensemble de statues processionnelles gardées par cette confrérie est le plus grand du Portugal. La plupart de ces statues continuent à être utilisées dans les fonctions religieuses organisées par la Royale et Vénérable Confrérie du Très-Saint-Sacrement de Mafra.
Elle possède donc, notamment, la chemise portée par Louis XV de France dans la cérémonie de son sacre, le 25 octobre 1722, dans la cathédrale de Reims, offerte au roi Jean V de Portugal.
L'Édifice Royal de Mafra.
Photo WIKI
La chemise du sacre de Louis XV
Statue processionnelle de Saint Louis de la Royale et Vénérable Confrérie du Très-Saint-Sacrement de Mafra.
Pendant la minorité de Louis XV, le plus jeune frère du roi Jean V de Portugal, l’infant Manuel (1697-1766) de passage en France, assista au sacre du jeune roi à Reims (25 octobre 1722). C’est peut-être lui qui apporta à son frère Jean V, la chemise du sacre de Louis XV3.
C'est une chemise en toile de lin avec application de dentelles sur l’encolure et les manchettes.
Elle a été utilisé, initialement, pour habiller la statue de Saint Louis de la Procession de Pénitence du Tiers Ordre de Saint François.
Actuellement, la chemise n'est plus utilisée dans cette fonction.
Le 20 juillet 2019, à l'occasion de la commémoration de l'inscription de l'Édifice Royal de Mafra sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, la chemise a été présentée au public par la Confrérie lors de l'exposition intitulée “Les Trésors de la Confrérie” (“Os Tesouros da Irmandade”, en portugais).
Statue processionnelle de Saint Louis de la Royale et Vénérable Confrérie du Très-Saint-Sacrement de Mafra.
Photo WIKI
https://fr.wikipedia.org/wiki/Royale_et_v%C3%A9n%C3%A9rable_confr%C3%A9rie_du_tr%C3%A8s_saint_sacrement_de_Mafra
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Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Portraits de Louis XV par Louis-Michel Van Loo
Tiens !? J'ignorais que le tableau original de ce si célèbre portrait demeurait introuvable...
Je cite un article publié sur le site internet du journal Le Figaro
Pris pour une copie, le portrait de Louis XV de la mairie de Moissac était une toile de maître
Depuis deux siècles, elle était considérée comme une vulgaire reproduction. La peinture qui ornait un mur de l’hôtel de ville de la cité du Tarn-et-Garonne était en réalité un portrait rare du souverain reproduit par Jean-Martial Frédou de la Bretonnière.
Image : Marie de Moissac
Sans l’œil avisé d’une employée du service patrimoine de Moissac, dans le Tarn-et-Garonne, une toile de maître du XVIIIe siècle aurait bien pu être mise au rebut.
En décrochant un tableau monumental qui ornait la salle du conseil municipal depuis deux siècles, Céline Piazza a remarqué des inscriptions sur le châssis et le cadre. Ce portrait de Louis XV, que les habitants de Moissac prenaient pour une simple copie, s’est révélé bien plus précieux.
Intriguée, Céline Piazza a demandé à Emmanuel Moureau, le conservateur de l’abbaye de Moissac, de venir observer la toile. Tous deux remarquent des marques au feu signées «Musée Royal», puis l’inscription «peint en 1766 par Frédou aux frais de la musique de la chapelle du Roi».
En comparant plusieurs œuvres de l’artiste, le conservateur est remonté jusqu’à Louis-Michel Van Loo, peintre officiel de la cour d’Espagne et portraitiste de Louis XV.
Le mystère n’était pourtant pas totalement résolu: si Van Loo a peint cette toile sur laquelle le souverain est représenté en pied, revêtu de ses habits de sacre, il ne s’agit pas du tableau de Moissac. Jean-Martial Frédou de la Bretonnière, alias Frédou, est rapidement identifié comme le véritable auteur de la toile.
En 1755, l’artiste rejoint le Cabinet des tableaux du Roi à Versailles, en tant que peintre copiste. Seulement quelques années après le maître, il peint la réplique de la toile de Van Loo.
L’original introuvable
«C’est une copie conforme d’une œuvre originale peinte par Michel Van Loo en 1760 , précise Emmanuel Moureau à nos confrères de France Info.
Elle est intéressante parce que ce tableau de Moissac a été offert par les musiciens de la Chapelle du Roi, donc c’est un argument supplémentaire pour son intérêt patrimonial national».
D’autant que l’original de Louis-Michel Van Loo est introuvable et que seules deux copies existent à ce jour : l’une à Versailles, l’autre à Beaune.
Le 4 février prochain sera étudiée la demande d’inscription au titre des Monuments Historiques, préalable à un possible classement. Après sa restauration, cette toile devrait quitter la salle du conseil municipal et être exposée dans le cloître de l’abbaye Saint-Pierre.
* Source texte : Le Figaro Culture
Durant cette vidéo, une jeune fille lit l'inscription " peint en 1776 par Frédou " quand un autre parle de 1766, mais passons...
Voici donc la copie, par Frédou, conservée à Versailles
Louis XV, roi de France et de Navarre, en grand manteau royal en 1760
Par Jean-Martial Frédou
D'après Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile, 1763
Dimensions : non vérifiées H. 277 ; L. 196 cm
Image : Château de Versailles, Dist. RMN / Christophe Fouin
Historique : Collection Louis XV ; Paris, museum central des Arts ; envoyé au château de Compiègne, 1821 ; peut-être l'un des quatre portraits mentionnés, sans nom d'auteur, Aile du Nord, second étage, salles des portraits, n°141-150, dans le guide de 1837 (...)
Le château de Versailles conserve également cette autre copie :
Portrait de Louis XV, roi de France
Atelier de Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile
Dimensions : 227 x 184 cm
Image : RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / image RMN-GP
De même que cette tapisserie :
Louis XV vêtu du grans manteau fleurdélisé
Paris, Manufacture des Gobelins (fabricant)
D'après Louis-Michel Van Loo (peintre)
Atelier de Pierre-François Cozette (lissier)
1769-1771
Dimensions : 271 x 161 cm
Image : Château de Versailles, Dist. RMN / Jean-Marc Manaï
Historique : Tapisserie de haute lisse des Gobelins exécutée en 1771 par l'atelier de Pierre-François COZETTE d'après un tableau de Louis-Michel VAN LOO peint en 1760, exposé au Salon de 1761 et placé dans les Grands Appartements de Versailles en 1763 en remplacement du tableau de Hyacinthe RIGAUD. Présentée au Roi en 1773 dans le grand cabinet de la Dauphine à Versailles (...)
Dans le fond des collections du château de Versailles, mais conservé au Musée d'Art et d'Histoire de Saint-Denis, existe encore cette autre copie, de plus petites dimensions, par Guérin :
Louis XV, roi de France
Par François Guérin
D'après Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile, XVIIIe siècle
Dimensions H 138 cm x L 102 cm
Image : RMN-GP (Château de Versailles) / Daniel Arnaudet / Jean Schormans
Historique : Collection Louis XV ; mentionné dans les magasins du Pavillon de Monsieur, dans l’inventaire de 1850
La Wallace Collection de Londres conserve aussi cette autre variante, et précise que Van Loo aurait peint trois version, et que les copies furent nombreuses :
Louis XV
Studio of Louis Michel Van Loo
Oil on canvas, c. 1761-1771
Dimensions : 136,6 x 104 cm
Image : The Wallace Collection
Présentation :
A reduced contemporary copy of the life-size portrait of Louis XV (1710-74), King of France 1715-74, commissioned in 1759, and exhibited at the Salon of 1761 (untraced).
Van Loo refers back to Rigaud's famous portrait of Louis XIV of 1701 (Paris, Musée du Louvre). The king is wearing a combination of garments that were not worn on the same day during the celebration of the Sacre in Reims where the French kings were crowned and annointed. The white dress of the Ordre du Saint-Esprit (order of the Holy Spirit), worn on the second day in Reims, is combined with the Royal mantle worn on the first day of the Sacre. The king is wearing the orders of the Holy Spirit and of the Golden Fleece. His right hand is resting on the sceptre and he is wearing the Royal sword, La Joyeuse. Crown and main de justice (the sceptre for the king as supreme judge) are placed on the stool to the left. The image thus combines different aspects of kingdom into an ideal image.
Van Loo is known to have painted a reduced version of the portrait in 1760, and a full-size replica in 1761.
The so-called Cabinet du Roi, a studio of copyists in Versailles was specifically set up for the reproduction of official portraits. The replica of 1761 would stay in the Cabinet as a model for all future versions.
Numerous copies were made, for use as diplomatic gifts, for embassies, public buildings or as presents for loyal friends and relations. These copies were made in different standard sizes, and other versions of the same size are preserved (e. g. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, MV 6634, by François Guérin; Rennes; Abbeville).
Two reduced copies were made for the King’s mistress, Madame de Pompadour, and another for his minister, the duc de Choiseul.
Good life-size copies are at Woburn Abbey, the Grand Trianon, the Royal Museum of Copenhagen (signed) and Versailles (signed by Jean-Martial Frédou and dated 1763).
Je n'ai pas retrouvé la copie évoqué dans l'article et dite conservée à Beaune (où précisément ? )
Mais la base en ligne "Aliénor - Conseil des Musées" présente un tableau localisé au Musée Bernard d'Agesci (Niort), et décrit ainsi (comme daté et signé) :
Portrait en pied de Louis XH
Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile
1767
Dimensions : 275 x 192 cm
Propriétaire : Musée du Louvre, propriété de l'Etat
Dépositaire : conservation des musées de la Communauté d'Agglomération du Niortais
Enfin, je vous propose encore cette photo d'archive publiée sur le site internet du NationalMuseum de Stockholm, il s'agit d'une autre version présentée ainsi :
Louis XV, roi de France
Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile
Dimensions : 260 x 153 cm
Image : NationalMuseum
Ainsi que l'huile sur toile du Statens Museum for Kunst de Copenhague :
Louis XV, roi de France
Auparavant attribué à Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile, 1765
Dimensions : 281.5 x 170 cm
Image : Statens Museum for Kunst
Je cite un article publié sur le site internet du journal Le Figaro
Pris pour une copie, le portrait de Louis XV de la mairie de Moissac était une toile de maître
Depuis deux siècles, elle était considérée comme une vulgaire reproduction. La peinture qui ornait un mur de l’hôtel de ville de la cité du Tarn-et-Garonne était en réalité un portrait rare du souverain reproduit par Jean-Martial Frédou de la Bretonnière.
Image : Marie de Moissac
Sans l’œil avisé d’une employée du service patrimoine de Moissac, dans le Tarn-et-Garonne, une toile de maître du XVIIIe siècle aurait bien pu être mise au rebut.
En décrochant un tableau monumental qui ornait la salle du conseil municipal depuis deux siècles, Céline Piazza a remarqué des inscriptions sur le châssis et le cadre. Ce portrait de Louis XV, que les habitants de Moissac prenaient pour une simple copie, s’est révélé bien plus précieux.
Intriguée, Céline Piazza a demandé à Emmanuel Moureau, le conservateur de l’abbaye de Moissac, de venir observer la toile. Tous deux remarquent des marques au feu signées «Musée Royal», puis l’inscription «peint en 1766 par Frédou aux frais de la musique de la chapelle du Roi».
En comparant plusieurs œuvres de l’artiste, le conservateur est remonté jusqu’à Louis-Michel Van Loo, peintre officiel de la cour d’Espagne et portraitiste de Louis XV.
Le mystère n’était pourtant pas totalement résolu: si Van Loo a peint cette toile sur laquelle le souverain est représenté en pied, revêtu de ses habits de sacre, il ne s’agit pas du tableau de Moissac. Jean-Martial Frédou de la Bretonnière, alias Frédou, est rapidement identifié comme le véritable auteur de la toile.
En 1755, l’artiste rejoint le Cabinet des tableaux du Roi à Versailles, en tant que peintre copiste. Seulement quelques années après le maître, il peint la réplique de la toile de Van Loo.
L’original introuvable
«C’est une copie conforme d’une œuvre originale peinte par Michel Van Loo en 1760 , précise Emmanuel Moureau à nos confrères de France Info.
Elle est intéressante parce que ce tableau de Moissac a été offert par les musiciens de la Chapelle du Roi, donc c’est un argument supplémentaire pour son intérêt patrimonial national».
D’autant que l’original de Louis-Michel Van Loo est introuvable et que seules deux copies existent à ce jour : l’une à Versailles, l’autre à Beaune.
Le 4 février prochain sera étudiée la demande d’inscription au titre des Monuments Historiques, préalable à un possible classement. Après sa restauration, cette toile devrait quitter la salle du conseil municipal et être exposée dans le cloître de l’abbaye Saint-Pierre.
* Source texte : Le Figaro Culture
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Durant cette vidéo, une jeune fille lit l'inscription " peint en 1776 par Frédou " quand un autre parle de 1766, mais passons...
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Article Le Figaro a écrit: (...) l’original de Louis-Michel Van Loo est introuvable et seules deux copies existent à ce jour : l’une à Versailles, l’autre à Beaune
Voici donc la copie, par Frédou, conservée à Versailles
Louis XV, roi de France et de Navarre, en grand manteau royal en 1760
Par Jean-Martial Frédou
D'après Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile, 1763
Dimensions : non vérifiées H. 277 ; L. 196 cm
Image : Château de Versailles, Dist. RMN / Christophe Fouin
Historique : Collection Louis XV ; Paris, museum central des Arts ; envoyé au château de Compiègne, 1821 ; peut-être l'un des quatre portraits mentionnés, sans nom d'auteur, Aile du Nord, second étage, salles des portraits, n°141-150, dans le guide de 1837 (...)
Le château de Versailles conserve également cette autre copie :
Portrait de Louis XV, roi de France
Atelier de Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile
Dimensions : 227 x 184 cm
Image : RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / image RMN-GP
De même que cette tapisserie :
Louis XV vêtu du grans manteau fleurdélisé
Paris, Manufacture des Gobelins (fabricant)
D'après Louis-Michel Van Loo (peintre)
Atelier de Pierre-François Cozette (lissier)
1769-1771
Dimensions : 271 x 161 cm
Image : Château de Versailles, Dist. RMN / Jean-Marc Manaï
Historique : Tapisserie de haute lisse des Gobelins exécutée en 1771 par l'atelier de Pierre-François COZETTE d'après un tableau de Louis-Michel VAN LOO peint en 1760, exposé au Salon de 1761 et placé dans les Grands Appartements de Versailles en 1763 en remplacement du tableau de Hyacinthe RIGAUD. Présentée au Roi en 1773 dans le grand cabinet de la Dauphine à Versailles (...)
Dans le fond des collections du château de Versailles, mais conservé au Musée d'Art et d'Histoire de Saint-Denis, existe encore cette autre copie, de plus petites dimensions, par Guérin :
Louis XV, roi de France
Par François Guérin
D'après Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile, XVIIIe siècle
Dimensions H 138 cm x L 102 cm
Image : RMN-GP (Château de Versailles) / Daniel Arnaudet / Jean Schormans
Historique : Collection Louis XV ; mentionné dans les magasins du Pavillon de Monsieur, dans l’inventaire de 1850
La Wallace Collection de Londres conserve aussi cette autre variante, et précise que Van Loo aurait peint trois version, et que les copies furent nombreuses :
Louis XV
Studio of Louis Michel Van Loo
Oil on canvas, c. 1761-1771
Dimensions : 136,6 x 104 cm
Image : The Wallace Collection
Présentation :
A reduced contemporary copy of the life-size portrait of Louis XV (1710-74), King of France 1715-74, commissioned in 1759, and exhibited at the Salon of 1761 (untraced).
Van Loo refers back to Rigaud's famous portrait of Louis XIV of 1701 (Paris, Musée du Louvre). The king is wearing a combination of garments that were not worn on the same day during the celebration of the Sacre in Reims where the French kings were crowned and annointed. The white dress of the Ordre du Saint-Esprit (order of the Holy Spirit), worn on the second day in Reims, is combined with the Royal mantle worn on the first day of the Sacre. The king is wearing the orders of the Holy Spirit and of the Golden Fleece. His right hand is resting on the sceptre and he is wearing the Royal sword, La Joyeuse. Crown and main de justice (the sceptre for the king as supreme judge) are placed on the stool to the left. The image thus combines different aspects of kingdom into an ideal image.
Van Loo is known to have painted a reduced version of the portrait in 1760, and a full-size replica in 1761.
The so-called Cabinet du Roi, a studio of copyists in Versailles was specifically set up for the reproduction of official portraits. The replica of 1761 would stay in the Cabinet as a model for all future versions.
Numerous copies were made, for use as diplomatic gifts, for embassies, public buildings or as presents for loyal friends and relations. These copies were made in different standard sizes, and other versions of the same size are preserved (e. g. Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, MV 6634, by François Guérin; Rennes; Abbeville).
Two reduced copies were made for the King’s mistress, Madame de Pompadour, and another for his minister, the duc de Choiseul.
Good life-size copies are at Woburn Abbey, the Grand Trianon, the Royal Museum of Copenhagen (signed) and Versailles (signed by Jean-Martial Frédou and dated 1763).
Je n'ai pas retrouvé la copie évoqué dans l'article et dite conservée à Beaune (où précisément ? )
Mais la base en ligne "Aliénor - Conseil des Musées" présente un tableau localisé au Musée Bernard d'Agesci (Niort), et décrit ainsi (comme daté et signé) :
Portrait en pied de Louis XH
Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile
1767
Dimensions : 275 x 192 cm
Propriétaire : Musée du Louvre, propriété de l'Etat
Dépositaire : conservation des musées de la Communauté d'Agglomération du Niortais
Enfin, je vous propose encore cette photo d'archive publiée sur le site internet du NationalMuseum de Stockholm, il s'agit d'une autre version présentée ainsi :
Louis XV, roi de France
Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile
Dimensions : 260 x 153 cm
Image : NationalMuseum
Ainsi que l'huile sur toile du Statens Museum for Kunst de Copenhague :
Louis XV, roi de France
Auparavant attribué à Louis-Michel Van Loo
Huile sur toile, 1765
Dimensions : 281.5 x 170 cm
Image : Statens Museum for Kunst
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Le duc de Choiseul & le duc de Praslin avaient eu une dispute pour savoir lequel était le plus bête du roi ou de M. de la Vrillière ; le duc de Praslin soutenait que c’était M. de la Vrillière ; l’autre, en fidèle sujet, pariait pour le roi.
( Chamfort, Caractères et anecdotes )
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Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Curieux portrait Louis XV le soleil noir diffusé la semaine dernière à la télé. Soleil éteint. Etait-il réellement si neurasthénique que ça ? Et ce " Tout cela durera bien autant que moi " qu'on lui met deux fois dans la bouche me laisse perplexe. Qu'en pensez-vous?
Monsieur de la Pérouse- Messages : 477
Date d'inscription : 31/01/2019
Localisation : Enfin à bon port !
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Louis XV m'a toujours fasciné. Pour moi, il était clairement profondément mélancolique, voire dépressif. Un mélange fascinant et déconcertant de volonté et de langueur, l'ombre et la lumière. Bel homme, racé et séducteur, brillant, il était timide et bloqué en public à tel point qu'il préférait qu'on s'adresse à lui par écrit. Il avait le défaut courant chez beaucoup de gens intelligents, il doutait et finissait même par céder alors qu'il avait raison. Jean-François Chiappe écrit dans sa biographie que "quand le Régent disait oui ou non, c'était oui ou non. Avec Louis XV, la porte restait toujours entrouverte pour un peut-être…" Et puis, cette sensualité impérieuse, ce goût des femmes, qu'il semblait incapable de maîtriser et qui le mettait en contradiction avec une foi sincère et en conflit avec sa famille. Une volonté sincère, les talents nécessaires mais aussi cette lassitude, cet abandon, évoqués par la fameuse phrase dont on n'est pas certain qu'il l'ait prononcée. Multiplex formis, difficile (voir impossible) à saisir.
Il est regrettable que sa fameuse "révolution royale", entamée à la fin de son règne, n'ait pu aller à son terme, cela aurait changé bien des choses.
Il est regrettable que sa fameuse "révolution royale", entamée à la fin de son règne, n'ait pu aller à son terme, cela aurait changé bien des choses.
Calonne- Messages : 1086
Date d'inscription : 01/01/2014
Age : 51
Localisation : Un manoir à la campagne
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Louis XV demanda au duc d’Ayen (depuis maréchal de Noailles) s’il avait envoyé sa vaisselle à la monnoye. Le duc répondit que non. Moi, dit le roi, j’ai envoyé la mienne. Ah, Sire ! dit M. d’Ayen, quand J. C. mourut le Vendredi Saint, il savait bien qu’il ressusciterait le Dimanche.
( Chamfort, Caractères et anecdotes )
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Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
La haine cordiale de Choiseul pour Louis XV
Portrait au vitriol du roi, par son ministre :
C'est un homme sans âme et sans esprit, aimant le mal comme les enfants aiment à faire souffrir les animaux, ayant tous les défauts de l'âme la plus vile et la moins éclairée, mais manquant de force, à l'âge où il était, pour faire éclater ses vices aussi souvent que la nature l'aurait porté à les montrer; par exemple il aurait comme Néron été enchanté de voir brûler Paris de Bellevue; mais il n'aurait pas eu le courage d'en donner l'ordre; le spectacle qui lui ferait le plus grand plaisir serait celui de voir les exécutions de la Grève, mais il n'a pas le courage d'y aller. Si l'on voulait lui faire le plaisir de rouer quelqu'un dans la petite cour de marbre de Versailles, je suis bien sûr qu'il quitterait le lit de sa maîtresse dans les moments où il paraît lui être le plus attaché, pour aller dans un coin de fenêtre être témoin avec détail de l'exécution .
Une partie du mauvais naturel que je viens de décrire vient du peu d'idées de ce prince, de la nullité de son âme qui ne peut être remuée que par des spectacles ou des faits qui font horreur nécessairement à la nature; mais son goût pour le mal vient aussi de sa méchanceté naturelle, qui le porte à faire souffrir quand il en trouve l'occasion, et qui ne le porte jamais à faire du bien quelque occasion qu'il en trouve; je ne crois pas que personne depuis sa naissance lui ait vu un mouvement de sentiment pour le bien.
Avec ce naturel, il est bien étonnant qu'il n'ait pas aimé la guerre, mais la frayeur pusillanime de la mort, qu'il marque de façon dégoûtante au plus petit accident qui lui arrive, est encore plus forte en lui que son goût pour la souffrance et la mort des autres.
Il ne pouvait pas souffrir son fils, qui le lui rendait bien et marquait trop ouvertement le mépris qu'il avait de son père ... etc ...
Alors là, les amis, asseyez-vous :
J'avais le projet, si le roi s'affaiblissait encore, de profiter de mon ascendant sur son esprit pour arranger les affaires intérieures de son royaume, le rendre florissant, et les peuples heureux et tranquilles, en proportion du crédit que je devais acquérir, et qu'il était en moi de ne l'employer qu'aux vues bienfaisantes du bonheur et de la tranquillité de l'Etat. En réussissant dans ce projet très possible, j'assurais le repos de la vieillesse du roi; je lui donnais une réputation de bonté, qui est celle qui me paraît la plus flatteuse pour un prince et qui était sûrement la seule que celui-ci pût acquérir; enfin, en mon particulier, je satisfaisait mon amour et mon ambition pour le bien et je partageais mon amour et mon ambition pour le bien et je partageais la reconnaissance de la bonté qu'aurait méritée le roi.
Monique Cottret,
Choiseul, l'obsession du pouvoir
C'est un homme sans âme et sans esprit, aimant le mal comme les enfants aiment à faire souffrir les animaux, ayant tous les défauts de l'âme la plus vile et la moins éclairée, mais manquant de force, à l'âge où il était, pour faire éclater ses vices aussi souvent que la nature l'aurait porté à les montrer; par exemple il aurait comme Néron été enchanté de voir brûler Paris de Bellevue; mais il n'aurait pas eu le courage d'en donner l'ordre; le spectacle qui lui ferait le plus grand plaisir serait celui de voir les exécutions de la Grève, mais il n'a pas le courage d'y aller. Si l'on voulait lui faire le plaisir de rouer quelqu'un dans la petite cour de marbre de Versailles, je suis bien sûr qu'il quitterait le lit de sa maîtresse dans les moments où il paraît lui être le plus attaché, pour aller dans un coin de fenêtre être témoin avec détail de l'exécution .
Une partie du mauvais naturel que je viens de décrire vient du peu d'idées de ce prince, de la nullité de son âme qui ne peut être remuée que par des spectacles ou des faits qui font horreur nécessairement à la nature; mais son goût pour le mal vient aussi de sa méchanceté naturelle, qui le porte à faire souffrir quand il en trouve l'occasion, et qui ne le porte jamais à faire du bien quelque occasion qu'il en trouve; je ne crois pas que personne depuis sa naissance lui ait vu un mouvement de sentiment pour le bien.
Avec ce naturel, il est bien étonnant qu'il n'ait pas aimé la guerre, mais la frayeur pusillanime de la mort, qu'il marque de façon dégoûtante au plus petit accident qui lui arrive, est encore plus forte en lui que son goût pour la souffrance et la mort des autres.
Il ne pouvait pas souffrir son fils, qui le lui rendait bien et marquait trop ouvertement le mépris qu'il avait de son père ... etc ...
Alors là, les amis, asseyez-vous :
J'avais le projet, si le roi s'affaiblissait encore, de profiter de mon ascendant sur son esprit pour arranger les affaires intérieures de son royaume, le rendre florissant, et les peuples heureux et tranquilles, en proportion du crédit que je devais acquérir, et qu'il était en moi de ne l'employer qu'aux vues bienfaisantes du bonheur et de la tranquillité de l'Etat. En réussissant dans ce projet très possible, j'assurais le repos de la vieillesse du roi; je lui donnais une réputation de bonté, qui est celle qui me paraît la plus flatteuse pour un prince et qui était sûrement la seule que celui-ci pût acquérir; enfin, en mon particulier, je satisfaisait mon amour et mon ambition pour le bien et je partageais mon amour et mon ambition pour le bien et je partageais la reconnaissance de la bonté qu'aurait méritée le roi.
Monique Cottret,
Choiseul, l'obsession du pouvoir
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Voici Loulou rhabillé pour l'hiver !
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 32
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
C'est un réquisitoire, un pamphlet ma parole !
Je veux bien croire que Louis XV n'était pas sans défauts criants, mais tout de même c'était un père excellent ( certes ses rapports avec son fils furent difficiles, leurs tempéraments étaient opposés et les goûts, guère mieux...), et contrairement à la mauvaise réputation du roi, il travaillait beaucoup, c'était un homme de cabinet, un roi paperassier, ses historiens Michel Antoine et Bernard Hours l'ont démontré avec brio. C'était aussi un passionné de sciences et d'architecture.
A son passif, en effet, un manque de volonté dans le maintien de ses décisions, une sensualité exacerbée que l'âge ne canalisa pas, sans doute aussi un manque d'imagination, de créativité, d'innovation dans un siècle qui en réclamait tant, mais non je ne puis croire que ce fut un homme sans sensibilité.
Je veux bien croire que Louis XV n'était pas sans défauts criants, mais tout de même c'était un père excellent ( certes ses rapports avec son fils furent difficiles, leurs tempéraments étaient opposés et les goûts, guère mieux...), et contrairement à la mauvaise réputation du roi, il travaillait beaucoup, c'était un homme de cabinet, un roi paperassier, ses historiens Michel Antoine et Bernard Hours l'ont démontré avec brio. C'était aussi un passionné de sciences et d'architecture.
A son passif, en effet, un manque de volonté dans le maintien de ses décisions, une sensualité exacerbée que l'âge ne canalisa pas, sans doute aussi un manque d'imagination, de créativité, d'innovation dans un siècle qui en réclamait tant, mais non je ne puis croire que ce fut un homme sans sensibilité.
Dominique Poulin- Messages : 6901
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
LES PHOTOS DE LOUIS XV
... ou l'art de la traduction de Google :
Having been scornful on his first visit to Versailles in 1739 (calling it 'a lumber of littleness'), after presentation to Louis XV in 1765, Walpole wrote, like Philip Thicknesse: 'The King is still much handsomer than his pictures and has great sweetness in his countenance.'
Après avoir été méprisant lors de sa première visite à Versailles en 1739 (l'appelant 'un bric-à-brac de petitesse'), après présentation à Louis XV en 1765, Walpole écrivit, comme Philip Thicknesse : 'Le Roi est encore beaucoup plus beau que ses photos et a de grands douceur dans son visage'.
https://journals.openedition.org/crcv/18708?lang=en
... ou l'art de la traduction de Google :
Having been scornful on his first visit to Versailles in 1739 (calling it 'a lumber of littleness'), after presentation to Louis XV in 1765, Walpole wrote, like Philip Thicknesse: 'The King is still much handsomer than his pictures and has great sweetness in his countenance.'
Après avoir été méprisant lors de sa première visite à Versailles en 1739 (l'appelant 'un bric-à-brac de petitesse'), après présentation à Louis XV en 1765, Walpole écrivit, comme Philip Thicknesse : 'Le Roi est encore beaucoup plus beau que ses photos et a de grands douceur dans son visage'.
https://journals.openedition.org/crcv/18708?lang=en
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Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Il est temps de rétablir la vérité historique, toute la vérité : la chambre obscure existait bien sous Louis XV. Donc, la photo aussi. N. Niepce a été anobli par le Roi.
Une célèbre photographe, sous le règne suivant, a produit de superbes clichés, en particulier de la famille royale. Elle s’appelait V. Lebrun . Elle vécu très âgée, et a même travaillé pour le studio Harcourt. Ci - dessous, un rare cliché pris par elle :
Une célèbre photographe, sous le règne suivant, a produit de superbes clichés, en particulier de la famille royale. Elle s’appelait V. Lebrun . Elle vécu très âgée, et a même travaillé pour le studio Harcourt. Ci - dessous, un rare cliché pris par elle :
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Vicq d Azir a écrit: Elle vécu très âgée, et a même travaillé pour le studio Harcourt.
Tu ris ?!!
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Oui, il faut bien rire un peu. Ça réchauffe…
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Mme de Sabran- Messages : 55156
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Mme de Sabran a écrit:Vicq d Azir a écrit: Elle vécu très âgée, et a même travaillé pour le studio Harcourt.
Tu ris ?!!
Gouverneur Morris- Messages : 11596
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
Ce portrait sera présenté lors de la très attendue exposition de cet automne :
Exposition, château de Versailles - Louis XV, goûts et passions d'un roi
Retrouverez-vous le portrait caché de Louis XV parmi ces figures de la Magnanimité, la Justice, la Valeur militaire, l'Intrépidité, Minerve, la Générosité, et d'Hercule ?
Portrait allégorique de Louis XV
Charles-Amédée-Philippe Van Loo
Huile sur toile, 1762. Salon de 1763
Image : RMN-GP (Château de Versailles)
Alors ? Où le roi se cachait-il ? La solution de l'énigme est ici :
Exposition, château de Versailles - Louis XV, goûts et passions d'un roi
Retrouverez-vous le portrait caché de Louis XV parmi ces figures de la Magnanimité, la Justice, la Valeur militaire, l'Intrépidité, Minerve, la Générosité, et d'Hercule ?
Portrait allégorique de Louis XV
Charles-Amédée-Philippe Van Loo
Huile sur toile, 1762. Salon de 1763
Image : RMN-GP (Château de Versailles)
Alors ? Où le roi se cachait-il ? La solution de l'énigme est ici :
- Spoiler:
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le roi Louis XV, dit le Bien-Aimé
A l'occasion de l'exposition, Louis XV, goûts et passions d'un roi, qui débutera ce mardi 18 octobre au château de Versailles, vous retrouverez en ligne un petit dossier biographique plutôt bien fait :
A consulter, ici : Château de Versailles - Louis XV, un goût prononcé pour les Sciences
La nuit, la neige- Messages : 18008
Date d'inscription : 21/12/2013
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