Portraits de Marie-Antoinette : les gravures, estampes, mezzotintes, aquatintes etc.

Marie Antoinette dans sa superbe crinoline ...

Certes, le décolleté est très XIXème...mais la jupe ne comporte pas de baleine de crinoline: elle reste souple

Bien à vous.

Gravure anglaise qui caricature l'ampleur de la coiffure emplumée de Marie-Antoinette :

Quelqu'un connaissait-il déjà cette estampe représentant Marie-Antoinette ?
Quant à moi, je la découvre.
Je trouve le mélange entre portrait officiel et robe frivole assez amusant :



Un jour quelqu'un m'a fait la remarque qu'il faut plutôt parler d'estampes que de gravures.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Estampe

Je la découvre également...
Cette tenue est en effet plus amusante que véritablement élégante : 

Bien à vous.

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Voici un portrait ravissant extrait de Pierre de Nolhac, Marie-Antoinette Dauphine .  

gravure anglaise trouvée hier après-midi - La Reine est présentée en Majesté

MARIE ANTOINETTE


ps dès réception de la gravure, je prendrai
un meilleur cliché en la sortant du cadre

Gravure représentant Marie-Antoinette:



Bien à vous.

Joli ! boudoi30

Mon achat sur EBAY d'hier soir  - un portrait en couleurs  - j'ai aussi le Roi en pendant , mais il restera dans un carton.
Superbe allure et papier d'époque, je le l'avais jamais rencontré, pour un prix fort modeste pour les deux..

MARIE ANTOINETTE

Je les ai vus aussi sur eBay, mais je me disais bien que ça intéresserait notre MARIE-ANTOINETTE donc je les ai laissés là, pour le grand bonheur de mon compte bancaire

Un joli profil, gravé d'après je ne sais quel portrait original...

Quelle finesse ! Nous voyons chacun de ses cheveux !
Merci, cher la nuit, la neige .

Ça   C'est absolument magnifique ! 

Voici une gravure qui date de 1797 :



Bien à vous.

Pas trop mal pour une gravure posthume boudoi32 boudoi32 boudoi32

Je présume que tu entends par là qu'on ne L'a pas drapée d'une aura de martyre dont on abusera au XIXème...


Bien à vous.

Voilà
Elle est bien au naturel, comme pendant ses beaux jours

Estampe représentant Marie-Antoinette, à mi-corps, de profil à droite, dans un cadre rectangulaire décoré à sa base d'un cartouche fleurdelisé et d'une guirlande de chêne, au sommet d'un losange en largeur :



Bien à vous.

Une gravure aquarellée d’époque, assez peu connue je pense. (15 cm.sur 10 environ.)
L’ovale à été découpé. On ne peut donc pas connaître le nom du graveur :

Je retrouve la reproduction, en noir et blanc d’une gravure similaire.
On notera que, sur la précédente, la Reine est représentée avec tous les attributs de sa fonction, alors que sur celle-ci, elle est représentée en comédienne...

Vicq d Azir a écrit:
On notera que, sur la précédente, la Reine est représentée avec tous les attributs de sa fonction, alors que sur celle-ci, elle est représentée en comédienne...

C'est une légende fantaisiste : les attributs ne sont-ils pas les mêmes ?

Oui, sans doute une mauvaise attribution...
Il faut dire que sur certaines gravures, avec son nez en bec et ses plumes sur sa tête, Marie-Antoinette évoque un peu ( pardonnez-moi ...) une poule dans sa basse-cour...
Un illustrateur de talent avait exposé dans une galerie du 3e arrondissement, il y a 2 où 3 ans, toute une série de gouaches sur ce thème : les femmes- poules du 18ème avec leurs poufs et leurs plumes. C’était assez bien vu ...

Nooooon ! Pas vous cher Vicq d'Azir ! Ne vous faîtes pas l'écho des pamphlets abjectes sur la "poule d'Autriche".

N’ayez crainte, chère Marie-Jeanne, je fréquente la Reine depuis trop longtemps pour tomber dans ce travers...
Mais certaines gravures, peu fidèles il est vrai dans leur ressemblance, et qui n’étaient pourtant pas des caricatures, m’amusent ...
Je crois qu’il ne faut pas avoir peur de montrer aussi les excès de cette époque. Je verrais bien un chapitre sur les pamphlets et les caricatures ( s’il n’existe déjà ), car il y a eu d’une part l’ironie facile et pas très méchante, mais aussi, d’autre part, et vous avez raison, les charges violentes et haineuses. Vous rappelez, entre autre, cette gravure sur la « poule d’autru/iche » datant de la révolution, et qui était une allusion directe aux origines de la Reine, ainsi qu’à son rejet supposé du nouvel ordre ( elle ne pouvait bien sûr pas digérer la constitution...)


« Je digère l’or, l’argent avec facilité, mais la Constitution, je ne puis l’avaler »