Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord

Si, ma chère amie Mais mon amour pour Charles Maurice ne date pas du primaire ....

Soupirez ma chère Clio, soupirez donc ... : boudoi30 boudoi30 boudoi30 Au diable les esprits boîteux ! :

: Elle est si belle......

Cet élève ne cesse de m'étonner : je l'attrape descendre dans la cour avec Le Malade imaginaire ! Neuf ans ! Il m'a dit qu'il venait d'achever Don Juan...

On en rencontre quelques uns dans sa carrière , c'est un grand plaisir .

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Madame de Créquy va se fâcher avec notre Clio ! :

La bave du crapaud n'atteint pas mon bel amour ( je n'ose pas "la blanche colombe" lol )....

CLIOXVIII a écrit: ( je n'ose pas "la blanche colombe" lol )....

... :

C'est au Louvre que le Gouverneur Morris avait rencontré pour la première fois, l'abbé de Talleyrand transformé en évêque d'Autun ; et c'est là, chez les Flahaut qu'il eut l'occasion, fréquemment, de le revoir dînant, causant, galantisant. ( j'aime bien ! galantisant : )

(Frédéric Loliée / Le duc de Morny / Emile-Paul)

Un jour, Gouverneur Morris, agent des nouveaux Etats-Unis à Paris, venu rendre visite à la jeune femme (Adélaïde de Flahaut), l'avait surprise en train de prendre un bain de pieds, tandis qu'un "homme d'Eglise" (Talleyrand, abbé de Périgord) se trouvait occupé à une "pieuse opération" : il bassinait le lit de la maîtresse de maison.

(Castelot / Napoléon 3 / Perrin)

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Galantisant, chaffriolant :;\':;\':; :;\':;\':; :;\':;\':;
Talleyrand fréquentait beaucoup chez les Flahaut.....

...   car Morris et lui ( entre autres : ) se disputaient Mme de Flahaut ...  

Oui, plus tard mais Charles est certainement de Talleyrand.

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... mais-ce-la-ne-nous-re-gar-de-pas  ...    

Éléonore ! Tu es trop célèbre pour jouer les inconnus : 

Bien à toi 3196910

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Je constate avec une satisfaction toujours renouvelée, cher Majesté, que nous avons les mêmes références culturelles !

La liaison de Talleyrand avec la comtesse de Flahaut était un secret de polichinelle. La comtesse avait épousé un homme bien plus âgé qu'elle et leur couple était comme beaucoup de ceux de l'époque dans la noblesse, de raison plus qu'autre chose. Il finira sous la hache (ou plutôt le couperet) révolutionnaire pour le comte de Flahaut. Sa belle épouse émigrera et retombera sur ses pieds en devenant avec succès romancière, puis elle épousera vers 1802 un diplomate portugais, le marquis de Souza.
Petit retour en arrière : la comtesse avait donné naissance à un fils qui était de toute évidence celui de ce cher Talleyrand, bien que le comte de Flahaut ait accueilli ce bambin dans son foyer sans rien dire. A cette époque, le couple Flahaut vivait dans un grand appartement au Louvre. La belle comtesse fût également du plus grand tendre avec Gouverneur Morris, ambassadeur d'Amérique à Paris.
Ce fils dont Talleyrand fût sans doute le père aura plus tard à son tour un fils avec la future reine Hortense, le duc de Morny, demi-frère de Napoléon III.

Inimitable Talleyrand ! Ne lui attribue-t-on pas également la paternité du peintre Eugène Delacroix ? Le père officiel de ce dernier, ministre des Relations Extérieures en 1795, était atteint depuis 14 ans d'une volumineuse tumeur testiculaire. Il se fît remplacer en 1797 par Talleyrand afin de subir avec succès (et sans anesthésie...) l'ablation de sa tumeur. Or, Eugène Delacroix naît sept mois plus tard...
En fait, on ne sait. Certains médecins ont affirmé que la tumeur du malheureux papa officiel n'empêchait pas la procréation pour autant. Mais il est certain que Talleyrand était très proche du couple Delacroix et plus tard, il sera un protecteur et mécène du peintre, facilitant l'achat de la toile Les massacres de Scio pour 6000 francs. Morny, petit-fils adultérin de Talleyrand favorisera énormément le peintre sous le Second Empire également, aux dépends de Winterhalter que préférait Napoléon III. Sans oublier la protection de Thiers, ancien proche de Talleyrand et qui obtiendra pour Eugène Delacroix de nombreuses commandes officielles.
Talleyrand veillait-il, de loin, sur celui qui passait pour son fils naturel ? Possible, pas certain.

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Moi, je pardonne toutes ces péripéties amoureuses à Talleyrand parce que c'était bien avant Clio ... :

: :c^ùù!!:
Et nous sommes restés très bon amis après la rupture , ce qui arrivait avec toutes ses ex : quel diplomate !

Bravo !

Dans la spirale infernale des renversements de régimes, Talleyrand ne perd pas la tête ( sauf pour Dorothée et Clio : ) .

On dirait le synopsis du Diable Boiteux de Sacha Guitry :


Bien à vous.

Je suis lucide.....et c'est l'homme du XVIII qui me fascine le plus.

CLIOXVIII a écrit:Je suis lucide.....et c'est l'homme du XVIII qui me fascine le plus.

 Lucide Clio ? ... : ... et le pouce ... : ! Je le connais votre fantasme Talleyrand !  :  ...Allez ! à d'autres clio !  :

: : : :

Comtesse Diane a écrit:

CLIOXVIII a écrit:Je suis lucide.....et c'est l'homme du XVIII qui me fascine le plus.

 Lucide Clio ? ... : ...

Lucide Beausonge ?

Vendez-moi, une île déserte ...