Le mariage forcé, ou l’humiliation de Marie-Antoinette, de Jean-Pierre Fiquet

Les Girault de Coursac avaient déjà démontré que madame de Polignac était un instrument de Maurepas puis de Louis XVI afin de neutraliser Marie-Antoinette.
Jean-Pierre Fiquet ne fait que confirmer cette idée que vous renforcez cher Roi-Cavalerie.

Je pense à mon avis qu'on ne pouvait prévoir l'engouement, le coup de foudre si l'on veut de Marie-Antoinette envers la comtesse Jules.
Ces choses-là ne se commandent pas.
Penser qu'une dame aussi jolie, douce, agréable, aimant la musique avait des chances de lui plaire, d'accord. Mais pas qu'elle prendrait autant de place dans le coeur de Marie-Antoinette. Là, j'avoue je ne vois pas comment on pourrait anticiper un tel sentiment.
A moins que Marie-Antoinette fut très prévisible...
Ensuite, oui, une fois que Maurepas et/ou Louis XVI directement ou indirectement, se rendent compte que "ça marche" entre les deux, ils peuvent dès lors faciliter les rencontres, l'installation à la cour, etc.

Chère Reinette

Je suis d'accord avec vous. Maurepas, au vu de ce qu'il connaissait de sa nièce et de la reine ( notamment peut-être de son engouement encore un peu adolescent pour certaines des jeunes femmes de sa compagnie) a dû  tenter la manœuvre sans être sûr du résultat. Il se trouve que l'alchimie a fonctionné.

Amicalement. Roi-cavalerie

Roi-cavalerie a écrit:
Maintenant, si au vu de ce que vous savez sur les moeurs de l'époque, l'ambiance de la cour, la complexité de cette société, vous voulez continuer à penser que la rencontre de la reine avec la comtesse Jules de Polignac a été le fruit du hasard, libre à vous, mais il me semble que vous faites alors preuve d'une certaine naiveté.

En tous cas, voilà une thèse qui ouvre de nouvelles perspectives . Mais le manque de sources me laisse sur la réserve .
Naïveté ? C'est bien possible . Je suis un peu sujette à l'angélisme parfois ...
Quoi qu'il en soit, Maurepas fit nommer Turgot aux finances, Malesherbes, à la Maison du Roi et Vergennes, aux Affaires étrangères. Ce n'était pas une mauvaise pioche ! :\\\\\\\\:

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Reinette a écrit:

Je pense à mon avis qu'on ne pouvait prévoir l'engouement, le coup de foudre si l'on veut de Marie-Antoinette envers la comtesse Jules.
Ces choses-là ne se commandent pas.
Penser qu'une dame aussi jolie, douce, agréable, aimant la musique avait des chances de lui plaire, d'accord. Mais pas qu'elle prendrait autant de place dans le coeur de Marie-Antoinette. Là, j'avoue je ne vois pas comment on pourrait anticiper un tel sentiment.

... sauf à connaître à Marie-Antoinette des moeurs saphiques ( supposition claire et nette de Jean-Pierre Fiquet ) .

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Oui mais même dans ce cas, on ne peut pas supposer d'avance qu'elle puisse en tomber amoureuse.

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C'est juste .

Dommage... J'ai réunion avec les parents d'élèves.