Le Salon du Livre 2016 du XVIème arrondissement

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Le Salon du Livre du 16ème arrondissement a eu lieu samedi, le 3 décembre de 14h30  à 18h00 .    :n,,;::::!!!:  :n,,;::::!!!:  :n,,;::::!!!:
  Roman / Fiction / Essai / Actualité politique / Histoire / Biographie / Récit / Triller / Polar / Jeunesse / BD  ...   Il rassemblait quelque 96 auteurs, parmi lesquels au hasard, Inès de Kertanguy,  Jean-Paul Desprat, Jean Tulard,  Nicolas Mietton ... pour une séance de dédicaces .  

Et puis, au programme deux conférences :
-  Enquête et témoignage sur la maladie de Lyme, Sophie Benarrosh
-  Dans la Main droite de Dieu, psychanalyse du fanatisme :  Gérard Haddad .   Comment devient-on fanatique ?   A quelles sources psychologiques s'abreuve la jouissance de celui qui croit détenir, seul, le Vérité ?

Coup d'oeil sur la salle avant l'arrivée du public  ( et l'installation des auteurs )

       


Madame de Polignac, Marie-Antoinette et moi  ( si j'ose dire  :  )  étions placées dans la travée du milieu et je voisinais pour mon plus grand plaisir avec Nicolas Mietton pour son livre Une Histoire érotique de la Diplomatie  ( de Louis XIV  jusqu'à nos jours ) .    Nous n'avons pas arrêté de papoter et bien rire tout l'après-midi.   J'étais dos à dos avec Mme Laure Hillerin  ( La comtesse Greffulhe, l'ombre des Guermantes )  ce qui ne nous a pas empêchées de sympathiser et deviser à bâtons rompus sur sa Duchesse de Berry et ses entours familiaux .   Bref, j'étais ravie !  

Pour mon petit Lulu, les armoiries du 16ème :

     

  Coupé : au 1er, de gueules, au château de la Muette d'argent, ajouré du champ, accompagné en chef d'une fleur de lis d'or accostée de deux croisettes du même, parti d'argent, à trois chevaux galopant de sable, bridés et sellés d'or ; au 2e, d'azur, à trois arbres arrachés d'or.


Le premier quartier de ces armoiries rappelle l'histoire de Passy et d'Auteuil anciens :

Le Château de la Muette en occupe la place principale en raison des souvenirs qui s'y rattachent : à l'origine simple pavillon de chasse, il fut transformé au XVIe siècle par Philibert Delorme. Charles IX y avait ses chenils ; on y mettait également, dans des abris spéciaux ou muettes, les faucons lorsqu'ils étaient en mue ; d'où les noms de Meute et de Muette que porta cette maison royale. Propriété de Marguerite de Valois, première femme de Henri IV, le château de la Muette fut légué par cette princesse à Louis XIII. Le Régent le fit restaurer et le donna à sa fille à l'occasion du mariage de celle-ci avec le duc de Berry. Enfin, Louis XV en fit sa résidence favorite.
Madame de Polignac y tint la Cour de Monseigneur le Dauphin .
De là s'envolèrent, sous la houlette de la duchesse, Pilâtre et d'Arlandes dans la montgolfière bleue fleurdelysée, le 21 novembre 1783 .
La fleur de lis surmontant le château est tirée des armes des abbés de Sainte-Geneviève qui furent les seigneurs d'Auteuil de 1162 à 1790.

Le deuxième quartier de l'écu évoque Auteuil moderne, son hippodrome et celui de Lonchamp.
Le troisième quartier figure l'ancienne forêt de Rouvroye devenue le Bois de Boulogne  
http://www.mairie16.paris.fr/mairie16/jsp/site/Portal.jsp?page_id=62


 


Nous fûmes conviés, à l'issue du Salon, à déguster champagne et mignardises ...  
Il y avait foule !


 

C'est drôle dans une autre vie j'avais Inès de kertanguy comme cliente. A-t-elle toujours sont cocker sage comme une image ?

Ah oui ? Je n'ai pas vu de petit chien ...

Mme de Sabran a écrit:Madame de Polignac, Marie-Antoinette et moi  ( si j'ose dire  :  )  étions placées dans la travée du milieu et je voisinais pour mon plus grand plaisir avec Nicolas Mietton pour son livre Une Histoire érotique de la Diplomatie  ( de Louis XIV  jusqu'à nos jours ) .    Nous n'avons pas arrêté de papoter et bien rire tout l'après-midi.   J'étais dos à dos avec Mme Laure Hillerin  ( La comtesse Greffulhe, l'ombre des Guermantes )  ce qui ne nous a pas empêchées de sympathiser et deviser à bâtons rompus sur sa Duchesse de Berry et ses entours familiaux .   Bref, j'étais ravie !  

Tu oublies Fiona Gélin à ta gauche :

Oui, et je ne t'ai pas embrassé, mon cher Momo, pour cause de mauvais rhume qui traîne ( encore ) ... smiley12

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Je vois que tu aimes vivre dangereusement !

C'est l'essence même de Gouverneur :

Ce fut une escapade parisienne d'autant plus sympathique que j'en ai profité pour retourner voir ce joli Musée Marmottan .  
L'exposition exceptionnelle Hodler, Monet, Munch ne m'a pas emballée plus que ça ,  bof, bof,  mais les collections permanentes si .  

Deux très grands tableaux notamment représentent les résidences d'été de Marie-Thérèse, en dehors de Vienne,  Schönbrunn et Laxenbourg .  
ou du moins, à Laxenbourg, le Franzensburg néo-médiéval de François II.

Et zut !   ... pas de photos .  

Mme de Sabran a écrit:
Madame de Polignac, Marie-Antoinette et moi  ( si j'ose dire  :  )  étions placées dans la travée du milieu et je voisinais pour mon plus grand plaisir avec Nicolas Mietton pour son livre Une Histoire érotique de la Diplomatie  ( de Louis XIV  jusqu'à nos jours ) .  

 Oui, j'ai vu ce livre en librairie. Je n'ai pas eu le temps de le feuilleter...
Ma foi...pourquoi pas ?!  

Mme de Sabran a écrit:Pour mon petit Lulu, les armoiries du 16ème :

Eh bien, j'ignorais que le 16eme arrondissement avait ses propres armoiries.
Ils sont trèèèèès chics, dans le 16ème... :

En tous les cas, encore félicitations pour cette nouvelle séance de rencontre des lecteurs.  :\\\\\\\\:

Mme de Sabran a écrit:Ce fut une escapade parisienne d'autant plus sympathique que j'en ai profité pour retourner voir ce joli Musée Marmottan .  

Après avoir ramé pour arriver jusqu'à la mairie du XVIème, c'eut été bête de renoncer si près du but :

Tu y as fait un petit tour aussi ?

Non mais une amie m'a fait remarquer hier qu'étant allé jusque là, j'aurai dû pousser un peu plus loin pour voir l'expo

Avec Hodler et Munch, franchement tu n'as pas perdu grand chose ...

Munch j'aime bien.

J'aime bien aussi ses premières oeuvres, mais après je décroche ...

Mme de Sabran a écrit:J'aime bien aussi ses premières  oeuvres, mais après je décroche ...

Quant à moi, je n'ai jamais ... accroché !