Notre Jeu du Printemps !

Les cheveux ?

Dominique Poulin a écrit:    

Comtesse Diane a écrit:Ils ne se lavent pas les fesses ?

Je compte déja Diane parmi les gagnants !

Ni Lotus ni Moltonel, ils n'utilisent rien de rien ?

( dans la circonstance très particulière en prévision de laquelle les gens se ruent dans les supermarchés, ces jours-ci )

Pas de bidet pour eux !


La Toilette Intime, par Boilly

C'était déjà la crise du papier peint !

Mr de Talaru a écrit:C'était déjà la crise du papier peint !

Normal, avec Réveillon mis à sac !!!

Qui pose une énigme ?

La dernière n'a pas encore été trouvée, François !
Mais où est donc passé notre Dominique ?!

Une petite énigme tirée de mon Journal des dames et des modes de 1827 :

... la fortune ?

Non, quelque chose qui nous manque cruellement aujourd'hui

... la Foi ?

la chance ?

... l'espérance ?

Ouiiiiiiii l'espérance

Jolie énigme, et d'actualité, mon cher Félix .

Mille fois désolé, j'ai été très très occupé ces derniers jours.  
En fait vous avez tous touché au but, c'est Diane qui a flairé si je puis dire le pot aux roses qui en la circonstance pour cette énigme n'est pas de rose...  

Je reprends donc en guise de réponse un extrait de la biographie que j'avais consacrée à l'épouse de Ferdinand de Parme et publiée ici sous le titre " Les sœurs méconnues de Marie-antoinette " :

- Le 19 juillet 1769, le duc de Parme s'était marié avec l'archiduchesse d'Autriche, Marie-Amelie :

" .... les premières relations conjugales des jeunes mariés ne se présentèrent pas au mieux... Ce hiatus imprévu ne fut un secret pour personne en Italie et remonta bien vite à la Cour de France.

Dès le 14 août 1769, Louis XV écrivait à son petit-fils :
" Vous me parlez dans votre lettre du 29 juillet de la santé de votre femme qui est très bonne et bien remise de la fatigue de son voyage, mais vous ne me dites pas si ses règles sont passées et si elle est pleinement votre femme, car il y a même à Colorno des médisants ou des mécréants qui prétendent que vous en êtes au même point qu'au premier jour. "

Le ton du roi de France passe du questionnement à l'inquiétude le 28 août :
" Qu'est ce que c'est que ce mal au sein de votre femme, a t-elle beaucoup de gorge, car on la dit maigre dit-on et la trouvez vous jolie ? Il me semble que ce petit mal ne devrez pas empêcher le reste. Pareille chose n'est arrivée qu'à vous, et beaucoup trop, dont bien je me fâche. A qui la faute, si la consommation n'est pas tout à fait faite ? N'auriez vous pas besoin d'une petite opération ? "

Enfin, peu à peu, le grand-père de Ferdinand est informé du bat qui blesse. Ainsi s'exprime t-il le 25 septembre :
- Votre chirurgien qu'on dit bon a t-il vu votre mal au gland qui ne peut être venu parce que votre prépuce est trop long et à peine à se détacher ? "

Un mois plus tard, Louis XV fait part de son soulagement à son petit-fils :
" Je suis très aise que votre partie generative aille mieux et que vous vous êtes amusés de votre mieux. "

Dans l'intervalle, que s'est il passé quant à l'anatomie du jeune duc de Parme ? La " partie generative du prince ne souffrait en fait d'aucune déficience ou d'un phimosis, mais d'un problème d'hygiène !!!  

A cet effet, le chirurgien Camati constata " un anneau de matière endurcie " autour du gland de son altesse...    Des bains locaux réguliers debarrasserent Ferdinand de sa saleté et le contraignent à une propreté intime plus régulière.
Toujours est-il qu'au cœur de l'automne 1769, tout rentra dans l'ordre.

Deux ans plus tard, une jeune princesse piémontaise, Marie-Josephine de Savoie, venue à la Cour de France, épouser le comte de Provence, provoqua elle aussi un scénario diplomatique similaire à celui de Ferdinand de Parme. "

Dominique Poulin a écrit:

Deux ans plus tard, une jeune princesse piémontaise, Marie-Josephine de Savoie, venue à la Cour de France, épouser le comte de Provence, provoqua elle aussi un scénario diplomatique similaire à celui de Ferdinand de Parme. "

Je ne comprends pas comment il pouvait se passer un scénario similaire pour Marie-Joséphine, Domi ?    
Même si elle était affreusement sale, cela n'empêchait pas ...   ( beurk ! )

Incroyable que Louis XV se soit tant investi dans la vie sexuelle de son petit-fils aîné (et donc favori), lui qui semble s'être soucié comme d'une guigne des déboires matrimoniaux de l'autre, pourtant son héritier !

Merci Domi

Je ne crois pas, cher Momo, que Louis XV ne se soit pas soucié des problèmes de Louis-Auguste.   Il s'en étonne, s'en inquiète, le fait examiner par ses médecins tout de même .

Dominique Poulin a écrit:
En fait vous avez tous touché au but, c'est Diane qui a flairé si je puis dire le pot aux roses qui en la circonstance pour cette énigme n'est pas de rose...  

   ...   (  )

Comtesse Diane, à vous la main !!!  

Mme de Sabran a écrit:

Comtesse Diane, à vous la main !!!  

S'il faut attendre la comtesse Diane ...

En attendant, je lance une nouvelle énigme

Qui est monsieur Ragon, dans quelle oeuvre nous le trouvons et quel est le rapport avec Marie-Antoinette ?

Rignon, je comprendrais, mais Ragon me laisse bien perplexe ...