Pendules et horloges de Marie-Antoinette
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LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Le patrimoine de Marie-Antoinette :: Le mobilier et les arts décoratifs
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Pendules et horloges de Marie-Antoinette
( Merci d'avoir déplacé ce sujet ici, car j'avais fait une erreur de parcours...)
Pour continuer, si vous en êtes d'accord, la présentation des pendules et montres de la Reine, voici celle qu'elle commanda pour St Cloud. Elle est d'inspiration très antique. On dit qu' elle l'apporta aux Tuileries pendant la révolution. ( Musée des Arts Décoratifs.)
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Sujet créé ici pour les pendules et horloges.
Les montres restent, avec les bijoux, dans la section : « Patrimoine de Marie-Antoinette / Objets et reliques. »
Merci d’avoir ouvert ce sujet ! Je vous aiderai à le compléter.
J’aime beaucoup les pendules et les horloges...
Les montres restent, avec les bijoux, dans la section : « Patrimoine de Marie-Antoinette / Objets et reliques. »
Merci d’avoir ouvert ce sujet ! Je vous aiderai à le compléter.
J’aime beaucoup les pendules et les horloges...
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Vicq d Azir a écrit:voici celle qu'elle commanda pour St Cloud. Elle est d'inspiration très antique. On dit qu' elle l'apporta aux Tuileries pendant la révolution. ( Musée des Arts Décoratifs.)
Le site du Musée des Arts décoratifs présente en effet cette pendule comme ceci :
Pendule « Vestales portant sur un brancard l’autel du feu sacré »
Cette pendule fut livrée en 1788 à la reine Marie-Antoinette et figura dans la salle de bains de son appartement, au château des Tuileries. Le dessin des bronzes ainsi que la composition de l’ensemble reviennent à Jean-Démosthène Dugourc, dessinateur du garde-meuble de la Couronne à partir de 1782. Le thème des vestales en marche lui a sans doute été inspiré par une gravure d’Hubert Robert, tirée du Recueil des Griffonis, publié en 1771-1773. Le sculpteur Louis-Simon Boizot en a probablement dessiné le modèle et le bronzier Pierre-Philippe Thomire fut chargé de leur exécution.
Voir ici : http://www.lesartsdecoratifs.fr/francais/arts-decoratifs/collections-26/parcours-27/chronologique/xviie-siecle-xviiie-siecle/les-salles-304/vers-le-gout-etrusque/pendule-vestales-portant-sur-un
Cependant, dans le catalogue de l’exposition « Marie-Antoinette » au Grand Palais, cette pendule aurait été livrée pour la chambre de la reine à Saint-Cloud (?).
Je cite :
Cette pendule au sujet antique empreint d’une certaine mélancolie figure en 1793 dans l’inventaire des pendules de la reine, sous le numéro 43 :
Une pendule composée d’un socle de marbre bleu turquin orné de bas-relief de porcelaine sur lequel sont deux vestales qui porte le feu sacré au temple sur un brancard dans la drapperie duquel est un mouvement à sonnerie du nom de Robin - St Cloud. à vendre aux étrangers.
(...)
Si l’on en croit l’inventaire de ses pendules, Marie-Antoinette ne possédait qu’un exemplaire de ce modèle ; toutefois, une autre pendule (Washington, Corcoran Gallery) porte une inscription « Thuilerie Boudoir reyne » et la signature « Thomire 1789 ».
La reine aurait-elle acquis cet exemplaire pendant son séjour aux Tuileries, privée de celui qu’elle admirait à Saint-Cloud ?
Ci après, les photos que j’avais compilées comme supposées être celles de la pendule des Tuileries :
Voir aussi la fiche wiki sur Thomire avec la photo de cette pendule, ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Philippe_Thomire
Bon...
La note du site des Arts décoratifs précise toutefois :
Le modèle connut un grand succès jusqu’au milieu du XIXe siècle. À ce jour, seize exemplaires sont connus qui présentent des variantes dans le choix des matériaux : plaque de bronze doré ou de porcelaine, autel en porcelaine ou en bronze, figures de vestales en bronze patiné ou doré.
Par exemple celle-ci, conservée au Musée National des Arts décoratifs de Madrid, et ayant probablement appartenu au roi Charles IV d’Espagne :
Un autre modèle, plus simple, toujours vendu par le marchand Daguerre, a également était reproduit au XIXè siècle à une dizaine d’exemplaires connus à ce jour :
C’est ce qui est expliqué dans cet autre intéressant article, qui revient sur cette histoire de seconde pendule commandée par la reine : http://journal.hautehorlogerie.org/fr/article/pendule-aux-vestales-du-musee-national-des-arts-decoratifs-de-madrid/
Un exemplaire presque identique appartient à la Collection Corcoran de Washington. On pense qu’elle a également appartenu à Marie-Antoinette.
Signée par Robín, elle comporte sur l’avant du socle de marbre une plaque rectangulaire de porcelaine avec le même motif végétal de rameaux et de brûle-parfum flanqué de décorations rocaille. Les figures latérales de l’astronomie et de la géométrie, au lieu d’être en porcelaine de style Wedgwood, sont des plaques réalisées en bronze doré et inversées par rapport à celles de la pendule du Musée des Arts Décoratifs de Paris.
Il est possible que ce détail soit dû à une restauration postérieure suite à la perte des plaques originales car le sens des figures est inversé.
On connaît trois autres pièces antiques ornées de plaques de Sèvres, une signée par Raguet-Lepine de la Collection Dalva Brothers de New York et deux de l’horloger Godon, réalisées pour la Duchesse de Saxe-Teschen, sœur de Marie-Antoinette, et celle pour le roi d’Espagne ici décrite.
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
La nuit, la neige a écrit:
Le modèle connut un grand succès jusqu’au milieu du XIXe siècle. À ce jour, seize exemplaires sont connus qui présentent des variantes dans le choix des matériaux : plaque de bronze doré ou de porcelaine, autel en porcelaine ou en bronze, figures de vestales en bronze patiné ou doré.
Merci, cher ami, pour cet intéressant exposé .
Le grand succès de cette pendule s'explique, outre par la beauté et la préciosité de l'objet, par le sentiment de privilège de posséder la même pendule que Marie-Antoinette !
.
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Une autre célèbre pendule est source d’interrogations, mais souvent encore décrite dans l’inventaire des objets précieux de la reine.
Il s’agit de celle « à tête d’africaine », réalisée en 1784 par Furet et Godon, conservée aujourd’hui chez des particuliers.
celle-ci était présentée à l'exposition "Marie-Antoinette", au Grand Palais, en 2008, et décrite ainsi dans le catalogue d'exposition (extraits) :
En bronze patiné, doré et verni, son mécanisme complexe s’activait en tirant sur l’une ou l’autre des boucles d’oreilles.
En tirant sur l’une, l’heure s’affiche dans l’oeil droit et les minutes dans l’oeil gauche.
En tirant sur l’autre pendeloque, se formaient une musique composée de carillons et de jeu de flutes d’orgue miniature.
C’est Thierry de Ville-d’Avray, directeur général du Garde-meuble de la Couronne qui achète l’un des exemplaires exposés chez l’horloger Furet, rue Saint-Honoré, pour le placer dans son appartement de fonction place Louis XV (Concorde).
Après quelques modifications et amélioration du mécanisme musical, le 1er janvier 1792, Thierry de Ville d’Avray présenta cette pendule dans les étrennes de la famille royale.
Le destinataire aurait dû être Marie-Antoinette, ou le dauphin, mais la reine « qui la vit et l’entendit ne jugea pas à propos qu’un objet aussi précieux fut entre les mains de son fils qui aurait pu le gâter ».
La conserva-t-elle dans ses appartements ?
La pendule est ensuite restituée le 1er décembre 1792 au Garde-meuble National.
* Source : Catalogue de l’Exposition « Marie-Antoinette », éditions RMN
A l’époque, cette pendule avait couté 4000 livres : un prix exorbitant.
C’est toujours le cas aujourd’hui, puisque parmi les modèles connus à ce jour, celui-ci avait été vendu aux enchères, en 2007, pour environ...810 000 € !!
* Source et infos complémentaires, ici : Delorme & Collin du Bocage MDV - Vente Novembre 2007
La pendule conservée au Metropolitan Museum, pour laquelle la boite à musique du socle a disparu :
Mantel clock with musical movement
Clockmaker: Jean-Baptiste-André Furet (1720-1807)
France, ca 1784
Signed on enameled plaque at base of bust: Furet HGER du Roi
Case: gilded and lacquered bronze and marble; Movement (in bust): brass and steel with enameled hour and minute chapter rings; Miniature organ with pipes and bellows (in base): brass, steel, and leather
Overall: 29 × 16 1/4 × 9 in. (73.7 × 41.3 × 22.9 cm)
Photo : The Metropolitan Museum of Art
Description du musée :
This bust of an African princess is one of the most remarkable clocks in the Museum’s collection.
The marble plinth contains a musical movement: a tiny pipe organ. On the hour, music would play and the figure’s eyes would open, showing the hour in roman numerals in her right eye and the minutes in arabic numerals in her left.
By pulling her left earring, her eyes could be opened at any time—a feature that remains functional today.
Photos : The Metropolitan Museum of Art
La pendule conservée dans les collections royales britanniques à Buckingham Palace, où l’on distingue aussi l’heure affichée dans les yeux de la sculpture...
Jean-Antoine Lépine (1720-1814)
Mantel Clock, ca 1790
Gilt and lacquered bronze, marble base | 75.5 x 42.7 x 23.8 cm (whole object)
Image : The Royal Collection Trust
Description :
A combined gilt and lacquered bronze clock and musical box in the form of the bust of an African woman wearing a turban and aigrette and a draped tunic with a garland of flowers and foliage. Attached to her back is a bow and quiver of arrows. She is flanked by two gilt bronze putti.. The clock shows the time with the hours in Roman numerals in the left eye and the minutes in Arabic numerals in the right eye. The pupils slide back to reveal the time at ten minutes to the hour, and close at two minutes past the hour. They can be reopened by pulling the right earring.
The music box in the base (which contains a sixteen-pipe organ) is activated by pulling the right earring. Eight tunes are played, four popular French songs have been identified so far:
1. Chorus Que d'attraits from act one of Christoph Willibald Gluck's lphigenie en Aulide, a Tragedie-lyrique first played at the Paris Opera in 1774.
2. Malbroogh s'en va-t-en guerre. This song about the Duke of Marlborough was popular in the French court and was sung to the Dauphin by his wet nurse, Madame Poitrine.
3. Quand le bien-aime reviendra from the 1786 one act opera Nina, ou La folle par amour by Nicolas Dalayrac.
4. Escouto d' Jeanetto from the 1789 one-act opera Les deux petits Savoyards also by Dalayac.
The whole is supported on a socle resting on the musical box of marble and gilt bronze. The break-front white marble base is fitted with gilt bronze plaques depicting scenes of hunting.
Image : The Royal Collection Trust
Provenance :
The clock was probably purchased by George IV (when Prince of Wales) directly from Lépine in 1790. In that year the Prince purchased £3,250 worth of unspecified goods directly from the Parisian clock maker Jean-Antoine Lépine.
However, due to the upheaval of the French Revolution, £2,850 of the bill remained outstanding six years later. As late as 1799, Lépine was still seeking his final payment.
This clock is first recorded in an 1807 Vulliamy bill for repair when it was in the Gilt Room, Carlton House. In this bill Vulliamy refers to the clock as the 'African Princess clock'. The clock has also historically been known as the 'Negress Head clock'
Included in the Pictorial Inventory of 1827-33 – RCIN 934735. The inventory was originally created as a record of the clocks, vases, candelabra and other miscellaneous items from Carlton House, as well as selected items from the stores at Buckingham House, the Royal Pavilion, Brighton, Hampton Court and Kensington Palace for consideration in the refurbishment of Windsor Castle.
Four other versions (by different makers) are known.
One by Jean-Baptiste-Andre Furet was originally made for Queen Marie Antoinette at the Palace of Versailles.
Other versions of this clock are known including one now in the Metropolitan Museum, New York, the Palacio Real, Madrid and the Hillwood Museum, Washington D.C.
Celle conservée au Hillwood Estate Museum and Garden est visible : ICI
Ils ne sont pas très généreux concernant le droit à l'image...
Il s’agit de celle « à tête d’africaine », réalisée en 1784 par Furet et Godon, conservée aujourd’hui chez des particuliers.
celle-ci était présentée à l'exposition "Marie-Antoinette", au Grand Palais, en 2008, et décrite ainsi dans le catalogue d'exposition (extraits) :
En bronze patiné, doré et verni, son mécanisme complexe s’activait en tirant sur l’une ou l’autre des boucles d’oreilles.
En tirant sur l’une, l’heure s’affiche dans l’oeil droit et les minutes dans l’oeil gauche.
En tirant sur l’autre pendeloque, se formaient une musique composée de carillons et de jeu de flutes d’orgue miniature.
C’est Thierry de Ville-d’Avray, directeur général du Garde-meuble de la Couronne qui achète l’un des exemplaires exposés chez l’horloger Furet, rue Saint-Honoré, pour le placer dans son appartement de fonction place Louis XV (Concorde).
Après quelques modifications et amélioration du mécanisme musical, le 1er janvier 1792, Thierry de Ville d’Avray présenta cette pendule dans les étrennes de la famille royale.
Le destinataire aurait dû être Marie-Antoinette, ou le dauphin, mais la reine « qui la vit et l’entendit ne jugea pas à propos qu’un objet aussi précieux fut entre les mains de son fils qui aurait pu le gâter ».
La conserva-t-elle dans ses appartements ?
La pendule est ensuite restituée le 1er décembre 1792 au Garde-meuble National.
* Source : Catalogue de l’Exposition « Marie-Antoinette », éditions RMN
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A l’époque, cette pendule avait couté 4000 livres : un prix exorbitant.
C’est toujours le cas aujourd’hui, puisque parmi les modèles connus à ce jour, celui-ci avait été vendu aux enchères, en 2007, pour environ...810 000 € !!
* Source et infos complémentaires, ici : Delorme & Collin du Bocage MDV - Vente Novembre 2007
La pendule conservée au Metropolitan Museum, pour laquelle la boite à musique du socle a disparu :
Mantel clock with musical movement
Clockmaker: Jean-Baptiste-André Furet (1720-1807)
France, ca 1784
Signed on enameled plaque at base of bust: Furet HGER du Roi
Case: gilded and lacquered bronze and marble; Movement (in bust): brass and steel with enameled hour and minute chapter rings; Miniature organ with pipes and bellows (in base): brass, steel, and leather
Overall: 29 × 16 1/4 × 9 in. (73.7 × 41.3 × 22.9 cm)
Photo : The Metropolitan Museum of Art
Description du musée :
This bust of an African princess is one of the most remarkable clocks in the Museum’s collection.
The marble plinth contains a musical movement: a tiny pipe organ. On the hour, music would play and the figure’s eyes would open, showing the hour in roman numerals in her right eye and the minutes in arabic numerals in her left.
By pulling her left earring, her eyes could be opened at any time—a feature that remains functional today.
Photos : The Metropolitan Museum of Art
La pendule conservée dans les collections royales britanniques à Buckingham Palace, où l’on distingue aussi l’heure affichée dans les yeux de la sculpture...
Jean-Antoine Lépine (1720-1814)
Mantel Clock, ca 1790
Gilt and lacquered bronze, marble base | 75.5 x 42.7 x 23.8 cm (whole object)
Image : The Royal Collection Trust
Description :
A combined gilt and lacquered bronze clock and musical box in the form of the bust of an African woman wearing a turban and aigrette and a draped tunic with a garland of flowers and foliage. Attached to her back is a bow and quiver of arrows. She is flanked by two gilt bronze putti.. The clock shows the time with the hours in Roman numerals in the left eye and the minutes in Arabic numerals in the right eye. The pupils slide back to reveal the time at ten minutes to the hour, and close at two minutes past the hour. They can be reopened by pulling the right earring.
The music box in the base (which contains a sixteen-pipe organ) is activated by pulling the right earring. Eight tunes are played, four popular French songs have been identified so far:
1. Chorus Que d'attraits from act one of Christoph Willibald Gluck's lphigenie en Aulide, a Tragedie-lyrique first played at the Paris Opera in 1774.
2. Malbroogh s'en va-t-en guerre. This song about the Duke of Marlborough was popular in the French court and was sung to the Dauphin by his wet nurse, Madame Poitrine.
3. Quand le bien-aime reviendra from the 1786 one act opera Nina, ou La folle par amour by Nicolas Dalayrac.
4. Escouto d' Jeanetto from the 1789 one-act opera Les deux petits Savoyards also by Dalayac.
The whole is supported on a socle resting on the musical box of marble and gilt bronze. The break-front white marble base is fitted with gilt bronze plaques depicting scenes of hunting.
Image : The Royal Collection Trust
Provenance :
The clock was probably purchased by George IV (when Prince of Wales) directly from Lépine in 1790. In that year the Prince purchased £3,250 worth of unspecified goods directly from the Parisian clock maker Jean-Antoine Lépine.
However, due to the upheaval of the French Revolution, £2,850 of the bill remained outstanding six years later. As late as 1799, Lépine was still seeking his final payment.
This clock is first recorded in an 1807 Vulliamy bill for repair when it was in the Gilt Room, Carlton House. In this bill Vulliamy refers to the clock as the 'African Princess clock'. The clock has also historically been known as the 'Negress Head clock'
Included in the Pictorial Inventory of 1827-33 – RCIN 934735. The inventory was originally created as a record of the clocks, vases, candelabra and other miscellaneous items from Carlton House, as well as selected items from the stores at Buckingham House, the Royal Pavilion, Brighton, Hampton Court and Kensington Palace for consideration in the refurbishment of Windsor Castle.
Four other versions (by different makers) are known.
One by Jean-Baptiste-Andre Furet was originally made for Queen Marie Antoinette at the Palace of Versailles.
Other versions of this clock are known including one now in the Metropolitan Museum, New York, the Palacio Real, Madrid and the Hillwood Museum, Washington D.C.
Celle conservée au Hillwood Estate Museum and Garden est visible : ICI
Ils ne sont pas très généreux concernant le droit à l'image...
Dernière édition par La nuit, la neige le Jeu 01 Sep 2022, 12:28, édité 5 fois
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
La nuit, la neige a écrit:La pendule conservée dans les collections royales britanniques à Buckingham Palace, où l’on distingue aussi l’heure affichée dans les yeux de la sculpture...
Où çà, où çà ?!! Je ne vois rien ...
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
... 18 heures 11 ???
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
je possède un superbe sous-main en cuir aux armes édité par un antiquaire de NEW YORK contenant la présentation, à la vente, d'un exemplaire de "la négresse" au début XX° siècle.
un exemplaire de cette pendule se trouve chez Madame ELISABETH II
à LONDRES
Rien que pour le plaisir , car nous l'avons déjà évoqué - voici la petite sœur de la pendule de la chambre de la Reine à Trianon (époque Napoléon III) l'originale est la seule pendule à ne pas avoir quitté VERSAILLES et être toujours sur la cheminée de la chambre .
voici encore la copie de la pendule fournie à la Reine !!!!! l'originale se trouve au MUSEE COGNAC JAY à PARIS sur une cheminée
il ne manque dans la collection des copies des pendules de la Reine que la photo de troisième en porcelaine bleue en forme de lyre - un exemplaire est au LOUVRE, un second dans les collections royales anglaises.
Je laisse le soin aux spécialistes de nous montrer des photos des authentiques !!!!! (humour)
MARIE ANTOINETTE àè-è\':
un exemplaire de cette pendule se trouve chez Madame ELISABETH II
à LONDRES
Rien que pour le plaisir , car nous l'avons déjà évoqué - voici la petite sœur de la pendule de la chambre de la Reine à Trianon (époque Napoléon III) l'originale est la seule pendule à ne pas avoir quitté VERSAILLES et être toujours sur la cheminée de la chambre .
voici encore la copie de la pendule fournie à la Reine !!!!! l'originale se trouve au MUSEE COGNAC JAY à PARIS sur une cheminée
il ne manque dans la collection des copies des pendules de la Reine que la photo de troisième en porcelaine bleue en forme de lyre - un exemplaire est au LOUVRE, un second dans les collections royales anglaises.
Je laisse le soin aux spécialistes de nous montrer des photos des authentiques !!!!! (humour)
MARIE ANTOINETTE àè-è\':
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
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MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
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Mme de Sabran- Messages : 55511
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Vicq d Azir- Messages : 3676
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Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris...
Parlez-vous de cette pendule-ci ?
Si tel est le cas, il n’est nullement question de Marie-Antoinette dans la note du site internet du musée : http://museecognacqjay.paris.fr/la-collection/arts-decoratifs/pendule-en-forme-de-jardiniere#
MARIE ANTOINETTE a écrit:il ne manque dans la collection des copies des pendules de la Reine que la photo de troisième en porcelaine bleue en forme de lyre - un exemplaire est au LOUVRE, un second dans les collections royales anglaises.
Je laisse le soin aux spécialistes de nous montrer des photos des authentiques !!!!!
Cette jolie pendule est également exposée au musée Cognacq-Jay, mais une fois encore, Marie-Antoinette n’est pas mentionnée dans la note explicative.
Voir ici : http://museecognacqjay.paris.fr/la-collection/arts-decoratifs/pendule-lyre
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Merci. Mais pour ma part, je penche pour...légende ! boudoi32
A moins que Marie-Antoinette, pourtant très avant-gardiste, ait souhaité conserver dans ses collections un objet au style passé de mode.
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Alors, je me fie à toi .
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Surtout pas, malheureuse... :Mme de Sabran a écrit:
Alors, je me fie à toi .
Son style est plutôt fin XVIIè siècle, tout comme son cadran du reste (les petits cartouches de faïence sur lesquels sont inscrits les chiffres romains) ; ce n’est qu’à partir du milieu du XVIIIè siècle que le cadran est « plein ».
Auparavant, on ne pouvait techniquement pas le réaliser.
Mais Marie-Antoinette pouvait tout aussi bien aimer conserver une horloge à priori « ancienne », je ne sais pas...
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
C’est à partir de ce dessin, copié je ne sais plus où, que j’étais parti à la recherche de cette pendule...àè-è\':
C’est un certain Jean-André Lepaute (1709-1789), maître horloger dès le règne de Louis XV, qui était disons notamment spécialisé dans ce type de modèle dit à « roue » (ici disposé sur une urne).
La cadran horizontale opérant une rotation, les heures étant indiquées avec la langue du serpent.
Voici un exemplaire « simple » mais similaire, sans doute tardif :
La pendule la plus ressemblante à ce dessin que j’ai retrouvée, est celle d’une pièce passée aux enchères chez Christie’s New-York en 2000.
Petitounette et prudente description de l'expert :
Circa 1770, almost certainly supplied through the marchand-mercier Simon-Philippe Poirier.
On 8 October 1768, the marchand-mercier Simon-Philippe Poirier delivered a clock of exactly this model to Madame du Barry. Supplied at a cost of 912 livres, it was described as:
'Une pendule à vase et serpent, en bronze doré d'or moulu, le cadre tournant, le piédestal garni de trois morceaux de porcelaine de France, fond bleu avec des enfants en miniature, le dard du serpent fait en marcassite’.
A clock by the same bronzier, now in the Musée du Louvre (OA 8937) was purchased by the comte d'Orsay between 1770 and 1774 (C. Baulez, 'La Rue de Varenne', Exhibition Catalogue, Musée Rodin, 1981, p.73, no.269). Interestingly, the Louvre clock also has hardstone panels instead of Sèvres porcelain, but these are overpainted with decorative scenes, and the same decoration may have been intended for the Kinnaird clock. Another clock of this model, also set with Sèvres plaques, is illustrated in S. Eriksen, op. cit., pl.198, p.348. In his 1771 portrait of the Abbé Nicolas Chanlatte, Guillaume Voirot depicts a clock of this model, but with angular handles, signed Le Pautre horloger du Roi.
Il est donc à supposer que plusieurs modèles du même genre furent réalisés sur une dizaine d’années.
Cette pendule est toutefois bien, bien, proche de celle du croquis.
Enfin donc, vous voyez le genre de la bête...
C’est un certain Jean-André Lepaute (1709-1789), maître horloger dès le règne de Louis XV, qui était disons notamment spécialisé dans ce type de modèle dit à « roue » (ici disposé sur une urne).
La cadran horizontale opérant une rotation, les heures étant indiquées avec la langue du serpent.
Voici un exemplaire « simple » mais similaire, sans doute tardif :
La pendule la plus ressemblante à ce dessin que j’ai retrouvée, est celle d’une pièce passée aux enchères chez Christie’s New-York en 2000.
Petitounette et prudente description de l'expert :
Circa 1770, almost certainly supplied through the marchand-mercier Simon-Philippe Poirier.
On 8 October 1768, the marchand-mercier Simon-Philippe Poirier delivered a clock of exactly this model to Madame du Barry. Supplied at a cost of 912 livres, it was described as:
'Une pendule à vase et serpent, en bronze doré d'or moulu, le cadre tournant, le piédestal garni de trois morceaux de porcelaine de France, fond bleu avec des enfants en miniature, le dard du serpent fait en marcassite’.
A clock by the same bronzier, now in the Musée du Louvre (OA 8937) was purchased by the comte d'Orsay between 1770 and 1774 (C. Baulez, 'La Rue de Varenne', Exhibition Catalogue, Musée Rodin, 1981, p.73, no.269). Interestingly, the Louvre clock also has hardstone panels instead of Sèvres porcelain, but these are overpainted with decorative scenes, and the same decoration may have been intended for the Kinnaird clock. Another clock of this model, also set with Sèvres plaques, is illustrated in S. Eriksen, op. cit., pl.198, p.348. In his 1771 portrait of the Abbé Nicolas Chanlatte, Guillaume Voirot depicts a clock of this model, but with angular handles, signed Le Pautre horloger du Roi.
Il est donc à supposer que plusieurs modèles du même genre furent réalisés sur une dizaine d’années.
Cette pendule est toutefois bien, bien, proche de celle du croquis.
Enfin donc, vous voyez le genre de la bête...
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Une pièce, cette fois-ci, beaucoup plus monumentale... boudoi32
Il s’agit de l’horloge en bronze, d’un seul tenant, que Marie-Antoinette commande en 1785 à Robert Robin, horloger ordinaire du roi, pour être installée dans le clocheton de la chapelle du Petit Trianon afin de marquer « l’heure de Versailles ».
Au mois d’octobre 1794, la Convention offre cette horloge au Museum national d’histoire naturelle de Paris.
Exposée toujours aujourd’hui au sein de la Grande galerie de l’Evolution, c’est elle qui sonne l’ouverture et la fermeture du musée...
Il s’agit de l’horloge en bronze, d’un seul tenant, que Marie-Antoinette commande en 1785 à Robert Robin, horloger ordinaire du roi, pour être installée dans le clocheton de la chapelle du Petit Trianon afin de marquer « l’heure de Versailles ».
Au mois d’octobre 1794, la Convention offre cette horloge au Museum national d’histoire naturelle de Paris.
Exposée toujours aujourd’hui au sein de la Grande galerie de l’Evolution, c’est elle qui sonne l’ouverture et la fermeture du musée...
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Ah oui ? C’était à la mode dès la fin du XVIIIè siècle, et tout au long du XIXè, du moins pour des commandes prestigieuses.
La plupart du temps, ces « cercles tounants » étaient disposés sur des urnes ou des temples...
Quelques autres exemplaires du XVIIIè siècle :
Et avec des chinoiseries, évidemment...
Majesté, tu peux choisir ton minuteur de cuisine pour la cuisson des oeufs mollets... :
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
La nuit, la neige a écrit:
Ah oui ? C’était à la mode dès la fin du XVIIIè siècle, et tout au long du XIXè, du moins pour des commandes prestigieuses.
Eh bien, oui, je le constate !
Merci, pour ce florilège ...
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Cartel d'applique de la chambre de la Reine.
Merci cher La Nuit La Neige pour votre documentation si fournie...
Je propose ici le cartel bien connu de la Reine dans sa chambre de Versailles. Il est rocaille, a sans doute été fait en 1745 pour les appartements de la Dauphine au rez de chaussée.
Modèle semblable à celui qui fut livré en 1745 par le même horloger pour la chambre de la Dauphine Marie-Thérèse-Raphaëlle à Versailles et que Marie-Antoinette plaça ensuite dans sa chambre.
Il a été réalisé par Cressent. Sur le cadran, le nom de l'horloger: J.B Baillon, et: "A Paris".
Il est surmonté d'un putti portant une faux, symbole du temps qui passe. Son timbre pouvait égrener des mélodies...
Vicq d Azir- Messages : 3676
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Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Une autre belle pendule, inventoriée en 1793 dans les collections de la reine :
« une pendule en ivoire découpé d’une forme carrée, ornée de deux colonnes et couronnée par une cassolette, ladite pendule garnie de bronze doré, mouvement à sonnerie sans nom »
A l’occasion de l’exposition Marie-Antoinette au Grand Palais, c’est celle conservée par l’Ermitage Museum qui était présentée au public :
Avec pour commentaires au catalogue de l'expo :
Il faut vraisemblablement reconnaître dans cette pendule en ivoire, qui ne porte pas de nom d’horloger au cadran, l’exemplaire que Louis XV avait lui-même tourné et offert en 1770 à la jeune dauphine, inventorié par l’horloger Robin.
Ces précieuses pendules, où l’ivoire remplace le marbre, furent prisées par Louis XV et ses filles, qui s’adonnaient à l’art de tourner, aidés des conseils experts de Jeanne Madeleine Maubois, « tourneuse du roi ».
Madame Adélaïde possédait une pendule, au mouvement de Lépine « à quantièmes et à jours de la semaine », qui pourrait être celle offerte au château de Versailles en 1755.
Cette pendule en ivoire ajouré à colonnes et surmontée d'une cassolette a vraisemblablement été saisie au château de Bellevue, propriété des Mesdames Adélaïde et Victoire.
Une pendule très proche qui avait été inventoriée parmi les pendules de Marie-Antoinette et correspond probablement à celle aujourdh'ui conservée au musée de l'Ermitage de Saint Pétersbourg. L'une et l'autre passent pour avoir été tournées par Louis XV.
Photo et note : Château de Versailles
Marie-Antoinette la conserva précieusement et l’associa peut-être à d’autres ouvrages d’ivoire, notamment de somptueux vases tournés plus de quinze ans plus tard.
Il semble que la famille royale aimait conserver ce genre de pièces exceptionnelles de préciosité et de virtuosité.
Par exemple, pourquoi pas, cette paire de vases, passée récemment aux enchères chez Sotheby’s.
T’ention les yeux !! :
Je vous conseille de consulter la note de l’expert de cette vente, dans laquelle sont illustrés de nombreux autres modèles de référence.
Ici : http://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2013/treasures-princely-taste-l13303/lot.30.html
« une pendule en ivoire découpé d’une forme carrée, ornée de deux colonnes et couronnée par une cassolette, ladite pendule garnie de bronze doré, mouvement à sonnerie sans nom »
A l’occasion de l’exposition Marie-Antoinette au Grand Palais, c’est celle conservée par l’Ermitage Museum qui était présentée au public :
Avec pour commentaires au catalogue de l'expo :
Il faut vraisemblablement reconnaître dans cette pendule en ivoire, qui ne porte pas de nom d’horloger au cadran, l’exemplaire que Louis XV avait lui-même tourné et offert en 1770 à la jeune dauphine, inventorié par l’horloger Robin.
Ces précieuses pendules, où l’ivoire remplace le marbre, furent prisées par Louis XV et ses filles, qui s’adonnaient à l’art de tourner, aidés des conseils experts de Jeanne Madeleine Maubois, « tourneuse du roi ».
Madame Adélaïde possédait une pendule, au mouvement de Lépine « à quantièmes et à jours de la semaine », qui pourrait être celle offerte au château de Versailles en 1755.
Cette pendule en ivoire ajouré à colonnes et surmontée d'une cassolette a vraisemblablement été saisie au château de Bellevue, propriété des Mesdames Adélaïde et Victoire.
Une pendule très proche qui avait été inventoriée parmi les pendules de Marie-Antoinette et correspond probablement à celle aujourdh'ui conservée au musée de l'Ermitage de Saint Pétersbourg. L'une et l'autre passent pour avoir été tournées par Louis XV.
Photo et note : Château de Versailles
Marie-Antoinette la conserva précieusement et l’associa peut-être à d’autres ouvrages d’ivoire, notamment de somptueux vases tournés plus de quinze ans plus tard.
Il semble que la famille royale aimait conserver ce genre de pièces exceptionnelles de préciosité et de virtuosité.
Par exemple, pourquoi pas, cette paire de vases, passée récemment aux enchères chez Sotheby’s.
T’ention les yeux !! :
Je vous conseille de consulter la note de l’expert de cette vente, dans laquelle sont illustrés de nombreux autres modèles de référence.
Ici : http://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2013/treasures-princely-taste-l13303/lot.30.html
Dernière édition par La nuit, la neige le Mar 05 Fév 2019, 23:04, édité 1 fois
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Pendules et horloges de Marie-Antoinette
Pendule
Anonyme France XVIIIe siècle (horloger)
anciennement attribuée à Robin, Robert (horloger)
Bronze doré et marbre blanc, fin XVIIIe siècle
Image : EPV Château de Versailles
Description du musée :
Cette pendule illustre le thème de Vénus ou de l'Amour, représenté par une figure de la déesse assise sur son char tiré par deux colombes et tendant de sa main gauche une flèche à l'Amour tenant son arc.
De nombreuses pendules sur le thème de Vénus et de l'Amour furent réalisées du règne de Louis XVI jusqu'à la Restauration.
Marie-Antoinette en possédait une de même esprit par l'horloger Robert Robin, composée d'un "char de Vénus conduit par deux colombes, un petit amour à côté du char présente une flèche à la désse".
L'origine de celle-ci n'est pas déterminée.
Invité- Invité
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