Le jeu du Printemps

Ils sont les grands parents de notre marquise de La Tour du Pin ...

Et d'ailleurs, ils descendent aussi de Saint Louis par les Bourbon, puisque Charles II est le fils d'Henriette de France, fille de Henri IV.

La cour de Saint-Germain-en-Laye

A la mort de Cromwell, les Stuarts furent rappelés et Charles II monta sur le trône d'Angleterre. Il put maintenir un fragile équilibre sur le plan religieux entre l'église anglicane et ses tendances catholiques. A sa mort en 1685 son frère Jacques II lui succéda il eut deux filles d'un premier mariage dont l'une se maria à Guillaume d'Orange (l'autre à Georges de Danemark). De son deuxième mariage il eut un fils, Jacques III, né en 1688, qui devenait héritier de la couronne.

Voyant s'évanouir ses espérances et comptant sur l'hostilité des Anglais au catholicisme, Guillaume d'Orange envahit l'Angleterre dés 1688. Abandonné par son armée, Jacques II s'enfuit en France oui Louis XIV reçut son malheureux cousin avec un générosité et une délicatesse admirables . Le château de St Germain avait été mis à la disposition du souverain exilé.
Après plusieurs échecs de reconquêtes de l'Angleterre la vie s'organisa Saint-Germain-en-Laye. C'est donc à cette cour que vécurent les fidèles qui avaient suivi leur roi et parmi eux de nombreux Dillon de diverses branches dont Arthur, premier colonel-propriétaire du régiment Dillon et également le père d'Arthur-Richard qui deviendra le dernier archevêque de Narbonne

:

J'avais fait tout un sujet sur ces Dillon frères et cousins était-ce ici ou bien dans le C.D.B.

C'est bien ici, chez nous, sujet intitulé La famille Dillon !!! :n,,;::::!!! :n,,;::::!!!:

De-lion donne Dillon, d'où le lion dans les armes ......... !!! C'est génial !

Il nous faut encore trouver un mariage, c'est cela ?

Mme de Sabran a écrit:La cour de Saint-Germain-en-Laye

A la mort de Cromwell, les Stuarts furent rappelés et Charles II monta sur le trône d'Angleterre. Il put maintenir un fragile équilibre sur le plan religieux entre l'église anglicane et ses tendances catholiques. A sa mort en 1685 son frère Jacques II lui succéda il eut deux filles d'un premier mariage dont l'une se maria à Guillaume d'Orange (l'autre à Georges de Danemark). De son deuxième mariage il eut un fils, Jacques III, né en 1688, qui devenait héritier de la couronne.

Voyant s'évanouir ses espérances et comptant sur l'hostilité des Anglais au catholicisme, Guillaume d'Orange envahit l'Angleterre dés 1688. Abandonné par son armée, Jacques II s'enfuit en France oui Louis XIV reçut son malheureux cousin avec un générosité et une délicatesse admirables . Le château de St Germain avait été mis à la disposition du souverain exilé.
Après plusieurs échecs de reconquêtes de l'Angleterre la vie s'organisa Saint-Germain-en-Laye. C'est donc à cette cour que vécurent les fidèles qui avaient suivi leur roi et parmi eux de nombreux Dillon de diverses branches dont Arthur, premier colonel-propriétaire du régiment Dillon et également le père d'Arthur-Richard qui deviendra le dernier archevêque de Narbonne

Oui mais ce n'est pas tout à fait ça.

Quel est ce mariage qui les rattache aux Plantagenets, pourquoi cette branche est dans le négoce de vin, et où, et quels sont leurs descendants directs que nous connaissons présents à la cour ?

Je l'ai déjà dit, peu en amont ! :

Mme de Sabran a écrit:"Les Dillon "

Le nom vient du surnom donné à Lochann Délion, c'est à dire le Vaillant.

Reinette a écrit:

Quel est ce mariage qui les rattache aux Plantagenets, pourquoi cette branche est dans le négoce de vin, et où, et quels sont leurs descendants directs que nous connaissons présents à la cour ?

Eh dis donc ! Ce n'est pas une énigme, ça !!! C'en sont 36 en une !!!

Mme de Sabran a écrit:...   les Dillon ?   ( roooh ! ce n'est pas du vin, c'est du rhum boudoi26  )

Ah ben dis donc... ça en dit long boudoi26

Bien à vous. :

Reinette a écrit:Oui mais ce n'est pas tout à fait ça.

Quel est ce mariage qui les rattache aux Plantagenets, pourquoi cette branche est dans le négoce de vin, et où, et quels sont leurs descendants directs que nous connaissons présents à la cour ?

Je vous en ai donné un, mais vous n'étiez pas contente !!!!

Reinette a écrit:
Quel est ce mariage qui les rattache aux Plantagenets, pourquoi cette branche est dans le négoce de vin, et où, et quels sont leurs descendants directs que nous connaissons présents à la cour ?

Ah, tu veux du Plantagenêt ?!!

En voici, en voilà :

A - Branche de Kill Cornan
Nous savons qu'Edouard III, roi d'Angleterre de la dynastie Plantagenet, descendait des rois d'Irlande par la suite des rois d'Ecosse. L'examen de ses quartiers nous montre qu'il descendait également de presque toutes les familles régnantes d'Europe et en particulier des Capétiens puisque son trisaïeul était Saint Louis IX.

Auguste Dillon, fils de Theobald, a remonté l'ascendance des Dillon de Kill Cornan jusqu'à ce monarque. (Cette filiation est consignée dans l'un des tableaux de l'important volume relié rouge dans la bibliothèque de Besmaux et qui est intitulé : "Memorials of the ancestry of the ancient and noble House of Dillon of Ireland and its derivative branch, the counts Dillon of France".

Voici donc cette filiation:

Edouard III, roi d'angleterre (+1326) et Philippa de Hainaut
Edmund Plantagenet, duc d'York (+1402) et Isabelle de Castille
Richard Plantagenet, comte de Cambridge (+1415) et Ann Mortimer
Richard Plantagenet, duc d'York (+1460) et Cecily Nevill
Georges Plantagenet, duc de Clarence (+1477) et Isabel Nevill
Margaret Plantagenet (Bse Margeurite d'York), décapité en 1541 et Richard Pole
Henry Pole, lord Mantague, décapité en 1538 et Jane Nevill
Catherine Pole (+1576) et Edouard Somerest, lord Hastings
Elisabeth Hastings (+1621) et Edouard Somerest, comte de Worcester
Catherine Somerest (+1624) et William Lord Petre
Hon. Edouard Petre (+1664) et Mildred Pennant
Edouard Petre (+1706) et Mildred Pennant
Elizabeth Petre (+1727) et Roger Dicconson
Edouard Dicconson (+1722) et Mary Blount
Mary Dicconson (+1799) et Robert Dillon, seignuer de Terrefort

Cette filiation authentifié par Sir John Burke, visé par M. de Méric, le Comte de Comminges-Guitaut, qui "en vertu des pouvoir à lui donnés par S.M. la Reine, accorde audit Auguste-Henri, comte Dillon et à tous les descendants de son grand-père, Robert Dillon, seigneur de Terrefort, le droit de porter le cimier suivant : un demi-lion de gueules, issant d'une couronne ducale (or) et tenant entre ses pattes une étoile d'or, au-dessus de ses armes héréditaires : d'argent au lion passant entre 3 croissants de gueules. L'égide : Dum spiro, spero. Sans que personne au monde ne puisse y mettre jamais ni molestation, ni interruption". Le 29 juin 1970. signé Burke.
C'est cette remontée à Edouard III qui permet aux Dillon de la branche française de Kill Cornan d'affirmer leur descendance de nombreux rois européens et d'invoquer, comme étant de leur parenté directe ou collatérale proche, de nombreux saints à qui le comte jacques Dillon a dédié une litanie (Annexe en fin de page)

En plus j'aurais bien rigoler pour vous faire chercher vers l'Angleterre et l'Irlande avec ça :


Car celui qui reçut le territoire qui porte le nom de Dillon était gentilhomme de Jean sans Terre.

La famille se séparera en plusieurs branches.

Celle établie en France depuis 1688 sont les Dillon de Costello-Gallen : l'archevêque de Narbonne, les dames du palais de Marie-Antoinette mère et fille...

La nôtre installée plus tard en 1754 s'appelle...

Mme de Sabran a écrit:

Reinette a écrit:
Quel est ce mariage qui les rattache aux Plantagenets, pourquoi cette branche est dans le négoce de vin, et où, et quels sont leurs descendants directs que nous connaissons présents à la cour ?

Ah, tu veux du Plantagenêt ?!!

En voici, en voilà  :

A - Branche de Kill Cornan
Nous savons qu'Edouard III, roi d'Angleterre de la dynastie Plantagenet, descendait des rois d'Irlande par la suite des rois d'Ecosse. L'examen de ses quartiers nous montre qu'il descendait également de presque toutes les familles régnantes d'Europe et en particulier des Capétiens puisque son trisaïeul était Saint Louis IX.

Auguste Dillon, fils de Theobald, a remonté l'ascendance des Dillon de Kill Cornan jusqu'à ce monarque. (Cette filiation est consignée dans l'un des tableaux de l'important volume relié rouge dans la bibliothèque de Besmaux et qui est intitulé : "Memorials of the ancestry of the ancient and noble House of Dillon of Ireland and its derivative branch, the counts Dillon of France".

Voici donc cette filiation:

   Edouard III, roi d'angleterre (+1326) et Philippa de Hainaut
   Edmund Plantagenet, duc d'York (+1402) et Isabelle de Castille
   Richard Plantagenet, comte de Cambridge (+1415) et Ann Mortimer
   Richard Plantagenet, duc d'York (+1460) et Cecily Nevill
   Georges Plantagenet, duc de Clarence (+1477) et Isabel Nevill
   Margaret Plantagenet (Bse Margeurite d'York), décapité en 1541 et Richard Pole
   Henry Pole, lord Mantague, décapité en 1538 et Jane Nevill
   Catherine Pole (+1576) et Edouard Somerest, lord Hastings
   Elisabeth Hastings (+1621) et Edouard Somerest, comte de Worcester
   Catherine Somerest (+1624) et William Lord Petre
   Hon. Edouard Petre (+1664) et Mildred Pennant
   Edouard Petre (+1706) et Mildred Pennant
   Elizabeth Petre (+1727) et Roger Dicconson
   Edouard Dicconson (+1722) et Mary Blount
   Mary Dicconson (+1799) et Robert Dillon, seignuer de Terrefort

Cette filiation authentifié par Sir John Burke, visé par M. de Méric, le Comte de Comminges-Guitaut, qui "en vertu des pouvoir à lui donnés par S.M. la Reine, accorde audit Auguste-Henri, comte Dillon et à tous les descendants de son grand-père, Robert Dillon, seigneur de Terrefort, le droit de porter le cimier suivant : un demi-lion de gueules, issant d'une couronne ducale (or) et tenant entre ses pattes une étoile d'or, au-dessus de ses armes héréditaires : d'argent au lion passant entre 3 croissants de gueules. L'égide : Dum spiro, spero. Sans que personne au monde ne puisse y mettre jamais ni molestation, ni interruption". Le 29 juin 1970. signé Burke.
C'est cette remontée à Edouard III qui permet aux Dillon de la branche française de Kill Cornan d'affirmer leur descendance de nombreux rois européens et d'invoquer, comme étant de leur parenté directe ou collatérale proche, de nombreux saints à qui le comte jacques Dillon a dédié une litanie (Annexe en fin de page)

Je vois que tu as trouvé le site sur lequel j'ai fait mes recherches ! :\\\\\\\\:

Eléonore a largement gagné !!!

Et dire que tu désespérais...

Chouette ! :n,,;::::!!!: Je cherche la prochaine énigme !!!

Robert Dillon, d'une branche cadette des Dillon, négociant en vin, épouse Mary Dicconson, fille du gouverneur du Prince royal Stuart installé à Saint-Germain-en-Laye et descendante d'Edouard III d'Angleterre.

Ils s'installent défintivement en France en 1754, suite aux répressions contre les catholiques d'Irlande et achètent pour continuer leur activité commerciale, un domaine du Médoc, Terrefort.

Leur noblesse, aidée par leurs cousins déjà bien en cour (et héros à Fontenoy) est attestée par Hozier en 1759.
Ils auront de nombreux enfants dont le fameux Beau Dillon et la future madame d'Osmond, dame pour accompagner madame Adélaïde (j'avais prévu de vous faire faire un petit tour vers Bellevue : ) qui sera la mère de la future madame de Boigne (d'où la poupée dans son lit... ).

Mary Dicconson sera reçue par Louis XVI en 1788.

Majesté a écrit:

Mme de Sabran a écrit:...   les Dillon ?   ( roooh ! ce n'est pas du vin, c'est du rhum boudoi26  )

Ah ben dis donc... ça en dit long boudoi26

Je suis découverte !

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.

Mon énigme est une devinette .
Voici :

Au printemps de l'année 1787, qu'est-ce qui coupe salement l'appétit ?

Cela a-t-il un rapport avec Loménie de Brienne?


.

...   peut-être au même titre que beaucoup de monde, mais pas davantage .

Tous les morts après la famine ?! boudoi26

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Mme de Sabran a écrit:.

Mon énigme est une devinette .  
Voici :

Au printemps de l'année 1787, qu'est-ce qui coupe salement l'appétit ?

Après ton glissement de terrain à Saint-Cloud occasionnant pratiquement un cratère, y aurait-il eu suite à une intémpérie (elles furent nombreuses à l'époque) un nouveau glissement de terrain qui déversa les ordures des ancêtres des égouts ?

Apparemment, nous devons chercher quelque chose de particulièrement dégoûtant !