Le divorce de Marie-Antoinette et Louis XVI, intrigues et fantasmes ...

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Je disais à la nuit, la neige, dans le sujet du pamphlet Beaumarchais / Louis XVI, que  cette problématique du livre du Mariage forcé qui tourne, en somme, autour de la répudiation ni plus ni moins ( !!! )  de Marie-Antoinette me donnait l'idée d'ouvrir un sujet sur les diverses conspirations cernant le couple royal pour fomenter le divorce de Louis XVI et Marie-Antoinette,  solution magique à tous les maux qui s'abattaient sur le royaume .

Je pense notamment à Blondinet, bien sûr, à Stautre ... comme à  tous les ennemis de l'alliance autrichienne, ça en fait du monde !
Soulavie nous conte cela par le menu . 
Ce voeu unanime, selon lui,  se serait heurté à la bonté naturelle du roi ...  

Je l'avais cité dans le C.D.B.



Enjoy !        













Madame Adélaïde a écrit :

Il me semble que Stryenski ( 1 ) ait aussi fait allusion à cela... Adélaïde aurait manigancé une tentative d'annulation de mariage, ce qui lui aurait valu un certain discrédit auprès de Louis XVI et aurait définitivement affaibli son influence auprès du jeune roi qui avait alors en elle une complète confiance.

L'intrigue de trop. Un peu idiote au final puisqu'elle aurait pu conserver son pouvoir qu'Antoinette du reste ne lui aurait pas jalousé, trop contente que la vieille tante y trouva une occupation à son esprit.

Madame de Chimay :

Oui, Valentino parle aussi de cette tentative d'Adélaïde .  ( 2 )

Mon petit Lulu :

Madame Adélaïde en effet ne pouvait supporter le comportement de la jeune reine. Mais elle n'avait de vrai ascendant sur le Roi que dans les premières années du règne. Madame pensa en effet un temps à faire renvoyer Marie-Antoinette à Vienne, mais tout fut dissipé, et la brouille tomba lorsque la reine mit au monde son premier enfant, puis le dauphin. Madame était si attachée à l'avenir dynastique que cela lui fit oublier quelques rancoeurs.

Madame de Chimay :

Absolument, d'ailleurs l'histoire s serait passée en 1777.
La venue au Monde de Madame Royale l'avait en effet calmée de ce côté-là.



( 1 )  Mémoires historiques de Mesdames Adélaide et Victoire de ...
catalog.hathitrust.org/Record/000566200
By: Stryienski, Casimir, 1853-1912. ... Published: (1806); Mémoires sur la vie de Marie Antoinette reine de France et de Navarre, suivis de souvenirs et ... Marie Adelaide, > Princess, daughter of Louis XV, King of France, > 1732-1800

( 2 )  Le Monde Diplomatique
Les fautes et les malchances de Marie-Antoinette par Henri Valentino
août 1956.

Aperçu :

Le mariage du dauphin de France, futur Louis XVI, avec Marie-Antoinette d’Autriche fut une conséquence du « renversement des alliances » ; mais si d’ennemie héréditaire qu’elle avait été, la maison des Habsbourg devint l’alliée de la France, le sentiment populaire, comme il arrive souvent, ne suivit pas le gouvernement dans cette évolution, et le préjugé défavorable du peuple ne tarda pas à se muer en haine à l’égard de celle qu’on appellera l’« Autrichienne ».



Pour Jean-Pierre Fiquet au contraire, c'est Louis XVI lui-même qui, le premier,  manoeuvra pour se débarrasser de Marie-Antoinette qu'il exécrait, en toute réciprocité échevelée .

àè-è\':

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Mme de Sabran a écrit:.

Je disais à la nuit, la neige, dans le sujet du pamphlet Beaumarchais / Louis XVI, que  cette problématique du livre https://marie-antoinette.forumactif.org/du Mariage forcé qui tourne, en somme, autour de la répudiation ni plus ni moins ( !!! )  de Marie-Antoinette me donnait l'idée d'ouvrir un sujet sur les diverses conspirations cernant le couple royal pour fomenter le divorce de Louis XVI et Marie-Antoinette,  solution magique à tous les maux qui s'abattaient sur le royaume .

Je pense notamment à Blondinet, bien sûr, à Stautre ... comme à  tous les ennemis de l'alliance autrichienne, ça en fait du monde !
Soulavie nous conte cela par le menu . 
Ce voeu unanime, selon lui,  se serait heurté à la bonté naturelle du roi ...  

Ma chère Eléonore,

Je ne sais si c'est le cas pour le point que vous évoquez dans ce post, mais, bien qu'il ait eu assez mauvaise réputation parmi la gente des historiens, certains  historiens actuels  reconnaissent qu'il faut se garder de considérer les écrits de Soulavie comme toujours peu fiables.

Ainsi remémorons  nous ce qu'en écrit J-C Petitfils dans l'avant propos de son Louis XVI et ce n'est pas le seul mais le premier qui me vient à l'esprit car j'avais été frappé par cette  précision de Petitfils, ayant lu dans le cadre d'un autre recherche  sur les débuts du règne de Louis XV qu' il fallait considérer ses écrits avec grande précaution:

" Ce serait une erreur de considérer que les sources authentiques, auxquelles se sont abreuvées des générations  d'historiens sont toutes taries. Certaines, peu utilisées, sont de grande utilité pour connaitre à la fois le caractère du roi et l'évolution de ses idées. Mentionnons parmi elles les Mémoires historiques et politiques du règne de Louis XVI de l'abbé Jean Louis Giraud, dit Soulavie, publiés en 1801, qu'on a longtemps négligés du fait de la personnalité de son auteur, prêtre défroqué, marié, auteur d'ouvrages apocryphes... . Soulavie, éditeur des Mémoires de Saint Simon, a été récemment réévalué comme historien et des plus sérieux*.Or les 6 volumes de ses Mémoires sont d'un grand intérêt, surclassant de loin les premiers essais biographiques... .Il développe des vues profondes en termes de jeux et de forces politiques, explique de façon éclairante les ressorts cachés de l'action gouvernementale  ou de l'opposition autrement que par les intrigues de boudoir et les querelles de personnes. Un autre mérite de ce travail réside dans l'énorme documentation, aujourd'hui en grande partie disparue, qui a passé entre ses mains. En effet, peu après la chute de la royauté, le 10 aout 1792, il a été autorisé par le Comité de Surveillance à compulser les milliers de papiers secrets du roi, restés dans les tiroirs du château des Tuileries, puis à se rendre à Versailles , alors déserté, dans les appartements privés, au dessus de la salle de l'Enclume, où Louis XVI à l'insu de Marie-Antoinette, rangeait ses correspondances politiques ainsi que les écrits de son père"

Amicalement votre. Roi-cavalerie

* Arnaud de Maurepas, Les méthodes documentaires d'un historien méconnu, l'abbé Soulavie in Revue d'histoire  moderne et contemporaine oct déc 1991 pp 626-648

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Merci, cher Roi-cavalerie !
Vous me donnez l'idée d'ouvrir un sujet sur Soulavie .
Voyons voir ce que nous dit Wiki sur ce monsieur ! :n,,;::::!!!:

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Et, pour revenir sur l'éventuel divorce royal ...

Cosmo a écrit:

Lafayette, qui rêvait d'une monarchie constitutionnelle, cherchait à se débarrasser de Marie-Antoinette, qu'il considérait comme un fardeau, du fait de son impopularité en France. Une fois Marie-Antoinette envolée, rêvait-il, la monarchie constitutionnelle aurait de beaux jours devant elle...

Lafayette ira ainsi jusqu'à échafauder le projet de faire divorcer Louis XVI et Marie-Antoinette. Afin d'intimider la reine et la forcer à accepter de divorcer, Lafayette usera de chantage et la menacera de la "rechercher en adultère".

Extrait d'une correspondance de Lamarck à Mercy-Argenteau du 9 novembre 1790 : "Il (Lafayette) a employé les moyens les plus odieux pour jeter le trouble dans son âme et il a été jusqu'à lui dire que, pour obtenir le divorce, on la rechercherait en adultère. La reine a répondu avec la dignité, la fermeté et le courage que vous lui connaissez..."





Pour la petite histoire, Mirabeau qualifie Lafayette (et Provence ) d' "excréments de la nature" dans une note du 11 novembre 1790, où il indique que ces deux-là avaient, chacun, insisté pour qu'il rencontre la femme Lamotte.
Mirabeau commence d'ailleurs ladite note en expliquant que "toutes les manoeuvres de M. de Lafayette" étaient "autant d'attaques contre la reine".

C'est bien pourquoi et là-dessus Jean-Pierre Fiquet a eu tout à fait raison de soulever la question de la répudiation avec nombre de pièces la démontrant, qu'il me paraît tout à fait improbable que dans un tel contexte, avant même la Révolution qui renforce au centuple ces données que Marie-Antoinette ait pu prendre le risque de prendre un amant, malgré les apparences.
Si celles-ci étaient semble-t-il visibles, il est évident que n'importe qui contre elle, et ils étaient nombreux, auraient fini par trouver la moindre preuve à ce sujet.

Que LouisXVI fut d'accord ou non. LouisXVI n'était pas le seul garant de la légitimité monarchique. Les garde-fous étaient alors nombreux. Et parmi ceux-ci de nombreux ennemis de Marie-Antoinette...
Or je ne crois pas non plus qu'il pût accepter d'être cocu à la face du monde. Il a laissé Marie-Antoinette êtablir une tendre relation avec Fersen, une correspondance entre eux, des moments (pour l'instant rien ne dit seuls) ensemble, parce qu'il savait mieux que quiconque qu'il ne pouvait y avoir plus entre les deux.

Comment aurait-il pu le savoir ? Aucune idée. Acceptons du moins l'idée que Louis XVI connaissait mieux sa femme que n'importe quel autre contemporain d'alors et évidemment de tous les historiens par la suite.

A moins de penser en plus que Marie-Antoinette était prête à abandonner à la fois sa couronne et ses enfants. Or, elle s'est battue jusqu'à la mort pour les conserver. C'est donc impossible qu'elle ait pu prendre un tel risque.

Reinette a écrit:C'est bien pourquoi et là-dessus Jean-Pierre Fiquet a eu tout à fait raison de soulever la question de la répudiation avec nombre de pièces la démontrant

Nous avons toujours su que les ennemis de Marie-Antoinette espéraient un divorce et que Provence osa même incriminer les Enfants de France en bâtardise ... tout cela est archi-su .

Non, la nouveauté chez Jean-Pierre Fiquet, c'est que, selon lui, c'est Louis XVI lui-même qui manoeuvrait de manière souterraine pour se débarrasser de Marie-Antoinette qu'il exécrait .

Cela, nous ne l'avions lu sous la plume de personne auparavant .
C'est ça, le scoop du Mariage forcé et la signification de l'humiliation de Marie-Antoinette .

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Je pense sincèrement que sans aller non plus jusqu'à cautionner les pamphlets, voire en être le complice actif si ce n'est le commanditaire, il n'était pas indifférent à la vague d'impopularité qui s'abattait sur sa femme, ceci dès le début du règne. Sans cela, Mesdames, Moniseur, Maurepas, et d'autres auraient été vite rappelés à l'ordre.
Il devait croire qu'il s'agissait d'une bonne stratégie pour s'en débarrasser. Il réalisera certainement trop tard que cela lui retombera également dessus... àè-è\':

Reinette a écrit:
Il devait croire qu'il s'agissait d'une bonne stratégie pour s'en débarrasser. Il réalisera certainement trop tard que cela lui retombera également dessus... àè-è\':

Tu peux croire vraiment que Louis XVI voulait se débarrasser de Marie-Antoinette ?!!

Pas de façon constante, ni formelle, mais je crois oui que l'idée l'a souvent traversé. Ceci jusqu'à l'arrivée de Joseph II.

Et l'idée devait lui être bien régulièrement répétée par Mesdames ses tantes surtout lorsqu'elles ont perdu l'emprise qu'elles ont pu avoir sur la petite Dauphine...

Bien à vous.

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Si c'était le cas, elle avait toutes les raisons du monde d'aller chercher consolation ailleurs .

Il me semble plutôt que Louis XVI a passivement subi son mariage, dans l'indifférence.
Je ne crois pas qu'il ait jamais eu d'animosité envers Marie-Antoinette .  Qu'il soit sorti de ses gonds à diverses reprises parce qu'elle accumulait les dissipations, cela se conçoit .  
Qu'il l'ait détestée, haïe, non .

  Il n'était pas homme à haïr qui que ce soit, s'il était aussi bon qu'on le dit .

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Vous evoquiez à juste titre l'incontournable Soulavie pour ses témoignages sur la révolution et la famille royale.
N'oublions pas qu'il fut aussi un grand collectionneur sur le sujet. En particulier, il conserva le croquis de David représentant la Reine sur la charrette la conduisant à l'échafaud, passé ensuite dans les collections Rothschild, puis aujourd'hui au Louvre.

Majesté a écrit:Et l'idée devait lui être bien régulièrement répétée par Mesdames ses tantes surtout lorsqu'elles ont perdu l'emprise qu'elles ont pu avoir sur la petite Dauphine...

Bien à vous.

Bah oui forcément. àè-è\':

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Oui, bien-sûr, ce terrible dessin dont on a dit qu'il serait peut-être de Vivant Denon, alors que cet artiste était à Florence le 16 octobre 1793 .

Mme de Sabran a écrit:;

Si c'était le cas, elle avait toutes les raisons du monde d'aller chercher consolation ailleurs .

Il me semble plutôt que Louis XVI a passivement subi son mariage, dans l'indifférence.
Je ne crois pas qu'il ait jamais eu d'animosité envers Marie-Antoinette .  Qu'il soit sorti de ses gonds à diverses reprises parce qu'elle accumulait les dissipations, cela se conçoit .  
Qu'il l'ait détestée, haïe, non .

  Il n'était pas homme à haïr qui que ce soit, s'il était aussi bon qu'on le dit .

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Cela ne veut pas dire non plus qu'il la haïssait. Il ne sort pas de ses gonds parce qu'elle est trop dissipée, il lui fait parfois une remarque un peu ironique, souvent méritée il faut l'avouer, mais c'est tout. Cela l'arrangeait, au contraire. C'est quand elle se mêle de politique qu'il se fâche...

Reinette a écrit:

Majesté a écrit:Et l'idée devait lui être bien régulièrement répétée par Mesdames ses tantes surtout lorsqu'elles ont perdu l'emprise qu'elles ont pu avoir sur la petite Dauphine...

Bien à vous.

Bah oui forcément. àè-è\':

Ces vieilles chipies rabougries de Mesdames Tantes auraient donc pu distiller dans le coeur du dauphin de mauvais sentiments ? au point de lui donner l'envie de se débarrasser de Marie-Antoinette, comme d'une nuisance !  Allez, zou ! répudiée, l'Autrichienne !

...   mais alors Louis XVI n'était pas bon.  
Parce que la haine, ça ne grandit pas un homme .
Je rappelle que nous parlons de haine et d'exécration, ce sont les termes employés dans la thèse du Mariage forcé .

Comment aurait-il pu aimer son peuple, cette masse informe et anonyme, si déjà il n'était pas capable d'aimer sa femme ?  sa femme devant Dieu et les hommes, lui si pieux aux dernières nouvelles ...   une petite archiduchesse déracinée,  jetée dans la fosse aux lions, dont il aurait dû penser qu'elle n'était pas là non plus de son plein gré mais, tout comme lui, un pion sur l'échiquier européen manipulé par des instances supérieures avec défense de moufter .


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Après l'arrestation de la famille royale à Varennes, l'impopularité de Marie-Antoinette est telle que, dixit Dorset l'ambassadeur d'Angleterre, si l'Assemblée nationale l'avait libérée, la populace l'aurait coupée en morceaux .

Le bruit courait de nouveau qu'elle allait être séparée de son mari ( et de ses enfants ) et opportunément enfermée dans un couvent après avoir été jugée pour crimes contre la nation . Ces rumeurs atroces se propageaient jusqu'à Naples où elles parvinrent aux oreilles de Marie-Caroline qui en arriva même à penser que sa soeur serait plus en sécurité dans un monastère qu'aux Tuileries. " Je donnerais ma vie pour la sauver, écrivit-elle à son frère Léopold, non pour la faire de nouveau reine de France, mais pour qu'elle finisse ses tristes jours dans un couvent . " ( Beaucoup moins compatissante à son habitude, l'archiduchesse Marie-Christine se contenta d'estimer qu'il aurait mieux valut pour sa " pauvre soeur " ne jamais s'être mariée. )

( Antonia Fraser )

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Plutôt que de présenter ce livre ici (et je ne suis d'ailleurs pas sûr qu'il s'agisse du bon sujet) :

Les livres de Marie-Antoinette, la bibliothèque des Tuileries

...Je choisis donc cet autre sujet !
A-t-elle jamais lu ce livre, proposé prochainement en vente aux enchères ?

- Contrat conjugal, ou Lois du mariage, de la répudiation et du divorce.
Précieux exemplaire aux armes de Marie-Antoinette.
A Neuchâtel, De l’Imprimerie de la Société Typographique, 1783, in-12, maroquin rouge, dos lisse orné, filets dorés en encadrement
sur les plats, armes au centre, tranches dorées, roulette intérieure (reliure de l’époque).
Provenance : Collection Villepin



* Source et infos complémentaires : Thierry de Maigret MDV - Vente Collection Amaury Taittinger, Souvenirs historiques, le 24 juin 2019

La nuit, la neige a écrit:

- Contrat conjugal, ou Lois du mariage, de la répudiation et du divorce.
Précieux exemplaire aux armes de Marie-Antoinette.

Merci .  En voilà une curiosité !
Pauvre chérie, elle n'a pas dû beaucoup le potasser ... sinon elle n'aurait pas pris autant de risques en en aimant un autre !
Mais qui sait ! Quand l'amour commande ...