Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
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Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
.
... autoportrait :
;
Anne Vallayer-Coster
portrait par Roslin :

ANNE VALLAYER-COSTER, chef du cabinet de peinture de la reine Marie-Antoinette est aussi son professeur de dessin. Elle est spécialisée dans le portrait et la nature morte, mais s’illustre aussi dans les tableaux de genre et la miniature
La fiche Wiki est d'une relative pauvreté, mais heureusement la Gazette d'Esprit XVIIIème nous offre ce bon article d'Henri-Pierre Rodriguez !
L’observation sensible du quotidien
Ouvrons une fenêtre sur Anne Vallayer-Coster (1744-1818), cette femme-peintre si injustement oubliée. Fille d’orfèvre, elle fut l’élève de Madeleine Basseporte, connue pour ses planches de plantes sur vélin et de Claude Joseph Vernet, célèbre pour ses remarquables vues de ports.
Anne Vallayer-Coster fut admise à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1770, son morceau de réception est une nature morte,
Les attributs des arts, qui suscita de vives louanges de la part de Diderot :
« Quelle vérité, et quelle vigueur dans ce tableau ! Mme Vallayer nous étonne autant qu’elle nous enchante. C’est la nature, rendue ici avec une force et une vérité inconcevable, et en même temps une harmonie de couleur qui séduit. »

Le tableau fut suivi de son pendant, Les attributs de la musique .
Tous deux sont visibles au Louvre.

Attardons-nous sur ces toiles et nous percevrons à travers l'engouement que suscita cette peinture, un courant nouveau, ce goût de la nature illustré par Rousseau et Buffon.
Dès avant sa réception, notre artiste s’adonnait déjà à cette exacte observation de la nature et de l’objet, qu’elle traduisait en toiles d’une vive sensibilité introspective, celle qui révèle un monde à partir du détail du quotidien. La nature morte au lièvre (1767) est remarquable par la modestie cossue qui nous renvoie à Chardin, les fonds neutres et vibrants sont d’un modernisme surprenant.

Anne Vallayer-Coster s’illustra également dans l’art du portrait mais, dans ce registre, elle ne peut se mesurer aux deux ténors en la matière, Vigée-Lebrun et Labille-Guiard, cependant ses portraits restent de belle tenue et intéressants en tant que témoignage d’une époque.

Marie-Antoinette prit l’artiste sous sa protection dès 1779, une jeune vestale faisait d’ailleurs partie de ses collections. Bienveillante, la reine lui accorda même un appartement au Louvre qui la fit voisiner avec Hubert Robert, Greuze ou Fragonard.
Un portrait de la souveraine est, il est vrai, tout sauf impérissable ;

Un deuxième n’est connu que par une copie en miniature et ne semble pas non plus très convaincant, les deux figures sont conventionnelles, la reine posant en grand habit.
Plus légère est la représentation de Madame Adélaïde, en tenue moins officielle.

La critique n'étant guère amène, le genre fut abandonné dès 1789.
Cependant, si le portrait de Cour ne fut pas une entière réussite, on ne peut résister à la triomphante et éclatante beauté de Madame Saint-Huberty interprétant Didon dans l’opéra éponyme de Piccinni (1785).

Il est temps de refermer la fenêtre, mais, avant de nous dire au revoir, la délicate femme-peintre, nous offre des fleurs, elle les peignait à merveille. Ses compositions mêlent encore aux fleurs des fruits ou des objets, elles sont certes peintes avec brio mais s’inscrivent dans un ensemble décoratif enlevé et riche, quelque peu maniéré ; plus sensible est la composition de printemps dans sa précieuse jardinière du plus pur style Louis XVI.

Pour illustrer l’estime en laquelle la tenait la souveraine, comment résister à la tentation de rapporter l’anecdote consignée par Madame Campan ? Aux heures sombres, la fidèle première femme de chambre qui partageait l’intimité de Marie-Antoinette fut chargée par cette dernière de mettre en sécurité des papiers compromettants : c’est à Anne Vallayer-Coster que Madame Campan remit les documents…



Sous la Révolution, Anne Vallayer-Coster resta fidèle à la Reine ; entre 1790 et 1795 elle n’exposa plus et passa les années de tourmente à Villemomble. Elle s’éteint en 1818 dans son appartement rue du Coq-Héron.
HENRI-PIERRE RODRIGUEZ


... autoportrait :

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Anne Vallayer-Coster
portrait par Roslin :

ANNE VALLAYER-COSTER, chef du cabinet de peinture de la reine Marie-Antoinette est aussi son professeur de dessin. Elle est spécialisée dans le portrait et la nature morte, mais s’illustre aussi dans les tableaux de genre et la miniature
La fiche Wiki est d'une relative pauvreté, mais heureusement la Gazette d'Esprit XVIIIème nous offre ce bon article d'Henri-Pierre Rodriguez !
L’observation sensible du quotidien
Ouvrons une fenêtre sur Anne Vallayer-Coster (1744-1818), cette femme-peintre si injustement oubliée. Fille d’orfèvre, elle fut l’élève de Madeleine Basseporte, connue pour ses planches de plantes sur vélin et de Claude Joseph Vernet, célèbre pour ses remarquables vues de ports.
Anne Vallayer-Coster fut admise à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1770, son morceau de réception est une nature morte,
Les attributs des arts, qui suscita de vives louanges de la part de Diderot :
« Quelle vérité, et quelle vigueur dans ce tableau ! Mme Vallayer nous étonne autant qu’elle nous enchante. C’est la nature, rendue ici avec une force et une vérité inconcevable, et en même temps une harmonie de couleur qui séduit. »

Le tableau fut suivi de son pendant, Les attributs de la musique .
Tous deux sont visibles au Louvre.

Attardons-nous sur ces toiles et nous percevrons à travers l'engouement que suscita cette peinture, un courant nouveau, ce goût de la nature illustré par Rousseau et Buffon.
Dès avant sa réception, notre artiste s’adonnait déjà à cette exacte observation de la nature et de l’objet, qu’elle traduisait en toiles d’une vive sensibilité introspective, celle qui révèle un monde à partir du détail du quotidien. La nature morte au lièvre (1767) est remarquable par la modestie cossue qui nous renvoie à Chardin, les fonds neutres et vibrants sont d’un modernisme surprenant.

Anne Vallayer-Coster s’illustra également dans l’art du portrait mais, dans ce registre, elle ne peut se mesurer aux deux ténors en la matière, Vigée-Lebrun et Labille-Guiard, cependant ses portraits restent de belle tenue et intéressants en tant que témoignage d’une époque.

Marie-Antoinette prit l’artiste sous sa protection dès 1779, une jeune vestale faisait d’ailleurs partie de ses collections. Bienveillante, la reine lui accorda même un appartement au Louvre qui la fit voisiner avec Hubert Robert, Greuze ou Fragonard.
Un portrait de la souveraine est, il est vrai, tout sauf impérissable ;

Un deuxième n’est connu que par une copie en miniature et ne semble pas non plus très convaincant, les deux figures sont conventionnelles, la reine posant en grand habit.
Plus légère est la représentation de Madame Adélaïde, en tenue moins officielle.

La critique n'étant guère amène, le genre fut abandonné dès 1789.
Cependant, si le portrait de Cour ne fut pas une entière réussite, on ne peut résister à la triomphante et éclatante beauté de Madame Saint-Huberty interprétant Didon dans l’opéra éponyme de Piccinni (1785).

Il est temps de refermer la fenêtre, mais, avant de nous dire au revoir, la délicate femme-peintre, nous offre des fleurs, elle les peignait à merveille. Ses compositions mêlent encore aux fleurs des fruits ou des objets, elles sont certes peintes avec brio mais s’inscrivent dans un ensemble décoratif enlevé et riche, quelque peu maniéré ; plus sensible est la composition de printemps dans sa précieuse jardinière du plus pur style Louis XVI.

Pour illustrer l’estime en laquelle la tenait la souveraine, comment résister à la tentation de rapporter l’anecdote consignée par Madame Campan ? Aux heures sombres, la fidèle première femme de chambre qui partageait l’intimité de Marie-Antoinette fut chargée par cette dernière de mettre en sécurité des papiers compromettants : c’est à Anne Vallayer-Coster que Madame Campan remit les documents…



Sous la Révolution, Anne Vallayer-Coster resta fidèle à la Reine ; entre 1790 et 1795 elle n’exposa plus et passa les années de tourmente à Villemomble. Elle s’éteint en 1818 dans son appartement rue du Coq-Héron.
HENRI-PIERRE RODRIGUEZ


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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 45764
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
Merci pour cet exposé illustré.
Généralement, j'aime beaucoup ses bouquets de fleurs...
Généralement, j'aime beaucoup ses bouquets de fleurs...

La nuit, la neige- Messages : 14752
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
Anne Vallayer Coster est certainerment une de mes peintres préférées. D'ailleurs j'ai déjà copié trois de ses tableaux qui sont d'une complexité à toute épreuve. Eleve de Chardin elle sait comme lui traduire légéreté, et sensations. Elle fait même parfois preuve de ses élans royalistes comme dans le tableau qu'elle fait au début de la restauration avec des lis blancs. Ses natures mortes ont des sujets variés poissons et verres, gibiers, fruits, mais là ou elle excelle c'est dans le mélange des fleurs et des fruits avec des matières minérales complexes (vase en porphyre, en albâtre, en lapis etc). un des ses tableaux les plus connus est :
Panaches de mer, lithophytes et coquilles
1769
Huile sur toile - 97 cm x 130 cm
Je n'arrive pas à insérer une image (on a change de programme ?)
Musée du Louvre, Paris
Panaches de mer, lithophytes et coquilles
1769
Huile sur toile - 97 cm x 130 cm
Je n'arrive pas à insérer une image (on a change de programme ?)
Musée du Louvre, Paris
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Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 2923
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 62
Localisation : près des Cordeliers...
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
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Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 2923
Date d'inscription : 02/01/2014
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Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
;
Notre cher François a fait la jolie copie de l'un de ces bouquets, tu te souviens ?
https://marie-antoinette.forumactif.org/t385p25-les-creations-de-francois?highlight=cr%C3%A9ations
La nuit, la neige a écrit:
Généralement, j'aime beaucoup ses bouquets de fleurs...![]()
Notre cher François a fait la jolie copie de l'un de ces bouquets, tu te souviens ?

https://marie-antoinette.forumactif.org/t385p25-les-creations-de-francois?highlight=cr%C3%A9ations
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Mme de Sabran- Messages : 45764
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
Mais oui ! :\\\\\\\\:
Et quelles sont les nouvelles réalisations ?
Et quelles sont les nouvelles réalisations ?
La nuit, la neige- Messages : 14752
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
... d'Anne ou de François ?!! boudoi26
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Mme de Sabran- Messages : 45764
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
Ce sont des lots présentés à l'occasion d'une vente aux enchères organisée par l'étude Artcurial Paris, ce 23 mars 2017.
La notice de l'expert est intéressante, j'en recopie quelques extraits...
Anne Vallayer-Coster Paris, 1744 - 1818
Bouquet de roses
Aquarelle gouachée
Signée et datée 'Mde Coster-Vallayer / An XII.' dans le bas

Provenance :
Collection de S.M. l'impératrice Joséphine de Beauharnais, au Château de Saint-Cloud puis à la Malmaison ;
Puis par descendance à son fils le prince Eugène de Beauharnais, en 1814 ;
Sa vente, Paris, 1829, n° 616 ;
Commentaire :
« [Anne Vallayer-Coster] soutint constamment dans le genre qu'elle avait adopté, celui des fleurs, la haute réputation qu'elle s'était acquise et qu'elle disputait aux professeurs les plus renommés. [1] ».
Cette femme peintre, agréée puis reçue à l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1770, figure aux côtés d'Elisabeth Vigée-Lebrun ou encore de Suzanne Giroust (l'épouse du peintre Alexandre Roslin) parmi les rares artistes féminines académiciennes du XVIIIe siècle français.
Peintre de nature morte ayant pleinement assimilé les leçons de Chardin, elle s'illustra également dans la peinture de fleurs qui connaissait un réel succès auprès des amateurs.
Cet art de rendre les fleurs avec une précision de botaniste lui avait été enseigné par Madeleine Basseporte, peintre du Jardin des Plantes.
Bien avant Redouté et ses aquarelles d'une exactitude toute scientifique, Anne Vallayer-Coster traite dans notre dessin de la fragilité des fleurs avec la poésie du XVIIIe siècle français.
Si ces représentations de fleurs isolées sur papier constituaient dans la plupart des cas des études préparatoires à de plus larges compositions, elles étaient fort appréciées et avaient leur place au Salon, où Anne Vallayer-Coster en exposa régulièrement.
Notre Bouquet de roses fut ainsi présenté en 1804 en pendant avec un Bouquet de dahlias aujourd'hui conservé au musée Napoleon d'Arenenberg.

Ces délicates aquarelles sur papier avaient été réalisées pour l'impératrice Joséphine, ainsi que l'indique la correspondance de Vivant-Denon.
Elles furent séparées après sa mort, le Bouquet de dahlias rejoignit les collections de sa fille la reine Hortense de Beauharnais et resta au château d'Arenenberg, tandis que notre Bouquet de roses échut au prince Eugène et fit partie de sa vente après-décès.
[1]. Notice des tableaux de fleurs peints par Mme Vallayer-Coster (…) provenant du cabinet de feu M. et Mad. Coster, vente à Paris, 1824, introduction par Paillet
* Source et Infos complémentaires : http://www.artcurial.com/fr/asp/fullCatalogue.asp?salelot=3034++++++75+&refno=10594622#sthash.RpT2lUeN.dpuf
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Nous remarquons sur ce dessin sa signature où Coster apparaît placé avant Vallayer (son nom de jeune fille).

La notice de l'expert est intéressante, j'en recopie quelques extraits...

Anne Vallayer-Coster Paris, 1744 - 1818
Bouquet de roses
Aquarelle gouachée
Signée et datée 'Mde Coster-Vallayer / An XII.' dans le bas

Provenance :
Collection de S.M. l'impératrice Joséphine de Beauharnais, au Château de Saint-Cloud puis à la Malmaison ;
Puis par descendance à son fils le prince Eugène de Beauharnais, en 1814 ;
Sa vente, Paris, 1829, n° 616 ;
Commentaire :
« [Anne Vallayer-Coster] soutint constamment dans le genre qu'elle avait adopté, celui des fleurs, la haute réputation qu'elle s'était acquise et qu'elle disputait aux professeurs les plus renommés. [1] ».
Cette femme peintre, agréée puis reçue à l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1770, figure aux côtés d'Elisabeth Vigée-Lebrun ou encore de Suzanne Giroust (l'épouse du peintre Alexandre Roslin) parmi les rares artistes féminines académiciennes du XVIIIe siècle français.
Peintre de nature morte ayant pleinement assimilé les leçons de Chardin, elle s'illustra également dans la peinture de fleurs qui connaissait un réel succès auprès des amateurs.
Cet art de rendre les fleurs avec une précision de botaniste lui avait été enseigné par Madeleine Basseporte, peintre du Jardin des Plantes.
Bien avant Redouté et ses aquarelles d'une exactitude toute scientifique, Anne Vallayer-Coster traite dans notre dessin de la fragilité des fleurs avec la poésie du XVIIIe siècle français.
Si ces représentations de fleurs isolées sur papier constituaient dans la plupart des cas des études préparatoires à de plus larges compositions, elles étaient fort appréciées et avaient leur place au Salon, où Anne Vallayer-Coster en exposa régulièrement.
Notre Bouquet de roses fut ainsi présenté en 1804 en pendant avec un Bouquet de dahlias aujourd'hui conservé au musée Napoleon d'Arenenberg.

Ces délicates aquarelles sur papier avaient été réalisées pour l'impératrice Joséphine, ainsi que l'indique la correspondance de Vivant-Denon.
Elles furent séparées après sa mort, le Bouquet de dahlias rejoignit les collections de sa fille la reine Hortense de Beauharnais et resta au château d'Arenenberg, tandis que notre Bouquet de roses échut au prince Eugène et fit partie de sa vente après-décès.
[1]. Notice des tableaux de fleurs peints par Mme Vallayer-Coster (…) provenant du cabinet de feu M. et Mad. Coster, vente à Paris, 1824, introduction par Paillet
* Source et Infos complémentaires : http://www.artcurial.com/fr/asp/fullCatalogue.asp?salelot=3034++++++75+&refno=10594622#sthash.RpT2lUeN.dpuf
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La nuit, la neige- Messages : 14752
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
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« La mode est à la France ce que les mines du Pérou sont à l'Espagne » Colbert.
Marie-Jeanne- Messages : 1134
Date d'inscription : 16/09/2018
Re: Anne Vallayer-Coster, chef du cabinet de peinture de Marie-Antoinette
Enfin un portrait de femme qui ne ressemble pas à la Barbie selon les canons XVIIIème et que nous pouvons donc imaginer ressemblant !
Il me plaît beaucoup, les mains sont d'une délicatesse !
Merci, chère Marie-Jeanne .
Et pour Mme Vallayer-Coster, l'indispensable : 
Il me plaît beaucoup, les mains sont d'une délicatesse !
Merci, chère Marie-Jeanne .


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