Le Jeu de l'Hiver

Non !

Est-elle de la Cour ?

Est-elle connue autrement ?

Est-elle du parti des philosophes ? Une proche de Voltaire ?

Mme de Graffigny ?

Mme Dupin ?

Lucius a écrit:

Lucius a écrit:noble dame ou bourgeoise ?

Non; cela ressemble plutôt à de la roture à la base.

Mme de Graffigny et Mme de Tencin avait de l'embonpoint, n'était-ce pas l'un de vos indices ?

Lucius a écrit:Est-elle de la Cour ?

Est-elle connue autrement ?

Oui parce qu'elle a écrit des romans.

Pas de la cour.

Lucius a écrit:Est-elle du parti des philosophes ? Une proche de Voltaire ?

Pas du tout !

Lucius a écrit:Mme de Graffigny ?

Mme Dupin ?

Et non !

Lucius a écrit:Mme de Graffigny et Mme de Tencin avait de l'embonpoint, n'était-ce pas l'un de vos indices ?

Oui Lulu ! Claudine de TENCIN
 La voici : 

Claudine Guérin de Tencin




[ltr][size=14]Claudine-Alexandrine Guérin de Tencin

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Données clés



[th]Naissance[/th][th]Décès[/th][th]Activité principale[/th]

27 avril 1682 Grenoble

4 décembre 1749 Paris

Femme de lettres, salonnière

Auteur
[th]Langue d’écriture[/th]

Français

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Claudine-Alexandrine-Sophie Guérin de Tencin, baronne de Saint-Martin de l’isle de Ré, née le 27 avril 16821 à Grenoble, morte le 4 décembre 1749 à Paris, est une femme de lettres qui tenait un salon célèbre. Elle est la mère de Jean d'Alembert.
Après vingt-deux années passées de force au couvent, elle s'installe à Paris en 1711 et est introduite dans les milieux du pouvoir par ses liens avec le cardinal Dubois. Six ans plus tard, elle ouvrira l'un des salons les plus réputés de l'époque appelé le « bureau d'esprit »2. D'abord essentiellement consacré à la politique et à la finance avec les spéculateurs de la banque de Law, ce salon devient à partir de 1733 un centre littéraire. Les plus grands écrivains de l’époque le fréquentent, en particulier Fontenelle, Marivaux, l’abbé Prévost, Charles Pinot Duclos et plus tard Marmontel, Helvétius, Marie-Thérèse Geoffrin et Montesquieu.
Madame de Tencin a publié aussi avec succès quelques romans dont les Mémoires du comte de Comminge en 1735, Le Siège de Calais, nouvelle historique en 1739 et Les Malheurs de l’amour en 1747.[/ltr]

J'avais déjà proposé Mme de Tencin !

Comment oublier cette mère indigne du pauvre d'Alembert ?
Mais ce n'est pas grave, prends donc la main, mon petit Lulu, parce que je n'ai rien sous le coude .

Mais non, elle vous revient de droit !!

Il n'y a vraiment pas de quoi, pigeonneau !

Mme de Sabran a écrit:Comment oublier cette mère indigne du pauvre d'Alembert ?

C'était vraiment une grosse vache cette bonne femme !  :::!!!ùùù^^^^:

Que j'ai honte

Qu'on lui tranche la tête !

Lucius a écrit:Mais non, elle vous revient de droit !!

Bon, d'accord, je cherche la prochaine !

Devinette !  

En l'an de grâce 1777, quelle dame de la Cour est comparée ( par sa mère indulgente )  à Godefroy de Bouillon ?
...   et pourquoi ?

Enjoy ! :n,,;::::!!! :n,,;::::!!!:

Pas pour une ressemblance physique je suppose

Pour son courage ? Sa fortitude ? Sa clémence ? Son sens de la justice ? Son goût pour les voyages et autres croisières culturelles ?

Une duchesse ? Une maréchale ?

Non, non, et non, à tout cela ! :

Est-ce une comparaison flatteuse ?

La fille est-elle titrée ? Est-elle jeunette ?

La comparaison, mi-figue mi-raisin, se voulait drôle et sans doute gentille .
La fille est titrée . Elle n'est plus jeune .

l'une ou l'autre est (relativement) connue ?

Dans le cercle Polignac ?

Les deux sont très connues .
Rien à voir avec les Polignac ( à ma connaissance ... )