Notre Jeu du Printemps !

Et pourquoi qu'est-ce ça que le marquis et moi ne sommes pas de vos invitèches?                              

... Parce que ya toujours bon manger chez vous ... 

Nous ne sommes pas sous les Stuart, mais les Hanovre.

Georges Ier

Sous Georges 1er oui.

Moi aussi je vais être indisponible ce soir, donc je vous aiguillerai demain.

L’une des deux est-elle sa maîtresse, la Kielmansegg ?

L'une est de sang royal disiez vous.

Sa fille, Sophie ?

Une de ses filles illégitimes ? La mère de celles-ci, Mélusine von der Schulenburg ?

...   de son nom de jeune-fille : Engrève, nous précisait aimablement Momo .  

Les noms ont été cités par Momo et Lucius .

Voici un petit résumé extrait de " Chronique de l'Angleterre "

" Londres, 1719,

La maisonnée qui accompagne Georges l'Allemand " est une foule bigarrée composée de sa maîtresse, de sa demi-sœur  de 44 ans et d'autres Allemands, dont peu parlent anglais. Connaissant peu le pays et les gens, il est facile de les soudoyer pour obtenir des charges, des titres ou des faveurs.
Mélusine von der Schulenberg, duchesse de Kendal, est âgée de 50 ans. Elle est la maîtresse du roi depuis 27 ans. Une " femme très grande, maigre, peu gâtée ". Elle toucherait des pots de vin de politiciens qui comptent sur elle pour persuader le roi de faire ce qu'ils souhaitent. Elle n'est pas particulièrement intelligente et est également peu appréciée du peuple qui la surnomme " la grande perche ".
Georges lui reste néanmoins fidèle.
La vive Sophia bon Kielmannsege est la demi-sœur illégitime de Georges. Au contraire de la duchesse de Kendal, elle a un physique impressionnant aux formes non serrées dans les corsets que portent les élégantes. Les Londoniens l'ont grossièrement nommée " L'éléphant ". Le roi va la faire comtesse de Darlington, mais a refusé de régler ses dettes qui sont si importantes que l'on prétend qu'elle a du se déguiser pour fuir Hanovre. "

Sur tous ces personnages plane la sombre affaire Koenigsmark.

Ah, d'accord ! Je n'aurais jamais trouvé, Domi .

Je laisse la main volontiers à Lucius. Au passage, je recommande la biographie de George III par Ghislain de Diesbach, et qui nous eclaire à titre de préambule sur cette période.

Intéressant.

l'affaire Koenigsmark ?

Voici une vue du chevet de Saint-Eustache. A droite un projet de fontaine qui n'a jamais été réalisé.

Le petit édifice central, qui existe encore aujourd'hui, fut bâtie autours de 1780 par l'architecte de la Ville de Paris, Moreau-Desproux, l'auteur de l'actuelle cour d'entrée du Palais Royale.

A l'étage, avec les grandes baies cintrées, se trouvait la sacristie. Le Trésor de l'Eglise était placé au dessus.

Quel pouvait-être l'usage de l'étage inférieur, au rez de la chaussée ?

En voici une jolie gravure !

Le même bâtiment, aujourd'hui.

Mme de Sabran a écrit:
En voici une jolie gravure !  

Dessin ; aquarelle et plume.

Lucius a écrit:

Quel pouvait-être l'usage de l'étage inférieur, au rez de la chaussée ?

Quelqu'un y loge ?

Un lien avec ce que semble "tailler" le tailleur de pierre, premier plan, à droite ; et ces sortes de "bornes" que nous voyons disposées à l'entrée du rez-de-chaussée ? Des stèles funéraires ?

Les bornes sont celles de la fontaine dont vous devinez un lion au bord à droite. Je suppose que le tailleur de pierre est décoratif, ou alors en lien avec le chantier de ladite fontaine.

Il ne s'agit pas du logement de quelqu'un en particulier, même si je ne garantis pas que personne n'y couche éventuellement.

Un atelier de fabrication ... des cierges par exemple ?
Un endroit frais pour les fleurs de l'église ?
Une pièce pour ranger les aubes ,

Joli, mais non !

C'était bien une pièce en rapport avec l'exercice du culte, au moins ?

... une activité profane ? une boutique ? un bistroquet ?