Notre Jeu de l'Eté !

Je viens de voir que vous avez trouvé ! Bravo !

A ma connaissance non, c'est un titre de courtoisie dans cette circonstance, mais je vais revenir pour développer cette question.

Probablement est-ce plutôt la reconnaissance de son titre de duchesse d'Albany, plutôt que l'érection d'un duché à part entière ?

Vous trouverez des renseignements intéressants sur cette question Lucius dans "  Bonnie Prince Charlie ", rubrique Les Hommes du XVIIIe siècle, page 8.

La reconnaissance de paternité de Charles-Edouard avec octroi d'un titre ducal pour sa fille confirmé par Louis XVI, ne fut pas associée à une dotation territoriale ni en Grande-Bretagne ou le prétendant n'avait pas de moyens légaux ni en France  où on se contenta d'enregistrer le titre.

Dominique Poulin a écrit:Vous trouverez des renseignements intéressants sur cette question Lucius dans " Bonnie Prince Charlie ", rubrique Les Hommes du XVIIIe siècle, page 8.
.

Quelle coïncidence ! Justement, hier ( je suis toujours dans les lettres échangées au moment de l'arrivée de Madame Royale à Vienne ) , je voyais Marie-Thérèse écrire à Mesdames Tantes qu'elle avait eu de leurs nouvelles par Bonnie Prince Charlie ( elle l'appelle M. Albany ) de passage à Vienne. Et comme il devait retourner à Rome incessamment-sous-peu, il leur en apporterait d'elle-même .

Je ne comprends pas... Charles-Edouard Stuart est mort en 1788.
C'est quelqu'un d'autre alors...

En effet ! La lettre date du 25 février 1796 .
Voici une énigme à résoudre pour notre spécialiste, j'ai nommé mon petit Lulu .
Je saute poster cette lettre !

La voici :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t4675-lettre-de-madame-royale-a-mesdames-tantes#145958

Le cardinal d'York, duc d'Albany une fois devenu le prétendant, ou alors le fils de Charlotte, Charles Edouard ?

Oui sans doute, je ne vois que lui ...
Merci, mon cher petit Lulu .

Peut-être le cardinal est-il bien âgé pour sillonner ainsi à travers l'Europe .

Je cherche une nouvelle énigme.

Mme de Sabran a écrit:Peut-être le cardinal est-il bien âgé pour sillonner ainsi à travers l'Europe .

En effet

Mon grand-père paternel fut souverain mais pas roi, tandis que mon cousin germain fut doublement roi, tout comme ma fille fut doublement reine.

Ma mère et sa belle-sœur incarneront chacune deux camps rivaux irréconciliables.

Qui suis-je ?

Louis-Philippe ?

Non.

Un napoléonide ?

non plus

Quelques questions préliminaires :

- Notre personnage central est-il du XVIIIe siècle ?

- Sa parentèle dans notre cas de figure déborde t-elle un peu au XVIIe et/ou au XIXe siècle ?

- Notre personnage est féminin ou masculin ?

1) non
2) elle déborde un peu au XVIIe.
3) féminin

- Notre personnage féminin est-il du XVIe siècle ?

- Sa fille fut doublement reine : deux fois à deux moments différents ou en même temps ?

- Son grand-père paternel fut souverain mais sans la dignité royale : fut-il comte, duc, prince, grand-duc.... ?

- Notre personnage est-il européen et si oui :
. français ?
. anglais ?
. allemand ?
. espagnol ou portugais ?
. italien ?
. russe ?
. scandinave ?

Dominique Poulin a écrit:- Notre personnage féminin est-il du XVIe siècle ?

Oui

Dominique Poulin a écrit:- Sa fille fut doublement reine : deux fois à deux moments différents ou en même temps ?

En même temps. Comme le cousin.

Dominique Poulin a écrit:- Son grand-père paternel fut souverain mais sans la dignité royale : fut-il comte, duc, prince, grand-duc.... ?

duc (les grands-ducs n'existent qu'en Russie et aux XIXe et XXe siècle)

Dominique Poulin a écrit:- Notre personnage est-il européen et si oui :
. français ?
. anglais ?
. allemand ?
. espagnol ou portugais ?
. italien ?
. russe ?
 . scandinave ?

Elle se considérait elle même comme française je pense (en tout cas francophone), mais elle a beaucoup voyager.

Marie de Guise mère de Marie Stuart ?

Oui ! Et qui est le cousin germain ?

Henri IV ?

Oui !

Je n'avais jamais réalisé que Marie de Guise était la cousine germaine d'Henri IV, et que la fondatrice du clan Guise était la belle-sœur de l'âme du parti calviniste, Jeanne d'Albret.