Le Jeu de l'hiver !

Un opéra ? De Grétry ?

Une poème, une bluette ?

... un peu plus épais ...

un roman ?

une opérette ?

Lucius a écrit:un roman ?

... oui, un roman sentimental ...

Majesté a écrit:Alors? à cause d'une oeuvre du chevalier de Saint-Georges, qui s'intitule Ernestine?

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Il est vrai, me dit Wiki, que Laclos en tira un drame lyrique mis en musique par le chevalier de Saint–Georges, en 1777.

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Alors ?!!
Avouez que je ne puis vous en dire davantage ...

l'opéra comique Ernestine

Mais c'est Majesté qui a trouvé.

Le 19 juillet 1777, Ernestine, opéra comique de Laclos, retouchées par M. Desfontaines, musique de Saint-Georges est joué au Théâtre de la Comédie Italienne à Paris en juillet 1777. Ernestine, comédie à ariettes en trois actes d’après l’œuvre de Marie-Jeanne Riccoboni, le premier opéra de Saint-George, ne survécut pas à la première représentation. La faiblesse des paroles entraîna la chute de la musique.

Marie-Antoinette assista-t-Elle à cette représentation alors que s'officialisait Sa première grossesse?

Bien à vous.

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;;;;;;;;;;;   Majesté ! ... à toi la main !!! :n,,;::::!!!:





Marie-Jeanne Riccoboni  (25 octobre 1713 - 7 décembre 1792 à Paris) est une comédienne et romancière française.
La voici encore :



Elle est l'auteur d'un roman sentimental qui fait fureur ...



... et aurait inspiré à la reine Marie-Antoinette le surnom de sa protégée la petite Lambriquet .

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Allez, je me lance !

En quoi "Ô Bonheur!" pourrait être la devise de la famille Fersen? :

A vous !

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... la devise de la famille Fersen, tous les Fersen, pas seulement Axel ???

Alors, voyons voir, la devise des Fersen est : «Nec citra, nec ultra», c'est-à-dire «Ni en avant, ni en arrière»... tandis que, ô bonheur, vole par-dessus les vagues leur petit poisson .

"Ô Bonheur!" est en italique, donc une citation . De quoi ? ... un poème ?

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«Nec citra, nec ultra», c'est-à-dire «Ni en avant, ni en arrière»...  
«Ni en avant, ni en arrière»... ni avant, ni après . avant l'heure, c'est pas l'heure . Après l'heure, c'est plus l'heure . 
...   ni avant, ni après .   L'heure, c'est l'heure .
L'heure, c'est l'heure . Oh ! bonne heure !!!
Oh ! bonne heure !!!   ... "Ô Bonheur!"  



...   .....  boudoi26 .....  .......  



40544810

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Mme de Sabran a écrit:...   la devise de la famille Fersen, tous les Fersen, pas seulement Axel ???  

Pas tous , mais pas tout à fait Axel non plus

Alors, voyons voir,  la devise des Fersen est : «Nec citra, nec ultra», c'est-à-dire «Ni en avant, ni en arrière»...   tandis que, ô bonheur, vole par-dessus les vagues leur petit poisson .

et non pas... comme a dit Jean-Pierre Foucault

Mme de Sabran a écrit:"Ô Bonheur!" est en italique, donc une citation .   De quoi ? ...   un poème ?

YES ! Une citation...mais pas celle d'un poème !


Bien à toi qui cogites grave ! :

Majesté a écrit:
YES ! Une citation...mais pas celle d'un poème !

« Ah que je fus bien inspirée quand je vous reçus dans ma cour »   ... " Ô Bonheur! "  

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Certes...mais non !

Ne cherche pas forcément dans le lyrique... ni la littérature... :

Bien à toi !

...    pas la littérature ?!!   ;;;; alors dans une correspondance ?  :n,,;::::!!!:

Mme de Sabran a écrit:...    pas la littérature ?!!    ;;;; alors dans une correspondance ?  :n,,;::::!!!:

Pas vraiment, non... :

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Dis donc, Majesté, au fait ! Pourquoi Jean-Pierre Foucaud ???

Pourquoi?
Pour ça :

: :

Bien à vous.

... par devant, par derrière !!!



tristement comme toujours ...

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Et pourquoi : " tristement comme toujours " ?


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Ben, tiens pardi ! : à cause de La Romance du Quatorze Juillet !

Elle avait seize ans à peine,
Elle sentit battre son p'tit coeur,
Un beau soir pour le mec Eugène,
Marinette a cru au bonheur,
Et le soir d' la fêt' nationale,
Quand la bombe se pèt' en l' air,
Elle sentit au contact du mâle,
Un frisson lui parcourir la chair.

Par devant par derrière,
Tristement comm' toujours
En fermant les paupières,
Elle a connu l' amour.
Les oiseaux dans les branches,
En les voyant s' aimer,
Entonnaient la romance
Du quatorze juillet.

Mais quand refleurit l' aubépine,
Aux premiers jours du printemps,
Hélas la pauvre gamine,
Mit au monde un petit enfant.
Mais l' Eugène qu' est un mec à la coule,
Lui dit ton lardon j' m' en fous
Tu l' as fait maint'nant j' me les roule,
A ta place je lui tordrais le cou.

Par devant par derrière,
Tristement comm' toujours,
Fallait voir la pauv' mère,
Et son gosse de huit jours.
Sans chichis sans manières,
Ell' y a tordu l' kiki
Puis dans l' trou des vatères,
Elle a jeté son p'tit.

Mise au ban de la cour d' assises
Comme à çui d' la société,
La jeune femme fut tendre et soumise,
Un beau soir de quatorze juillet.
Elle croyait entendre son gosse,
appelait sa ...Maman!
En entendant l' verdict atroce
Qui la condamne au bagne
Pour quinze ans.

Par devant par derrière,
Tristement comme toujours,
Elle est morte la pauv' mère,
A Cayenne un beau jour.
Morte dans l' espérance,
D' entendre son bébé,
Lui chanter la romance
Du quatorze juillet.


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Merci pour la culture !
ça rend la gaffe du présentateur quelque peu moins triviale...quoique ...

Bien à vous.