Mémoires. De Madame Roland
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Mémoires. De Madame Roland
Sont réédités ce mois-ci, au format poche, les célèbres...
Mémoires
Madame Roland
Mercure de France, Le temps retrouvé (Mai 2022)
640 pages
Présentation :
Fille d’un maître graveur parisien, Jeanne Marie Phlipon naît en 1754. Intelligente, elle possède un caractère ferme et résolu, et lit beaucoup : Rousseau, Scarron, Montesquieu, Voltaire… En 1780, elle épouse Jean-Marie Roland de la Platière, un financier du roi : c’est tout naturellement que madame Roland ouvre alors son salon, où se pressent les hommes influents de son temps, notamment Robespierre. Là, elle rencontre l’Histoire, et l’Histoire ne va plus la lâcher.
Lorsque son mari devient ministre de l’Intérieur, en 1792, elle pense qu’elle triomphe. Et avec elle l’idéal révolutionnaire : Plutarque, les stoïciens, la justice, l’égalité, la vertu. Mais c’est compter sans le vent de l’histoire, qui tourne. Les Girondins ont tous fréquenté son salon. Devenue leur égérie, elle devient suspecte, comme eux, et comme eux elle est condamnée par le Tribunal révolutionnaire. Elle meurt guillotinée le 8 novembre 1793 à Paris.
C’est toute la Révolution qui défile dans ses Mémoires, avec ses frémissements et ses violences.
Le portrait en couverture est charmant, et il est réputé être celui de Manon Roland...et pourtant, ce n'est pas le cas !
C'est le musée des Beaux-Arts de Quimper, qui conserve cette peinture, qui le signale très clairement sur le site de ses collections en ligne.
Portrait de femme
Adélaïde Labille-Guiard
Huile sur toile, vers 1787
Image : Musée des Beaux-Arts de Quimper / Commons Wikimedia
Je vous renvoie à notre sujet biographique consacré à cette célèbre " égérie de la Révolution ", ici :
Manon Roland (1754 - 1793)
Mémoires
Madame Roland
Mercure de France, Le temps retrouvé (Mai 2022)
640 pages
Présentation :
Fille d’un maître graveur parisien, Jeanne Marie Phlipon naît en 1754. Intelligente, elle possède un caractère ferme et résolu, et lit beaucoup : Rousseau, Scarron, Montesquieu, Voltaire… En 1780, elle épouse Jean-Marie Roland de la Platière, un financier du roi : c’est tout naturellement que madame Roland ouvre alors son salon, où se pressent les hommes influents de son temps, notamment Robespierre. Là, elle rencontre l’Histoire, et l’Histoire ne va plus la lâcher.
Lorsque son mari devient ministre de l’Intérieur, en 1792, elle pense qu’elle triomphe. Et avec elle l’idéal révolutionnaire : Plutarque, les stoïciens, la justice, l’égalité, la vertu. Mais c’est compter sans le vent de l’histoire, qui tourne. Les Girondins ont tous fréquenté son salon. Devenue leur égérie, elle devient suspecte, comme eux, et comme eux elle est condamnée par le Tribunal révolutionnaire. Elle meurt guillotinée le 8 novembre 1793 à Paris.
C’est toute la Révolution qui défile dans ses Mémoires, avec ses frémissements et ses violences.
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Le portrait en couverture est charmant, et il est réputé être celui de Manon Roland...et pourtant, ce n'est pas le cas !
C'est le musée des Beaux-Arts de Quimper, qui conserve cette peinture, qui le signale très clairement sur le site de ses collections en ligne.
Portrait de femme
Adélaïde Labille-Guiard
Huile sur toile, vers 1787
Image : Musée des Beaux-Arts de Quimper / Commons Wikimedia
Je vous renvoie à notre sujet biographique consacré à cette célèbre " égérie de la Révolution ", ici :
Manon Roland (1754 - 1793)
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
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