Notre Jeu du Printemps !

... le pavillon de Mme de Balbi, à Versailles ?

Rhooooo.... bah voyons ? Que t'arrive-t-il ?

J'ai écrit pas ,

... ben quoi ?

Gouverneur Morris a écrit:

J'ai écrit pas ,

Je n'avais pas vu ... toutes mes confuses !

Alors, ni Artois, ni Provence ... un de leurs cousins princes du sang !

Mais si, Provence, mais !!!!

Tu as besoin de vacances Eléo

Gouverneur Morris a écrit:

Tu as besoin de vacances Eléo

...   si tu savais à quel point ! ;;;;;;;   

L'épouse de Provence ?

Mais oui !

Où donc ?

Je ne suis pas absolument sûr, mais je crois bien qu'il s'agit du Pavillon Madame dans le quartier de Montreuil à Versailles

Bravo !!! À vous la main !!!!

Shame on me ...

Après m'être un peu promené dans Montreuil, me voici avec une modeste énigme : quelle forte cylindrée de l'époque de la Terreur inventa et voulut développer la mode des sabots ? Inutile de préciser qu'ils auraient certainement fait sensation et désordre dans le Pavillon   Madame

Par cylindrée, entendez-vous voiture ? ... et par sabots, les gros godillots de bois dont se chaussaient les paysans ?

"Cylindrée" C'est évidemment une image, comme on dirait un gros cube, une huile, une grosse légume, un gars connu et influent. Les sabots : oui les sabots traditionnels, fourrés avec de la paille en hiver, de toujours !

Etaient-ce des sabots pour jouer une pièce de théâtre champêtre ? ... pour une activité particulière ? potager, jardinage ?

un inventeur prolixe?

C'était pour afficher une conviction politique, une sorte d'uniforme dans le vent politique, quelque chose ressemblant à l'espèce de complet gris-noir strict en vigueur durant de longues années dans la Chine communiste

... le duc d'Orléans se déguisant en Sans-Culotte ?

Pour ne pas s’égarer dans les Courtenay, je pense qu’il faut bien voir qu’après la première maison de Courtenay (avec les noms prestigieux d’Edesse, de Jérusalem etc et ses deux branches), il y eut  la maison capétienne de Courtenay (avec des noms sans doute encore plus prestigieux car si Jérusalem avait une valeur symbolique très forte, la valeur politique de Constantinople primait sur tout dans le reste de tout le Moyen Orient.Ces deux maisons n’ont qu’un seul point commun : Elisabeth de Courtenay,héritière de la première maison, qui par son mariage avec Pierre de France,fils du roi Louis VI, lui transmit tout cet héritage (je sais bien que ce fils de France a simplement repris le blason de sa femme, oui… mais les fleurs de lys n’étaient pas encore obligatoires dans le milieu des fils de France--- j’anticipe un peu avec ce titre qui fait assez XVIIe siècle !). Leur descendance mâle et légitime se maintint jusqu’en 1733. Cette maison capétienne s’éteignit pour de bon en 1768 avec la mort d’Hélène de Courtenay, qui avait épousé un Bauffremont, tant et si bien que le chef de cette maison porte toujours, d’âge en âge, les titres de prince duc de Bauffremont… et prince de Courtenay !     Je ne pense pas que Louis XIV ait fait grief de quoi que ce fût aux Courtenay de son époque. Non, il faisait comme ses prédécesseurs Valois : toujours repousser les frontières vers l’Est et le Nord. Alors, perdre du temps précieux à examiner de plus près les revendications de cousins éloignés pas très présentables, qui feraient tache dans les réunions de famille….. on verra cela plus tard….Il y avait bien plus urgent : par exemple la succession lorraine et à terme l’annexion pure et simple de cette marche très importante… mais Louis XIV ne pouvait aucunement prévoir le terrible coup de boomerang doublé d’un épouvantable retour de manivelle auxquels il exposait ses successeurs si subitement s’ouvrait un conte uchronique (affaire à suivre) !

Le duc d'Orléans n'était pas le seul citoyen invité à revêtir une tenue "citoyenne"

Cherchons- nous un aristocrate qui s'habillait en homme du peuple ? ... homme ou femme ?
En tout cas, pas Marie-Jean Hérault de Séchelles !

C'était un homme, pas un aristocrate se déguisant en homme du peuple.Originaire du Nivernais. Un indice il a troqué son prénom contre un autre nettement plus exotique. Il a occupé une fonction importante au sein de la commune de Paris

Gracchus Babeuf ?

Non! Mais voici un double indice pour notre homme, de taille ! Procureur syndic de la commune de Paris, il avait repris le nom d'un philosophe grec de l'Antiquité.