Notre Jeu du Printemps !

Merci, Milady, pour votre recherche et ce très mignon smiley ( que j'enregistre ) , mais c'est notre ami Le Créateur qui nous donne la bonne réponse !

"Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage"

Car, en effet, ceux qui voulaient la mort de Marie-Antoinette l'accusaient de toutes les horreurs possibles et imaginables ( pour justifier son exécution, bien-sûr )


A vous la main, cher Monsieur !

Bravo cher Créateur.

Merci pour cette main, qui doit tout à ce petit chien, véritable éclaireur pour pénétrer dans l'énigme. Ce proverbe fait même plus qu'illustrer le procès de Marie-Antoinette, si bien que ce procès est devenu le modèle parfait de tous les procès politiques qui ont défiguré les années qui ont suivi jusqu'à présent.
Retournons à Paris pour une énigme bien différente.
En 1660 les Parisiens plantèrent trois peupliers au bas du Pont-Neuf, plus précisément sur la pointe occidentale de l’île de la Cité, mais dans quel but ?

Est-ce pour rendre hommage à un événement ?
Le mariage de Louis XIV avec l'infante d'Espagne ?

est-ce le lieu que l'on nomme aujourd'hui le Square du Vert-Galant ?
Est-ce en souvenir d'Henri IV ?

En souvenir des templiers qui y furent brûlés ?

... pour clore des travaux de restauration, de réparation du pont ?

Bravo, cher Dominique, c’est bien en mémoire du mariage (en 1660 à Saint-Jean-de-Luz) du jeune Louis XIV avec l’infante Marie-Thérèse que les Parisiens plantèrent, quelques mois plus tard, trois peupliers au bas du Pont-Neuf, presque en face du Palais du Louvre. Quand en août 1660, arrivant du sud, le couple royal avait fait son entrée à Paris, il avait été acclamé par un immense concours de peuple. A la génération précédente, une autre infante espagnole, Anne d’Autriche, était devenue elle aussi reine de France, dont son fils Louis XIV fit une manière d’oraison funèbre admirable : « plus qu'une grande Reine, elle fut un grand Roi » Et bien plus tard, une autre archiduchesse d’Autriche (car toutes trois l’ont été, même les deux Espagnoles !) devint à son tour reine de France, mais d’un pays devenu pleinement indigne d’elle. Encore dauphine elle avait été accueillie à Paris comme une véritable et vraie reine de France.
Encore une fois, félicitations, cher Dominique, et à vous la main !
Source : Frantz Funck-Brentano, La Cour du Roi Soleil, Paris, 1937.

Connaissez vous ces deux auteurs qui ont co-écrit un livre sur Marie-Antoinette ?

Moberly et Jourdain ?

Quelle bonne idée !

Relatif aux fantômes de Trianon... Non.

Ces deux auteurs sont-ils du XIXe siècle ? ... du XXe ?

Du XIXe siècle.

Ce livre est-il une biographie  ?
Y a-t-il  " Marie-Antoinette "  dans le titre ?

C'est une biographie, plutôt un essai biographique.
Il y a "Marie-Antoinette" dans le titre.

... début  XIX ? ... fin XIX ?

1858 ? environ 400 pages ?

Les frères Goncourt ?

Ces auteurs sont-ils français ? ... deux hommes ?  ... une femme et un homme ?
Pas Arneth et Geffroy tout de même !  

Or donc, Domi ?!

Ha, désolé, je n'ai plus de temps...
Il s'agissait bien des frères Goncourt, bien avant Pierre de Nolhac, et tous ceux et toutes celles qui ont écrit sur Marie-Antoinette.
Leur "Histoire de Marie-Antoinette", est bien oubliée, mais elle compte dans l'immense bibliographie de la reine.
Je l'ai lue, il y a très longtemps, j'ai le livre chez moi mais je ne l'ai pas retrouvé entre mes bibliothèques et des centaines de livres que j'ai stocké dans mon cagibi, faute de place.
La main, à Gouverneur, bien sûr !

Les frères Goncourt, d'habitude si affreusement misogynes, sont bienveillants avec Marie-Antoinette à laquelle ils rendent même justice. Je les ai aussi quelque part dans mon fourbi .
Bravo, cher Momo !

Serions-nous en panne d'énigme ?!

Ah zut, j'aurais eu le temps jeudi mais plus maintenant... je te laisse la main Eléo !