Les Gardes du Corps du Roi
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Les Gardes du Corps du Roi
Les gardes du corps sont un corps de cavalerie de la Maison militaire du roi de France, sous l'Ancien Régime et la Restauration française. d'après WIKI .
Composée de 1re compagnie (Cie écossaise)
2e compagnie (1re Cie française)
3e compagnie (2e Cie française)
4e compagnie (3e Cie française)
Devise « Erit haec quoque cognita monstris »
« Nec pluribus impar »
Garde du corps de Louis XVI :
... un peu d'Histoire
La première unité des gardes du corps est la garde écossaise créée par le roi Charles VII vers 1423. Cette unité est composée de soldats écossais portant le titre d’archers du corps du roi. Le terme d'archer désigne à l'époque un cavalier légèrement armé, à la différence des gens d'armes ou cavaliers cuirassés. Louis XI adjoignit à cette garde deux compagnies d'archers français. Une quatrième compagnie est créée par François Ier en 1515. Dès cette époque, la compagnie écossaise compte plus de Français que d'Écossais.
Les quatre compagnies de gardes du corps — ce terme supplantant au XVIe siècle celui d'archer du corps — n'ont toutefois aucun lien entre elles. Elles sont dirigées par des capitaines différents, souvent de haut rang. La compagnie écossaise est ainsi souvent commandée par des membres de la famille royale d'Écosse, les compagnies françaises par des maréchaux de France.
En 1664, Louis XIV dote les gardes du corps d'un état-major commun.
Les gardes du corps sont supprimés en 1791. Nombre d'entre eux participent à la contre-révolution. Le corps est rétabli en 1814, mais définitivement supprimé en 1830.
Le recrutement et les fonctions
Benoît Defauconpret dans son ouvrage Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle dit ceci :
« Le recrutement des gardes du corps se fait très majoritairement par cooptation, les candidats étant présentés par des officiers, bas officiers ou gardes de la compagnie. Il faut être né sujet du roi, ancien catholique, de bonnes mœurs, bien fait et mesurant au moins cinq pieds cinq pouces. La solde ne suffit pas à l'entretien, et il faut disposer de quelques revenus. (...). Un garde du corps ne peut servir auprès du roi avant d'avoir un an de réception et de service au quartier. »
Les gardes du corps - vêtus de bleu, veste, culotte et bas rouges, le tout galonné d'argent - « servaient par quartiers, et pendant leurs trois mois (...) passaient alternativement une semaine au château, une à l'hôtel pour les chasses, et la troisième où ils voulaient. Ainsi, cent gardes du corps et quelques centaines de Suisses formaient toute la défense du palais ». Leur service consistait « à monter la garde aux portes des appartements, à prendre les armes quand les princes passaient, à garnir la chapelle pendant la messe et à escorter les dîners de la famille royale ». Ils sont la protection rapprochée du prince.
Avec les Cent-Suisses, les gardes du corps veillent sur le roi à l'intérieur de son palais. Ils assurent la garde des portes du palais la nuit. Dans un déplacement ou une bataille, ils se tiennent à la droite du souverain.
Dans la compagnie écossaise sont choisis vingt-quatre gardes parmi les plus anciens, qui portent le titre de gardes de la manche. Ils sont chargés d'escorter la personne du roi en permanence. Parmi les gardes de la manche, on distingue encore six gardes écossais, chargés des mêmes fonctions lors de cérémonies exceptionnelles telles que sacre ou mariage. Les gardes de la manche se distinguent par le port d'un hoqueton, sorte de casaque blanche brodée d'or portée par-dessus leur uniforme. Ils assurent également la garde du corps du souverain défunt et sa mise en bière.
Privilèges
Les gardes du roi occupent le premier rang de la Maison militaire du roi, devant les chevau-légers et les gendarmes de la garde.
De par leur place près du roi, l'accès aux compagnies de gardes du corps est un privilège envié. Jusqu'au règne de Louis XIV, les places de gardes du corps sont vendues par les capitaines des quatre compagnies. Le roi-soleil met fin à ce privilège en 1664. Il s'attache à faire des gardes du corps une troupe d'élite en y intégrant les meilleurs éléments des régiments de cavalerie de ligne. Les gardes bénéficient de privilèges de noblesse à titre viager. Le rang de garde du corps équivaut à celui de sous-lieutenant de cavalerie et au bout de 15 à 20 ans de service à celui de capitaine de cavalerie.
Quartiers
À Versailles, les gardes du corps du roi sont logés entre la rue de l'Orangerie et l'avenue de Sceaux. Ils ont également des garnisons à l'extérieur de Versailles : Saint-Germain, Chartres et Beauvais.
Insignes
Les gardes portent un habit bleu sur une veste, des culottes et des bas rouges. Cet uniforme leur vaut le surnom de Maison bleue du roi. Ils sont en effet l'un des seuls corps de la maison militaire du roi de France à porter le bleu comme couleur principale.
Les gardes du corps du roi ont d'abord pour devise :
Erit haec quoque cognita monstris (On les reconnaîtra, eux aussi, à leurs actions d'éclat),
puis au temps du roi Louis XIV, Nec pluribus impar (À nul comparable (le soleil)).
Sur leurs épées, on peut lire l'inscription : Vive le Roy.
Deux bâtons d'ébène à pomme d'ivoire en sautoir.
D'un point de vue héraldique, les capitaines, chefs de corps des compagnies, pouvaient poser leur écu sur deux bâtons d'ébène à pomme d'ivoire disposés en sautoir.
Combats et batailles
1740-1748 : Guerre de Succession d'Autriche
1745 : 11 mai Bataille de Fontenoy
Organisation
Le nombre de gardes du corps augmente entre le règne de François Ier et celui de Louis XIV de 400 à 1 600 hommes. Au XVIIIe siècle, l'effectif se stabilise autour de 1 500 hommes.
En 1737, chaque compagnie compte 320 hommes, organisés en deux escadrons et six brigades.
1re compagnie (Cie écossaise)
Article connexe : Garde écossaise.
1re compagnie
Étendard de la 1er Cie française des Gardes du corps du roi
Période 1440 – Licenciée le 11 août 1830
Fait partie de Corps des Gardes du corps du roi
Composée de Gardes de la manche
Ancienne dénomination Garde écossaise
Surnom Cie écossaise
Couleurs Blanc et or
Capitaines/Chefs de corps
1758-1791 : Jean-Paul de Noailles (1739-1824), 2e duc d'Ayen, 5e duc de Noailles, fils du précédent ;
2e compagnie (1re Cie française)
Étendard de la 1re Cie française des Gardes du corps du roi
Période 4 septembre 1474/1515 – 11 août 1830
Fait partie de Corps des Gardes du corps du roi
Garnison Coulommiers
Ancienne dénomination Gentilshommes à bec de corbin
Surnom Cent archers
1re Cie française
Couleurs Vert et or
Louis XI, par édit du 4 septembre 1474, avait institué pour la garde de son corps (c’est au roi que l'on doit dénomination singulière) une compagnie de 100 hommes d’armes français, sous le commandement d’Hector de Galard. Cette troupe fut longtemps connue sous le sobriquet de gentilshommes au bec de corbin, parce qu’ils portaient, dans le service, une hache équilibrée sur son manche par une pointe recourbée.
Chacun de ces gentilshommes devait entretenir à ses frais deux archers. En vertu de lettres patentes données à Rouen le 10 juin 1475, le roi dispensa ces gentilshommes de l’entretien des archers ; il prit ceux-ci à sa solde et en forma une compagnie particulière dont il confia le commandement à Jean Blosset, seigneur du Plessis-Pâté. Cette compagnie des archers s’appelait la petite garde du roi, pour la distinguer de la 1re compagnie (garde écossaise) que l’on désignait officiellement sous le titre de Cent lances des gentilshommes de l’hôtel du roy, ordonnés pour la grande garde de son corps, c'est-à-dire de son escorte.
La petite garde servait aussi bien à pied qu’à cheval, c'est-à-dire dans les appartements et dans l’intimité du roi.
C’est cette petite garde, transformée par François Ier en compagnie de 100 hommes d’armes, qui est devenue en 1515, la 1re compagnie française des gardes du corps. Cette compagnie s’est distinguée des autres, à partir du règne de Louis XIV, par la couleur bleue de ses étendards, bandoulières, banderoles et équipages.
Elle avait ses quartiers ordinaires à Coulommiers et servait à Versailles le quartier d’avril.
Capitaines/Chefs de corps3
1551 : Louis de Talaru, seigneur de Chalmazel.
10 décembre 1704 : Louis-François de Boufflers (1644-1711), duc de Boufflers.
11 novembre 1757 : Charles-Just de Beauvau-Craon (1720-1793), prince de Beauvau.
22 février 1784 : Philippe Louis Marc Antoine de Noailles (1752-1819), prince de Poix, duc de Mouchy.
3e compagnie (2e Cie française)
Étendard de la 2e Cie française des Gardes du corps du roi
Période 1479 – 11 août 1830
Fait partie de Corps des Gardes du corps du roi
Surnom 2e Cie française
Couleurs Bleu et or
Louis XI, satisfait des services de ses « petits gardes » de la 1re Cie française, créa en 1479 une seconde compagnie semblable, et en donna le commandement à Claude de La Châtre.
Elle devint, comme la précédente, compagnie des gardes du corps au commencement du règne de François Ier.
Capitaines/Chefs de corps
1758 : Gabriel Louis François de Neufville (1731-1794), duc de Villeroy, neveu du précédent ;
1791-1830 : Antoine VIII, duc de Gramont (1755-1836), neveu du précédent.
4e compagnie (3e Cie française)
Étendard de la 4e Cie française des Gardes du corps du roi
Période 1515/1545 – 11 août 1830
Fait partie de Corps des Gardes du corps du roi
Garnison Dreux
Surnom 3e Cie française
Couleurs Or
Garde du corps - l'uniforme de la 4e compagnie en 1786.
À son avènement à la couronne, François Ier possédait une compagnie des ordonnances qui était commandée par un capitaine-lieutenant, Raoul de Vernon, seigneur de Montreuilbouyn. Il avait aussi une garde personnelle commandée par Louis Leroy de Chavigny. Souhaitant disposer de cinq compagnies des gardes du corps, toutes organisées sur le pied de la compagnie écossaise, il transforma donc en 1515, comme on l’a dit pluis haut, les deux compagnies d’archers de la petite garde de Louis XI, et en ajouta deux autres formés avec ses gardes personnelles et avec des détachements de compagnies d’archers de Crussol et de La Chatre.
En 1545, il remania l’organisation des gardes du corps, et il n’en conserva que 4 compagnies. La 4e compagnie avait ses étendards, bandoulières et équipages de couleur jaune. Elle faisait le service à la cour du 1er octobre au 31 décembre, et était habituellement casernée à Dreux.
Capitaines/Chefs de corps
1764-1784 : Charles François Christian de Montmorency-Luxembourg, prince de Tingry.
1784-1790 : Anne Paul Emmanuel Sigismond de Montmorency-Luxembourg, prince de Luxembourg.
1790-1790 : Anne Christian de Montmorency-Luxembourg, 2e duc de Beaumont.
1er novembre 1815 : Pierre Louis François Paultre de Lamotte (1774-1840), maréchal de camp, commandant de la 4e compagnie des gardes du corps (Luxembourg).
5e compagnie (ex-gardes du corps de Monsieur)
La Restauration française rétablit les compagnies de gardes du corps, par ordonnances des 15 juin 1814 et 1er septembre 1815 (elles furent licenciées le 11 août 1830).
Le comte de Provence et le comte d’Artois avaient deux compagnies de gardes du corps (celle de Provence avaient été créées en 1771 et celles d'Artois en 1773), qui ont été supprimées le 17 mars 1788, sans laisser d’autres traces dans l’histoire que les noms de leurs capitaines et la description de leurs uniformes :
Les compagnies de Monsieur avaient l’habit entièrement bleu, et la culotte et les bas rouges :
La 1re se distinguait par la bandoulière et l’équipage[précision nécessaire] aurore, et fut successivement commandée par deux Lévis
La 2e eut la bandoulière et l’équipage en violet et avait pour capitaine le comte de Chabrillant.
Les compagnies du comte d’Artois portaient l’habit vert-saxe, avec le collet, les parements, la doublure, la culotte et les bas cramoisis.
La 1re, commandée par le prince d'Hénin avait la bandoulière et l’équipage bleu céleste.
La 2e, commandée par le chevalier de Crussol, les avait de couleur rose.
Les deux compagnies du comte d’Artois ont reparu pendant le règne de Louis XVIII. À la mort de Louis XVIII (1824), la compagnie des gardes du corps S.A.R. Monsieur, frère du roi (Charles Philippe, comte d'Artois) devient la 5e compagnie des gardes du corps de S. M. Charles X de France
Officier des gardes du corps de Monsieur, frère du Roi, École française, XIXe siècle.
Règne de Louis XVI
Alexandre-Joseph de Boisgelin (1770-1831), 2e marquis de Boisgelin (1827), garde du corps de Louis XVI en 1791, maréchal de camp, député (seconde Restauration) puis pair de France (1827-1830)
Antoine-Jean, vicomte d'Agoult (1750-1828), Aide-major-général des gardes du corps du roi, mousquetaire du Roi, lieutenant d'artillerie, colonel de la 3e légion de volontaires étrangers de la marine, lieutenant-général, gouverneur de Saint-Cloud, pair de France, chevalier du Saint-Esprit, officier de la Légion d'honneur, grand-croix de Saint-Louis, commandeur de Saint-Lazare et Notre-Dame du Mont-Carmel ;
Jean Antoine, comte d'Agoult (1753-1826), seigneur de Voreppe, garde du corps du roi, député de la noblesse du Dauphiné aux États généraux de 1789, officier de la Légion d'honneur
Louis Annibal de Saint-Michel d'Agoult (1747-1810), élève à l'École militaire de Paris (1756), lieutenant des Gardes du corps du roi (1776), maréchal de camp (1788) réformé en 1791, général d'Empire (général de brigade, 1806) ;
Jacques-Marie d'Astorg (1752-1822), sous-lieutenant de la Cie écossaise des Gardes du Corps du Roi, lieutenant-général des armées du roi (1815) ;
Charles Paul Nicolas de Barentin de Montchal (1737-1823), lieutenant des gardes du corps du roi, vicomte de Montchal, député aux États généraux de 1789, général de division (Premier Empire), commandant de dépôts de remonte (1809-1816), inspecteur général (1828)
Alexandre de Bauffremont-Courtenay (1773-1833), garde du Corps (1787, Cie de Noailles), pair de France.
François-Frédéric de Béon (1754-1802), Capitaine au régiment du roi, sous-lieutenant des Gardes du Corps du roi (1791, Cie de Luxembourg), émigré en août 1791, fut un des principaux chefs de l'armée royale à l'expédition de Quiberon (Hussards de la Légion de Béon),
Charles François de Bicqueley (1738-1814), écuyer, garde du corps du Roi dans la compagnie écossaise, mathématicien ;
Jean-Pascal Charles de Peyssard (1755-1808), seigneur de la petite Fouillousse, garde du corps dans la compagnie de Villeroy, député de la Dordogne à la Convention nationale (régicide)
Nicolas Ernault des Brulys (1757-1809), garde du corps (1775, Cie de Noailles), général de division, adjoint à l'ambassade de Perse, Gouverneur de Bourbon (1806-1809)
Auguste Laget de Bardelin (1768-1852), lieutenant des gardes du corps du roi (1782, Cie de Gramont) ;
Jean-Antoine Marbot (1754-1800), garde du corps du Roy (avant 1782), puis administrateur de la Corrèze, député à l'assemblée législative, puis général de division, député au Conseil des Anciens,
Louis-Alexandre-Élysée de Monspey (1733-1822), 3e marquis de Monspey, colonel de cavalerie en 1770, exempt dans les gardes du corps du Roi (1766 (compagnie écossaise), lieutenant des gardes du corps (1780), lieutenant chef de brigade en 1791), maréchal de camp (1787), Honneurs de la Cour (1788), député aux États généraux de 1789, lieutenant général, Grand'croix de Saint-Louis
Alexandre Louis Joseph de Sainte-Aldegonde (1760-1844), sous-lieutenant au garde du corps du Roi (1791, Cie de Luxembourg), maréchal de camp (1814), lieutenant général (1815), pair de France (1827), membre du conseil général de l'Aisne, maire de Villequier-Aumont
Olivier de Saint-Georges de Vérac (1768-1858), garde du corps du roi (1783), maréchal de camp (Restauration), pair de France (1815)
Charles de Riberolles de Beaucene (1752-1827), garde du corps des rois sous Louis XV et Louis XVI, châtelain de Ravel, chevalier de Saint-Louis
Mme de Sabran- Messages : 55304
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les Gardes du Corps du Roi
Mme de Sabran a écrit:Les gardes du corps sont supprimés en 1791. Nombre d'entre eux participent à la contre-révolution. Le corps est rétabli en 1814, mais définitivement supprimé en 1830.
Est-il alors doublé (ou plus... ) étant donné le corps de celui qu'ils ont à défendre? :
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Les Gardes du Corps du Roi
C'est à se demander !
Mme de Sabran- Messages : 55304
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les Gardes du Corps du Roi
_________________
Comtesse Diane- Messages : 7398
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Les Gardes du Corps du Roi
Ah oui ! ça c'était le petit clin d'oeil tout spécial pour vous, ma chère Diane !!!
Mme de Sabran- Messages : 55304
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
charenton- Messages : 1147
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Localisation : 75012 PARIS
Mme de Sabran- Messages : 55304
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Le jeune roi Louis XV et son ami page en la petite écurie futur garde du corps de la compagnie de Villeroy,
Le jeune roi Louis XV et son ami page en la petite écurie
Portraits intimes du XVIIIe siècle : etudes nouvelles d'après les lettres autographes et les documents inédites
Goncourt, Edmond de, 1822-1896
Chapitre Louis XV enfant. p114.
p 117. fev 1722
https://archive.org/details/portraitsintime01goncgoog/page/117/mode/2up
Le jeune roi Louis XV et son ami page en la petite écurie, futur garde du corps de la compagnie de Villeroy, le marquis de Clavière.
Portraits intimes du XVIIIe siècle : etudes nouvelles d'après les lettres autographes et les documents inédites
Goncourt, Edmond de, 1822-1896
Chapitre Louis XV enfant. p114.
p 117. fev 1722
https://archive.org/details/portraitsintime01goncgoog/page/117/mode/2up
Le jeune roi Louis XV et son ami page en la petite écurie, futur garde du corps de la compagnie de Villeroy, le marquis de Clavière.
charenton- Messages : 1147
Date d'inscription : 23/02/2022
Age : 74
Localisation : 75012 PARIS
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Localisation : 75012 PARIS
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