Rougeville de Marie-Antoinette à Alexandre Dumas, le vrai chevalier de Maison-Rouge. De Michelle Sapori

Ce troisième auteur est encore un garçon assez jeune, et qui a déjà écrit sur plusieurs actrices de cinéma .  
Notre Marie-Antoinette saura être plus précise .

J'en profite pour ajouter que Cecile Coutin a présenté le guide de notre amie italienne ( je vais le dire dans le sujet adéquat ) , que Vicq d'Azyr a annoncé le livre d'Evelyn Farr  , et enfin que tous deux ( Févicq et Marie-Antoinette ) ont gratifié notre Forum de beaucoup d'éloges.
Tara était entièrement d'accord. :

J'ai le grand honneur de vous présenter la couverture du livre de MICHELLE SAPORI qui sortira en librairies le 24 MAI prochain
Avec l'accord de l'auteur et de l'éditeur....EDITIONS DE LA BIQUINE au prix de 20 euros.
voici le texte au dos de la couverture qui m'a été impossible de placer en direct

" Voici le portrait d'une figure de la contre révolution qui en compte si peu : ALEXANDRE GONSSE. Sa vie romanesque et sa dévotion à MARIE ANTOINETTE inspirèrent ALEXANDRE DUMAS pour écrire "le chevalier de maison rouge" en 1848 et plus tard en 1894 lorsque LENOTRE écrira la "la vie du vrai chevalier de maison rouge" il avouera s'y perdre !

Roturier de naissance, aristocrate de cœur  "républicain" en Amérique où il se battit pour l'indépendance avant La Fayette, monarchiste en FRANCE, présent aux côtés de la Famille Royale lors de la journée cruciale du 20 Juin 1792 aux Tuileries, le chevalier de Rougeville fut le dernier à tenter de sauver la Reine (affaire de l'œillet), plus tard lui-même sera prisonnier à La Conciergerie !
Par ailleurs poursuivi par une femme amoureuse éprise de vengeance, abhorré et envié par certains élus du peuple, il fut toujours suspecté et surveillé jusque sous l'Empire.
Il meurt lors de la campagne de France en 1814 après avoir été arrêté, jugé et condamné comme Traitre à la patrie, confirment au décret signé par Napoléon.

Rougeville a aussi écrit sur sa vie, son intériorité ; passé au filtre du commentaire de l'historienne, ce matériau ajoute des nuances pleines d'humanité. Ce livre est écrit avec une démarche rigoureuse, l'auteur citant abondamment ses sources et nous faisant part de ses interrogations.

Amateur de Petite Histoire celle qui nous emmène vers l'Histoire, encore une fois vous verrez dans cette tranche de vie que la réalité dépasse la fiction : comment mieux dire que Sacha Guitry cité par Michelle SAPORI en exergue de son ouvrage  "c'est à ne pas croire, comme ce qui est vrai d'ailleurs".

Personnage cher à la génération du feuilleton télévisuel événement de Claude Barma en 1963, Rougeville alias Maison Rouge continue d'être source d'inspiration : Didier Barbelivien a écrit une œuvre musicale "Marie Antoinette et le Chevalier de Maison Rouge" sortie en 2015.

L'auteur
MICHELLE SAPORI née en 1955, diplômée en droit public, a exercé diverses fonctions auprès d'élus du Parlement puis à Radio-France.
En 2002 elle obtient un DEA D'histoire moderne et se consacre sur l'histoire du luxe sous l' Ancien Régime et le commerce de mode au XVIII° .
Son succès ROSE BERTIN, couturière de MARIE ANTOINETTE paru dans la collection n" les métiers de Versailles" PERRIN 2010 plusieurs fois réédité, traduit au Japon et en Russie,est salué pour sa qualité de son travail d'historienne.


Pour le plaisir  la couverture de l'ouvrage de DUMAS en édition allemande.

MARIE ANTOINETTE àè-è\':

Merci pour ce scoop, chère Marie-Antoinette !

Merci MARIE ANTOINETTE ! Ravi d'apprendre que le livre paraîtra ce mois-ci...

Avant d'avoir le plaisir de rencontrer les membres du FORUM qui demeurent en province afin d"évoquer ROUGEVILLE, LE CHEVALIER DE MAISON ROUGE ...............

MICHELLE SAPORI dédicacera son ouvrage le 24 MAI 2016 de 18 H à 20 H
à PARIS - LIBRAIRIE FONTAINE HAUSMANN
50, rue Laborde - PARIS 8° - tel 01.45.22.21.73
métro MIROMESNIL - SAINT AUGUSTIN

les parisiens et banlieusards sont cordialement invités à venir rencontrer notre Amie .

MARIE ANTOINETTE

Je viens de recevoir LE livre de Michelle Sapori sur Rougeville :n,,;::::!!!:
J'en commencerai bien vite la lecture !


Bien à vous.

Le chevalier est arrivé ce matin par la poste et j'ai déjà commencé à le dévorer !!!!!
j'avais en son temps, lu en partie le manuscrit, mais j'avoue qu'il est agréable de se plonger dans l'ouvrage définitif avec les modifications et les rajouts faits d'après les dernieres trouvailles aux A.N.

MICHELLE est très modeste, mais la parution de son travail a déjà, en avant première, reçu un accueil favorable par les libraires - j'ai personnellement envoyé un courriel à FRANCK FERRAND pour lui suggérer une émission sur le personnage si original.

MARIE ANTOINETTE

Michelle est une brillante conteuse !

rapport de la journée de MARDI présentation du livre de MICHELLE SAPORI
mardi matin 9 H 00 départ pour PARIS avec comme musique de fond le CD de BARBELIVIEN -   les deux dernières chansons "la terreur" et "vous ne serez jamais seule" mises en boucle , que nous chantions à pleine voix pour la première dans la voiture, heureusement les fenêtre étaient closes....

la Reine était avec nous   .......... les dernières secondes de la seconde chanson, qui met les larmes aux yeux car le texte est admirable, se sont arrêtées juste lorsque nous passions devant ..........la grille centrale du Palais de Justice...........nous avons ressenti un message de notre souveraine.......

A 17 H 30 nous allons chercher la personne importante qui devait compléter cette réunion.........c'est mon Ami "LORIN" DOMINIQUE PATUREL !!!!!!! il a reçu de la part des personnes présentes un bel accueil étant à côté de MICHELLE, certaines personnes lui ont demandé de mettre un  autographe au dessous de la dédicace de MICHELLE.
résultat + de 30 livres vendus en 2 heures de temps...... TARA présente comme d'habitude a été parfaite, pas de bruit, sagement assise sur mes genoux et ensuite sur une chaise libre.

J'avais "bricolé" le petit texte écrit par DOMINIQUE et au verso sa photo dans le rôle avec une dédicace datant de 1963 conservée dans mes trésors qui était joint au livre.





beaucoup de sympathie pour le travail de MICHELLE et beaucoup d"émotion pour la naissance de cet ouvrage qui devrait remporter un beau succès de librairies..... retour le lendeman matin avec une saine fatigue .
tout cela met du baume au cœur pour le prochain projet qui devrait voir le jour en fin d'année .........mais c'est secret !!!!!!!!


MARIE ANTOINETTE

Oui, Jean Desailly ( Maison-Rouge ) nous a quittés .

Il manque aussi FRANÇOIS CHAUMETTE (DIXMER) ANNIE DUCAUX (LA REINE) et bien d'autres seconds rôles
Par contre toujours présent outre DOMINIQUE PATUREL,  MICHEL LE ROYER, ANNE DOAT le couple romantique  !!!!!!

MARIE ANTOINETTE

J'adorais ce feuilleton, comme nous disions alors !

Itou !

Je termine ce soir la lecture du formidable livre de Michelle Sapori.
Quelle écriture généreuse elle a !
Je suis touché par son humilité alors qu'elle nous offre un travail si fin et si passionnant, répondant à des interrogations que nous avions depuis toujours ( à savoir, par exemple, si Marie-Antoinette avait occupé une seule ou deux cellules à la Conciergerie ...) . Le récit est limpide mais Michelle a tant à nous apporter qu'il y a en fait deux livres en un . Le récit lui-même et les notes très développées qui indiquent précisément tout ce qu'il y a à connaître sur les éléments de l'enquête qui touchent au chevalier de Rougeville.
Il s'agissait d'un personnage mystérieux, puisqu'inconnu filant entre les doigts de la police durant vingt années. A présent qu'il nous est connu, il n'a pourtant rien perdu de son mystère tant il est un personnage fantasque... il suffit de voir l'effet qu'il a fait à Fersen "Je trouvai un homme un peu fou, très entiché de lui, donnant une grande importance à ses actes, mais bien pensant et nullement espion".
Le suivre me fut particulièrement intéressant parce que je suis lillois. Bien qu'aucune adresse encore connue n'ait été mentionnée, j'ai imaginé Rougeville évoluant dans la ville de Lille que je connais, c'est touchant.
Mais le clin d’œil de Michelle qui m'a le plus touché est celui qu'elle nous fait page 182 à nous lecteurs, à nous ses amis, à propos d'une digression vis-à-vis de l'origine du Maine Cool, une race de chat liée plus ou moins à Marie-Antoinette. Pour cette histoire sur laquelle elle ne s'attarde pas plus que cela, elle nous invite à poursuivre l'enquête. Cette invitation sympathique montre aussi qu'elle ne prétend pas avoir la science infuse et qu'elle accepte volontiers d'échanger les connaissances que chacun pourra lui apporter.
Michelle est décidément merveilleuse.
J'aime ses références trufaldiennes (lorsqu'elle compare l'ex-femme de son héros à la fille de Victor Hugo si intensément incarnée par Isabelle Adjani...) et les rectifications qu'elle fait quant à de fausses indications que certains auteurs avaient pu écrire avant elle, notamment sur Madame Larivière que d'aucun disait âgée de quatre-vingts ans lors de l'arrivée de la Reine à la Conciergerie alors qu'elle n'en avait que soixante...
Merci pour cet ouvrage que je suis heureux d'avoir pu lire en avant-première.


Bien à vous.

Livre commandé !

voici quelques photos prises lors de la signature du livre de MICHELLE SAPORI mardi dernier
elle est très absorbée par l'écriture de la dédicace alors que DOMINIQUE semble penser à autre chose
il en est de même de Melle TARA installée à côté de nous sur une chaise pas très confortable.

MARIE ANTOINETTE :

MARIE ANTOINETTE a écrit:
DOMINIQUE semble penser à autre chose

Si vous ne l'aviez pas nommé, je ne l'aurais jamais reconnu ... ;;;

Qu'est-ce que j'ai aimé et admiré ce comédien !
Je me souviens des Au théâtre ce soir, du Chevalier, de Lagardère ... et de tant d'autres films et téléfilms ! 
Quel comédien ! Quelle voix bien timbrée ! ! et ... : quel physique avantageux ! 

Oui, Marie-Antoinette, Tara se sent maltraitée ! 
Elle eut préféré sans aucun doute ce siège-ci ! :

Michelle Sapori a été interviewée par la Voix du Nord :


Un livre sur l’Arrageois Gonsse de Rougeville, l’aventureux chevalier de Maison-Rouge

Il a certainement croisé Robespierre à Arras, précédé La Fayette auprès de Washington, tenté de libérer Marie-Antoinette… L’historienne Michelle Sapori ressuscite l’aventureux chevalier Alexandre Gonsse de Rougeville.
Gonsse de Rougeville, c’est l’antithèse de Robespierre avec lequel il a grandi à Arras, avant la Révolution.



C’est un destin exceptionnel, une vie tellement aventureuse qu’on l’aborde en doutant de sa substance, même une historienne. Michelle Sapori est devenue, au fur et à mesure de ses travaux, une spécialiste du luxe sous l’Ancien Régime.

« C’est tellement incroyable ! Je n’y croyais pas en m’attaquant au sujet. Mais au fil des recherches, des archives consultées – au musée de Vincennes notamment, où sont consignées ses activités militaires, ses décorations (croix de Saint-Louis)... Je me suis rendu compte qu’il y avait un grand fond de vérité. » L’historienne a la prétention de rétablir « une sorte d’exactitude » sur ce « roturier » qui grandit à Arras en même temps que Robespierre.

Pourquoi s’intéresser à lui ? L’universitaire est membre de deux sociétés historiques : celle de Villers-Cotterêts (où naquit Alexandre Dumas auteur du Chevalier de Maison-Rouge) et de Soissons où se mariera Rougeville. Cela suscite la curiosité.

On sait que Robespierre, l’avocat des États d’Artois, fut le défenseur du pater familias des Gonsse de Rougeville qui habitait sur la Grand-Place, à l’ancienne maison des poids. Riche homme d’affaires et propriétaire, le père achètera aussi ses lettres de noblesses.

Alexandre, aventurier, s’engage dans une compagnie de gendarmerie à 14 ans, avant de partir aux Amériques, servir auprès de Washington. En 1778, il est son aide de camp. Il revient en France deux ans plus tard, fait son droit à Reims, repart à nouveau. Il aura fait huit ans de guerre dans l’état-major américain.

Tandis que sa famille étend son pouvoir sur Saint-Laurent-Blangy, autour du château d’Immercourt, le chevalier intrigue et se rapproche du pouvoir… Au service de Monsieur le frère du roi, il s’attache au sort de la famille royale en 1789, fréquente les maisons de jeux, Il protège le roi et sauve la reine le 20 juin 1792, aux Tuileries. Royaliste, il l’est par l’estime de soi comme il se considère comme noble : « Je le suis par mes services militaires ! », dira-t-il.

« C’est un solitaire, toujours dans la provocation ! », évoque Michelle Sapori. Autant dire l’antithèse romantique de Robespierre. L’homme tentera ainsi de faire évader Marie-Antoinette (une affaire des œillets rapidement « tranchée »), un complot qui lui collera à la peau sous l’Empire. Il sera fusillé devant le cimetière du Nord, à Paris, pour avoir trahi la patrie, en 1814. Il faut dire qu’en février, il servait d’éclaireur aux cosaques, en Champagne.


Affabulateur? Ben non!

Comme beaucoup de personnages extirpés de l’histoire par des romanciers ou cinéastes, catégorisés pour ses opinions, Gonsse de Rouville, a été traité d’« affabulateur » (Wikipédia sic), de « conspirateur royaliste » (sans doute plus mérité !).

L’historien Lenotre avait émis des doutes sur de nombreux faits, ses décorations, son trop jeune âge pour s’enrôler dans l’armée... S’il ne fut pas alors du bon côté du manche, notre homme aura eu un destin aussi exceptionnel et tragique que son contemporain, l’Incorruptible Robespierre.

« Bien sûr Rougeville m’amuse, mais j’ai pris du recul. Tout ce que j’ai écrit a été vérifié dans les archives ! », précise Michelle Sapori, une historienne qui a fait du luxe sous l’Ancien Régime une de ses spécialités.

Après un livre consacrée à la couturière de Marie-Antoinette, Rose Bertin, elle prépare un livre, pour le château de Versailles et son éditeur, sur les frères Léonard, les coiffeurs de Marie-Antoinette. Pour elle, « Dumas ne s’était pas trompé! Rougeville, c’est un personnage qui aura une belle vie ».


Bien à vous

Quand Marie-Antoinette ratait son évasion

Incarcérée à la Conciergerie à Paris en 1793, la reine Marie-Antoinette a presque réussi à s’en évader. Grâce au chevalier de Maison-Rouge et à son œillet blanc.



Le 21 janvier 1793, la tête de Louis XVI tombe sous la lame de la guillotine. Son épouse Marie-Antoinette connaîtra un sort identique le 16 octobre de la même année. Durant les derniers mois de sa courte vie –elle mourut à l’âge de 37 ans-, l’ancienne reine de France, séparée de ses enfants, est incarcérée à la Conciergerie à Paris. Elle y arrive le 2 août, venant de la prison du Temple. Sa cellule est l’ancienne salle du Conseil, autrefois constituée de deux pièces séparées par une cloison dont il n’existe plus que les extrémités. La veuve Capet y dispose d’un lit, un fauteuil, deux chaises, une table et un paravent. Elle n’y vit pas seule, mais en compagnie d’une femme de chambre et de deux gendarmes, toujours les mêmes, qui ont été affectés à sa surveillance.

Le héros de Dumas et de Barbelivien

Marie-Antoinette n’est pas là depuis un mois quand elle reçoit une visite bien singulière. Le 28 août 1793, un homme portant deux œillets blancs à la boutonnière pénètre dans sa cellule en compagnie de Jean-Baptiste Michonis. Ce limonadier, membre de la Commune de Paris et administrateur chargé des prisons, a l’habitude de proposer à des personnes qu’il côtoie d’aller voir avec lui l’ancienne reine en prison. Une façon de montrer combien il est un personnage important.

Sauf que cette fois, Michonis s’est fait piéger. Car le visiteur de Marie-Antoinette n’a qu’une idée en tête, la faire évader. Il se nomme Alexandre Joseph Gonsse de Rougeville et est resté dans l’histoire sous le nom du chevalier de Maison-Rouge. Son existence romanesque a inspiré un livre à Alexandre Dumas en 1846, le premier feuilleton télévisé historique en 1963 –avec Michel Le Royer dans le rôle titre- et une comédie musicale à Didier Barbelivien dont les représentations n’ont pas encore débuté.
Un message caché dans un œillet, un autre piqué avec une épingle

Le stratagème de Maison-Rouge consiste à faire passer un message à la captive lui indiquant qu’il a des hommes et de l’argent pour la faire évader. Il a inscrit celui-ci sur un petit morceau de papier qu’il a roulé et inséré dans les pétales des œillets qu’il porte à la boutonnière. Et, sans que les gendarmes ni la femme de chambre ne s’en aperçoivent, il laisse tomber ces fleurs aux pieds de l’ancienne reine.

Ayant trouvé le billet de Rougeville, Marie-Antoinette lui répond par un autre message, qu’elle écrit sur un petit morceau de papier en piquant les lettres avec une épingle. Elle accepte de se fier à lui. L’évasion est prévue pour la nuit du lundi 2 au mardi 3 septembre. Le moment venu, tout se déroule au mieux. La reine sort de sa cellule, franchit les différents guichets. Cependant, à la porte de la Conciergerie donnant sur la rue, elle se heurte à un garde. Bien qu’ayant été acheté, ce dernier fait volte-face. La captive est reconduite dans sa cellule. Le complot de l’œillet, comme on l’appellera ensuite- a échoué.
Pour aller plus loin

Dans son récent livre Rougeville de Marie-Antoinette à Alexandre Dumas. Le vrai chevalier de Maison-Rouge, l’historienne Michelle Sapori consacre près de 100 pages à L’affaire de l’œillet de manière très détaillée et sur la base d’archives. Tout en reconnaissant à propos de Rougeville: «comment être sûr parfois qu’on ne se trompe pas sur cet homme, mélange de franchise insolente et de manipulation ouverte! Toujours au premier rang des conspirateurs royalistes, espionnant pour son roi, tentant l’aventure pour sa reine, l’histoire du chevalier est compliquée, tortueuse à souhait. On s’y noie.»

Rougeville de Marie-Antoinette à Alexandre Dumas. Le vrai chevalier de Maison-Rouge de Michelle Sapori est paru aux Éditions de la Bisquine en mai 2016 (380 pages, 20 euros).


Bien à vous.