L'affaire du pamphlet, Beaumarchais et Louis XVI

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Reinette a écrit :
Ensuite, dès son avènement, Louis XVI apparemment a tenté de mettre la pression sur Marie-Thérèse avec le pamphlet de Beaumarchais. Je pense qu'entre son projet d'origine (quinze ans) et son accession au trône quatre ans plus tard, il a dû réaliser qu'une annulation n'était pas si simple. D'autant que de son côté Marie-Thérèse subit l'opposition de Kaunitz et de son fils, anti-français. Elle n'a plus que Mercy auquel se raccrocher pour croire encore en une alliance dont personne ne veut.

J'ai répondu:
Qu'est-ce aussi que cette fable rocambolesque ?

De deux choses l'une :
Ou Louis XVI a trempé dans cette mystification du pamphlet, et alors il n'est ni droit, ni probe, ni vertueux, mais un beau pourri .
Ou Jean-Pierre Fiquet confond l'honnête Berry avec le fourbe Provence .
Ce serait du Provence tout craché, cette histoire fangeuse de pamphlet .

Reinette :
Il s'agit tout simplement en un homme politique qui se retrouve à devoir épouser l'envoyée de ses ennemis et qu'elle refuse en plus d'abandonner.
Qui agit mal en l'occurrence ? Shocked Marie-Antoinette avait-elle le droit d'imposer Vermond, agir en fonction de Mercy ou de Choiseul ?
Non. Que peut donc faire un mari (du XVIIIème siècle et en plus roi) si ce n'est la "mater" ?


Lucius :
Pourriez vous développer, dans un sujet propre, cette histoire de pamphlet "Beaumarchais" ?

La nuit, la neige :
Se comporterait-il en roi ? Et en homme ?
Le procédé serait aussi tordu qu'indigne.

Mais comme le demande Lucius, je préfèrerais que nous isolions cet épisode du reste pour bien comprendre et analyser les détails : je suis noyé dans ce sujet.



Voici donc, mon cher petit Lulu, l'affaire du fameux pamphlet .
Je cite le livre de Jean-Pierre Fiquet, Le mariage forcé ou l'humiliation de Marie-Antoinette .


A peine Louis XV mort, Beaumarchais dénonça à Sartine l'existence d'un nouveau pamphlet prétendument publié à Londres et écrit par un certain Guillaume Angelucci, juif vénitien. Il proposa à Sartine de racheter l'intégralité du tirage, l'auteur du texte étincelant n'étant autre bien entendu que Beaumarchais en personne . Le libelle commençait par attaquer tout ensemble Terray, Maupeou et Choiseul, ce qui était en ligne avec les idées affichées depuis le nouveau règne .






Beaumarchais, sous le pseudonyme de Ronac ( anagramme transparent de son nom Caron ), prétendit s'être lancé à la poursuite dudit Angelucci, avoir fait brûler dans un four à chaux la totalité des pamphlets à l'exception d'un exemplaire .  Il arriva en trombe à Vienne le 20 août, affirmant s'être battu avec Angelucci  une estafilade faisant foi ( dont on peut supposer qu'il se l'était faite avec son propre rasoir ) , et réussit à obtenir une audience de Marie-Thérèse dès le 22 août . Il lut le pamphlet dans son intégralité et l'on imagine la souveraine impassible écoutant les phrases tombant comme des couperets, tandis qu'une fureur croissante montait en elle .

Marie-Thérèse décréta qu'il s'agissait d'une affaire d'Etat, mit Kaunitz sur le coup, lequel Kaunitz démasqua Beaumarchais comme n'étant autre que Ronac lui-même, coupable d'un crime de lèse-majesté .
Mais il était porteur d'un sauf-conduit royal au contenu sans équivoque . On put même authentifier l'écriture du roi en la comparant à celle de la lettre du 14 mai 1774 . Le chancelier informa la souveraine. L'impératrice était impitoyable quand son secret était en jeu et Beaumarchais fut placé le soir même sous la surveillance de huit grenadiers et de deux officiers avec interdiction de quitter sa chambre . Marie-Thérèse venait donc de mettre sous les verrous l'envoyé du roi de France venu l'informer des incartades de sa fille.




(   sans espoir de succession, écrit l'impératrice ...  donc, en 1774, Marie-Thérèse ne croit nullement à la prétendue défloraison de Marie-Antoinette . Le fatal article est toujours d'actualité .  )




?

Quel rôle Louis XVI a-t-il vraiment joué dans toute cette affaire  ?
Je vous laisse juges d'en décider ...

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Merci pour ce sujet, il est préférable pour ne pas se noyer de ranger les différentes conversations.

Et quelle est la version des autres historiens quant à cette affaire ahurissante ?

Traditionnellement cette histoire est présentée ainsi :
Beaumarchais, agent secret de Louis XV puis de Louis XVI (c'est tout à fait attesté), dit au pouvoir royal qu'il a connaissance d'un horrible pamphlet sur la reine, par un certain Angelucci, juif vénitien. Il se propose de le rattraper et lui verser une somme importante pour ne pas faire paraître son écrit. Or, il s'agit de lui-même, tout le monde s'accorde là-dessus.
Il va jusqu'à Vienne pour avertir Marie-Thérèse et celle-ci se doutant de la supercherie l'emprisonne. Elle finit par le libérer sous la pression du gouvernement français mais s'horrifie des mots horribles qui sont déjà écrits sur sa fille.

L'auteur va juste un peu plus loin, pensant que Louis XVI serait à l'origine de l'affaire pour avertir l'impératrice qu'il ne se laisserait pas mener par sa fille.
Il s'interroge sur un écrit du roi identifiable ainsi qu'une forte somme ensuite remise à l'intrigant par le Trésor royal.
On peut même se demander pourquoi Marie-Thérèse n'aurait pas tenté d'avertir son gendre sur les agissements suspects de celui choisi pour régler l'affaire.
C'est qu'elle devait probablement penser qu'il y avait peut-être pire.àè-è\':

D'autre part, Jean-Pierre Fiquet souligne l'attitude de Sartine qui fut longtemps lieutenant de police du roi, agent du Secret et protecteur de Beaumarchais. Or, Louis XVI le charge de régler cette histoire alors qu'il est depuis l'avènement du jeune roi ministre de la Marine. C'est bien que Louis XVI recherchait un homme compétent dans ces histoires louches...

Je ne connais pas vraiment le Sartine historique, juste qu'il fut un très bon lieutenant de police, que Louis XVI encore dauphin l'appréciait, et qu'il fera de la Marine du royaume, malgré un excès de dépenses qui le fera chuter, la meilleure du monde.
Par contre, si l'on se fie à Jean-François Parot, donc là nous tombons dans du roman (extrêmement bien documenté, je tiens à le préciser), aucun doute que Sartine soit tout à fait capable de ce genre de coups foireux.

Merci pour l'ouverture de ce sujet.
Je relirai tout ça calmement lorsque j'aurai un peu plus de temps pour le faire.

Je vais me renseigner de mon côté j'ai beaucoup de documents sur Beaumarchais sous la main;
En tous cas, cela me paraît tortueux;

Je viens de lire (deux fois : ) les messages qui présentent cette affaire.
Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment, mais j'ai l'impression d'être abruti tant j'ai du mal à aller....aux faits !

Tout ceci me paraît très, très alambiqué.

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On n'y comprend goutte, à une certitude près, c'est que l'auteur veut clairement impliquer Louis XVI : les attaques contre la reine étaient d'une précision ... d'horloger .

Mme de Sabran a écrit:.

On n'y comprend goutte, à une certitude près, c'est que l'auteur veut clairement impliquer Louis XVI  : les attaques contre la reine étaient d'une précision ...  d'horloger .

Oui là, c'est assez exagéré de la part de Fiquet.

D'autant que je ne sais pas si l'auteur l'a fait exprès car Beaumarchais était lui aussi horloger d'origine. :

A moins que ce soit nous qui interprétons mal et qu'il parlait bien en effet du sieur Caron, sans arrière-pensée aucune vis-à-vis de Louis XVI.

Je crois que pour cette histoire, le mieux est d'avoir textuellement la version classique, celle que nous lisons habituellement.
Ce que j'ai tenté de faire, mais il est préférable de citer un autre ouvrage traitant de la question (il y en a tout de même quelques-uns) afin de savoir quels pourraient être par hasard les interventions (sournoises) de Louis XVI.
Sachant qu'évidemment, dans la version officielle, il intervient bien en effet en envoyant l'un de ses plus fameux agents secrets. Qui joue lui double jeu. :

Mais enfin, où est la logique de l'intrigue si elle avait été menée par Louis XVI ?

En quoi, intriguailler avec un personnage sulfureux, de peu de confiance, comme Beaumarchais, via Londres d'abord, puis lui faire traverser l'Europe, afin de coller sous le nez de l'impératrice un pamphlet où son épouse (donc lui aussi, d'une certaine manière) est éclaboussée, pouvait-il bien servir son but ?
But qui est de...quoi ? Virer Vermond ? Lecteur de sa femme ?
Lui même étant peut-être impliqué dans la rédaction du libelle ?

Euh...en voilà tout un programme tarabiscoté pour si "peu", et bien dangereux !

A la même période, il balaiera d'un revers de main les prétentions "Choiseul"...
Et à la même période encore : « Vous aimez les fleurs, Madame, j'ai un bouquet à vous offrir. C'est le Petit Trianon »
Merkiiiii, Janus.....

La nuit, la neige a écrit:
Merkiiiii, Janus.....

Pour m'amuser... :

Juste un peu auparavant. Nous sommes à la mi-mai 1774, Louis XV vient donc de mourir.
Marie-Antoinette écrit à sa mère :

Le roi me laisse la liberté de choisir pour les nouvelles places de ma maison en qualité de reine.
J'ai eu plaisir de donner aux Lorrains une marque d'attention, en prenant pour premier aumônier l'abbé de Sabran, homme de bonne conduite, de grande naissance et nommé à l'évêché qu'on va faire à Nancy.
Quoique Dieu m'a fait naître dans le rang que j'occupe aujourd'hui, je ne puis m'empêcher d'admirer l'arrangement de la Providence, qui m'a choisie, moi la dernière de vos enfants, pour le plus beau royaume d'Europe.

Et Janus, dans la même lettre, et de sa main :

Je suis fort aise de trouver une occasion, ma chère maman, de vous prouver ma tendresse et mon attachement.
Je désirerais bien avoir de vos conseils dans ces moments-ci, qui sont si embarrassants.
Je serais bien enchanté de pouvoir vous contenter et de vous marquer par là tout mon attachement et la reconnaissance que j'ai que vous avez bien voulu m'accorder votre fille, dont je suis on ne saurait plus content.

La nuit, la neige a écrit:
Merkiiiii, Janus.....

Eh bien oui, cela n'a pas de sens, non plus que l'affirmation selon laquelle Joseph déboulerait  à Versailles sur la demande expresse de Louis XVI .   J'y reviendrai dans le sujet adéquat.
Aucun sens .

Ce pamphlet n'est pas cohérent, en effet...
Comment Louis XVI aurait-il pu se réjouir de l'infortune de son épouse sans penser à la sienne propre?
Et, surtout, comment aurait-il pu la provoquer par ce pamphlet?
Par contre, il semble intéressant de vouloir Lui faire croire (à la Reine) que cela vienne du Roi pour qu'Elle puisse se penser abandonnée de cet appui...
On peut y voir un méfait de Stautre à qui cela ressemblerait bien, non?

Bien à vous.

En tout cas, Louis XVI semblait assez proche de Beaumarchais,:



1779

C'est fâcheux, et quel drame !
quelle histoire étrange aussi !

Je ne sais pas si c'était courant, la sainte barbe pouvant toujours faire courir un risque certain.
Mais il est vrai qu'on pourrait penser à du sabotage...

:Je vais tenter de situer cette histoire de façon chronologique, et de la mettre en perspective avec ce qui s'est passé un peu avant, et ce qui passera un peu après...

J'ai trouvé quelques infos dans la biographie Beaumarchais, le parisien universel écrite par Patrice Boussel, ainsi que dans l'un des volumes des Hommes de la liberté, de Claude Manceron, qui évoque justement cet épisode.

Mais regardons ce qui s'est passé quelques mois plus tôt.  
Voici :


Fin février 1774, Beaumarchais quitte Paris pour Londres.
Je ne rentre pas dans les détails, mais il traîne déjà beaucoup trop de casseroles derrière lui et quelques procès retentissants.
Un peu auparavant, alors qu'il est encore emprisonné, il avait écrit à Jean Baptiste de La Borde, valet de chambre et factotum de Louis XV, pour lui dire qu'il se mettait au service du roi et de Mme du Barry pour toutes les missions dont ils pouvaient avoir besoin.
Cela tombe bien : c'est le cas !
La Borde le convoque à Versailles et le charge d'une mission : empêcher la publication prochaine à Londres d'un libelle de Charles Théveneau de Morande "Les mémoires secrets d'une femme publique" dans lesquels Mme du Barry est attaquée.
Sartine, un proche de Beaumarchais, est bien évidemment dans le coup.

Il repart donc en Angleterre (Avril 1774) où il fréquente "le beau monde" et quelques aventuriers de haut vol en rupture de ban chez Louis XV.
Il est accompagné de Louis-Léon de Brancas, comte de Lauraguais, une tête brûlée. C'est grâce à lui qu'il peut être mis en contact avec Théveneau de Morande.

Je cite ici le portrait de Morande écrit par le comte de Lauraguais, car il vaut le détour... :

" Ce gredin qui croit passer pour un bel esprit de bonne compagnie, parce que quelques salopes l'appellent le chevalier de La Morande au lieu de Morande, et qu'il imprime un fatras scandaleux qui a l'air d'être écrit par un cocher d'après les mémoires de la cuisinière d'une maquerelle "

En fait, les deux s'apprécient plus qu'il n'en paraît, et le comte de Lauraguais est notamment l'un de ceux qui informent Morande des derniers potins de la cour.
Lui aussi a besoin d'argent, et en ramasse d'où qu'il vient.

Depuis trois ans déjà, Thévenau de Morande publie à Londres Le Gazetier cuirassé, ou anecdotes scandaleuses de la cour de France "imprimé à cent lieues de la Bastille, à l'enseigne de la liberté".
Une feuille à scandales qui se vend comme des petits pains dans toute l'Europe.

Habituellement, il propose à ses futures "victimes" d'acheter son silence, en leur envoyant une copie de ce qu'il prévoit de publier.

Pour en revenir à notre affaire, la comtesse du Barry a donc eu connaissance de la possible publication des "Mémoires secrets d'une femme publique" (4 volumes, avec illustrations).
C'est la panique à Versailles !

On avait tenté de faire intervenir l'ambassadeur de France à Londres : échec.
On missionne le chevalier d’Éon (qui se trouve aussi à Londres) : les sommes que demande Morande pour acheter son silence sont trop importantes. Refus de Versailles.
On envoie alors un corps expéditionnaire français en Angleterre, avec pour mission d'enlever Morande.  Au mieux, de le ramener en France, au pire...un accident dans la Tamise. :
Mais Morande parvient à s'en sortir et à déjouer le complot ! Scandale à Londres.

Morande fait donc imprimer à Londres 12000 exemplaires de son ouvrage, et encore 6000 à Amsterdam (au cas où ), et il accentue la pression sur Versailles.

C'est donc à ce moment là que Beaumarchais intervient.
Versailles lui demande d'entrer en contact avec Morande, de l'amadouer, et d'acheter à bas prix son silence.
En cas de mission réussie, on promet à Beaumarchais de favoriser la révision de son procès, ainsi qu'une somme d'argent.

Par l'intermédiaire de d’Éon et de Lauraguais, Beaumarchais rencontre donc Morande, et le convainc d'accepter sa proposition.
Marché conclu !!  
Morande reçoit de la cassette royale 20 000 livres comptant, ainsi qu'une rente viagère de 4000 livres.
Les exemplaires du pamphlet sont brûlés à Londres et à Amsterdam (où Beaumarchais se déplace en personne).  

Beaumarchais repart alors pour Paris, pressé de tirer parti du succès de sa mission, et d'en toucher les bénéfices.
Mais arrivé à Boulogne, c'est le choc !
Il apprend que le roi...se meurt !  54385210

Dépité, il écrit alors à Morande (somme toute, entre gredins, on s'entend bien, et ils ont fini par sympathiser) :

Quelle différence de destinée entre-nous (...)
Je travaille jour et nuit pendant six semaines, je fais près de sept cent lieues, je dépense près de cinq cents louis pour empêcher des mots sans nombre.
Vous gagnez à ce travail 20 000 livres et votre tranquillité et, moi, je ne sais plus même si je serai jamais remboursé de mes frais de voyage.
(...) Il ne me reste que les jambes enflées et la bourse aplatie.
Un autre s'en pendrait, mais comme cette ressource ne me manquera pas, je la garde pour la fin (...) et je m'occupe à voir lequel, du diable ou de moi, mettra le plus d'obstination, lui à me faire choir et moi à me ramasser.

La nuit, la neige a écrit:

A suivre !!

Entre le corsaire Morande et le bandit Beaumarchais, eh bien, c'est du joli !
Formidable feuilleton !!! Je serai au rendez-vous ! :n,,;::::!!!:


Merci, cher ami ...

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Merci pour ce rappel, j'en avais besoin

Je me souviens à te lire que l'épisode figurait dans le film Beaumarchais, l'insolent (1996) d'Édouard Molinaro avec Fabrice Luchini

La nuit, la neige a écrit:Je cite ici le portrait de Morande écrit par le comte de Lauraguais, car il vaut le détour... :

En effet!!! Ça vaut les échanges de portraits de tes piliers de salons littéraires préférés !

Bien à vous.

Miam !

Le portrait est brut de chez brut, en effet... :

Mais je préfère la phrase de Beaumarchais dans sa lettre à Morande :

Un autre s'en pendrait, mais comme cette ressource ne me manquera pas, je la garde pour la fin (...) et je m'occupe à voir lequel, du diable ou de moi, mettra le plus d'obstination, lui à me faire choir et moi à me ramasser.

Quelle belle phrase, si bien tournée ; ça c'est du style !

Mais le fond est important aussi.  

Passionnant !!!:n,,;::::!!!:

En fait c'est parfaitement repris dans Nicolas Le Floch.

Dans quel épisode?
On l'a déjà vu dans les adaptations télévisées?

Bien à vous.

Majesté a écrit:Dans quel épisode?
On l'a déjà vu dans les adaptations télévisées?

Je n'en sais rien. Logiquement oui puisque c'est un tome relatant la mort de Louis XV.
Il s'agit de L'Affaire Nicolas Le Floch.

Mais la version télévisée taille beaucoup dans les romans. Ce n'est pas l'intrigue principale de l'histoire.

Sincèrement lis cette série ! C'est passionnant et mille fois mieux qu'à la télé. Rien à voir même.
Du pur bonheur ! boudoi30

Depuis le temps qu'on me les recommande, je finirai bien par m'y mettre...
Mais j'ai d'autres priorités, j'avoue

Bien à vous.