Portraits par Franz Xaver Winterhalter
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Portraits par Franz Xaver Winterhalter
La princesse Alexandra of Wales par Franz Xaver Winterhalter, 1864
et la photo qui a inspiré le portrait ou alors cette photographie a-t-elle été prise pendant la pose de la Princesse :
C'est fantastique de pouvoir comparer ce portrait à cette photo... Mais diable ! je trouve que Winterhalter a affadi les traits de la Princesse . Elle a une douceur dans le regard et une sensualité dans la moue qu'on ne retrouve pas dans la mine trop hiératique du portrait !
Bien à vous.
et la photo qui a inspiré le portrait ou alors cette photographie a-t-elle été prise pendant la pose de la Princesse :
C'est fantastique de pouvoir comparer ce portrait à cette photo... Mais diable ! je trouve que Winterhalter a affadi les traits de la Princesse . Elle a une douceur dans le regard et une sensualité dans la moue qu'on ne retrouve pas dans la mine trop hiératique du portrait !
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Portraits par Franz Xaver Winterhalter
Je me dois de poster ce tableau que nous connaissons tous, de L'Impératrice Eugénie entourée de ses Dames d'honneur (le 27 juin 1867.Huile sur toile) , conservé au château de Compiègne :
La composition habile de l’œuvre respecte le protocole : l’impératrice est légèrement excentrée mais domine l’ensemble avec, immédiatement à ses côtés, les deux dames les plus importantes de sa suite : à sa droite, la princesse d’Essling, grande maîtresse de la Maison de l’impératrice ; à sa gauche, la duchesse de Bassano, sa dame d’honneur. Six des treize dames du palais sont rassemblées autour de ce groupe principal, sur l’herbe d’une clairière ombragée de grands arbres ; de gauche à droite : la baronne de Pierres, la comtesse de Lezay-Marnésia, la comtesse de Montebello, la baronne de Malaret, la marquise de Las Marismas et la marquise de Latour-Maubourg. A droite, derrière un massif de lilas, une vasque déborde de chèvrefeuille. A l’arrière-plan, une étroite échappée laisse entrevoir une ville dans le lointain, sous le bleu d’un ciel pommelé de nuages. L’ensemble offre une harmonie de couleurs chatoyantes.
La toile offre néanmoins un intérêt documentaire : elle donne une image précise de la mode dans les premières années du Second Empire. Elle illustre le triomphe de la crinoline, vaste cage à cerceaux métalliques qui gonfle les jupes. Les toilettes s’ornent d’une profusion de volants, de dentelles froncées, de rubans. Ce considérable travail de confection est alors facilité par l’invention de la machine à coudre, qui obtient un grand succès à l’Exposition universelle de 1855. Le tableau lui-même occupait la place d’honneur à cette même exposition. Il connut un immense succès populaire et fut largement diffusé et reproduit sur les calendriers ou les boîtes de confiserie.
Bien à vous.
La composition habile de l’œuvre respecte le protocole : l’impératrice est légèrement excentrée mais domine l’ensemble avec, immédiatement à ses côtés, les deux dames les plus importantes de sa suite : à sa droite, la princesse d’Essling, grande maîtresse de la Maison de l’impératrice ; à sa gauche, la duchesse de Bassano, sa dame d’honneur. Six des treize dames du palais sont rassemblées autour de ce groupe principal, sur l’herbe d’une clairière ombragée de grands arbres ; de gauche à droite : la baronne de Pierres, la comtesse de Lezay-Marnésia, la comtesse de Montebello, la baronne de Malaret, la marquise de Las Marismas et la marquise de Latour-Maubourg. A droite, derrière un massif de lilas, une vasque déborde de chèvrefeuille. A l’arrière-plan, une étroite échappée laisse entrevoir une ville dans le lointain, sous le bleu d’un ciel pommelé de nuages. L’ensemble offre une harmonie de couleurs chatoyantes.
La toile offre néanmoins un intérêt documentaire : elle donne une image précise de la mode dans les premières années du Second Empire. Elle illustre le triomphe de la crinoline, vaste cage à cerceaux métalliques qui gonfle les jupes. Les toilettes s’ornent d’une profusion de volants, de dentelles froncées, de rubans. Ce considérable travail de confection est alors facilité par l’invention de la machine à coudre, qui obtient un grand succès à l’Exposition universelle de 1855. Le tableau lui-même occupait la place d’honneur à cette même exposition. Il connut un immense succès populaire et fut largement diffusé et reproduit sur les calendriers ou les boîtes de confiserie.
source : Alain GALOIN
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Portraits par Franz Xaver Winterhalter
Majesté a écrit:
Je me dois de poster ce tableau ...
Oui, il est trop beau !
Je me demande quelle petite fille n'a pas rêvé sur cette image ?
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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