L'Adieu aux rois, de Valère Staraselski
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L'Adieu aux rois, de Valère Staraselski
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De multiples articles ont salué la parution du dernier ouvrage de Valère Staraselski « L’adieu aux rois ». Ils sont tous, avec juste raison, élogieux et invitent vivement à la lecture de ce livre. Citons notamment ceux de F. Eychart ( L’Humanité du 5/09/13), de C. Chouard ( « Le Berry républicain » du 24/08/13). Je ne veux pas ici paraphraser les appréciations très positives des auteurs, mais exprimer quelques réflexions de lecture complémentaires.
Je souhaite revenir sur l’article de Rémi Boyer, paru une première fois le 22/08/2013 sur Le Site Inchoerism et repris d’une manière plus concise le 10/09 dans L’Humanité. L’ensemble de cet article est élogieux, certes, et j’en partage les grandes idées. Toutefois, j’exprime quelques réserves sur un ou deux aspects de cet article.
Tout d’abord son titre « La Révolution reste encore à découvrir ». Il me semble ambigu et « modérantiste » si j’ose reprendre une expression de Robespierre citée dans le livre de V. Staraselski. Qu’est-ce à dire que « la Révolution reste encore à découvrir » ? Que l’odyssée entreprise par les révolutionnaires de 1789-1794 ne fut pas vraiment une révolution ? Même si elle se heurta finalement aux visées de la nouvelle bourgeoisie au pouvoir et qu’elle en périt…Ou alors l’auteur veut-il signifier que les chemins que devront parcourir les révolutionnaires de notre temps seront nécessairement différents et qu’il n’est pas de modèle ? C’est une évidence : mais, choisissant ce titre, il lui revenait de lever son ambiguïté dans l’article, ce qu’il ne fait pas.
Deuxièmement, R. Boyer évoque les deux grands axes de « L’adieu aux rois » : d’une part la description étonnamment précise et circonstanciée de la destruction systématique des tombes des rois, reines et autres figures de l’aristocratie française, depuis Dagobert jusqu’à Louis XV, d’autre part la figure de Robespierre aux prises avec les contradictions majeures du moment. Il précise en même temps que « davantage que Robespierre, c’est la démocratie et les principes et valeurs de la République que V.S. veut défendre ». Quant à moi, même si, en temps et en pagination le premier axe apparait l’essentiel du roman, j’estime que le pivot signifiant du récit de V. Staraselski est Robespierre (comme d’ailleurs le couple Voltaire-Diderot m’était apparu comme celui d’« Une histoire française »). Ce n’est évidemment pas un hasard si la dernière page du livre est la relation de la mort du dirigeant révolutionnaire. D’ailleurs le lecteur attentif aura compris qu’à travers les citations littérales de Robespierre, c’est Valère Staraselski qui parle (c’est lui évidemment qui a choisi ces citations…). Ce n’est pas une surprise quand on connait les engagements syndicaux et politiques de l’auteur.
Troisièmement, précisément en restreignant aux valeurs de la République et de la démocratie l’engagement de l’auteur, R .Boyer occulte complètement, dans les deux versions de son article, la dimension majeure du récit : le concept de nation et donc de patriotisme. Ce concept est le fil rouge (oserons nous dire…) de « L’adieu aux rois ». De multiples passages l’évoquent. Pas seulement par le contenu essentiel que pris très vite la révolution, mais aussi, et c’est une des richesses du roman, par le processus historique séculaire qui forgea la nation française sous ses royautés successives. F. Eychart l’avait fort justement évoqué dans l’article cité plus haut. Ceci donne une dimension évidemment très importante et militante au livre de V.S. à l’heure où la mondialisation capitaliste s’en prend à l’existence des nations, à leur indépendance économique, politique et culturelle, à l’heure du traité de Lisbonne notamment, à l’heure par exemple où la bourgeoisie française vise à liquider nombre d’acquis en particulier de la Révolution de 1789 ( soumission de l’Etat à la Commission de Bruxelles, menaces sur la départementalisation, etc.). Cette notion de nation est d’ailleurs une constante dans l’œuvre de V. Staraselski : elle était déjà le fil conducteur d’ « Une histoire française ». Rappelons, en passant, ce qu’écrivit un jour Aragon, en substance : il n’y a de réalisme que national…
En un mot, lire « L’adieu aux rois », c’est rajeunir.
Vincent Ferrier
11 septembre 2013
Description du produit, Amazon
Extrait
«Mais puisque je te dis que je n'invente rien !... C'est bien simple, rien de rien.»
Et, détachant chaque mot avec insistance et agacement, Marc Antoine Doudeauville répéta : «Le Comité de salut public a ordonné la fabrication de baïonnettes plutôt que de piques, jugées inefficaces !»
Toutes les chandelles des candélabres brûlaient, leurs flammes s'étiraient interminablement et magnifiquement en longueur, l'âtre de la cheminée où brûlaient falourdes et bûches émettait une sorte de souffle continu et, à l'exception d'une seule fenêtre, les lourds rideaux de velours rouge de chez Oberkampf étaient partout disposés en feston.
Posé dessus un tabouret qui disparaissait sous lui, André de Maisonseule tapota son genou de la main tout en lançant, en guise de constat, un coup de menton en direction de Georges de Coursault. Celui-ci se trouvait installé devant le secrétaire à rédiger ce qu'on lui dictait. Tous deux prirent le temps de laisser s'évanouir l'accès d'humeur de Doudeauville.
Il y eut une accalmie durant laquelle on entendit la rumeur du Pont-Neuf avec des cris nets aussi des marchands qui s'en détachaient. Et de temps à autre, durant les silences pleins, les trois compères percevaient également les pas de Baptiste qui allait et venait en bas dans le vestibule. Des pas réguliers, répétitifs, presque mécaniques, qui résonnaient sur la tommette.
D'une voix tout à coup radoucie, l'avocat argumenta à l'intention de Maisonseule :
«Tu sais que mes informations sont tout ce qu'il y a de plus crédible. C'est aussi vrai que la prise de Noirmoutier et que la capture d'Elbée, oui, de Maurice Gigost d'Elbée, généralissime de l'armée catholique et royale de Vendée !»
Depuis son grave accident de janvier 1789, cinq ans auparavant, l'avocat avait peu à peu recouvré la mobilité puis l'usage de son corps mais, portant corset et s'aidant d'une canne à pommeau, sorte de trique noueuse à la jacobine, il avait hérité d'une certaine raideur dans le maintien qui s'accentuait avec la fatigue.
Son bureau qui se trouvait toujours dans sa chambre, en sa demeure de la rue de Nevers, n'était en rien changé depuis la date de l'accident. Hormis les lourds rideaux rouges dont les motifs de couleur verte indiquaient leur nouveauté, mêmes meubles et mêmes objets. Vaste mais basse de plafond, la pièce parquetée et boisée dans tout son contour est éclairée cet après-midi-là par les trois mêmes candélabres à trois branches qu'en 1789.
A l'intérieur du lieu, il flotte toujours cette odeur de cire de qualité. On retrouve également le cheval peint, fait d'une plaque de bois emmortaisée dans un socle du même bois.
Au fond, dans la partie aveugle de la chambre-bureau, le lit à petit baldaquin tendu de rouge, avec un gros édredon grenat trônant en son mitan, n'a pas changé de place. Il fait face à la cheminée dont le pare-feu grillagé et les chenets de fonte à gueule de lion semblent toujours monter la garde. Partout sur le sol, des tapis d'Orient usés par endroits achèvent de donner une impression d'aisance.
Présentation de l'éditeur
" On venait d'ouvrir le cercueil de Marie de Médicis [...] il était [...] en putréfaction liquide. [...] Sa tête était entière et garnie de beaucoup de cheveux.
Aussitôt, il a entendu les [...] ouvriers et autres assistants qui accusaient cette princesse du meurtre de son époux. [...] ces imprécations signifiaient néanmoins un hommage [...] rendu à la mémoire d'Henri IV toujours chérie, malgré la haine prononcée contre le nom de roi ! Les ouvriers [...] ont arraché et distribué au hasard ses cheveux. Il m'a confessé avoir alors tendu, au milieu du groupe, une main incertaine qui a réussi à en saisir une petite touffe qu'il a eu soin de conserver... "
1793, la France est assiégée. Prussiens, Autrichiens et Anglais cantonnent à quelques heures de Paris. Le bruit court que le roi de Prusse a fait retenir les loges à l'Opéra. Lyon et Bordeaux sont en rébellion contre la Convention tandis que les Vendéens insurgés ont pris Angers et Saumur. Terreur, sauvagerie et férocité caractérisent cette guerre civile.
Le conventionnel Barère appelle à la destruction des mausolées royaux. Les sans-culottes applaudissent et l'abbé Grégoire lui-même s'enthousiasme. Les cercueils des rois et reines de France, princes, princesses, religieux et grands de l'État sont ouverts et leurs corps extraits un à un puis jetés dans deux fosses communes.
Un témoin, Ferdinand Gautier, personnage réel, royaliste et catholique fervent, relate jour par jour ces faits à l'avocat robespierriste Marc Antoine Doudeauville...
de Valère Staraselski
« L’adieu aux rois »
L'Adieu aux rois, Paris, janvier 1794 est un roman historique,
le roman de la naissance de la République française.
Il semble qu'il faille avoir le coeur bien accroché, par moments ...
« L’adieu aux rois »
L'Adieu aux rois, Paris, janvier 1794 est un roman historique,
le roman de la naissance de la République française.
Il semble qu'il faille avoir le coeur bien accroché, par moments ...
De multiples articles ont salué la parution du dernier ouvrage de Valère Staraselski « L’adieu aux rois ». Ils sont tous, avec juste raison, élogieux et invitent vivement à la lecture de ce livre. Citons notamment ceux de F. Eychart ( L’Humanité du 5/09/13), de C. Chouard ( « Le Berry républicain » du 24/08/13). Je ne veux pas ici paraphraser les appréciations très positives des auteurs, mais exprimer quelques réflexions de lecture complémentaires.
Je souhaite revenir sur l’article de Rémi Boyer, paru une première fois le 22/08/2013 sur Le Site Inchoerism et repris d’une manière plus concise le 10/09 dans L’Humanité. L’ensemble de cet article est élogieux, certes, et j’en partage les grandes idées. Toutefois, j’exprime quelques réserves sur un ou deux aspects de cet article.
Tout d’abord son titre « La Révolution reste encore à découvrir ». Il me semble ambigu et « modérantiste » si j’ose reprendre une expression de Robespierre citée dans le livre de V. Staraselski. Qu’est-ce à dire que « la Révolution reste encore à découvrir » ? Que l’odyssée entreprise par les révolutionnaires de 1789-1794 ne fut pas vraiment une révolution ? Même si elle se heurta finalement aux visées de la nouvelle bourgeoisie au pouvoir et qu’elle en périt…Ou alors l’auteur veut-il signifier que les chemins que devront parcourir les révolutionnaires de notre temps seront nécessairement différents et qu’il n’est pas de modèle ? C’est une évidence : mais, choisissant ce titre, il lui revenait de lever son ambiguïté dans l’article, ce qu’il ne fait pas.
Deuxièmement, R. Boyer évoque les deux grands axes de « L’adieu aux rois » : d’une part la description étonnamment précise et circonstanciée de la destruction systématique des tombes des rois, reines et autres figures de l’aristocratie française, depuis Dagobert jusqu’à Louis XV, d’autre part la figure de Robespierre aux prises avec les contradictions majeures du moment. Il précise en même temps que « davantage que Robespierre, c’est la démocratie et les principes et valeurs de la République que V.S. veut défendre ». Quant à moi, même si, en temps et en pagination le premier axe apparait l’essentiel du roman, j’estime que le pivot signifiant du récit de V. Staraselski est Robespierre (comme d’ailleurs le couple Voltaire-Diderot m’était apparu comme celui d’« Une histoire française »). Ce n’est évidemment pas un hasard si la dernière page du livre est la relation de la mort du dirigeant révolutionnaire. D’ailleurs le lecteur attentif aura compris qu’à travers les citations littérales de Robespierre, c’est Valère Staraselski qui parle (c’est lui évidemment qui a choisi ces citations…). Ce n’est pas une surprise quand on connait les engagements syndicaux et politiques de l’auteur.
Troisièmement, précisément en restreignant aux valeurs de la République et de la démocratie l’engagement de l’auteur, R .Boyer occulte complètement, dans les deux versions de son article, la dimension majeure du récit : le concept de nation et donc de patriotisme. Ce concept est le fil rouge (oserons nous dire…) de « L’adieu aux rois ». De multiples passages l’évoquent. Pas seulement par le contenu essentiel que pris très vite la révolution, mais aussi, et c’est une des richesses du roman, par le processus historique séculaire qui forgea la nation française sous ses royautés successives. F. Eychart l’avait fort justement évoqué dans l’article cité plus haut. Ceci donne une dimension évidemment très importante et militante au livre de V.S. à l’heure où la mondialisation capitaliste s’en prend à l’existence des nations, à leur indépendance économique, politique et culturelle, à l’heure du traité de Lisbonne notamment, à l’heure par exemple où la bourgeoisie française vise à liquider nombre d’acquis en particulier de la Révolution de 1789 ( soumission de l’Etat à la Commission de Bruxelles, menaces sur la départementalisation, etc.). Cette notion de nation est d’ailleurs une constante dans l’œuvre de V. Staraselski : elle était déjà le fil conducteur d’ « Une histoire française ». Rappelons, en passant, ce qu’écrivit un jour Aragon, en substance : il n’y a de réalisme que national…
En un mot, lire « L’adieu aux rois », c’est rajeunir.
Vincent Ferrier
11 septembre 2013
Description du produit, Amazon
Extrait
«Mais puisque je te dis que je n'invente rien !... C'est bien simple, rien de rien.»
Et, détachant chaque mot avec insistance et agacement, Marc Antoine Doudeauville répéta : «Le Comité de salut public a ordonné la fabrication de baïonnettes plutôt que de piques, jugées inefficaces !»
Toutes les chandelles des candélabres brûlaient, leurs flammes s'étiraient interminablement et magnifiquement en longueur, l'âtre de la cheminée où brûlaient falourdes et bûches émettait une sorte de souffle continu et, à l'exception d'une seule fenêtre, les lourds rideaux de velours rouge de chez Oberkampf étaient partout disposés en feston.
Posé dessus un tabouret qui disparaissait sous lui, André de Maisonseule tapota son genou de la main tout en lançant, en guise de constat, un coup de menton en direction de Georges de Coursault. Celui-ci se trouvait installé devant le secrétaire à rédiger ce qu'on lui dictait. Tous deux prirent le temps de laisser s'évanouir l'accès d'humeur de Doudeauville.
Il y eut une accalmie durant laquelle on entendit la rumeur du Pont-Neuf avec des cris nets aussi des marchands qui s'en détachaient. Et de temps à autre, durant les silences pleins, les trois compères percevaient également les pas de Baptiste qui allait et venait en bas dans le vestibule. Des pas réguliers, répétitifs, presque mécaniques, qui résonnaient sur la tommette.
D'une voix tout à coup radoucie, l'avocat argumenta à l'intention de Maisonseule :
«Tu sais que mes informations sont tout ce qu'il y a de plus crédible. C'est aussi vrai que la prise de Noirmoutier et que la capture d'Elbée, oui, de Maurice Gigost d'Elbée, généralissime de l'armée catholique et royale de Vendée !»
Depuis son grave accident de janvier 1789, cinq ans auparavant, l'avocat avait peu à peu recouvré la mobilité puis l'usage de son corps mais, portant corset et s'aidant d'une canne à pommeau, sorte de trique noueuse à la jacobine, il avait hérité d'une certaine raideur dans le maintien qui s'accentuait avec la fatigue.
Son bureau qui se trouvait toujours dans sa chambre, en sa demeure de la rue de Nevers, n'était en rien changé depuis la date de l'accident. Hormis les lourds rideaux rouges dont les motifs de couleur verte indiquaient leur nouveauté, mêmes meubles et mêmes objets. Vaste mais basse de plafond, la pièce parquetée et boisée dans tout son contour est éclairée cet après-midi-là par les trois mêmes candélabres à trois branches qu'en 1789.
A l'intérieur du lieu, il flotte toujours cette odeur de cire de qualité. On retrouve également le cheval peint, fait d'une plaque de bois emmortaisée dans un socle du même bois.
Au fond, dans la partie aveugle de la chambre-bureau, le lit à petit baldaquin tendu de rouge, avec un gros édredon grenat trônant en son mitan, n'a pas changé de place. Il fait face à la cheminée dont le pare-feu grillagé et les chenets de fonte à gueule de lion semblent toujours monter la garde. Partout sur le sol, des tapis d'Orient usés par endroits achèvent de donner une impression d'aisance.
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" On venait d'ouvrir le cercueil de Marie de Médicis [...] il était [...] en putréfaction liquide. [...] Sa tête était entière et garnie de beaucoup de cheveux.
Aussitôt, il a entendu les [...] ouvriers et autres assistants qui accusaient cette princesse du meurtre de son époux. [...] ces imprécations signifiaient néanmoins un hommage [...] rendu à la mémoire d'Henri IV toujours chérie, malgré la haine prononcée contre le nom de roi ! Les ouvriers [...] ont arraché et distribué au hasard ses cheveux. Il m'a confessé avoir alors tendu, au milieu du groupe, une main incertaine qui a réussi à en saisir une petite touffe qu'il a eu soin de conserver... "
1793, la France est assiégée. Prussiens, Autrichiens et Anglais cantonnent à quelques heures de Paris. Le bruit court que le roi de Prusse a fait retenir les loges à l'Opéra. Lyon et Bordeaux sont en rébellion contre la Convention tandis que les Vendéens insurgés ont pris Angers et Saumur. Terreur, sauvagerie et férocité caractérisent cette guerre civile.
Le conventionnel Barère appelle à la destruction des mausolées royaux. Les sans-culottes applaudissent et l'abbé Grégoire lui-même s'enthousiasme. Les cercueils des rois et reines de France, princes, princesses, religieux et grands de l'État sont ouverts et leurs corps extraits un à un puis jetés dans deux fosses communes.
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: L'Adieu aux rois, de Valère Staraselski
Merci pour cette annonce.
A déplacer ici, car il s'agit d'un roman...
https://marie-antoinette.forumactif.org/f121-divers-romans-bandes-dessinees-et-livres-de-jeunesse
A déplacer ici, car il s'agit d'un roman...
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La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: L'Adieu aux rois, de Valère Staraselski
Messages déplacés !
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Mme de Sabran- Messages : 55497
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