Notre Jeu du Printemps !

Louvel ?

Gouverneur Morris a écrit:

Je ne fais que citer Châteaubriand, qui eût ce mot au moment de l’exhumation de 1815

... le mot le plus malheureux de toute sa vie .

Comte d'Hézècques a écrit:

Je ne vois pas de dame, moi  
A moins qu'il fût trans avant l'heure

Ah bon ! c'est donc un jeune garçon .

Mme de Sabran a écrit:

Gouverneur Morris a écrit:

Je ne fais que citer Châteaubriand, qui eût ce mot au moment de l’exhumation de 1815

...  le mot le plus malheureux de toute sa vie .  

La citation complète est beaucoup plus tendre pour la reine :

Je menai mon Pindare à l’heure de la messe dans la galerie de Versailles. L’Œil-de-Bœuf était rayonnant : le renvoi de M. Necker avait exalté les esprits ; on se croyait sûr de la victoire : peut-être Sanson et Simon, mêlés dans la foule, étaient spectateurs des joies de la famille royale.
La reine passa avec ses deux enfants ; leur chevelure blonde semblait attendre des couronnes : madame la duchesse d’Angoulême, âgée de onze ans, attirait les yeux par un orgueil virginal ; belle de la noblesse du rang et de l’innocence de la jeune fille, elle semblait dire comme la fleur d’oranger de Corneille, dans la Guirlande de Julie :


J’ai la pompe de ma naissance.


Le petit Dauphin marchait sous la protection de sa sœur, et M. Du Touchet suivait son élève ; il m’aperçut et me montra obligeamment à la reine. Elle me fit, en me jetant un regard avec un sourire, ce salut gracieux qu’elle m’avait déjà fait le jour de ma présentation. Je n’oublierai jamais ce regard qui devait s’éteindre sitôt. Marie-Antoinette, en souriant, dessina si bien la forme de sa bouche, que le souvenir de ce sourire (chose effroyable !) me fit reconnaître la mâchoire de la fille des rois, quand on découvrit la tête de l’infortunée dans les exhumations de 1815.

Mme de Sabran a écrit:
Ah bon !  c'est donc un jeune garçon .

Un des plus grands écrivains que la littérature française a produit, parbleu !

Balzac ?

Bah ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Quel lien avec le Temple et pourquoi Paris 1814 ?

Il faut creuser un peu dans la vie de l'auteur de la Comédie Humaine

Cette année-la, Balzac reçoit la décoration du Lys.

Non, pas tout à fait.
Connaissez-vous un peu Balzac ?
En 1814 il a seulement 15 ans.
Les années précédentes il a souffert le martyre au pensionnat des oratoriens de Vendôme.

Comte d'Hézècques a écrit:

Je reposte les images.
Nous avons besoin de la personne qui relie les trois images....

Dans sa jeunesse, Balzac habitait rue du Temple .

Non, on cherche une personne, pas une rue

O.K. mais est-ce la raison de ton choix de cette image ?

Non, pas du tout ?!!
Cherchons-nous un monsieur ou une dame ?

Nous cherchons un monsieur
Le choix du Temple a un rapport très important avec ce monsieur que nous cherchons.
Disons que Balzac est secondaire dans cette énigme.
Mais il y a bel et bien un lien entre Balzac, l'année 1814, et le Temple ; mais le Temple uniquement parce que la personne que Balzac a commencé à connaître vers la fin de 1814 a un lien direct avec le Temple.

Ce monsieur faisait partie du personnel, au Temple ?
Il avait connu la famille royale peut-être, et se réjouissait du retour de Louis XVIII à Paris ?

Est-ce que cela aurait à voir avec la nouvelle de Balzac « un épisode sous la Terreur », où il est question du bourreau Sanson ?

Mme de Sabran a écrit:Ce monsieur faisait partie du personnel, au Temple ?
Il avait connu la famille royale peut-être, et se réjouissait du retour de Louis XVIII à Paris ?

S'il s'est réjoui du retour de Louis XVIII à Paris, je l'ignore, mais il faisait effectivement partie du personnel engagé au Temple et il a vu et connu la famille royale.

Vicq d Azir a écrit:Est-ce que cela aurait à voir avec la nouvelle de Balzac « un épisode sous la Terreur », où il est question du bourreau Sanson ?

Non pas directement.
Vers la fin de 1814 papa et maman Balzac ont décidé de prendre leurs quartiers d'hiver à Paris et leur fils va être mis en pensionnat. Et c'est là où il fait la connaissance de X, que papa Balzac connaissait déjà à l'époque de la Révolution.

Serait-ce notre brave Cléry ?

Mme de Sabran a écrit:Serait-ce notre brave Cléry ?

Non, impossible.
Cléry est mort en 1809

Oups pardon ! Il n'y avait que Cagliostro pour faire revenir les morts ...

Lepître ?!!

Le jeune Balzac est en pension à l’institution Lepître !

Bravo Google !!!