Notre Jeu de l'Automne ...

Vieilles oui pour les "siècles". Pour deux autres, quel que soit leur âge, leur apparence ou leur rang, il s'agit de leur comportement à la cour.

La concurrence était rude !

Comme vous dites ! Mais sur ces points précis quelques unes étaient spécialistes.

Je suis en cuisine en même temps que je vous réponds, je reviens vers vous un peu plus tard.

Marie-Jeanne a écrit: il s'agit de leur comportement à la cour.

... écarts de langage, trigauderies de Cour, cancanages ?

En effet, les collets montés clabaubent et cancanent, vous y êtes presque,il manque juste un petit quelque chose . Quant aux "paquets", il faut s'en méfier.

... oreilles aux trous des serrures ?

Non non, elles enrobent leurs médisance de religiosité hypocrite.

....   les grenouilles de bénitier ?  les " mères la vertu " ?  
Marie-Antoinette ne brillait pas par la piété.

Vous y êtes, la jeune reine appelait collets montés étaient les dévotes médisantes de la cour.

Récapitulons :
"Les siècles" étaient les séniors de la cour
"Les collets montés", les dévotes médisantes
Restent "les paquets", les plus mal intentionnées...Jeune et espiègle, Marie-Antoinette s'en moquait sans réaliser combien ces dernières lui causeraient du tort.

Merci, chère Marie-Jeanne .
Et voici donc la nouvelle énigme :

Comment appelait-on Kaunitz

Ce n’était pas le « chancelier de fer », ou quelque chose d’approchant ?

Vicq d Azir a écrit:Ce n’était pas le « chancelier de fer », ou quelque chose d’approchant ?

Non, non .

Mais nous n'en avions pas fini avec "paquets" ! Il s'agissait des courtisanes qui faisaient circuler leurs paquets de ragots et médisances à la cour, et au delà.

Oups ! pardon ...
Je croyais avoir tout dit .

Aucun problème Eléonore

Est-ce un surnom lié à sa personnalité, son tempérament, ses goûts, ses qualités ou travers d'homme d'Etat ?

Ce n'est pas un surnom dont on usait pour lui parler, Domi, mais plutôt une métaphore pour parler de lui .

L'impératrice, la Cour de Vienne, les ambassadeurs utilisaient-ils cette métaphore pour parler de lui ?

Est-ce une métaphore liée à son image, son reflet, car cet homme me semble assez imbu de sa naissance et de sa position et de plus plutôt maniaque ?

Dominique Poulin a écrit:L'impératrice, la Cour de Vienne, les ambassadeurs utilisaient-ils cette métaphore pour parler de lui ?

Je ne sais pas du tout qui en était l'auteur ni qui la répétait . Cette métaphore est admirative.

Dominique Poulin a écrit:Est-ce une métaphore liée à son image, son reflet, car cet homme me semble assez imbu de sa naissance et de sa position et de plus plutôt maniaque ?

Elle est liée à son action politique.

Est-ce que cela a à voir avec les réformes initiées par Joseph ( le joséphisme ), réformes soutenues par Kaunitz, et/ou les réformes religieuses en Autriche ?

Vicq d Azir a écrit:Est-ce que cela a à voir avec les réformes initiées par Joseph ( le joséphisme ), réformes soutenues par Kaunitz, et/ou les réformes religieuses en Autriche ?

Non, c'est lié à la politique extérieure .

Avec l'Alliance franco-autrichienne dont il a été un des moteurs ?