Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
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Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
Je ne connaissais ni l'un, ni l'autre, et pas davantage leur soeur !
C'est l'annonce d'une vente aux enchères qui me donne l'idée d'ouvrir ce petit sujet biographique...
LOUIS-ÉTIENNE D'ORLÉANS, ABBÉ COMTE DE SAINT-FARRE
Demi-frère de Philippe Égalité et de la duchesse de Bourbon
Par François Dumont,
Miniature, gouache sur ivoire, c. 1787
Signée : Dumont 17...
Provenance : collection de feu le roi Umberto II d'Italie (1904-1983) ; légué par le souverain à un membre de sa famille.
Image : Mallié-Arcelin Mdv
Présentation au catalogue (extraits)
L'identification de notre personnage est confirmée par un portrait de lui exécuté quelques années plus tôt par Charles-Nicolas Cochin (1715-1790) et Jean-Charles Delafosse (1734-1789), que nous reproduisons (voir fig. A.), et par l'inscription manuscrite figurant au dos de notre miniature, à l'intérieur du montage : Comte de St Farre / (1759-1825).
Portrait de Louis-Étienne, comte de Saint-Farre (1759-1825)
Charles-Nicolas Cochin (1715-1790) et Jean-Charles Delafosse (1734-1789)
fusain dans un entourage dessiné au lavis avec des attributs épiscopaux des beaux arts et le plat d'un livre aux armes des Orléans.
Médaillon : H. 13,5 cm - L. 11,5 cm.
Source : Christie's 18 avril 2000, sale 6275, n°81
Bibliographie : Wunder collection, vente chez Christie's à Londres le 7 juillet 1976, lot n° 39.
Figuré en mi-corps, en médaillon de trois-quarts à droite, coiffé d'une perruque.
Notre modèle est représenté en tenue de ville, confirmant la liberté vestimentaire dont bénéficiaient les abbés de Cour, à la veille de la Révolution française.
(...)
Louis-Étienne d'Orléans (1759-1825), abbé comte de Saint-Farre
Fils naturel de Louis Philippe d'Orléans (1725 - 1785), petit-fils du Régent, et de Madame de Villemomble, née Le Marquis, il était l'aîné d'une fratrie comptant également des jumeaux, son frère cadet, Louis-Philippe, et sa soeur cadette, Etiennette.
Tous trois reconnus par leur père, Louis-Philippe d'Orléans, ils furent présentés à la Cour du Roi Louis XVI et aux princes et princesses de la famille royale de France.
Cédant aux prières du duc d'Orléans, les deux fils embrassèrent la carrière ecclésiastique, Louis-Étienne devint abbé de Saint-Farre et Louis-Philippe, abbé de Saint-Albin.
Demi-frères de Philippe Égalité et de la duchesse de Bourbon qui les traitaient comme des frères, appelant Louis-Étienne de Saint-Farre, son frère blond, et Louis-Philippe de Saint-Albin, son frère brun.
Les deux abbés entouraient leur père lorsque ce dernier décéda en 1785 au château de Saint-Assise.
Abbé de Livry de 1782 à 1790 et prieur de l'abbaye de Saint-Martin-des-Champs en 1789, Louis-Étienne de Saint-Farre se fit remarquer, comme son frère cadet, par l'opulence de son train de vie, ses laquais portant la livrée des Orléans dans son hôtel du Faubourg Poissonnière.
Exilé en Espagne auprès sa demi-soeur, la duchesse de Bourbon, pendant la période révolutionnaire, l'abbé de Saint-Farre était rentré en France au moment des Cent-jours (1815).
Très proche de son neveu, Louis-Philippe, duc d'Orléans et futur roi des Français, et de son épouse Marie-Amélie de Bourbon, c'est grâce à l'aide de ces derniers qu'il put terminer sa vie décemment, malgré d'importants déboires financiers.
Louis-Étienne d'Orléans, abbé-comte de Saint-Farre, décéda le 24 juillet 1825 au 8 place Vendôme à Paris.
Il est inhumé, aux côtés de son frère, au cimetière du père Lachaise, leur sépulture se compose de deux obélisques ornés du blason des Orléans à la brisure des bâtards légitimés.
Considéré comme "Le dernier abbé de Cour ", Honoré Bonhomme lui consacra un ouvrage paru en 1873, d'après des lettres et des documents inédits.
* Source et infos complémentaires : Mallier-Arcelin - Vente Souvenirs historiques, du 12 mars 2020 (Paris Drouot)
Je signale également un portrait titré " L'abbé de Saint Farre ", peint par Henri-Pierre Danloux, et conservé au Musée des Beaux-Arts de Rouen.
N'ayant retrouvé aucune information complémentaire, j'ignore s'il s'agit bien du même homme ?
Enfin, je suppose...
L'abbé de Saint-Farre
Henri-Pierre Danloux
Huile sur toile, vers 1792
Musée des Beaux-Arts de Rouen
Image : Direction des Musées de France, 1986 / Carole Loisel et Catherine Lancien
Et présentée dans la même vente aux enchères, une miniature de son frère :
LOUIS-PHILIPPE D'ORLÉANS, ABBÉ COMTE DE SAINT-ALBIN
Demi-frère de Philippe Égalité et de la duchesse de Bourbon
Attribué à Louis-Lié Perrin Salbreux
Gouache sur ivoire, c. 1785
H. 7,3 cm ; L. : 7,2 cm
Provenance : collection de feu le roi Umberto II d'Italie (1904-1983) ; légué par le souverain à un membre de sa famille.
Image : Mallié-Arcelin Mdv
Inscription manuscrite au dos : Fils de Louis d'Orléans, Portrait de Monsieur le Comte de St Albin, Mr et Mme Le Couteulx le gardent en souvenir de bonne amitié.
Sous verre avec cerclage en laiton doré avec cadre circulaire en bois vernis.
Présentation au catalogue (extraits)
Louis-Philippe d'Orléans (1761-1829), abbé comte de Saint-Albin
Fils naturel de Louis-Philippe, duc d'Orléans et de Étiennette Marie Périne Le Marquis, dite Madame de Villemomble, il était le frère cadet de Louis-Étienne d'Orléans, abbé comte de Saint-Farre et le frère jumeau de Marie d'Auvilliers, comtesse de Brossard.
Il fut nommé vicaire général du diocèse de Paris. Reconnu par le duc d'Orléans, son père, et cédant aux souhaits de ce dernier, il intégra le séminaire Saint-Magloire.
Comme son frère ainé, l'abbé de Saint-Farre. Louis-Philippe, comte de Saint-Albin, abbé de Cour, fut un bon vivant, goûta aux fastes de Versailles et mena grand train en ville.
L'abbé de Saint-Albin, comme son frère, resta célibataire.
Pendant la Révolution française, il prit le chemin de Londres, puis de l'Allemagne.
Il possédait le château du Buisson de May à Saint-Aquilin-de-Pacy, " hameau délicieux, aussi poétique que son nom, et dont il avait fait pour son usage particulier, une seconde abbaye de Thélème ".
Il avait aussi son hôtel parisien, n°9, rue d'Aguesseau où, en 1805, il hébergea une des petites filles de sa soeur, la comtesse de Brossard, Louise Emma Pauline Lambert, dont il était le tuteur ad hoc.
À l'instar de son frère, il continua à vivre dans le faste des " années princières ", entouré d'une myriade de domestiques. Cependant il dut vendre le château du Buisson-de-Mai en 1826 et se séparer de meubles de grande valeur pour payer ses créanciers toujours plus nombreux.
À la fin de sa vie, il ne cessa d'implorer son neveu le duc d'Orléans, futur roi des Français, afin de conserver sa pension et de payer ses créanciers. Avec son frère, il fut légitimé officiellement par Louis XVIII, en 1815.
Les deux abbés furent autorisés à prendre le titre de comte et les armoiries de la maison d'Orléans.
Il fut élu maire de Saint-Aquilin-de-Pacy, puis de Pacy-sur-Eure, et fit construire la caserne des pompiers de cette commune. Louis-Philippe de Saint-Albin décéda, " accablé de douleurs de rhumatisme et de goutte " à Paris. " Il vécut très galamment dans la double acception du mot ", écrira à son sujet Guillaume Combrouse.
Il est enterré avec son frère, l'abbé de Saint-Farre, au cimetière du Père-Lachaise à Paris.
* Source et infos complémentaires : Mallier-Arcelin - Vente Souvenirs historiques, du 12 mars 2020 (Paris Drouot)
Vues du château du Buisson de May, à Saint-Aquilin-de-Pacy, domaine qui se visite de nos jours, et dont voici le site internet : Château du Buisson de May
Images : Château du Buisson de May
La tombe des comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin au cimetière du Père Lachaise :
Photos prisent en avril 2019 / Stéphane Charton-Thomas
Source : Site de Stéphane Thomas / L'abbé de Saint-Farre
C'est l'annonce d'une vente aux enchères qui me donne l'idée d'ouvrir ce petit sujet biographique...
LOUIS-ÉTIENNE D'ORLÉANS, ABBÉ COMTE DE SAINT-FARRE
Demi-frère de Philippe Égalité et de la duchesse de Bourbon
Par François Dumont,
Miniature, gouache sur ivoire, c. 1787
Signée : Dumont 17...
Provenance : collection de feu le roi Umberto II d'Italie (1904-1983) ; légué par le souverain à un membre de sa famille.
Image : Mallié-Arcelin Mdv
Présentation au catalogue (extraits)
L'identification de notre personnage est confirmée par un portrait de lui exécuté quelques années plus tôt par Charles-Nicolas Cochin (1715-1790) et Jean-Charles Delafosse (1734-1789), que nous reproduisons (voir fig. A.), et par l'inscription manuscrite figurant au dos de notre miniature, à l'intérieur du montage : Comte de St Farre / (1759-1825).
Portrait de Louis-Étienne, comte de Saint-Farre (1759-1825)
Charles-Nicolas Cochin (1715-1790) et Jean-Charles Delafosse (1734-1789)
fusain dans un entourage dessiné au lavis avec des attributs épiscopaux des beaux arts et le plat d'un livre aux armes des Orléans.
Médaillon : H. 13,5 cm - L. 11,5 cm.
Source : Christie's 18 avril 2000, sale 6275, n°81
Bibliographie : Wunder collection, vente chez Christie's à Londres le 7 juillet 1976, lot n° 39.
Figuré en mi-corps, en médaillon de trois-quarts à droite, coiffé d'une perruque.
Notre modèle est représenté en tenue de ville, confirmant la liberté vestimentaire dont bénéficiaient les abbés de Cour, à la veille de la Révolution française.
(...)
Louis-Étienne d'Orléans (1759-1825), abbé comte de Saint-Farre
Fils naturel de Louis Philippe d'Orléans (1725 - 1785), petit-fils du Régent, et de Madame de Villemomble, née Le Marquis, il était l'aîné d'une fratrie comptant également des jumeaux, son frère cadet, Louis-Philippe, et sa soeur cadette, Etiennette.
Tous trois reconnus par leur père, Louis-Philippe d'Orléans, ils furent présentés à la Cour du Roi Louis XVI et aux princes et princesses de la famille royale de France.
Cédant aux prières du duc d'Orléans, les deux fils embrassèrent la carrière ecclésiastique, Louis-Étienne devint abbé de Saint-Farre et Louis-Philippe, abbé de Saint-Albin.
Demi-frères de Philippe Égalité et de la duchesse de Bourbon qui les traitaient comme des frères, appelant Louis-Étienne de Saint-Farre, son frère blond, et Louis-Philippe de Saint-Albin, son frère brun.
Les deux abbés entouraient leur père lorsque ce dernier décéda en 1785 au château de Saint-Assise.
Abbé de Livry de 1782 à 1790 et prieur de l'abbaye de Saint-Martin-des-Champs en 1789, Louis-Étienne de Saint-Farre se fit remarquer, comme son frère cadet, par l'opulence de son train de vie, ses laquais portant la livrée des Orléans dans son hôtel du Faubourg Poissonnière.
Exilé en Espagne auprès sa demi-soeur, la duchesse de Bourbon, pendant la période révolutionnaire, l'abbé de Saint-Farre était rentré en France au moment des Cent-jours (1815).
Très proche de son neveu, Louis-Philippe, duc d'Orléans et futur roi des Français, et de son épouse Marie-Amélie de Bourbon, c'est grâce à l'aide de ces derniers qu'il put terminer sa vie décemment, malgré d'importants déboires financiers.
Louis-Étienne d'Orléans, abbé-comte de Saint-Farre, décéda le 24 juillet 1825 au 8 place Vendôme à Paris.
Il est inhumé, aux côtés de son frère, au cimetière du père Lachaise, leur sépulture se compose de deux obélisques ornés du blason des Orléans à la brisure des bâtards légitimés.
Considéré comme "Le dernier abbé de Cour ", Honoré Bonhomme lui consacra un ouvrage paru en 1873, d'après des lettres et des documents inédits.
* Source et infos complémentaires : Mallier-Arcelin - Vente Souvenirs historiques, du 12 mars 2020 (Paris Drouot)
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Je signale également un portrait titré " L'abbé de Saint Farre ", peint par Henri-Pierre Danloux, et conservé au Musée des Beaux-Arts de Rouen.
N'ayant retrouvé aucune information complémentaire, j'ignore s'il s'agit bien du même homme ?
Enfin, je suppose...
L'abbé de Saint-Farre
Henri-Pierre Danloux
Huile sur toile, vers 1792
Musée des Beaux-Arts de Rouen
Image : Direction des Musées de France, 1986 / Carole Loisel et Catherine Lancien
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Et présentée dans la même vente aux enchères, une miniature de son frère :
LOUIS-PHILIPPE D'ORLÉANS, ABBÉ COMTE DE SAINT-ALBIN
Demi-frère de Philippe Égalité et de la duchesse de Bourbon
Attribué à Louis-Lié Perrin Salbreux
Gouache sur ivoire, c. 1785
H. 7,3 cm ; L. : 7,2 cm
Provenance : collection de feu le roi Umberto II d'Italie (1904-1983) ; légué par le souverain à un membre de sa famille.
Image : Mallié-Arcelin Mdv
Inscription manuscrite au dos : Fils de Louis d'Orléans, Portrait de Monsieur le Comte de St Albin, Mr et Mme Le Couteulx le gardent en souvenir de bonne amitié.
Sous verre avec cerclage en laiton doré avec cadre circulaire en bois vernis.
Présentation au catalogue (extraits)
Louis-Philippe d'Orléans (1761-1829), abbé comte de Saint-Albin
Fils naturel de Louis-Philippe, duc d'Orléans et de Étiennette Marie Périne Le Marquis, dite Madame de Villemomble, il était le frère cadet de Louis-Étienne d'Orléans, abbé comte de Saint-Farre et le frère jumeau de Marie d'Auvilliers, comtesse de Brossard.
Il fut nommé vicaire général du diocèse de Paris. Reconnu par le duc d'Orléans, son père, et cédant aux souhaits de ce dernier, il intégra le séminaire Saint-Magloire.
Comme son frère ainé, l'abbé de Saint-Farre. Louis-Philippe, comte de Saint-Albin, abbé de Cour, fut un bon vivant, goûta aux fastes de Versailles et mena grand train en ville.
L'abbé de Saint-Albin, comme son frère, resta célibataire.
Pendant la Révolution française, il prit le chemin de Londres, puis de l'Allemagne.
Il possédait le château du Buisson de May à Saint-Aquilin-de-Pacy, " hameau délicieux, aussi poétique que son nom, et dont il avait fait pour son usage particulier, une seconde abbaye de Thélème ".
Il avait aussi son hôtel parisien, n°9, rue d'Aguesseau où, en 1805, il hébergea une des petites filles de sa soeur, la comtesse de Brossard, Louise Emma Pauline Lambert, dont il était le tuteur ad hoc.
À l'instar de son frère, il continua à vivre dans le faste des " années princières ", entouré d'une myriade de domestiques. Cependant il dut vendre le château du Buisson-de-Mai en 1826 et se séparer de meubles de grande valeur pour payer ses créanciers toujours plus nombreux.
À la fin de sa vie, il ne cessa d'implorer son neveu le duc d'Orléans, futur roi des Français, afin de conserver sa pension et de payer ses créanciers. Avec son frère, il fut légitimé officiellement par Louis XVIII, en 1815.
Les deux abbés furent autorisés à prendre le titre de comte et les armoiries de la maison d'Orléans.
Il fut élu maire de Saint-Aquilin-de-Pacy, puis de Pacy-sur-Eure, et fit construire la caserne des pompiers de cette commune. Louis-Philippe de Saint-Albin décéda, " accablé de douleurs de rhumatisme et de goutte " à Paris. " Il vécut très galamment dans la double acception du mot ", écrira à son sujet Guillaume Combrouse.
Il est enterré avec son frère, l'abbé de Saint-Farre, au cimetière du Père-Lachaise à Paris.
* Source et infos complémentaires : Mallier-Arcelin - Vente Souvenirs historiques, du 12 mars 2020 (Paris Drouot)
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Vues du château du Buisson de May, à Saint-Aquilin-de-Pacy, domaine qui se visite de nos jours, et dont voici le site internet : Château du Buisson de May
Images : Château du Buisson de May
La tombe des comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin au cimetière du Père Lachaise :
Photos prisent en avril 2019 / Stéphane Charton-Thomas
Source : Site de Stéphane Thomas / L'abbé de Saint-Farre
La nuit, la neige- Messages : 18153
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
Merci pour l'ouverture de ce nouveau sujet.
Je pense avoir croisé l'abbé la Farge, et plusieurs fois encore, mais je ne sais plus dans quelles lectures.
Cette culotte jaune ( jonquille ? ) ( comme celle de Barry Lindon ) était très à la mode. Nous la retrouvons souvent sur les portraits de messieurs.
La nuit, la neige a écrit:
L'abbé de Saint-Albin, comme son frère, resta célibataire.
Le célibat n'est-il pas le seul " état " possible pour des abbés ?
En tous cas, voilà un bel exemple d'entente harmonieuse dans une fratrie .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55572
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
J'ignorais aussi leur existence, merci !
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
Mme de Sabran a écrit:Cette culotte jaune ( jonquille ? ) ( comme celle de Barry Lindon ) était très à la mode. Nous la retrouvons souvent sur les portraits de messieurs.
Ah non, pas jonquille : queue de serin !
J'étais sûre de retrouver ce jaune dans le sujet adéquat :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t1561p25-marie-antoinette-ou-l-eloge-de-la-couleur?highlight=couleur
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55572
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
J'évoquais ici l'abbé de Saint-Farre.Mme de Sabran a écrit:
Je pense avoir croisé l'abbé la Farge, et plusieurs fois encore, mais je ne sais plus dans quelles lectures.
Qui est l'abbé de la Farge ?
Peut-être penses-tu à Anne-Louis-Henri de La Fare ?
Alors évêque de Nancy et élu député du clergé aux États généraux, c'est lui qui prononça le sermon de la messe d'ouverture des Etats Généraux, à Versailles, en 1789.
La nuit, la neige- Messages : 18153
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Les abbés-comtes de Saint-Farre et de Saint-Albin, demi-frères de Louis-Philippe d'Orléans, dit Philippe Egalité
Tu as raison, voilà !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55572
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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