Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
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Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Voici une série d'aquarelles dessinées par Armand de Polignac qui illustrent les évènements de la conspiration à laquelle il a participé.
Cette conjuration qui réunit Cadoudal, Pichegru et Moreau, prévoit, en 1804, l'enlèvement de Bonaparte et son assassinat, ainsi que la venue d'un prince qui préparerait le retour en France de Louis XVIII. La conspiration est découverte, Moreau exilé, Pichegru retrouvé étranglé dans sa cellule, et Cadoudal guillotiné.
« Nous voulions faire un roi, nous avons fait un empereur », ironise Cadoudal avant de mourir. L'exécution du duc d'Enghien, pris pour le prince prévu dans le complot et enlevé sur le territoire du duché de Bade, en rassurant les anciens régicides favorise en effet l'avènement de l'Empire.
* Source : Jean Tulard / Universalis - Les complots sous le Consulat
La conspiration de Cadoudal (1803-1804)
La conspiration de Cadoudal : le complot
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
27 x 34 cm
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Le comte d'Artois, avec l'appui du cabinet anglais, encouragea Georges Cadoutal dans sa conspiration pour renverser le Premier Consul. C'est à Biville-sur-Mer, entre Dieppe et le Tréport, que fut organisé le débarquement des voyageurs venus d'Angleterre. Une équipe de contrebandiers accueillait les agents du parti royaliste et la falaise de craie, haute de près de 100 mètres, était escaladée à l'aide d'une corde à noeuds.
Dans la nuit du 20 août 1803, Cadoudal et six hommes, partis de Hastings le 19, parvinrent à cet endroit après une traversée difficile.
Débarquement des conjurés à la falaise de Biville près de Dieppe, le 16 janvier 1804
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Plusieurs équipes entrèrent en France en ce point : le 7 décembre 1803, Armand de Polignac et Coster de Saint-Victor, confidents du comte d'Artois ; le 16 janvier 1804, le général Pichegru, Jules de Polignac et cinq autres hommes. Depuis cette date, la gorge de Parfonval est appelée aussi gorge de Pichegru.
Les conjurés, recherchés par la police de Savary, furent capturés les uns après les autres : le général Moreau le 15 février 1804 ; Pichegru le 27 février ; Cadoudal le 9 mars. Pichegru fut trouvé mort dans sa cellule du Temple (7 avril 1804).
Madame de Guiche et sa fille apparaissent une nuit à Armand de Polignac dans sa prison
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Transfert des prisonniers à la Conciergerie, le 26 mai 1804
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Le 10 juin, le tribunal condamna à la peine de mort Cadoudal et ses complices, et le général Moreau à deux ans de prison, commués en bannissement. Bonaparte, sur l'intervention de Joséphine, gracia plusieurs émigrés dont les frères Polignac.
L'audience, épisode du procés de J.- V. Moreau, C. Pichegru, G. Cadoudal et Armand de Polignac
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Exécution de Georges Cadoudal et des ses complices, place de Grève, le 25 juin 1804
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
56,3 x 54,8 cm
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Pour une histoire plus détaillée de cette conspiration, je vous recommande la lecture de l'article :
Fondation Napoléon - Cadoudal et le "coup essentiel" (de Anne Bernet)
Georges Cadoudal (1771-804) ; Napoléon Bonaparte (1769-1821)
Cette conjuration qui réunit Cadoudal, Pichegru et Moreau, prévoit, en 1804, l'enlèvement de Bonaparte et son assassinat, ainsi que la venue d'un prince qui préparerait le retour en France de Louis XVIII. La conspiration est découverte, Moreau exilé, Pichegru retrouvé étranglé dans sa cellule, et Cadoudal guillotiné.
« Nous voulions faire un roi, nous avons fait un empereur », ironise Cadoudal avant de mourir. L'exécution du duc d'Enghien, pris pour le prince prévu dans le complot et enlevé sur le territoire du duché de Bade, en rassurant les anciens régicides favorise en effet l'avènement de l'Empire.
* Source : Jean Tulard / Universalis - Les complots sous le Consulat
La conspiration de Cadoudal (1803-1804)
La conspiration de Cadoudal : le complot
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
27 x 34 cm
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Le comte d'Artois, avec l'appui du cabinet anglais, encouragea Georges Cadoutal dans sa conspiration pour renverser le Premier Consul. C'est à Biville-sur-Mer, entre Dieppe et le Tréport, que fut organisé le débarquement des voyageurs venus d'Angleterre. Une équipe de contrebandiers accueillait les agents du parti royaliste et la falaise de craie, haute de près de 100 mètres, était escaladée à l'aide d'une corde à noeuds.
Dans la nuit du 20 août 1803, Cadoudal et six hommes, partis de Hastings le 19, parvinrent à cet endroit après une traversée difficile.
Débarquement des conjurés à la falaise de Biville près de Dieppe, le 16 janvier 1804
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Plusieurs équipes entrèrent en France en ce point : le 7 décembre 1803, Armand de Polignac et Coster de Saint-Victor, confidents du comte d'Artois ; le 16 janvier 1804, le général Pichegru, Jules de Polignac et cinq autres hommes. Depuis cette date, la gorge de Parfonval est appelée aussi gorge de Pichegru.
Les conjurés, recherchés par la police de Savary, furent capturés les uns après les autres : le général Moreau le 15 février 1804 ; Pichegru le 27 février ; Cadoudal le 9 mars. Pichegru fut trouvé mort dans sa cellule du Temple (7 avril 1804).
Madame de Guiche et sa fille apparaissent une nuit à Armand de Polignac dans sa prison
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Transfert des prisonniers à la Conciergerie, le 26 mai 1804
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Le 10 juin, le tribunal condamna à la peine de mort Cadoudal et ses complices, et le général Moreau à deux ans de prison, commués en bannissement. Bonaparte, sur l'intervention de Joséphine, gracia plusieurs émigrés dont les frères Polignac.
L'audience, épisode du procés de J.- V. Moreau, C. Pichegru, G. Cadoudal et Armand de Polignac
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Exécution de Georges Cadoudal et des ses complices, place de Grève, le 25 juin 1804
Armand-Jules-Marie-Héraclius de Polignac (1771-1847)
Aquarelle, c. 1804
56,3 x 54,8 cm
Image : Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Pour une histoire plus détaillée de cette conspiration, je vous recommande la lecture de l'article :
Fondation Napoléon - Cadoudal et le "coup essentiel" (de Anne Bernet)
Georges Cadoudal (1771-804) ; Napoléon Bonaparte (1769-1821)
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Merci pour toutes ces illustrations ! ... et bien-sûr les dessins d'Armand.
Armand de Polignac désirait une restauration monarchique. Il se consacra corps et âme à cette mission. D'ailleurs la situation n'était pas défavorable d'après les renseignements de Français récemment arrivés de Londres, tel Georges Cadoudal, ancien chef des Chouans, ou le général Pichegru, ancien commandant des troupes de la Révolution en Hollande et ancien président des Cinq Cents rallié à Louis XVIII, à son retour de déportation à Cayenne. La Vendée était pacifiée, le peuple de France restait dans le fond de son coeur royaliste :Bonaparte préparait-il la restauration monarchique ? Que signifiait ce titre de Consul ? Une régence pour préparer le retour de Louis XVIII ? Autant de questions que quiconque pouvait se poser à cette époque.
La duchesse de Gramont, soeur d'Armand, fut envoyée en 1800 auprès de Bonaparte. Cette mission n'eut pas le résultat espéré : Bonaparte contre la renonciation au trône, aurait accordé à Louis XVIII le droit de séjourner en France, lui aurait rendu certains honneurs, et lui aurait versé une pension. Mais ces conditions étaient inacceptables. Il fallait donc arriver à neutraliser le Premier Consul.
Cadoudal parlait du sentiment royaliste qui avait animé ses troupes et qui pouvait être réveillé, si un prince venait se mettre à leur tête. Pichegru vint lui apporter son appui, malgré sa déportation, il gardait une influence certaine sur l'armée. Il affirmait que le général Moreau, le vainqueur de Hohenlinden, n'avait aucune sympathie pour le Premier Consul.
Si Cadoudal réussissait à l'enlever, Moreau et Pichegru pourraient alors entraîner l'armée. Lebrun, l'un des consuls qui avait fait des avances à Louis XVIII, disait-on, soutiendrait le mouvement. Le pays était las de la guerre. Le roi pourrait alors revenir sur le trône de ses ancêtres. D'après des renseignements, il serait possible de réussir cet enlèvement au cours d'un déplacement de Bonaparte sur la route de la Malmaison. Ce fut ainsi qu'Armand de Polignac et son frère Jules entrèrent dans le complot de Cadoudal. Le comte d'Artois avait donné son accord.
Dès le traité d'Amiens de 1802, il régna une certaine détente, qui permit à des émigrés de rentrer en France. La comtesse Armand de Polignac en profita pour rejoindre Paris et essayer de récupérer les biens de son mari, en particulier le domaine de Clayes qu'un des frères du duc de Polignac avait occupé.
L'année 1803 s'écoula dans les préparatifs du complot. Mais il échoua. Tout le monde était d'accord sur un point : neutraliser le Premier Consul, mais personne n'était d'accord sur le régime qui s'en suivrait. Moreau voulait prendre le pouvoir pour lui. Il envisageait de nommer Pichegru second consul, mais il refusait tout contact avec Cadoudal. Celui-ci voulait le rétablissement de la monarchie.
Dès la première rencontre, le 24 janvier 1803, les pourparlers furent rompus. Cependant, malgré l'échec, les conjurés continuaient à débarquer. Le 7 décembre 1803, un petit groupe arriva près de Dieppe, à Biville. Parmi eux se trouvait Armand, qui revenait en France. Il gagna Paris et y vécut caché. Le 16 janvier 1804, à leur tour débarquèrent Jules, son frère, et le marquis de Rivière, aide camp du comte d'Artois.
Le 2 février 1804, Cadoudal apprit par Le Moniteur la dénonciation d'un chouan libertin, perdu de dettes, Jean-Pierre Quérelle, arrêté le 12 octobre 1803. Léger et imprudent, Quérelle fréquentait les cafés, prit une maîtresse, parla trop, écrivit des lettres compromettantes à son beau-frère Blouet, pharmacien en Bretagne. Or Blouet avait lui-même une maîtresse, épouse d'un boucher. Elle trouva dans les poches de son amant les lettres de Querelle, qu'elle remit au Préfet du Morbihan.
Quérelle fut alors arrêté, jugé, condamné à mort. Il allait être exécuté, lorsqu'il dévoila tout le complot. Dès lors il n'y avait plus qu'une ressource pour les conjurés : se disperser dans la nature . C'était déjà trop tard ! Peu à peu les mailles de la police de Fouché se resserrèrent : ce fut l'arrestation de Moreau, le 15 février, sur la route de Grosbois, le 29 celle de Pichegru, rue Chabanais, et celle d'Armand de Polignac dans la rue Saint-Denis, puis le 4 mars, celle de son frère Jules et du marquis de Rivière dans la rue des Quatre-Fils, enfin le 9 mars celle de Cadoudal.
Après avoir abattu l'inspecteur de police Étienne Buffet, première victime du devoir, Cadoudal est arrêté par les agents de la préfecture de police. Gravure à l'eau-forte, Paris, BnF, département des estampes et de la photographie.
Auteur inconnu —
Le 10 juin1804, Cadoudal et Armand de Polignac furent condamnés à mort, Jules et Moreau à deux ans de prison. Pichegru se pendit dans sa prison.
Le verdict jeta la consternation : le complot n'avait pas connu de commencement d'exécution. Chacun évoquait l'attitude courageuse de Cadoudal devant ses juges, et celle des frères Polignac :
" Voyez Jules, avait dit Armand en montrant son jeune frère, ce n'est encore qu'un enfant. Sauvez sa vie, car il ne savait pas encore ce qu'il faisait. Moi seul, je suis coupable. J'avais conscience de mes actes. S'il vous faut une de nos têtes, prenez la mienne mais épargnez celle d'un jeune frère qui n'a pas compris la portée de ses actions."
Et Jules de répondre :
" Prenez ma tête, je vous la donne, mais épargnez mon frère. "
La condamnation allait-elle être exécutée ? Des démarches furent faites de toutes parts en faveur des condamnés auprès de Napoléon qui venait de se proclamer empereur. La propre tante d'Armand, Henriette de Polastron, comtesse de La Tour Landhorte était revenue en France. Ayant perdu sa fortune pendant la Révolution, elle occupait la place de dame d'atours auprès de Mme de Montesson, épouse morganatique du duc d'Orléans ...
Or Mme de Montesson avait été invitée ainsi que le duc d'Orléans à assister, en 1783, à de grandes fêtes qu'il donnait en son château de Brienne près de Troyes. Au cours de ces fêtes, le duc d'Orléans avait présidé la distribution des prix de l'école militaire et c'est ainsi que Mme de Montesson avait couronné le premier prix de mathématiques et l'un des plus brillants élèves, le jeune Bonaparte. Lorsque celui-ci revint, Premier Consul, Mme de Montesson profita de ce rappel du passé et, plus tard, réussit à se faire verser une pension comme veuve du duc d'Orléans. Elle intéressa l'impératrice au sort d'Armand de Polignac et Joséphine sollicita personnellement sa grâce.
Elle essuya deux refus.
Joséphine résolut alors d'introduire dans le cabinet de son mari la comtesse de Polignac qui, émue, tomba en pâmoison aux pieds de l'empereur et ce dernier devant une telle situation se senti contrait de commuer la peine de mort en détention perpétuelle.
Armand et Jules resteront en prison d'abord à Vincennes, puis au Temple, puis à Ham, puis de nouveau au Temple, enfin à Vincennes. Le 17 juin 1810, le médecin diagnostiquait chez Armand une tumeur au pylore, et Savary qui avait succédé à la tête du ministère de la police à Fouché, le fit transporter ainsi que son frère Jules dans une maison de santé, chez Dubuisson, 334 rue du Faubourg Saint-Antoine. Le 9 juillet 1811, un premier rapport présenté à l'empereur envisageait de les déporter ou de les envoyer en Russie. Mais Napoléon décida de les laisser chez Dubuisson.
Nouvelle tentative d'élargissement le 18 avril 1812, nouveau refus : les Polignac resteront en prison jusqu'à la fin du régime impérial. Le 12 juillet 1812, ils seront transférés chez le sieur Pyrou, Faubourg Saint-Jacques.
A partir de 1812, les événements vont se précipiter; Napoléon était alors aux portes de Moscou et la campagne de Russie amena le commencement du déclin. Un soir de 1814, les deux frères quittèrent la maison du faubourg Saint-Jacques pour rejoindre Louis XVIII et le comte d'Artois.
( Jean Héracle, duc de Polignac, La maison de Polignac, étude d'une évolution sociale de la noblesse. )
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Sauf erreur de ma part, le portrait de Girodet représente la reine Hortense, et non sa mère, l'impératrice Joséphine...
Reine Hortense- Messages : 79
Date d'inscription : 07/08/2020
Localisation : Paris
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Cher Gouverneur Morris, nos réponses se sont croisées !
Reine Hortense- Messages : 79
Date d'inscription : 07/08/2020
Localisation : Paris
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Oui et vous me voyez soulagé de vous reconnaître vous-même !
Au passage, ce beau portrait de votre majesté est conservé au Rijskmuseum :
https://www.rijksmuseum.nl/en/collection/SK-A-4943
Au passage, ce beau portrait de votre majesté est conservé au Rijskmuseum :
https://www.rijksmuseum.nl/en/collection/SK-A-4943
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
J'ai beau être très modeste, c'était dur, en effet, de ne pas me reconnaître... Un autre portrait de la même veine, quasiment identique même, toujours par Girodet, est conservé à la Malmaison, mais dans une robe bleue, cette fois. J'avoue que je le préfère... Ah, le bleu, c'est mon péché mignon !
Reine Hortense- Messages : 79
Date d'inscription : 07/08/2020
Localisation : Paris
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Vraiment toute ravissante !
Merci, les amis .
Merci, les amis .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Lire notre sujet consacré à : Hortense de Beauharnais, reine consort de Hollande
Le portrait en introduction de ce message n'est pas celui d'Armand de Polignac, mais un portrait du célèbre naturaliste et voyageur Alexander von Humboldt.
Portrait of Baron von Humboldt
Charles Willson Peale
Oil on canvas, 1804
Image : The College of Physicians of Philadelphia. Photograph by Constance Mensh
Voir son sujet biographique, ici : Alexander von Humboldt (1769-1859)
Le portrait en introduction de ce message n'est pas celui d'Armand de Polignac, mais un portrait du célèbre naturaliste et voyageur Alexander von Humboldt.
Portrait of Baron von Humboldt
Charles Willson Peale
Oil on canvas, 1804
Image : The College of Physicians of Philadelphia. Photograph by Constance Mensh
Voir son sujet biographique, ici : Alexander von Humboldt (1769-1859)
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Armand de Polignac et la conspiration Cadoudal
Merci pour cet article, mais je n'ai pas lu que le c'est aussi le Royaume-Uni, ennemi traditionnel de la France, et qui vient de nous déclarer - à nouveau - la guerre, qui pousse au crime (et finance) ce petit groupe de terroristes.
Ah ? Qui dit ça ?
Mme de Sabran a écrit:
(...) le peuple de France restait dans le fond de son coeur royaliste
Ah ? Qui dit ça ?
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
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