Henri-Louis Duhamel du Monceau (1700-1782)
2 participants
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La famille royale et les contemporains de Marie-Antoinette :: Autres contemporains : les hommes du XVIIIe siècle
Page 1 sur 1
Henri-Louis Duhamel du Monceau (1700-1782)
Hier soir, sur Arte, Xavier Mauduit ( dont je suis très fan ) m'a fait découvrir ...
Le musée de la Marine remis à flot - 28 Minutes (16/11/2023)
Durée. 3 min : . trop court, toujours trop court.
... que vous pouvez écouter ici :
https://www.arte.tv/fr/videos/117619-004-A/le-musee-de-la-marine-remis-a-flot/
Portrait de Duhamel du Monceau
François-Hubert Drouais.
Posés devant lui, les Éléments d’architecture navale sont présentés comme son œuvre majeure.
Sur un rayonnage en retrait, on devine son Traité des forêts.
Cette famille de robe entre en possession en 1544 du château de Denainvilliers et de son domaine à Dadonville (45), d'une surface de 600 arpents (un peu moins de 300 ha), lorsque Nicolas Duhamel, épouse Antoinette Jacquelot dont le père François Jacquelot, procureur au parlement de Paris, avait acheté le château l'année précédente à René de Pocaire2.
Leur fils Claude Duhamel, bisaïeul d'Henri-Louis, commissaire de l'Artillerie de France, est anobli par le roi Louis XIII en 1624.
Alexandre Duhamel (1647-1714), le père d'Henri-Louis, qui a servi dans les armées du Roi, est veuf et remarié ; il a 53 ans à sa naissance et meurt en 1714. La succession n'est réglée qu'en 1727 : le domaine de Denainvilliers revient à son frère Alexandre (1697-1775), à l'exception de la ferme qui lui échoit. Henri-Louis achète bientôt le domaine du Monceau, près de Pithiviers-le-Vieil, et emprunte pour cela 16 000 livres. Le veuvage d'Alexandre, en 1750, voit la terre de Vrigny, propriété de sa femme, lui échoir. À la fin de sa vie, Alexandre, se sachant malade, cède sa fortune, estimée à plus de 224 000 livres, à Henri-Louis. Celle-ci se compose du domaine de Denainvilliers, de trois fermes et de rentes foncières auxquels s'ajoutent, à Dadonville, une ferme et des terres labourables, à Grantarvilliers un manoir et les droits seigneuriaux ainsi que des terres, à Rebréchien, une exploitation viticole restée indivise, une maison à Pithiviers, des parts à Paris dans cinq immeubles hérités de ses parents ainsi que diverses rentes. Henri-Louis devient alors propriétaire d'une fortune considérable dont il ne tardera pas à prévoir la répartition entre les fils de sa sœur.
« Ce fut pour moi un plus grand plaisir de voir que Denainvilliers est un domaine considérable. L'étendue des champs, le château important, les communs, les jardins, etc., tout cela montre que c'est la résidence d'un homme fortuné ; on voit par là que cet infatigable inventeur (Duhamel), bien que quelques-unes de ses entreprises aient échoué, reçut de son gouvernement la récompense qu'à son honneur il ne lui marchanda pas et qu'il ne fut pas comme d'autres laissé dans l'obscurité sans autres récompenses que celles que peut leur conférer leur seul talent […] »
— Arthur Young, Voyage en France, 1787-17892.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Louis_Duhamel_du_Monceau
Duhamel du Monceau, homme de sciences, homme de lettres, grand commis de l'État, connaissant tous ceux qui faisaient l'Europe des sociétés savantes, écrit Mme Corvol-Dessert, illustre ce qu'était un esprit ouvert aux Lumières. Encensé par Diderot qui voyait en lui le modèle du savant philanthrope, concurrent malheureux d'un Buffon qui ne l'aimait guère, il fut enfoui sous les éloges et les critiques. Il convient de rendre sa place véritable à celui qui fut l'un des pères de la sylviculture et de l'agronomie modernes.
Henri-Louis entama des études de droit (1718-1721) selon le vœu de son père, quoiqu'il aspirât à devenir botaniste du Jardin du Roi. Sa vocation scientifique apparut très tôt et fut vite reconnue. Sa préférence pour les sciences appliquées demeura une des constantes de son activité. En 1728, il fut applaudi à l'Académie des sciences pour un mémoire qui visait à éliminer la cause de la maladie du safran, plante qui procurait de substantiels revenus aux communautés orléanaises qui la cultivaient.
Le comte de Maurepas avait lui-même repéré Duhamel du Monceau dès 1727. L'ambitieuse politique de construction navale du secrétaire d'État à la marine butait sur la médiocre qualité des bois fournis. Aussi l'Académie des sciences avait-elle reçu mission de recenser et contrôler les méthodes permettant de transformer des bois droits en bois courbes, tant à propos des arbres sur pied que des pièces qui en étaient tirées (1731). Elle y affecta Duhamel et lui adjoignit un jeune homme prometteur : Georges Leclerc qui prendra plus tard, une fois le succès venu, le nom de sa terre sise en Bourgogne : Buffon. Henri Louis fut ainsi accueilli comme pensionnaire à l'Académie des sciences en 1738, moyen élégant de le remercier pour la manière dont il avait su mener à bien les expertises qu'elle lui avait confiées.
Fort de ce précédent, il choisit de se spécialiser dans la recherche que demandait son employeur, le département de la Marine, pour lequel il voyagea beaucoup. À Brest, il établit une école de chirurgie en rapport avec les convictions affichées dans le Traité de la conservation de la santé des équipages des vaisseaux.
Il sillonna aussi les ports de l'Angleterre (1739) et compara la manière dont les Britanniques séchaient et gardaient les bois de marine à celle usitée en France. C'est pendant ce déplacement Outre-Manche que son ex-bras droit, Georges Leclerc, se fit nommer au poste que convoitait Henri-Louis : intendant du Jardin du Roi. Le pauvre puisera une tardive consolation - trois ans plus tard tout de même ! - dans le titre d'inspecteur général de la Marine (1742). Il multiplia alors les expériences relatives à la sélection des essences et aux moyens de protéger le bois-matériau, afin d'améliorer les performances de la construction navale. Ce poste eut en outre l'avantage de favoriser dix ans durant (1742-1752) ses observations quant aux arbres crûs en haute futaie ou en taillis composés.
Dans ces années 1740, les carrières de Duhamel et de Buffon bifurquent. Leur collaboration s'interrompt Pire, l'ancienne amitié laisse place à une franche hostilité. Ainsi, Buffon, usant de l'influence que lui apporte l'engouement des élites pour les sciences naturelles et du discrédit dans lesquelles sont tombées l'administration forestière et l'administration navale, contribua largement à accréditer l'idée que Duhamel était moins un expérimentateur qu'un compilateur. Le qualificatif était fort injuste. L'avenir se chargea de montrer que non seulement il avait autant innové que diffusé, mais qu'il avait formulé des hypothèses que ses héritiers scientifiques vérifieraient et confirmeraient.
Sa mission d'inspecteur général prend fin en 1752 : le voilà membre honoraire de l'Académie de Marine de Brest, mais il n'entend pas mettre un terme à son œuvre rédactionnelle. En témoigne la succession des livres qui composent le traité complet des Bois et Forêts (six ouvrages parus entre 1755 et 1768). Vingt-cinq années de labeur s'y reflètent, embrassant tout ce qu'on range de nos jours sous l'expression "filière-bois", sans parler des incitations proposées pour encourager les propriétaires particuliers à investir dans cette ressource durable. Henri Louis subodora ainsi le rôle qu'allaient prendre, dans l’avenir, la pédologie et la génétique forestières. Ce n'est pas rien et cela en soi mériterait notre admiration. Il fut aussi un précurseur en révélant au public éclairé, avec Les éléments d’architecture navale (1752), première synthèse du genre, un savoir et un savoir-faire réservés jusque-là aux spécialistes. Le succès fut tel que le livre dut être réédité sept ans plus tard.
Henri Louis mourut à Paris sans réaliser à quel point il s'était identifié à son siècle, lui qui ne s'avoua jamais philosophe et se dépeignit toujours comme un humaniste.
Andrée Corvol-Dessert
directeur de recherche au CNRS
présidente du Groupe d'Histoire des Forêts Françaises
Source: Commemorations Collection 2000
Henri Louis Duhamel du Monceau
Le musée de la Marine remis à flot - 28 Minutes (16/11/2023)
Durée. 3 min : . trop court, toujours trop court.
... que vous pouvez écouter ici :
https://www.arte.tv/fr/videos/117619-004-A/le-musee-de-la-marine-remis-a-flot/
Portrait de Duhamel du Monceau
François-Hubert Drouais.
Posés devant lui, les Éléments d’architecture navale sont présentés comme son œuvre majeure.
Sur un rayonnage en retrait, on devine son Traité des forêts.
Cette famille de robe entre en possession en 1544 du château de Denainvilliers et de son domaine à Dadonville (45), d'une surface de 600 arpents (un peu moins de 300 ha), lorsque Nicolas Duhamel, épouse Antoinette Jacquelot dont le père François Jacquelot, procureur au parlement de Paris, avait acheté le château l'année précédente à René de Pocaire2.
Leur fils Claude Duhamel, bisaïeul d'Henri-Louis, commissaire de l'Artillerie de France, est anobli par le roi Louis XIII en 1624.
Alexandre Duhamel (1647-1714), le père d'Henri-Louis, qui a servi dans les armées du Roi, est veuf et remarié ; il a 53 ans à sa naissance et meurt en 1714. La succession n'est réglée qu'en 1727 : le domaine de Denainvilliers revient à son frère Alexandre (1697-1775), à l'exception de la ferme qui lui échoit. Henri-Louis achète bientôt le domaine du Monceau, près de Pithiviers-le-Vieil, et emprunte pour cela 16 000 livres. Le veuvage d'Alexandre, en 1750, voit la terre de Vrigny, propriété de sa femme, lui échoir. À la fin de sa vie, Alexandre, se sachant malade, cède sa fortune, estimée à plus de 224 000 livres, à Henri-Louis. Celle-ci se compose du domaine de Denainvilliers, de trois fermes et de rentes foncières auxquels s'ajoutent, à Dadonville, une ferme et des terres labourables, à Grantarvilliers un manoir et les droits seigneuriaux ainsi que des terres, à Rebréchien, une exploitation viticole restée indivise, une maison à Pithiviers, des parts à Paris dans cinq immeubles hérités de ses parents ainsi que diverses rentes. Henri-Louis devient alors propriétaire d'une fortune considérable dont il ne tardera pas à prévoir la répartition entre les fils de sa sœur.
« Ce fut pour moi un plus grand plaisir de voir que Denainvilliers est un domaine considérable. L'étendue des champs, le château important, les communs, les jardins, etc., tout cela montre que c'est la résidence d'un homme fortuné ; on voit par là que cet infatigable inventeur (Duhamel), bien que quelques-unes de ses entreprises aient échoué, reçut de son gouvernement la récompense qu'à son honneur il ne lui marchanda pas et qu'il ne fut pas comme d'autres laissé dans l'obscurité sans autres récompenses que celles que peut leur conférer leur seul talent […] »
— Arthur Young, Voyage en France, 1787-17892.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Louis_Duhamel_du_Monceau
Duhamel du Monceau, homme de sciences, homme de lettres, grand commis de l'État, connaissant tous ceux qui faisaient l'Europe des sociétés savantes, écrit Mme Corvol-Dessert, illustre ce qu'était un esprit ouvert aux Lumières. Encensé par Diderot qui voyait en lui le modèle du savant philanthrope, concurrent malheureux d'un Buffon qui ne l'aimait guère, il fut enfoui sous les éloges et les critiques. Il convient de rendre sa place véritable à celui qui fut l'un des pères de la sylviculture et de l'agronomie modernes.
Henri-Louis entama des études de droit (1718-1721) selon le vœu de son père, quoiqu'il aspirât à devenir botaniste du Jardin du Roi. Sa vocation scientifique apparut très tôt et fut vite reconnue. Sa préférence pour les sciences appliquées demeura une des constantes de son activité. En 1728, il fut applaudi à l'Académie des sciences pour un mémoire qui visait à éliminer la cause de la maladie du safran, plante qui procurait de substantiels revenus aux communautés orléanaises qui la cultivaient.
Le comte de Maurepas avait lui-même repéré Duhamel du Monceau dès 1727. L'ambitieuse politique de construction navale du secrétaire d'État à la marine butait sur la médiocre qualité des bois fournis. Aussi l'Académie des sciences avait-elle reçu mission de recenser et contrôler les méthodes permettant de transformer des bois droits en bois courbes, tant à propos des arbres sur pied que des pièces qui en étaient tirées (1731). Elle y affecta Duhamel et lui adjoignit un jeune homme prometteur : Georges Leclerc qui prendra plus tard, une fois le succès venu, le nom de sa terre sise en Bourgogne : Buffon. Henri Louis fut ainsi accueilli comme pensionnaire à l'Académie des sciences en 1738, moyen élégant de le remercier pour la manière dont il avait su mener à bien les expertises qu'elle lui avait confiées.
Fort de ce précédent, il choisit de se spécialiser dans la recherche que demandait son employeur, le département de la Marine, pour lequel il voyagea beaucoup. À Brest, il établit une école de chirurgie en rapport avec les convictions affichées dans le Traité de la conservation de la santé des équipages des vaisseaux.
Il sillonna aussi les ports de l'Angleterre (1739) et compara la manière dont les Britanniques séchaient et gardaient les bois de marine à celle usitée en France. C'est pendant ce déplacement Outre-Manche que son ex-bras droit, Georges Leclerc, se fit nommer au poste que convoitait Henri-Louis : intendant du Jardin du Roi. Le pauvre puisera une tardive consolation - trois ans plus tard tout de même ! - dans le titre d'inspecteur général de la Marine (1742). Il multiplia alors les expériences relatives à la sélection des essences et aux moyens de protéger le bois-matériau, afin d'améliorer les performances de la construction navale. Ce poste eut en outre l'avantage de favoriser dix ans durant (1742-1752) ses observations quant aux arbres crûs en haute futaie ou en taillis composés.
Dans ces années 1740, les carrières de Duhamel et de Buffon bifurquent. Leur collaboration s'interrompt Pire, l'ancienne amitié laisse place à une franche hostilité. Ainsi, Buffon, usant de l'influence que lui apporte l'engouement des élites pour les sciences naturelles et du discrédit dans lesquelles sont tombées l'administration forestière et l'administration navale, contribua largement à accréditer l'idée que Duhamel était moins un expérimentateur qu'un compilateur. Le qualificatif était fort injuste. L'avenir se chargea de montrer que non seulement il avait autant innové que diffusé, mais qu'il avait formulé des hypothèses que ses héritiers scientifiques vérifieraient et confirmeraient.
Sa mission d'inspecteur général prend fin en 1752 : le voilà membre honoraire de l'Académie de Marine de Brest, mais il n'entend pas mettre un terme à son œuvre rédactionnelle. En témoigne la succession des livres qui composent le traité complet des Bois et Forêts (six ouvrages parus entre 1755 et 1768). Vingt-cinq années de labeur s'y reflètent, embrassant tout ce qu'on range de nos jours sous l'expression "filière-bois", sans parler des incitations proposées pour encourager les propriétaires particuliers à investir dans cette ressource durable. Henri Louis subodora ainsi le rôle qu'allaient prendre, dans l’avenir, la pédologie et la génétique forestières. Ce n'est pas rien et cela en soi mériterait notre admiration. Il fut aussi un précurseur en révélant au public éclairé, avec Les éléments d’architecture navale (1752), première synthèse du genre, un savoir et un savoir-faire réservés jusque-là aux spécialistes. Le succès fut tel que le livre dut être réédité sept ans plus tard.
Henri Louis mourut à Paris sans réaliser à quel point il s'était identifié à son siècle, lui qui ne s'avoua jamais philosophe et se dépeignit toujours comme un humaniste.
Andrée Corvol-Dessert
directeur de recherche au CNRS
présidente du Groupe d'Histoire des Forêts Françaises
Source: Commemorations Collection 2000
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Henri-Louis Duhamel du Monceau (1700-1782)
Le musée de la Marine à Paris a rouvert ses portes au public, aujourd'hui même, après des années de travaux, six exactement !
Le plus bel exemple peut-être de ces maquettes dont nous parlait Xavier Mauduit :
La maquette du Royal Louis, un problème de taille :
Cette réplique d’un vaisseau de ligne de la seconde moitié du XVIIIe siècle est plus grande que toutes les portes et fenêtres du Palais de Chaillot ! Elle mesure plus de 5 mètres de long et presque autant de haut. Il a donc fallu abaisser les mâts et tourner les vergues (ces longues pièces de bois soutenant les voiles sur les mâts) pour la faire rentrer dans le bâtiment à l’aide d’une grue. Une opération délicate qui a mobilisé une dizaine de personnes, après un transport de nuit sur un itinéraire préparé des semaines à l’avance, pour éviter tout risque d’accident ! Chef-d’œuvre de précision, cette "miniature" du Royal Louis (en 20 fois plus petit) servait autrefois de modèle d’instruction pour les élèves officiers de marine.
https://www.caminteresse.fr/culture/reouverture-du-musee-national-de-la-marine-de-paris-ce-quil-ne-faut-pas-rater-11191009/
Le plus bel exemple peut-être de ces maquettes dont nous parlait Xavier Mauduit :
La maquette du Royal Louis, un problème de taille :
Cette réplique d’un vaisseau de ligne de la seconde moitié du XVIIIe siècle est plus grande que toutes les portes et fenêtres du Palais de Chaillot ! Elle mesure plus de 5 mètres de long et presque autant de haut. Il a donc fallu abaisser les mâts et tourner les vergues (ces longues pièces de bois soutenant les voiles sur les mâts) pour la faire rentrer dans le bâtiment à l’aide d’une grue. Une opération délicate qui a mobilisé une dizaine de personnes, après un transport de nuit sur un itinéraire préparé des semaines à l’avance, pour éviter tout risque d’accident ! Chef-d’œuvre de précision, cette "miniature" du Royal Louis (en 20 fois plus petit) servait autrefois de modèle d’instruction pour les élèves officiers de marine.
https://www.caminteresse.fr/culture/reouverture-du-musee-national-de-la-marine-de-paris-ce-quil-ne-faut-pas-rater-11191009/
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Henri-Louis Duhamel du Monceau (1700-1782)
C'est l'homme célèbre de PITHIVIERS - une statue nouvelle, l'ancienne avait été fondue pendant la guerre est placée en plein centre du mail sud.
grand botaniste, il y a des restes de ces recherches à PITHIVIERS LE VIEIL où il avait sa demeure et ses laboratoires.
MARIE ANTOINETTE
grand botaniste, il y a des restes de ces recherches à PITHIVIERS LE VIEIL où il avait sa demeure et ses laboratoires.
MARIE ANTOINETTE
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
Sujets similaires
» Louis XVI et Henri IV ? Même ADN ?
» Henri-Louis Caïn, dit LeKain
» Châteaux de sable. De Louis-Henri de La Rochefoucauld
» Henri-Louis et Victoire de Rohan, prince et princesse de Guéméné
» Jean-Henri Riesener, Cabinetmaker to Louis XVI and Marie Antoinette. Par H. Jacobsen, R. Bird, M. Jackson
» Henri-Louis Caïn, dit LeKain
» Châteaux de sable. De Louis-Henri de La Rochefoucauld
» Henri-Louis et Victoire de Rohan, prince et princesse de Guéméné
» Jean-Henri Riesener, Cabinetmaker to Louis XVI and Marie Antoinette. Par H. Jacobsen, R. Bird, M. Jackson
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La famille royale et les contemporains de Marie-Antoinette :: Autres contemporains : les hommes du XVIIIe siècle
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum