Notre Jeu du Printemps .

La reine Louise de Prusse (1776 –1810), née princesse de Mecklembourg-Streliz, épouse du roi Frédéric-Guillaume III de Prusse ?

Après tout, ne serait-ce pas l'incontournable Madame de Krudener ?!

Non et non... Elle est née française, elle a épousé un homme en pays étranger, et est morte en terre étrangère, le tout en Europe.
Bonté, charité, abnégation, sacrifice, dévotion, caractérisent cette femme.

Morte dans la partie de l'Europe soumise à l'Empire Ottoman?

Du tout, c'est en Italie.

Vraiment à tout hazard, je propose le Gros Madame ?

Une femme entrée en religion après la mort de son mari ? Ou veuve ?

La San Felice ?

Est-elle une femme du peuple ? ... de la noblesse ?

... du monde... du demi-monde... du quart-monde ?!!!!!!

Vous oubliez le tiers. ... tiers-monde, Tiers-Etat ?

Oui, bien évidemment ! J'avais même pensé également au tiers exclu (j'aime bien la logique, science exacte !)... mais en ces temps difficiles d'inclusion, d'investiture, d'exclusion etc, j'ai pensé qu'il valait mieux se limiter et appliquer un autre principe : qui peut le plus...peut le moins !

Oui, soyons prudents, ne nous aventurons pas trop ... ou alors sur la pointe des pieds ...

Cette dame a-t-elle un sujet chez nous ? S'est-elle mêlée de politique pacifiste ?

Eleonore a donné la bonne réponse plus haut :
il s'agit bien de Marie-Clotilde de France 1759-1802, sœur de Louis XVI, de celle que Versailles avait surnommé "Gros Madame", lorsqu'elle était très jeune.
J'écrivais ainsi, il y a quelques années ces lignes, notamment diffusées dans nos pages :

" Détachée des réalités immédiates de son temps, Clotilde se distinguait très fortement des autres souveraines d'Europe. Les reines Marie-Louise de Parme en Espagne ou Marie-Caroline d'Autriche à Naples ou encore l'impératrice Maria Fedorovna en Russie, pourtant réputée pieuse, se caractérisaient par leur énergie, leur ambition, usant de l'intrigue au besoin, s'imposant ou s'imiscant dans les affaires de l'Etat et régnant sur leurs Cours en maîtresses résolues à être obéies.
Rien de tel pour la reine de Sardaigne, à Turin, de celle que les serviteurs de sa maison avaient appelé avec émotion "L'Ange de la Paix".

La main revient à Eleonore. Bravo !

Merci, mon cher Dominique, je la prends avec plaisir.
Il me vient justement une idée pas piquée des hannetons ...

Mais quelle est donc cette enfant, vraiment pas comme les autres,  à qui la reine Marie Leszczynska accorde sa protection

Une fillette issue du peuple, de la bourgeoisie, de la noblesse ?
Douée pour quelque chose ?

Dominique Poulin a écrit:Une fillette issue du peuple, de la bourgeoisie, de la noblesse ?
Douée pour quelque chose ?

Rien de tout cela !

Est-ce bien une petite fille ?

Dominique Poulin a écrit:Est-ce bien une petite fille ?

Disons une toute jeune-fille.

Treize ans environ ?
Une princesse ?

Dominique Poulin a écrit:Treize ans environ ?
Une princesse ?

En fait de toute jeune-fille, Domi, notre personnage mystère a déjà 41 ans quand la reine la reçoit à Versailles.  
Mais ce sont justement son histoire, sa jeunesse, qui fascinent la Cour et la ville.  Elle est " un cas "  extraordinaire.

Une sorte d'enfant-louve (voir Mowgli etc) ? Une voyante ?

Lecréateur a écrit:
Une sorte d'enfant-louve (voir Mowgli etc) ?
Une voyante ?

Vous brûlez !!!

Elle ne faisait vraiment pas son âge, est-ce pour cette raison qu'on a parlé d'une "toute jeune fille", du moins au début ? L'a-t-on trouvée dans la nature... ou dans un monastère ?!