Yolande de Polastron, duchesse de Polignac (1749-1793)

Non Cosmo, dis-le avec des majuscules: LA SPÉCIALISTE.   

Arrêtez, les garçons ! Je vous en supplie ...   

Que de louanges dans cette antichambre ! Il faut que je lise votre livre dans les plus brefs délais  Je viens de lire la belle introduction de M. Martial Debriffe, ça promet  :\\\\\\\\: 

Comte d'Hézècques a écrit:Je viens de lire la belle introduction de M. Martial Debriffe, ça promet  :\\\\\\\\: 

Elle n'est pourtant aucunement à la mesure du récit de notre Eléonore !!!

Bien à vous.

Majesté a écrit:

Comte d'Hézècques a écrit:Je viens de lire la belle introduction de M. Martial Debriffe, ça promet  :\\\\\\\\: 

Elle n'est pourtant aucunement à la mesure du récit de notre Eléonore !!!

J'attendais ta remarque ! :

...  : 

Mme de Sabran a écrit:
...    : 

Ta répartie laconique en dit long sur cet individu, Eléonore!
Est-il ton ami? Pas que je sache...il s'est juste servi de ton talent pour apposer son nom au tien et qu'on puisse confondre ton talent avec ses livres...Tu parles d'un opportuniste !
Dieu merci il ne fait aucune illusion...
Il suffit de constater la réaction de dénigrement de Xavier Salmon lorsque je lui demandai son avis quant à cet auteur alors que j'assistais à une conférence de lui sur Madame de Pompadour  :

Bien à vous...pas à lui !

Chère Eléonore, pouvez SVP me donner un peu plus d'information de votre livre afin que je puisse l'acquérir. Merci.    

J'espère qu'elle s'en empressera sinon je le ferai ! 

Majesté a écrit:

Mme de Sabran a écrit:
...    : 

Ta répartie laconique en dit long sur cet individu, Eléonore!

C'est que je connais tes déclics et comment tu démarres au quart de tour, cher Majesté .   

Je ne suis plus en relations avec Martial Debriffe, en effet.   Mais, je te l'ai déjà dit, je n'aurais jamais eu l'idée de publier ce petit travail de recherche ( qui dormait au fond d'un tiroir ) s'il ne m'y avait pas poussée . C'est lui qui est allé voir l'éditeur, Yoyo sous le bras.  J'avais collecté et réuni toutes ces informations simplement pour m'amuser, parce que Mme de Polignac m'intéressait particulièrement.
 Ma démarche était personnelle et confidentielle.  
Un email du Comte Axel m'a entrainée ensuite dans l'aventure boudoiresque.      Merci, mon cher Comte !  :n,,;::::!!!: 

Et voici comment nous sommes devenus, toi et moi, les meilleurs amis du monde !     

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Mme de Sabran a écrit:Et voici comment nous sommes devenus, toi et moi, les meilleurs amis du monde !     

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 :c^ùù!!:  boudoi30  :c^ùù!!:

Bien à toi !

Mme de Sabran a écrit:
Un email du Comte Axel m'a entrainée ensuite dans l'aventure boudoiresque.      Merci, mon cher Comte !  :n,,;::::!!!: 

Et voici comment nous sommes devenus, toi et moi, les meilleurs amis du monde !     

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Un coup de fil qui aura changé la vie de beaucoup de monde ! :n,,;::::!!!: 

Nous parlons de madame de Polignac depuis 6 pages, et nous n'avons pas mis son portrait !



  

Nous avons un sujet sur les portraits de Mme de Polignac, Attachboy !   
Mais tu fais bien d'agrémenter celui-ci avec une petite touche iconographique . Merci !   

Comte d'Hézècques a écrit:

En juin 1775, la reine donne au château de Versailles une fête qui ouvre la saison d'été. Ce soir-là, et par extraordinaire, le beau-père de Yolande l'emmène au château de Versailles. Il fait une chaleur étouffante. Dans un coin du salon, Marie-Antoinette remarque des jeunes gens qui ne dansent pas. Agacée comme peut l'être une maîtresse de maison qui s'occuperait du bon déroulement du bal, elle les invite un peu brusquement de sortir. L'intervention jette un froid, si bien que même ceux qui dansaient s'arrêtent. Marie-Antoinette semble ne pas comprendre cette soudaine bouderie. Yolande, qui a assisté à la scène, s'approche de la reine et lui explique avec naturel et douceur : « - Madame, Votre Majesté, en faisant à ces dames l'honneur de les admettre à ces bals n'a sûrement pas eu l'intention de leur donner la mortification, comme elle vient de le faire, d'en chasser leurs maris et leurs frères dont la plupart sont des danseurs. - Non, madame, je n'ai pas dit cela pour eux, mais pour beaucoup de personnes qui ne dansent pas. »
Se rendant compte de sa bévue, la reine s'empresse de rappeler les jeunes gens. Le salon se remplit à nouveau. L'incident est clos. Reconnaissante, Marie-Antoinette va vers Yolande de Polignac, elle prend ses mains dans les siennes : « Je n'oublierai jamais que vous m'avez donné une marque d'estime et d'attachement en me faisant apercevoir d'une action qu'on aurait pu interpréter contrairement à mon action... Je désire votre amitié, faites-moi le plaisir de venir demain déjeuner avec moi. »

Inès de Kertanguy, extrait de l'article paru dans le numéro récent de Château de Versailles, nr 12,

Ce soir-là, et par extraordinaire, le beau-père de Yolande l'emmène au château de Versailles.

Je voudrais répéter qu'il n'y avait rien d'extraordinaire à ce que Yolande se rende au château de Versailles .  Elle y avait été présentée, selon l'usage, peu de temps avant l'arrivée en France de la dauphine.  Elle y revint pour les festivités du mariage royal  ( voir le sujet du mariage de Marie-Antoinette ) , puis par la suite avec davantage d'assiduité, lorsque sa belle-soeur Diane fut nommée par Louis XV, l'année même de sa mort,  parmi les dames pour accompagner la comtesse d'Artois .


C'est avant la scène du bal contée ci-dessus que Marie-Antoinette distingue Mme de Polignac .  
 Mme de la Tour Landhorte, sa demi-soeur rapporte le fait :

Bientôt après, elle fut remarquée par la Reine à une partie de barre, frappée par cette figure angélique, par sa grâce et son air de simplicité, elle s'informa de son nom . Alors elle lui parla pour lui reprocher de se montrer rarement à Versailles en l'engageant à y venir plus souvent, qu'elle la verrait avec plaisir . C'était un ordre assez flatteur...   Dans les premiers temps votre mère allait un peu plus souvent faire sa cour, mais pas autant que la Reine l'aurait voulu, s'attachant de plus en plus à votre mère dont elle appréciait les qualités.

( Mme de la Tour Landhorte, au prince Jules de Polignac, son neveu, vers 1830 .   Archives de famille )

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Merci pour cette mise au point, chère Eléonore.   
Qu'est-ce que le jeu de barres? Eh bien, je crois avoir trouvé, grâce à Wiki : http://fr.wikipedia.org/wiki/Barres_(sport)

  

Ah merci, Cosmo !   

Hélas, Google images ne veut rien savoir pour me produire un petit aperçu ...   
Bon, ben tant pis !

De rien, Eléo !    Il faudrait trouver une photo, oui ça serait bien !

C'est ce que je voulais . C'est curieux ( et contrariant ) de n'en pas trouver !   

http://tournivelle.fr/wp-content/uploads/2013/04/Fiche-jeux-anciens-ecole-3.pdf

Je ne sais mais cela corresponds bien à ce qu'a expliqué Cosmo !
Et il y a une image !
(Plusieurs jeux sont expliqués mais celui de barres en premier.)

Bravo, Comtesse, et merci !  Vous êtes aux petits oignons !!!  :n,,;::::!!!: 
Mais dans quelle tenue les dames jouaient-elles aux barres ?   

Maintenant que nous avons les règles, nous avons même un jeu pour le prochain pique-nique !!!     

Österreich a écrit:Maintenant que nous avons les règles, nous avons même un jeu pour le prochain pique-nique !!!        

 
Je sens qu'on va se marrer !

Mme de Sabran a écrit:Bravo, Comtesse, et merci !  Vous êtes aux petits oignons !!!  :n,,;::::!!!: 
Mais dans quelle tenue les dames jouaient-elles aux barres ?   

 
Peut-être comme cela ?