Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
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Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
J'ai scindé de mon bouturage de Hérault de Séchelles cette digression que nous avions faite, comme à notre habitude ( : ), sur le poète journaliste et moraliste français Chamfort !
la nuit, la neige a écrit:
J'avais proposé, dans le temps, ce petit livre sur La Folie : http://www.lafoliedix-huitieme.eu/journaux-voyage/topic994.html.
C'est notamment dans ce témoignage que Hérault souligne le goût du célèbre naturaliste pour les très jeunes filles...
Mme de Sabran :
Je n'arrive pas à cliquer sur votre lien ...
Buffon aimait les tendrons, oui, je me souviens d'avoir lu cela quelque part . Hérault au contraire, grand consommateur de jolies femmes devant l'Eternel, les aimait à tout âge, même un peu blettes .
La bru de Buffon est la fameuse Agnès du duc d'Orléans .
Chamfort aussi aima une Mme de Buffon dont la mort le laissa inconsolable . Savez-vous qui elle était par rapport au naturaliste ?
la nuit, la neige :
Nein !
Mme de Sabran :
J'ai trouvé Mme ( de ? ) Buffon, Anne-Marie, âme-sœur de Chamfort, dans la biographie qu'Émile Dousset a consacrée à ce dernier : Chamfort et son temps .
Cette dame pleine de séduction apparemment était veuve et libre .
Son défunt mari avait été médecin des gardes du corps du comte d'Artois ( tiens ! comme Marat ! ) .
Elle avait été élevée à la petite Cour de Sceaux de la duchesse du Maine .
quand il entre à l'Académie.
Au printemps de 1783, Chamfort suit Mme Buffon dans son petit manoir de Vaudouleurs, près d'Etampes . A deux pas de Paris, tout à son bonheur, il se croit au bout du monde et dispose de son temps, selon son bon gré, volens nolens .
Anne-Marie le régale des souvenirs de son enfance à la Cour de Sceaux où elle a connu tous les beaux esprits du temps qui jouaient les abeilles et bourdonnaient autour de la duchesse du Maine .
Chamfort consigne sur de petites feuilles les anecdotes, détails piquants, bons mots, qui constituent bientôt ses Maximes et Pensées, son oeuvre maîtresse tellement délectable .
La vie à Vaudouleurs ravit Chamfort . Les deux amants s'aiment éperdument ! :c^ùù!!:
Comme ils ont raison de jouir pleinement du peu de temps qu'il leur reste encore ! .... Mme Buffon contracte soudain un mal foudroyant et meurt le 29 août 1783 .
Tes yeux fixes, muets, où la mort était peinte,
D'un sentiment plus doux semblait porter l'empreinte,
Ces yeux que j'avais vu par l'amour animés,
Ces yeux que j'adorais, ma main les a fermés ...
Chamfort suffoque de désespoir . Il ne veut pas rentrer à Paris mais rester à invoquer le souvenir de la femme aimée dans ces lieux où ils ont été si heureux .
Il faut qu'arrive Vaudreuil en chaise de poste, Vaudreuil son ami fidèle, pour le tirer de sa torpeur et le ramener vers le monde des vivants.
Mme de Sabran :
Les fêtes données au rendez-vous de chasse de Fontainebleau, à l'automne 1776 s'accompagnent de parties de jeux, courses de chevaux, représentations théâtrales .
Chamfort est poussé dans le monde par Vaudreuil qui lui a même trouvé son pseudonyme . Il s'appelle en réalité Sébastien-Nicolas Roch . Il a été recommandé à la Reine par Mme de Polignac .
Il a été reçu à la Cour de Versailles où il a déjà lu devant le couple royal sa pièce Mustapha et Zéangir qu'il produit maintenant à Fontainebleau .
Sur une douzaine de pièces qu'on représente devant Leurs Majestés, note Grimm, il y en a beaucoup de mauvaises, quelques unes à peine passables . La tragédie de Chamfort, " Mustapha et Zéangir " triompha trop facilement ....
Pourtant, durant le spectacle, le Roi pleure et Marie-Antoinette applaudit . A l'issue de la représentation , elle fait venir l'auteur et lui dit :
Monsieur de Chamfort, au plaisir que m'a procuré la représentation, j'ai voulu joindre celui de vous annoncer que le Roi, pour encourager vos talents et récompenser vos succès, vous a fait une pension de 1200 livres sur les Menus .
Elle ajoute avec sa grâce habituelle : Je vous demande pour remerciement de faire représenter vos pièces à Versailles .
Pour Chamfort, c'est la consécration et la fortune . Il revient de Fontainebleau , écrit Emile Dousset sinon en courtisan , du moins en protégé .
Quand ses relations lui demande la teneur de son entretien avec Marie-Antoinette, il se contente de répondre :
Je ne pourrai jamais ni le répéter, ni l'oublier ...
Dans l'édition de sa pièce, en 1778, Chamfort exprime sa reconnaissance émue à Marie-Antoinette sous forme de dédicace .
Deux portraits de Chamfort ... qui ne se ressemblent guère ...
J'ai le regret de vous le dire, cette dédicace à Marie-Antoinette de sa pièce Mustapha et Zéangir , en 1789, Chamfort la supprime, ce qui prouve que les engagements ne sont pas toujours tenus, même par Chamfort . ( Emile Dousset )
Pourtant il devait tout à Marie-Antoinette .
Je vous ai raconté comment Vaudreuil était allé le chercher en chaise de poste à Vaudouleurs, après la mort de Mme Buffon, eh bien Chamfort broyait tellement de noir que Vaudreuil imagina, pour le faire penser à autre chose sans doute, de le faire nommer à la place de secrétaire ordinaire et du cabinet de Madame Elisabeth .
Il entreprit Mme de Polignac qui en toucha un mot à Marie-Antoinette, et zou ! c'était chose faite !!!
Chamfort en reçu le brevet de la main du baron de Breteuil, le 12 septembre 1784 .
La nuit, la neige :
Tenez ! :
Aujourd'hui, dans la salle d'attente de mon docteur, je suis tombé sur cet article du Nouvel Observateur de début février.
Philippe Sollers évoque Chamfort, à l'occasion de la parution de ses Œuvres complètes.
C'est ici : http://www.philippesollers.net/chamfort.html
Mme de Sabran :
Vous êtes souffrant ? ..... rien de grave, j'espère !
Merci pour votre lien sur Chamfort ....
Quand un homme et une femme ont l'un pour l'autre une passion violente, il me semble toujours que, quels que soient les obstacles qui les séparent, un mari, des parents, etc., les deux amants sont l'un à l'autre de par la nature, qu'ils s'appartiennent de droit divin, malgré les lois et les conventions humaines.
La nuit, la neige :
C'est sûr, il avait le sens de la formule...
J'aime assez son : Un coeur se brise ou se bronze.
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
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Re: Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
Au printemps 1783, Chamfort et Anne-Marie Buffon se retirent dans un manoir appartenant à Madame Buffon, où celle-ci meurt donc brusquement, le 29 août suivant.
Chamfort écrit ce poème, où s'exhale sa douleur :
Dans ce moment épouvantable,
Où des sens fatigués, des organes rompus,
La mort avec fureur déchire les tissus,
Lorsqu'en cet assaut redoutable
L'âme, par un dernier effort,
Lutte contre ses maux et dispute à la mort
Du corps qu'elle animait le débris périssable ;
Dans ces moments affreux où l'homme est sans appui,
Où l'amant fuit l'amante, où l'ami fuit l'ami,
Moi seul, en frémissant, j'ai forcé mon courage
À supporter pour toi cette effrayante image.
De tes derniers combats j'ai ressenti l'horreur ;
Le sanglot lamentable a passé dans mon cœur ;
Tes yeux fixes, muets, où la mort était peinte,
D'un sentiment plus doux semblaient porter l'empreinte ;
Ces yeux que j'avais vus par l'amour animés,
Ces yeux que j'adorais, ma main les a fermés !
(À celle qui n'est plus, Œuvres complètes de Chamfort, chez Maradan, Paris, 1812, t. II, p. 40618.)
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
La reine Marie-Antoinette remarquait:
"Savez-vous, Monsieur de Chamfort, que vous avez plu à tout le monde à Versailles, je ne dirai pas à cause de votre esprit mais malgré votre esprit ? "
livresanciens-tarascon.blogspot.com/.../nicolas-chamfort-le-sens-de-la-fo...
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
" M. de Chamfort est arrivé ; Je l'ai vu, et nous lirons ces jours-ci son éloge de La Fontaine. Il revient des eaux en bonne santé, beaucoup plus riche de gloire et d'amies qui l'aiment… Cet assortiment est presque aussi bigarré que l'habit d'Arlequin ; mais cela n'en est que plus piquant, plus agréable et plus charmant. Aussi, je vous réponds que M. de Chamfort est un jeune homme bien content, et il fait de son mieux pour être modeste… "
( Julie de Lespinasse )
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
;
Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort (1740 /1794) était poète et moraliste.
Surdoué de la littérature de salon, il est aujourd'hui plus connu pour la causticité de ses remarques que pour l'étendue de son œuvre : (La Fièvre dans le sang, Manureva, Adieu mon bébé chanteur, etc...).
Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort (1740 /1794) était poète et moraliste.
Surdoué de la littérature de salon, il est aujourd'hui plus connu pour la causticité de ses remarques que pour l'étendue de son œuvre : (La Fièvre dans le sang, Manureva, Adieu mon bébé chanteur, etc...).
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
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Mme de Sabran- Messages : 55497
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Re: Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
.
Elu à l'Académie Française en 1781, il fut surtout le maître à penser de Mirabeau dont il écrivit de nombreux discours politiques dès 1791. On explique sa hargne, les tourments de son âme et son désenchantement par l'injustice qu'il ressentit toute sa vie en raison de ses origines bâtardes.
Chateaubriand : Chamfort était d'une taille au dessus de la médiocre et je me suis toujours étonné qu'un homme qui avait tant de connaissances des hommes eût pu épouser si chaudement une cause quelconque…
Elu à l'Académie Française en 1781, il fut surtout le maître à penser de Mirabeau dont il écrivit de nombreux discours politiques dès 1791. On explique sa hargne, les tourments de son âme et son désenchantement par l'injustice qu'il ressentit toute sa vie en raison de ses origines bâtardes.
Chateaubriand : Chamfort était d'une taille au dessus de la médiocre et je me suis toujours étonné qu'un homme qui avait tant de connaissances des hommes eût pu épouser si chaudement une cause quelconque…
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
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Re: Sébastien-Roch Nicolas, dit Chamfort
Chamfort, sous la plume acerbe de l'abbé Morellet :
J'ai beaucoup vécu avec Chamfort, mais jamais je n'ai eu avec lui de véritable liaison.
Il était, j'ose le dire, aussi peu digne qu'incapable d'amitié.
Je le voyais dans la société de Saurin et de Mme Helvétius, où je n'ai jamais goûté son esprit.(...)
Sa conversation avait deux caractères, toujours roulant sur les personnes et jamais sur les choses, et constamment misanthropique et dénigrante à l'excès.
Les tournures sous lesquelles il montrait sa haine pour les hommes en général et ses haines particulières, captivaient l'attention par l'originalité et le piquant des idées et des expressions. (...)
La misanthropie de Chamfort était, au reste, comme celle de la plupart des misanthropes que j'ai connus, et surtout de J-J Rousseau, sans motif raisonnable envers les hommes, dont il avait toujours été mieux traité que tous ceux qui peuvent s'en louer le plus. (...)
... et Chamfort, en même temps qu'il nous disait de vingt manières piquantes que les gens de la cour étaient des sots, des oppresseurs insolents, de bas valets, des courtisans avides, et leurs femmes autant de caillettes et de catins, nous parlait de Mme Jules, de Mme Diane et du duc de Polignac, et de l'évêque d'Autun, et de M. de Sasseval, et surtout de M. de Vaudreuil, dont il était le commensal et le divertisseur, comme des gens infiniment estimables, du beau caractère, de l'esprit le meilleur, le plus fin, le plus profond.(...)
Il recevait aussi d'autres pensions en appointements de la cour, comme de M. le comte d'Artois, dont il était le lecteur, et de Madame, en qualité de bibliothécaire.
Enfin avant l'âge de trente-cinq ans, il avait sept ou huit mille livres de rente, qu'il tenait de ces abominables gens de cour, et une réputation littéraire, avouée et soutenue par ces ridicules gens de lettres ; et il continuait à décrier les uns et les autres avec la même aigreur.(...)
Dans ces douces dispositions, il s'est trouvé tout naturellement à la hauteur d'une révolution qui allait traquer, comme de bêtes nuisibles, les nobles et les riches dans toute l'étendue du royaume. Cette guerre ne lui a point paru si injuste, ni si horrible.
Il a vu avec beaucoup de tolérance, ou tout au plus comme des maux nécessaires, l'incendie des châteaux, les lois cruelles contre les émigrés, et les lois plus cruelles encore contre ceux qui ont voulu rentrer, et l'oppression et la spoliation de ceux qui n'ont pas voulu s'exiler.(...)
Je sais, à n'en point douter, qu'il a trouvé le 10 août fort bon.
Mais il a été; comme tant d'autres, puni par où il a péché ; apologiste assidu des premières violences du peuple, et des insultes faites à toutes les autorités, et de la violation de tous les principes moraux, civils et religieux, dont la révolution s'est souillée, presque dès le commencement (....) et il a été jeté lui-même en prison sur une délation de ses chers Jacobins dont il était l'associé.(...)
Craignant de retourner aux Madelonettes, où il avait éprouvé tous les maux, toutes les inhumanités que cet horrible gouvernement rassemblait sur ces victimes avant de les sacrifier, le dégoût de la vie lui prit tout de bon ; et après s'être tiré un coup de pistolet dans le nez, donné un coup de couteau dans le côté, et tâché de se couper les veines des jambes avec un rasoir, il a survécu à ses cruelles tentatives, défiguré et déshonoré, pour mourir quelques mois après des suites de ses blessures.
J'ai beaucoup vécu avec Chamfort, mais jamais je n'ai eu avec lui de véritable liaison.
Il était, j'ose le dire, aussi peu digne qu'incapable d'amitié.
Je le voyais dans la société de Saurin et de Mme Helvétius, où je n'ai jamais goûté son esprit.(...)
Sa conversation avait deux caractères, toujours roulant sur les personnes et jamais sur les choses, et constamment misanthropique et dénigrante à l'excès.
Les tournures sous lesquelles il montrait sa haine pour les hommes en général et ses haines particulières, captivaient l'attention par l'originalité et le piquant des idées et des expressions. (...)
La misanthropie de Chamfort était, au reste, comme celle de la plupart des misanthropes que j'ai connus, et surtout de J-J Rousseau, sans motif raisonnable envers les hommes, dont il avait toujours été mieux traité que tous ceux qui peuvent s'en louer le plus. (...)
... et Chamfort, en même temps qu'il nous disait de vingt manières piquantes que les gens de la cour étaient des sots, des oppresseurs insolents, de bas valets, des courtisans avides, et leurs femmes autant de caillettes et de catins, nous parlait de Mme Jules, de Mme Diane et du duc de Polignac, et de l'évêque d'Autun, et de M. de Sasseval, et surtout de M. de Vaudreuil, dont il était le commensal et le divertisseur, comme des gens infiniment estimables, du beau caractère, de l'esprit le meilleur, le plus fin, le plus profond.(...)
Il recevait aussi d'autres pensions en appointements de la cour, comme de M. le comte d'Artois, dont il était le lecteur, et de Madame, en qualité de bibliothécaire.
Enfin avant l'âge de trente-cinq ans, il avait sept ou huit mille livres de rente, qu'il tenait de ces abominables gens de cour, et une réputation littéraire, avouée et soutenue par ces ridicules gens de lettres ; et il continuait à décrier les uns et les autres avec la même aigreur.(...)
Dans ces douces dispositions, il s'est trouvé tout naturellement à la hauteur d'une révolution qui allait traquer, comme de bêtes nuisibles, les nobles et les riches dans toute l'étendue du royaume. Cette guerre ne lui a point paru si injuste, ni si horrible.
Il a vu avec beaucoup de tolérance, ou tout au plus comme des maux nécessaires, l'incendie des châteaux, les lois cruelles contre les émigrés, et les lois plus cruelles encore contre ceux qui ont voulu rentrer, et l'oppression et la spoliation de ceux qui n'ont pas voulu s'exiler.(...)
Je sais, à n'en point douter, qu'il a trouvé le 10 août fort bon.
Mais il a été; comme tant d'autres, puni par où il a péché ; apologiste assidu des premières violences du peuple, et des insultes faites à toutes les autorités, et de la violation de tous les principes moraux, civils et religieux, dont la révolution s'est souillée, presque dès le commencement (....) et il a été jeté lui-même en prison sur une délation de ses chers Jacobins dont il était l'associé.(...)
Craignant de retourner aux Madelonettes, où il avait éprouvé tous les maux, toutes les inhumanités que cet horrible gouvernement rassemblait sur ces victimes avant de les sacrifier, le dégoût de la vie lui prit tout de bon ; et après s'être tiré un coup de pistolet dans le nez, donné un coup de couteau dans le côté, et tâché de se couper les veines des jambes avec un rasoir, il a survécu à ses cruelles tentatives, défiguré et déshonoré, pour mourir quelques mois après des suites de ses blessures.
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
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