Les relations entre Marie-Antoinette et ses belle-sœurs de Savoie

La Correspondance secrète, 19 novembre 1780 :


Très intéressante anecdote.

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... déjà postée, racontée par notre chère marquise de Créquy ! :

Donc deux auteurs à se méfier qui disent la même chose !

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Absolument ! Ce qui prouve, une fois de plus, que l'estampille apocryphe ne signifie pas à jeter .

Je ne sais si dans ce cas, nous pouvons parler d'apocryphe car c'est bien quelqu'un de relativement présent à la cour qui écrit, et sur le moment. Pas dix, quinze, vingt ans plus tard. Seulement, il n'hésite pas à affabuler parmi des nouvelles heureusement parfois justes.

Rien à voir donc avec le journal de Bombelles qui n'exagère pas, n'essaye pas de se mettre constamment en avant mais tente de composer un recueil de vie de cour modèle pour son fils, en écrivant au jour le jour.
Rien à voir non plus avec une plume du XIXème siècle qui tente de recréer des souvenirs de l'ancienne cour en mixant ceux de tels ou tels qui y avaient vécu il y a bien longtemps. En connaissant d'avance ce qui allait se passer.