Les lunettes au XVIIIe siècle
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M. de Velleguindry
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Mme de Sabran
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Re: Les lunettes au XVIIIe siècle
En tout cas, il semble qu'elle ait eu une assez importante différence d'acuité visuelle entre les deux yeux .
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55173
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
La chasse de Louis XVI
Vicq d Azir a écrit:Une hypothèse: quand on vise pour tirer, on cligne des yeux...
En tout cas, cher Lucius, vous posez une énigme bien intéressante, et non résolue.
Pour ce qui concerne la chasse, il faut relire le témoignage de Chateaubriand dans ses Mémoires d'Outre-Tombe: Il doit suivre le Roi à la chasse le jour de sa Présentation; or on lui a fortement déconseillé de se trouver entre le souverain et le gibier, au risque d'essuyer la colère du chasseur... C'est bien sur ce qui va arriver, car, piètre cavalier, Chateaubriand laisse partir son cheval...
Et... vous connaissez sans doute la suite...
Louis XVI était, d'après les textes un grand chasseur au gibier à poils c'est à dire qu'il se chassait à courre donc à cheval et le roi était un excellent cavalier monté sur un cheval rapide que peu parvenait à suivre Une fois l'animal épuisé, et entouré de la meute de chien le roi descendait de cheval pour le servir ( cad le tuer avec une dague ou un glaive )
Il semblerait qu'il chassait peu ou moins à tir
_________________
" Le temps découvre tout " Stobée
M. de Velleguindry- Messages : 52
Date d'inscription : 13/06/2020
Localisation : Duché de Savoie
Re: Les lunettes au XVIIIe siècle
Pour s'en faire une idée, cher M. de Velleguindry, il faut éplucher le Journal de Louis XVI , puisqu'il semble que le roi trouvait intéressant de comptabiliser scrupuleusement le nombre de ses petites victimes tous les jours.
D'où le fameux " Rien " des jours sans chasse.
D'où le fameux " Rien " des jours sans chasse.
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Mme de Sabran- Messages : 55173
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les lunettes au XVIIIe siècle
Mme de Sabran a écrit:Pour s'en faire une idée, cher M. de Velleguindry, il faut éplucher le Journal de Louis XVI , puisqu'il semble que le roi trouvait intéressant de comptabiliser scrupuleusement le nombre de ses petites victimes tous les jours.
Quel soulagement pour les animaux des domaines royaux que ce fameux 14 juillet
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Les lunettes au XVIIIe siècle
Pas sûr, pas sûr...C'est un sujet sans doute à étudier, mais je pense qu'avec l'abolition du droit de chasse exclusivement lié aux privilèges seigneuriaux, c'est devenu " open party " pour tous !Comte d'Hézècques a écrit:
Quel soulagement pour les animaux des domaines royaux que ce fameux 14 juillet
Et avec les difficultés de la population pour se nourrir (ou pour protéger les cultures) j'imagine que nombre de bêtes furent dès lors librement chassées, et sans doute davantage que lorsqu'un roi myope et quelques courtisans chassaient dans les domaines royaux.
La nuit, la neige- Messages : 18021
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Les lunettes au XVIIIe siècle
L'invention des lunettes tâtonne pas mal avant la mise au point, au XVIIIe siècle des « lunettes à tempes » ( c'est à dire les nôtres ! )
Lunettes en corne et en cuir avec lanières pour les oreilles,
Japon 18ème siècle
Copyright : Fondazione Museo dell'Occhiale Onlus
En 1645, Jacques Bourgeois avait amélioré les antiques besicles en imaginant des verres concaves d'un côté de l'œil et convexes de l'autre. En 1728, l'opticien anglais Edward Scarlett crée les premières montures avec de courtes branches terminées par un anneau métallique (parfois recouvert de velours) qui se plaque sur les tempes : ces « lunettes à tempes » sont portées essentiellement par les nobles, les courtes branches permettant le retrait des lunettes sans déranger la perruque.
Lorsque la perruque cesse d'être à la mode, Scarlett innove encore en rallongeant les branches et en les courbant aux extrémités de façon qu'elles se fixent derrière les oreilles : les lunettes modernes sont nées. Les bourgeois quant à eux utilisent plutôt le binocle au XVIIe siècle puis le face à main au XVIIIe siècle, ce dernier étant concurrencé par le monocle et le pince-nez au XIXe siècle.
En France, le sieur Thomin, miroitier lunetier parisien, fabrique en 1746 ces « lunettes à tempes » appelées « lunettes à tempes permettant de respirer à l'aise » car elles remplacent les pince-nez. Toutefois, leur pression provoque des maux de tête. En 1752, l'opticien anglais James Ayscough crée les premières lunettes à verres teintés. Ce sont pour lui des lunettes correctrices et non des lunettes de soleil ( ce que nous dit mon petit Lulu juste en amont ) car il pensait que les teintes bleues ou vertes corrigeaient la vision. Elles sont munies de branches articulées par une charnière, ce qui diminue l'inconfort de la pression des branches sur le nez et les tempes. Ces lunettes dont les branches passent par-dessus les oreilles sont appelées « lunettes à oreilles ».
" L’extrémité des branches de cette lunette livre deux indices trahissant l’identité de sa propriétaire : une fleur de lys et des initiales « V.L. ». Cette lunette tout en argent a en effet appartenu à un membre de la famille royale de France : Marie-Louise-Thérèse-Victoire de France [1733 – 1799], encore appelée Madame Victoire, fille de Louis XV et de Marie Leszczyńska. "
musée de la lunette, Morez-France, coll. Essilor - Pierre Marly/photo. Studio Bernardot
Les verres étaient ronds jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, qui voit alors se développer la mode des verres ovales venue d'Angleterre : plus petits et de meilleure qualité optique, ces verres allègent considérablement la monture. Les lunettes à double foyer sont créées en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle.
En 1796, Pierre-Hyacinthe Caseaux maître-cloutier à Morez dans le Jura s'inspire des Anglais qui produisent déjà des montures en métal et adapte des techniques propres à l'art du métal pour réaliser une fine monture : du fil de fer encercle les verres et des tenons (faisant également office de charnière) soudés de chaque côté des cercles de la monture sont traversés par une vis qui permet de serrer les cercles autour du verre. Ces lunettes « fils » ont un grand succès et Morez est depuis devenue la capitale de la lunetterie française, représentant à elle seule 55 % de son chiffre d'affaires.
Ainsi donc, le berceau de la lunetterie française se situe dans une petite ville du Jura, puisque c’est à Morez qu’à partir du 16ème siècle, moulins, roues, martinets et autres machines à transformer le métal seront mis en mouvement. Des ateliers des bords de Bienne vont sortir des clous, des horloges, puis au début du 19ème siècle des lunettes métalliques.
Et, précisément, quand Benjamin Franklin et Louis XVI portent des lunettes à l'écran, eh bien elles sont fabriquées en Alsace !
La superproduction américaine de laquelle nous parlons beaucoup dans notre Forum, les amis, s'est appuyée sur le savoir-faire des Meilleurs Ouvriers de France en lunetterie pour faire revivre l'histoire de France !
C'est la rencontre de deux univers, le cinéma et la lunetterie, qui collaborent pour refaire vivre une histoire fondamentale de la relation entre la France et les États-Unis.
Dans la série Franklin, diffusée sur Apple TV et Canal+, Michaël Douglas endosse le rôle de Benjamin Franklin.
À travers les 8 épisodes de la 1ère saison, il interprète le célèbre imprimeur-éditeur-écrivain-naturaliste-humaniste-inventeur-abolitionniste et père fondateur américain lors de son séjour en Europe dans les années 1770 où il tente de convaincre la monarchie française de financer l'établissement de la démocratie en Amérique.
Dans cette épopée, il entrera en contact avec le roi Louis XVI. Les deux acteurs portent des répliques de lunettes identiques à celles portées il y a 2 siècles et demi.
Une mission pour les Meilleurs ouvriers de France lunetterie
Pour cela, l'équipe de production s'est rapprochée des Meilleurs Ouvriers de France en lunetterie (Mof). C'est à Xavier Christin, formateur Mof et expert artisan en lunetterie, que revient la tâche de réaliser 5 types de montures différentes, dont 3 sont effectivement présentes dans la série.
Les gravures et photos des lunettes d’époque sont fournies par les costumiers Olivier Bériot et Claire Chanat. Sur cette base, Xavier se met au travail dans son atelier de Bitschwiller-lès-Thann, près de Mulhouse.
« Quand l'industrie lunetière pouvait répondre à leur demande en 8 mois, j'ai estimé qu'il me fallait entre 3 et 15 jours pour réaliser les montures », explique Xavier Christin.
Louis XVI était passionné d'horlogerie et de serrurerie. C'est la raison pour laquelle il portait des lunettes de précision.
Les lunettes de forge devaient protéger les yeux du roi-ouvrier des éclats de pierre ( les corps étrangers ) lors d'activités de sculpture ou de métaux chauds issus de la forge. La complexité résidait dans le brasage des tamis en laiton pour assembler la protection latérale à la monture ronde, mais aussi la transformation des tenons serre-cercle de la monture de précision pour permettre la fermeture des branches, malgré le grillage contre les escarbilles de la forge.
- Réalisation de branches spatules sans grande difficulté sur CNC et traitement cuivré.
- Cercles épais pour simplifier le brasage !
- Protection en cuir en appui contre la peau.
Le résultat final est époustouflant !
Nous reconnaissons le type de lunettes postées en amont par l'ami Févicq .
2 montures réalisées par Xavier sont malheureusement tombées dans les « oubliettes de l’histoire », c'est-à-dire non diffusées dans la série : la célèbre double foyers Franklin ainsi que la monture fer à cheval, réalisée en 3 jours ! L'équipe de production de la série s'est rendue au Silmo 2022 pour rencontrer et remercier Xavier Christin pour la qualité du travail accompli.
https://www.acuite.fr/actualite/histoire/284891/quand-benjamin-franklin-et-louis-xvi-portent-des-lunettes-fabriquees-en
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lunettes
https://www.guide-vue.fr/les-solutions-optiques/histoire-lunettes
Lunettes en corne et en cuir avec lanières pour les oreilles,
Japon 18ème siècle
Copyright : Fondazione Museo dell'Occhiale Onlus
En 1645, Jacques Bourgeois avait amélioré les antiques besicles en imaginant des verres concaves d'un côté de l'œil et convexes de l'autre. En 1728, l'opticien anglais Edward Scarlett crée les premières montures avec de courtes branches terminées par un anneau métallique (parfois recouvert de velours) qui se plaque sur les tempes : ces « lunettes à tempes » sont portées essentiellement par les nobles, les courtes branches permettant le retrait des lunettes sans déranger la perruque.
Lorsque la perruque cesse d'être à la mode, Scarlett innove encore en rallongeant les branches et en les courbant aux extrémités de façon qu'elles se fixent derrière les oreilles : les lunettes modernes sont nées. Les bourgeois quant à eux utilisent plutôt le binocle au XVIIe siècle puis le face à main au XVIIIe siècle, ce dernier étant concurrencé par le monocle et le pince-nez au XIXe siècle.
En France, le sieur Thomin, miroitier lunetier parisien, fabrique en 1746 ces « lunettes à tempes » appelées « lunettes à tempes permettant de respirer à l'aise » car elles remplacent les pince-nez. Toutefois, leur pression provoque des maux de tête. En 1752, l'opticien anglais James Ayscough crée les premières lunettes à verres teintés. Ce sont pour lui des lunettes correctrices et non des lunettes de soleil ( ce que nous dit mon petit Lulu juste en amont ) car il pensait que les teintes bleues ou vertes corrigeaient la vision. Elles sont munies de branches articulées par une charnière, ce qui diminue l'inconfort de la pression des branches sur le nez et les tempes. Ces lunettes dont les branches passent par-dessus les oreilles sont appelées « lunettes à oreilles ».
" L’extrémité des branches de cette lunette livre deux indices trahissant l’identité de sa propriétaire : une fleur de lys et des initiales « V.L. ». Cette lunette tout en argent a en effet appartenu à un membre de la famille royale de France : Marie-Louise-Thérèse-Victoire de France [1733 – 1799], encore appelée Madame Victoire, fille de Louis XV et de Marie Leszczyńska. "
musée de la lunette, Morez-France, coll. Essilor - Pierre Marly/photo. Studio Bernardot
Les verres étaient ronds jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, qui voit alors se développer la mode des verres ovales venue d'Angleterre : plus petits et de meilleure qualité optique, ces verres allègent considérablement la monture. Les lunettes à double foyer sont créées en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle.
En 1796, Pierre-Hyacinthe Caseaux maître-cloutier à Morez dans le Jura s'inspire des Anglais qui produisent déjà des montures en métal et adapte des techniques propres à l'art du métal pour réaliser une fine monture : du fil de fer encercle les verres et des tenons (faisant également office de charnière) soudés de chaque côté des cercles de la monture sont traversés par une vis qui permet de serrer les cercles autour du verre. Ces lunettes « fils » ont un grand succès et Morez est depuis devenue la capitale de la lunetterie française, représentant à elle seule 55 % de son chiffre d'affaires.
Ainsi donc, le berceau de la lunetterie française se situe dans une petite ville du Jura, puisque c’est à Morez qu’à partir du 16ème siècle, moulins, roues, martinets et autres machines à transformer le métal seront mis en mouvement. Des ateliers des bords de Bienne vont sortir des clous, des horloges, puis au début du 19ème siècle des lunettes métalliques.
Et, précisément, quand Benjamin Franklin et Louis XVI portent des lunettes à l'écran, eh bien elles sont fabriquées en Alsace !
La superproduction américaine de laquelle nous parlons beaucoup dans notre Forum, les amis, s'est appuyée sur le savoir-faire des Meilleurs Ouvriers de France en lunetterie pour faire revivre l'histoire de France !
C'est la rencontre de deux univers, le cinéma et la lunetterie, qui collaborent pour refaire vivre une histoire fondamentale de la relation entre la France et les États-Unis.
Dans la série Franklin, diffusée sur Apple TV et Canal+, Michaël Douglas endosse le rôle de Benjamin Franklin.
À travers les 8 épisodes de la 1ère saison, il interprète le célèbre imprimeur-éditeur-écrivain-naturaliste-humaniste-inventeur-abolitionniste et père fondateur américain lors de son séjour en Europe dans les années 1770 où il tente de convaincre la monarchie française de financer l'établissement de la démocratie en Amérique.
Dans cette épopée, il entrera en contact avec le roi Louis XVI. Les deux acteurs portent des répliques de lunettes identiques à celles portées il y a 2 siècles et demi.
Une mission pour les Meilleurs ouvriers de France lunetterie
Pour cela, l'équipe de production s'est rapprochée des Meilleurs Ouvriers de France en lunetterie (Mof). C'est à Xavier Christin, formateur Mof et expert artisan en lunetterie, que revient la tâche de réaliser 5 types de montures différentes, dont 3 sont effectivement présentes dans la série.
Les gravures et photos des lunettes d’époque sont fournies par les costumiers Olivier Bériot et Claire Chanat. Sur cette base, Xavier se met au travail dans son atelier de Bitschwiller-lès-Thann, près de Mulhouse.
« Quand l'industrie lunetière pouvait répondre à leur demande en 8 mois, j'ai estimé qu'il me fallait entre 3 et 15 jours pour réaliser les montures », explique Xavier Christin.
Louis XVI était passionné d'horlogerie et de serrurerie. C'est la raison pour laquelle il portait des lunettes de précision.
Les lunettes de forge devaient protéger les yeux du roi-ouvrier des éclats de pierre ( les corps étrangers ) lors d'activités de sculpture ou de métaux chauds issus de la forge. La complexité résidait dans le brasage des tamis en laiton pour assembler la protection latérale à la monture ronde, mais aussi la transformation des tenons serre-cercle de la monture de précision pour permettre la fermeture des branches, malgré le grillage contre les escarbilles de la forge.
- Réalisation de branches spatules sans grande difficulté sur CNC et traitement cuivré.
- Cercles épais pour simplifier le brasage !
- Protection en cuir en appui contre la peau.
Le résultat final est époustouflant !
Nous reconnaissons le type de lunettes postées en amont par l'ami Févicq .
2 montures réalisées par Xavier sont malheureusement tombées dans les « oubliettes de l’histoire », c'est-à-dire non diffusées dans la série : la célèbre double foyers Franklin ainsi que la monture fer à cheval, réalisée en 3 jours ! L'équipe de production de la série s'est rendue au Silmo 2022 pour rencontrer et remercier Xavier Christin pour la qualité du travail accompli.
https://www.acuite.fr/actualite/histoire/284891/quand-benjamin-franklin-et-louis-xvi-portent-des-lunettes-fabriquees-en
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lunettes
https://www.guide-vue.fr/les-solutions-optiques/histoire-lunettes
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55173
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les lunettes au XVIIIe siècle
Oh merci Eleo, c’est passionnant
Gouverneur Morris- Messages : 11611
Date d'inscription : 21/12/2013
Anna Dorothea Therbusch
Voici un autoportrait original qui illustre l'affiche d'un colloque organisé au sein du Staatliche Museen zu Berlin...Etonnant monocle !
D'après le portrait original...
Selbstbildnis
Anna Dorothea Therbusch (1721 - 1782)
Leinwand, w. 1782
154,25 x 118,4 x 3,5 cm
Image : Staatliche Museen zu Berlin, Gemäldegalerie / Jörg P. Anders
A sa fenêtre...
Selbstbildnis
Anna Dorothea Therbusch (1721 - 1782)
Öl auf Leinwand, 1782
H. 65,7 cm; B. 54,6 cm
Image : Germanisches Nationalmuseum
La même, en buste :
Selbstbildnis
Anna Dorothea Therbusch (1721 - 1782)
Leinwand, w. 1780
36,9 x 32,3 cm
Image : Staatliche Museen zu Berlin, Gemäldegalerie / Andres Kilger
D'après le portrait original...
Selbstbildnis
Anna Dorothea Therbusch (1721 - 1782)
Leinwand, w. 1782
154,25 x 118,4 x 3,5 cm
Image : Staatliche Museen zu Berlin, Gemäldegalerie / Jörg P. Anders
A sa fenêtre...
Selbstbildnis
Anna Dorothea Therbusch (1721 - 1782)
Öl auf Leinwand, 1782
H. 65,7 cm; B. 54,6 cm
Image : Germanisches Nationalmuseum
La même, en buste :
Selbstbildnis
Anna Dorothea Therbusch (1721 - 1782)
Leinwand, w. 1780
36,9 x 32,3 cm
Image : Staatliche Museen zu Berlin, Gemäldegalerie / Andres Kilger
La nuit, la neige- Messages : 18021
Date d'inscription : 21/12/2013
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