Théâtre : Les Liaisons dangereuses - Dominique Blanc et Vincent Pérez

C’est une de nos plus grandes actrices, mais aussi une des plus discrètes. La Comédie-Française a annoncé (sur Twitter, une première), mardi 21 avril, qu’elle engageait Dominique Blanc, qui a aujourd’hui 58 ans, et entrera dans la Maison de Molière en mars 2016. Avant cela, elle créera Les Liaisons dangereuses, de Choderlos de Laclos, à Strasbourg, sous la direction de Christine Letailleur, en compagnie de Vincent Perez, qui jouera Valmont.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/scenes/article/2015/04/23/dominique-blanc-une-actrice-rare-entre-a-la-comedie-francaise_4621603_1654999.html#Wsoxs82kcFXgH4Cz.99

Imaginer Dominique Blanc en Marquise de Merteuil... quelle savoureuse idée ! boudoi30
Il faudra inculquer de l'esprit de Cyrano à celui qui fut le beau Christian pour que Vincent Pérez puisse porter avec justesse le rôle du Vicomte de Valmont... :
Je ne sais si ce sera le texte de Christopher Hampton qui sera joué...



Adaptation et mise en scène : Christine Letailleur

Scénographie : Emmanuel Clolus et Christine Letailleur

Création lumières : Philippe Berthomé

Costumes : Moidele Bickel (à qui on doit ceux de La Reine Margot de Patrice Chéreau )

Création son: Manu Léonard

Assistante à la mise en scène: Stéphanie Cosserat

Avec Dominique Blanc, Vincent Perez, Fanny Blondeau, Stéphanie Cosserat, Julie Duchaussoy, Manuel Garcie-Kilian, Karen Rencurel, Véronique Willemaers (distribution en cours)


Bien à vous.

Majesté a écrit:Je ne sais si ce sera le texte de Christopher Hampton qui sera joué...

Il semblerait que ce soit une adaptation de la scénariste si j'en crois cet article :

Le Vicomte de Valmont, libertin féru de stratégie, hante les salons afin d’y séduire les femmes. De conserve avec la Marquise de Merteuil, créature diabolique friande d’intrigues, ils machinent des complots aux cruelles fantaisies. Désireuse de se venger d’un ancien amant qui épousera la jeune Cécile de Volanges, la marquise propose au flamboyant séducteur de faire fondre la promise de désir. Entre temps, la Présidente de Tourvel, dont la fidélité et la dévotion sont l’apanage, constitue l’objet de la nouvelle conquête de Valmont. S’il ramène une preuve écrite de son succès, il aura le privilège de passer une dernière nuit avec la Marquise. Choderlos de Laclos, nourri à la science de Vauban, l’applique ici à l’étude de la rivalité destructrice entre l’homme et la femme. La brillante adaptation de ce roman épistolaire par la metteuse en scène Christine Letailleur glace et échauffe à la fois par son analyse au scalpel de la psychologie amoureuse et érotique, avec une superbe distribution où Dominique Blanc et Vincent Perez interprètent en orfèvres du jeu les rôles-titres. Dans ce chef-d’œuvre de manipulations, certains y laisseront des plumes, d’autres y perdront leurs ailes.

Bien à vous.

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Fascinantes Liaisons dangereuses ! ... avec Dominique Blanc de surcroît ! C'est très tentant !

Les dates des premières représentations de cette pièce sont prévues au TNB de Rennes, puis en tournée dans de nombreuses villes (Liège, Sète, Strasbourg, Paris etc.)

Du 3 au 14 novembre 2015, au Théâtre National de Bretagne :

Les liaisons dangereuses
Adaptation et mise en scène Christine Letailleur
Avec notamment Dominique Blanc (Mme de Merteuil), Vincent Pérez (Valmont).



Infos complémentaires et présentation ici : http://www.t-n-b.fr/fr/saison/les_liaisons_dangereuses-948.php

Un casting tout droit tiré de ceux de Patrice Chéreau : 
Si Dominique Blanc a toute la noblesse de son rôle, je crains que Vincent Pérez manque de charisme pour le sien...
Encore un événement qui fait envie !


Bien à vous.

Ah, je ne sais pas, j'aime assez Vincent Pérez...
Si ma mémoire est bonne, amant séduisant et "porte malheur" plutôt convaincant dans Indochine ou La reine Margot.

Je le trouvais plutôt parfait dans le rôle de Christian dans Cyrano de Bergerac ...


Bien à vous.

Les Liaisons dangereuses
Choderlos de Laclos
On aime beaucoup (Télérama)






Dominique Blanc, royale Merteuil, mène la guerre des sexes et des générations dans cette mise en scène de Christine Letailleur qui fait mouche.
Voilà le premier roman épistolaire dessiné au fleuret par le capitaine d'artillerie Choderlos de Laclos en 1782 à nouveau porté sur les planches ! Du texte original à Quartett, la libre adaptation maintes fois montée de l'auteur allemand Heiner Müller (1980), la langue somptueuse du xviiie fait recette au théâtre... Tout comme au cinéma où les couples Jeanne Moreau/Gérard Philipe ou John Malkovich/Glenn Close ont depuis longtemps colonisé nos souvenirs.
Aujourd'hui, la metteuse en scène Christine Letailleur ne manque pas non plus d'ambition pour camper le duo des ex-amants Merteuil/Valmont qui se partagent les plaisirs de la société élégante comme dans un traité bilatéral. C'est Dominique Blanc (avant son entrée à la Comédie-Française au printemps prochain) et Vincent Perez qui s'affrontent ici. Elle est royale, il joue les prédateurs vieillissants. Mais sent-on chez ce dernier la faille créée par le sentiment « inconnu » soudain éprouvé pour Mme de Tourvel ? Une fois, seulement, quand il s'arrête dans l'escalier et que son corps fléchit... Car Christine Letailleur met davantage en valeur la force de la Merteuil dans son combat déclaré à une société phallocrate. Son monologue — où, guindée dans son seul panier (sans la robe au-dessus), Dominique Blanc incarne sa trajectoire vers une indépendance libertine — est lumineux. A l'inverse, Valmont paraît ici comme un fanfaron trop sûr de son mâle pouvoir, un personnage manquant de mystère et d'ambiguïté. Bien dommage, car l'acteur formé par Patrice Chéreau se fait rare sur scène.
Dans Les Liaisons dangereuses, la guerre des sexes est ouverte comme celle des vieux amants contre les jeunes apprentis pleins d'illusions. Et c'est peut-être cette deuxième guerre — des générations — sur toile de fond politique où libertinage signifie aussi liberté de penser sans chape religieuse que Christine Letailleur excelle à montrer. Car derrière les intrigants se contrôlant l'un l'autre par lettres-­récits interposés se débattent avec maladresse les jeunes amants. Cécile de Volanges et le chevalier Danceny sont les proies des premiers. Dans toutes les coursives que recèle le beau décor (surtout quand il est bien éclairé), la distribution fait admirablement entendre cela. Face à la jeune Fanny Blondeau, vive et sensible, courant, criant en personnage de fofolle ingénue, Manuel Garcie-Kilian finit par danser un menuet drôlissime. Il était autrefois élève de l'école du Théâtre national de Bretagne, à Rennes, où le spectacle vient d'être créé à l'occasion du festival Mettre en scène. — Emmanuelle Bouchez


 
| 2h15 | Du 18 au 21 novembre à Brest (29), tél. : 02 98 33 70 70 ; du 1er au 3 décembre à La Rochelle (17), tél. : 05 46 51 54 02 ; les 14 et 15 à Tarbes (65), tél. : 05 62 90 08 55...
Emmanuelle Bouchez


Bien à vous.

« Les Liaisons dangereuses » ou la grande guerre des sexes

Philippe Chevilley  


Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos Brigitte Enguerand  
Roman épistolaire parmi les plus célèbres de la littérature française « Les Liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos (1782) n’en est pas à sa première adaptation : cinéma, manga… et théâtre. D’emblée, celle que nous propose Christine Letailleur au Théâtre national de Bretagne frappe par sa clarté, son rythme enlevé digne d’un film de cape et d’épée. Et par sa volonté de dire tout à la fois les passions libertines, la belle langue du XVIII^e siècle et la lutte des femmes qui perdure au XXI^e. L’adaptatrice-metteure en scène alterne les répliques nerveuses et les longs monologues, en gardant comme fil rouge les lettres que s’échangent les protagonistes de cette joute des sexes.
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Superbe Dominique Blanc

Concentrée sur les personnages, leurs gestes et leurs mots, elle les fait évoluer dans un décor presque fantôme – une forme de maison à étages aux grandes portes dérobées – éclairé d’aubes pâles, de soleils cuivrés ou d’une simple bougie. Semblant sortis du livre fraîchement écrit, ces derniers portent des vêtements de soie colorée, reflet de leur coquetterie, de leur humeur érotique ou belliqueuse. Les deux marionnettistes de l’amour, Merteuil et Valmont s’en donnent à cœur joie, programmant dans l’ombre le débauchage de la jeune pucelle Cécile de Volange, de la prude présidente de Tourvel ou du naïf chevalier Danceny. Le projet n’aurait pas vu le jour si Christine Letailleur n’avait pas trouvé « sa » Merteuil et « son » Valmont. Dominique Blanc est superbe de bout en bout, aussi sensuelle que cruelle, elle est cette marquise révolutionnaire, farouchement attachée à sa liberté, qui place son combat pour l’égalité au-dessus de l’amour. Chacune de ses entrées en scène est une apparition. Vincent Pérez est un fringant vicomte, un «superlibertin » éclatant d’une jeunesse éternelle, séducteur grisé par son abus d’alcôve. Trop maniéré au début, il gagne en épaisseur et en intériorité au fil de la représentation. Le couple est bouleversant quand il se déclare la guerre à la fin. Le reste de la distribution est dominé par la composition élégante et sobre de Julie Duchaussoy (Mme de Tourvel).



Seul point faible de ce spectacle de haute tenue : les moments de comédie – à la Marivaux – apparaissent un peu forcés. Mais la progression dramatique est parfaitement maîtrisée, jusqu’à cette implosion de l’amour, où les héros se disloquent et avec leurs passions. Sans paix des braves, la guerre des sexes ne peut mener qu’au néant.



LES LIAISONS DANGEREUSES de Choderlos de Laclos. Adaptation et mise en scène : Christine Letailleur. A Rennes, TNB (02 99 31 12 31), jusqu’au 14 novembre. Brest (18 au 20 novembre) .La Rochelle (1^erau 3 décembre). Tarbes (14 et 16 décembre). Puis Strasbourg, Sète, Le Mans (en janvier), etc. Paris, Théâtre de la Ville (du 2 au 18 mars)

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/week-end/culture/spectacles/021453901064-les-liaisons-dangereuses-ou-la-grande-guerre-des-sexes-1172368.php?WcFMMrWxw7Hm20EE.99


Bien à vous.

Des liaisons trop peu dangereuses, à Rennes

LE MONDE


Les Liaisons dangereuses les réunissent dans les rôles de Merteuil et Valmont, alors qu’ils sont tous les deux à un tournant de leur histoire. En mars 2016, Dominique Blanc va entrer à la Comédie-Française, une nouvelle étape dans sa longue et belle carrière. Vincent Pérez, lui, veut réinventer la sienne, après des années où il dit s’être « perdu dans des spirales ». Il termine un film qu’il a réalisé d’après Seul dans Berlin, le roman d’Hans Fallada, et il renoue avec le théâtre, qu’il avait délaissé depuis ses débuts, aux Amandiers, à Naterre, à la fin des années 1980.
C’est grâce à Dominique Blanc que Vincent Pérez opère ce retour sur scène. Les deux comédiens sont amis, et ils ont eu pour connaissance commune Patrice Chéreau, avec qui ils ont travaillé ensemble et séparément : ensemble au cinéma, dans La Reine Margot et Ceux qui m’aiment prendront le train ; séparément au théâtre, où Dominique Blanc fut Phèdre sous sa direction, et Vincent Pérez Laërte dans Hamlet. Quand la metteuse en scène Christine Letailleur a demandé à Dominique Blanc de jouer Merteuil, elle a proposé que Vincent Pérez soit Valmont.
Les voilà donc à Rennes, où Les Liaisons dangereuses font l’ouverture du festival Mettre en scène, avant de partir pour une longue tournée. Enfermés dans un décor aux allures de forteresse : de hauts murs troués d’ouvertures, et un escalier en fer desservant...


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/scenes/article/2015/11/07/des-liaisons-trop-peu-dangereuses-a-rennes_4804991_1654999.html#OsBr8tkPwACasCJv.99


Bien à vous.

LES LIAISONS
DANGEREUSES
de Pierre Choderlos de Laclos
Adaptation et mise en scène :[Christine Letailleur
Production déléguée : Théâtre National de Bretagne– Rennes
Coproduction : Fabrik Théâtre / Compagnie Christine Letailleur ;
Théâtre de la Ville – Paris ; Théâtre National de Strasbourg ;
Théâtre de Liège   Création du 3 au 14 novembre 2015

Avec :
Dominique Blanc           :  Mme de Merteuil
Vincent Pérez               :   Valmont
Fanny Blondeau             :  Cécile de Volanges
Stéphanie Cosserat        : Une courtisane
Julie Duchaussoy           :  Mme de Tourvel
Manuel Garcie-Kilian      :   Danceny
Karen Rencurel             :   Mme de Rosemonde
Véronique Willemaers    :   Mme de Volanges
(Distribution en cours)
Scénographie : Emmanuel Clolus, Christine Letailleur
Lumières : Philippe Berthomé, en collaboration avec Stéphane Colin
Costumes : Moidele Bickel (qui avait signé les costumes de la Reine Margot de Patrice Chéreau   )

Son : Manu Léonard
Assistante à la mise en scène : Stéphanie Cosserat
Christine Letailleur est artiste associée au Théâtre National de Bretagne – Rennes.
Production déléguée : Théâtre National de Bretagne– Rennes
Coproduction : Fabrik Théâtre / Compagnie Christine Letailleur ; Théâtre de la Ville –Paris ; Théâtre National de Strasbourg ; Théâtre de Liège
Durée estimée : 2h45 environ
Création au TNB-Rennes du 3 au 14 novembre 2015



LES LIAISONS DANGEREUSES,
« UNE MACHINE DE GUERRE »
Laclos commença à rédiger, vers 1778/79, son roman épistolaire qu’il intitula Le Danger des Liaisons mais qu’il publia, en 1782, sous le titre Les Liaisons dangereuses. Le roman fit scandale et provoqua un flot de commentaires. La marquise de Conflans aurait confié
« avoir fermé sa porte à Laclos », avouant « qu’elle aurait eu peur de se retrouver avec
lui » ! Restif de la Bretonne note, avec ironie, que « des jeunes filles se prostituèrent pour obtenir une copie des Liaisons dangereuses après que leurs mères leur avaient interdit de lire le livre ». On a dit même que la reine, Marie-Antoinette, en gardait un exemplaire dans une reliure rendue discrètement anonyme...
Après la mort de Laclos, le roman tombe dans l’oubli. Au XIXème siècle, il est rejeté par la critique littéraire qui le regarde comme « une œuvre licencieuse mineure, produit douteux de la culture agonisante de l’Ancien régime». A plusieurs reprises, il est poursuivi pour son immoralité, interdit à la vente et à la diffusion. Même si Baudelaire, Nerval, les Goncourt se repenchent sur le roman, il faudra attendre les années 1930 pour que Malraux et Gide le fassent redécouvrir. Aujourd’hui, l’ouvrage, qui retrace les manipulations et les perfidies de deux aristocrates libertins, est considéré comme une œuvre majeure de la littérature française du XVIIIème siècle – l’un des plus grands et l’un des meilleurs romans de la langue française selon André Gide – il est largement diffusé et paraît à la Pléiade en 1979.
« Après avoir fait plusieurs adaptations dont, pour les plus récentes, Hinkemann d’Ernst Toller, Phèdre de Ritsos, Le Banquet de Platon, j’ai choisi de revenir au XVIIIème siècle avec Laclos.  J’avais déjà, en 2006, adapté et mis en scène La Philosophie dans le Boudoir de Sade. Le XVIIIème siècle est un siècle que j’affectionne tout particulièrement et l’œuvre de Laclos me passionne en son entièreté : son esprit, son intelligence, sa fable, sa construction, son intrigue, ses personnages mais aussi sa langue, son style, son rythme narratif. D’autre part, la cérébralité du texte me plaît beaucoup. Chez le libertin, tout est dans l’art du langage ; Valmont et Merteuil se plaisent à se mettre en scène dans
 leurs récits, à se raconter leurs exploits, à s’écouter. Mise à part, quelques scènes libertines de Valmont, l’œuvre fait montre d’un érotisme de tête... Enfin, l’épistolaire est un matériau sur lequel j’avais envie de me pencher en tant qu’adaptatrice. Laclos a conçu un roman brillant et fort : il a fait de la séduction et de l’amour, un champ de bataille. Le roman est toujours d’actualité et soulève encore, aujourd’hui, des questionnements sur le rapport amoureux ; au fond, les dilemmes de l’amour que révèlent les personnages de Laclos restent encore les mêmes aujourd’hui...    Comme le dit très justement Biancamaria Fontana : ̋ Le roman est construit sur un modèle géométrique, sobre, classique, concis, époustouflant par son rythme narratif qui ne laisse aucun espace vide. Certains l’ont comparé à une forteresse, à un iceberg, à une machine de guerre. ̋ »

Y a-t-il des dates de représentations à Paris ?!! :n,,;::::!!!:

En lis-tu? àè-è\': 


Bien à vous.

Oui Majesté, dans ton post de 12h28 : du 2 au 18 mars au Théâtre de la Ville (c'est le pendant de celui du Châtelet, non ?).

http://www.theatredelaville-paris.com/spectacle-lesliaisonsdangereuseschristineletailleur-914

Au temps pour moi...  
Merci Momo... en plus je l'avais effectivement lu tout à l'heure...


Bien à vous.

J'en prends bonne note . Merci, cher Momo !

Dominique Blanc : " Aller au plus profond de la noirceur m'a enchantée. "

Merteuil : " L'amour est, comme la médecine, l'art d'aider la nature."

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La marquise de Créquy a sa petite idée sur les Liaisons dangereuses et sur leur auteur :

Vu à Londres il y a quelques années une pièce de théâtre intéressante.

Le film de Frears est d'ailleurs basé sur la pièce plus que sur le livre, non ?

Le film de Stephen Frears met en scène la pièce de Christopher Hampton elle-même tirée du roman épistolaire de Choderlos de Laclos.
Est-ce de cette même adaptation théâtrale qu'il s'agit-là?


Bien à vous.

J'imagine que c'est cette dernière pièce que Clio a vu à Londres, mais ici, il semble s'agir, tu as raison, de l'adaptation de la metteuse en scène, Christine Letailleur. Une création apparement.

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Trouvée par hasard sur le net , voici une illustration de l'oeuvre de Laclos,
Lettre 10 :

« O mon ami, lui dis-je… Pardonne-moi mes torts, je veux les expier à force d’amour »