Le transfert de Marie-Antoinette à la Conciergerie
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LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: L'histoire de Marie-Antoinette :: Marie-Antoinette et la Révolution française
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Le transfert de Marie-Antoinette à la Conciergerie
Le 12 novembre prochain, sera mis en vente aux enchères, à Drouot Paris :
Jacques-Augustin PAJOU (Paris 1766-1828)
Marie Antoinette, emmenée de la prison du Temple pour être transférée à la Conciergerie.
Descriptif de l'expert :
Papier marouflé sur toile 31 x 40 cm. Signée et datée en bas à droite: Pajou/1818
Au revers, sur le cadre et le châssis, fragments de deux étiquettes: CAJOU (Paris)/3. Die letzten Momente der Maria Antoinette (...) grossen Gemälde (...) Historique: Inventaire après décès, n° 23: Pajou. Intérieur de prison.
La Reine Marie-Antoinette séparée de ses enfants, Esquisse, 15 fr.
Tableau en rapport: Jacques-Auguste Pajou, Les adieux de Marie-Antoinette (toile, 50 x 70 cm, Paris, musée de la Conciergerie, Chapelle expiatoire de Marie-Antoinette). Ce tableau a été exposé au Salon de 1817.
Nous remercions Philippe Nusbaumer qui a confirmé l'authenticité du tableau après examen de l'oeuvre.
CE LOT EST PRÉSENTÉ PAR LA MAISON DE VENTES DAGUERRE EXPERTISE : CABINET TURQUIN
Lire ici la fiche Wiki du peintre, fils du célèbre sculpteur Augustin Pajou : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-Augustin-Catherine_Pajou
Jacques-Augustin PAJOU (Paris 1766-1828)
Marie Antoinette, emmenée de la prison du Temple pour être transférée à la Conciergerie.
Descriptif de l'expert :
Papier marouflé sur toile 31 x 40 cm. Signée et datée en bas à droite: Pajou/1818
Au revers, sur le cadre et le châssis, fragments de deux étiquettes: CAJOU (Paris)/3. Die letzten Momente der Maria Antoinette (...) grossen Gemälde (...) Historique: Inventaire après décès, n° 23: Pajou. Intérieur de prison.
La Reine Marie-Antoinette séparée de ses enfants, Esquisse, 15 fr.
Tableau en rapport: Jacques-Auguste Pajou, Les adieux de Marie-Antoinette (toile, 50 x 70 cm, Paris, musée de la Conciergerie, Chapelle expiatoire de Marie-Antoinette). Ce tableau a été exposé au Salon de 1817.
Nous remercions Philippe Nusbaumer qui a confirmé l'authenticité du tableau après examen de l'oeuvre.
CE LOT EST PRÉSENTÉ PAR LA MAISON DE VENTES DAGUERRE EXPERTISE : CABINET TURQUIN
Lire ici la fiche Wiki du peintre, fils du célèbre sculpteur Augustin Pajou : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-Augustin-Catherine_Pajou
Dernière édition par La nuit, la neige le Mar 27 Nov 2018, 17:08, édité 3 fois
La nuit, la neige- Messages : 18137
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le transfert de Marie-Antoinette à la Conciergerie
La nuit, la neige a écrit:Mon Dieu ! Comme cette section dy Forum est vide... boudoi29 àè-è\':
Il va falloir bouturer, bouturer !
Tes désirs sont des ordres ...
Voici :
Kiki a écrit :
Marie-Thérèse écrit dans son Journal le soir du 2 août, jour de son transfert entre le Temple et la Conciergerie :
" Pendant qu'elle fit le paquet de ses vêtements, les municipaux ne la quittèrent point ; elle fut même obligée de s'habiller devant eux. Ils lui demandèrent ses poches (alors éléments distincts des robes) qu'elle donna ; ils les fouillèrent et prirent tout ce qu'il y avait dedans, quoique cela ne fut pas du tout important. Ils en firent un paquet qu'ils dirent qu'ils enverraient au Tribunal Révolutionnaire, où il serait ouvert devant elle. Ils ne lui laissèrent qu'un mouchoir et un flacon, dans la crainte qu'elle ne se trouvât mal..."
D'après la relation du procès, ces pièces ont été prises à la reine lorsqu'elle a été transférée du temple à la conciergerie :
Représentation faite d’un petit paquet à l'accusée, elle déclare le reconnaître pour être le même sur lequel elle a apposé son cachet, lorsqu'elle a été transférée du Temple à la Conciergerie.
On fait ouverture du paquet ; le greffier en fait l'inventaire, et nomme successivement les objets qu’il contient.
http://www.royet.org/nea1789-1794/archives/journal_tribunaux/tr_proces_marie-antoinette.htm
_Marie-Antoinette du Temple à la Conciergerie par François Macéde Lépinay et Jacques Charles, Collection Guides Historia Tallandier,1989
_Les Soixante derniers jours de Marie-Antoinette par Pierre Sipriot, chez Plon, 1993
Marie-Antoinette :
Vous êtes formidables !!!!! j'avais abandonné mes recherches dans les ouvrages consacrés à la Conciergerie, me réservant de relire à tête "coupée", non reposée l'intégralité du procès et j'avais prévu cette semaine de reprendre les ouvrages sur le séjour au TEMPLE.
Je vais me reposer car vous avez résolu le mystère "ON A FAIT LES POCHES DE LA REINE AVANT SON DÉPART DU TEMPLE" mais et je suis vraiment l'empêcheur de tourner en rond, elle ne garde qu'un flacon de sel et un mouchoir, la petite montre venant de sa mère...... si nous lisons l'état des poches lors de l'affaire de l'œillet - bijoux, cachets et autres objets curieux, comment sont-il venus entre ses mains...sans oublier d'évoquer l'éventail remis à son Avocat qui se trouve dans le bureau du BÂTONNIER ?????? bizarre !!!!! encore une nouvelle enquête...je m'amuse !!!!!!!!!!
Bonne soirée MARIE ANTOINETTE
Marie-Antoinette :
copie de la saisie du 9 septembre des poches de la Reine sur ordre du Comité de sûreté générale :
"nous nous sommes transportés à la chambre occupée par la veuve CAPET, où étant, l'avons sommée de nous remettre ses bagues et bijoux ; ce qu'elle a fait à l'instant.
Ils consistent en un anneau d'or, une bague en or, une autre à pierre et à talisman, une à pivot émaillée, une autre en forme de petit collier,une montre à répétition, plusieurs cachets en or dont un porte-légende, l'Amour et la Fidélité, une médaille en or avec sa chaîne d'or ;
tous ces objets contenant divers chiffres, lettres et hiéroglyphes".
Lors du départ du Temple on lui aurait laissé un mouchoir, un flacon de sel sans oublier la petite montre en acier qui lui avait été offert par sa mère lors de son départ de VIENNE et à la lecture de cette saisie, je trouve que les poches avaient été mal faites !!!!!! elle avait une véritable bimbeloterie, et on rapporte qu'elle s'en amusait en faisant tourner ses bagues régulièrement .... tout de même 4 bagues + celle en forme de petit collier !!!!!! sans oublier les cachets !!!!!!!!
La Reine est partie avec un petit paquet de linge et quelques jours plus tard elle a reçu un envoi d'Élisabeth .....Une autre curiosité - les historiens écrivent que la Reine n'avait pas beaucoup de linge, chaussures et robes !!!!! voici L'inventaire officiel après son départ le 16 Octobre
"du 26 du premier mois de l'an second de la République est comparu le citoyen BAULT, concierge de la maison de justice accompagné de deux gendarmes et de l'officier de poste, lequel a déclaré que, dans la chambre ci-devant occupée par la Veuve de LOUIS-CAPET, décédé le jour d'hier, se sont trouvés les effets dont la description suit :
15 chemises de toile fine garnies de petites dentelles
1 mantelet de raz de Saint Maur
2 déshabillés complets de pareille étoffe
1 fourreau à collet et 1 jupon de bazin des Indes à grandes rayures
2 jupons de bazin à petites raies
5 corsets de toile fine
1 robbe à collet en toile de coton (orthographe d'époque)
1 camisole aussi de pareille toile
AN carton W. 534 - registre II il n'est pas fait mention des chaussures !!!!!!!! (recherches à faire pour trouver une autre copie de ce document)
Prix pour la biere de la Veuve CAPET.... 7 francs
je continue la fouine dans les bouquins !!!!!!!
Bonne journée MARIE ANTOINETTE àè-è\':
Fleurdelys :
Dans le livre d`Imbert de Saint Armand «La dernière année de Marie Antoinette
dans la page 194 et 195 un prisonnier du nom de Comte Beugnot de nous a laissé des mémoires. Il était prisonnier a la conciergerie en 1793 a même temps que la reine. il donne un récit sur l`état et la situation de cette prison.
« C`est un prisonnier, c`est encore le comte Beugnot qui vous le dit : " vous qui n`avez pas passé une nuit là, au millieu de cet assemblage d`horreurs, vous n`avez rien éprouvé, rien souffert au monde. "
« Heure un heur, l`airain mesure par des sons tardifs cette éternité de souffrances; les chiens répondent à l`horloge par de longs des hurlements. Des guichetiers chargés d`actes d`accusation les colportent de chambre en chambre trés avant la nuit ; les prisonniers, arrachés au sommeil par ces voix épouvantables et insultantes, croient que c`est leur arrêt. ainsi, c`est mandats de mort, destinés à soixante ou quatre-vingts personnes sont distribués chaque jour de manière à en effrayer six cents. »
mémoires d`un détenu par le baron Riouff»
Pour peu que la rivière soit haute, le bas de la conciergerie qui en est trés voisine se trouve à son niveau; alors l`humidité règne partout , l`eau ruisselle le long des murs ; une fumée épaisse qu`infectent l`haleine, l`état de misère, les maux dégoutant des habitants de ces lieux, vous affecte la vue et vous fait soulevé le coeur. il semble qu`on eût choisi à dessein l`endroit où ces horreurs sont surtout amoncelées pour faire le séjour de la malheureuse Marie Antoinette»
Essais historiques de Beaulieu
Fleurdelys :
Un autre récit qui vient du même livre d`Imbert de Saint Armand page : 202 et 203.
«Il y avait dans la prison un voleur nommé Barassin, qui avait obtenu les bonnes grâces du concierge, par les services qui lui avait rendus, en se chargeant vonlontairement des travaux les plus pénibles et les plus dégoûtants de l`intérieur des cachots. Détenus auxiliaire du portier, il s`occupait de la surveillance. « Je n`ai jamais vu, a dit Beaulieu, de figure plus farouche que celle de Barassin.»
Je l`interrogerai un jour sur la manière dont on traitait la reine.
- Comme les autre, me répondit-il.
-Comment ! comme les autres ?
- Oui ! comme les autres; cela ne peut surprendre que les aristocrates.
-Et que faisait la reine dans sa triste chambre ? -
- La Capet ! va, elle était bien penaude;elle raccommodait ses chausses, pour ne pas marcher sur la chrétienté.
- Comment était-elle couché ?
- Dans un lit de sangle comme toi,
- Comment est-elle vêtue ?
-Elle avait une robe noire, qui est toute déchirée; elle avait l`air d`" une margot "
Voilà à quel état était réduite notre reine .
Fleurdelys
la nuit, la neige :
Zou ! Petite galerie de quelques représentations Conciergerie :
Kiki :
Il est difficile de se faire une idée exacte de la vie de Marie Antoinette à la conciergerie, je trouve. Elle a eu Rosalie pour s'occuper d'elle, et une certaine Marie Harel.
Quelles étaient les tâches de Rosalie, au juste ? Shocked Elle s'occupait des repas de la reine, donc les cuisinait, apportait et débarrassait. Mais elle avait aussi de petites attentions en plus, comme faire chauffer les vêtements de nuit de Marie Antoinette, lui ménager des linges de femme pour ses hémorragies, nettoyer la boue rouge de ses chaussures, laver les taches de sang sur ses robes, faire brûler de l'encens quand on changeait la chaise...
Marie Harel faisait le ménage. Mais elle espionnait, aussi, et restait toute la journée de faction. La reine ne pouvait pas l'encadrer.
Donc, fleurdelys... D'une part, c'est normal que Marie Antoinette ait eu quelqu'un pour lui apporter ses repas. Il y en avait au temple aussi, des gens préposés à cette tâche.
En ce qui concerne le ménage proprement dit, il a dû y être pourvu jusqu'après la mort du roi. Mais, plus tard, les conditions de détention se sont durcies, et la petite Madame Royale écrit qu'elle et Elisabeth nettoient. Pas Marie Antoinette, parce qu'elle est trop faible.
L'était-elle encore à son entrée à la conciergerie ? Sans doute, puisqu'elle souffrait de ces pertes de sang qui avaient nécessité la location d'un bidet.
Majesté :
Voici une gravure d'époque de la cellule de Marie-Antoinette à la Conciergerie :
On ne peut reconnaître la cellule représentée par rapport à la cellule que l'on visite actuellement pour la simple et bonne raison que la moitié de la cellule de Marie-Antoinette est devenue la chapelle et qu'on a donc pris sur une autre cellule pour recréer celle d'aujourd'huy
Bien à vous.
M. de Talaru :
En ce qui concerne la cellule reconstituée avec le mannequin de Marie-Antoinette effectivement, mais la petite cellule qu'on peut visiter dans la Chapelle justement, celle dont la fenêtre donne vers la fontaine où des femmes insultaient Marie-Antoinette, ce n'est pas la cellule d'origine?
C'est cette partie de la cellule qui est représentée :
Elle fait grande la cellule sur cette gravure!
Cette seconde cellule, était en fait l'apothicairerie. Elle à été remaniée sous la restauration pour en faire une chapelle. La première cellule de la Reine était occupée avant pour le général Custine, et c'est celle ou est le mannequin de cire, avec le papier peint fleurdelisé.
Mr de Talaru
Majesté :
Elle était surtout plus profonde, à l'époque , qu'aujourd'huy car elle comptait aussi la partie réservée aux gendarmes ; voici la profondeur actuelle :
Bien à vous.
d'Eon :
Permettez-moi d'apporter ma pierre à l'édifice.
La première cellule de Marie-Antoinette se trouvait bien dans celle occupée précédemment par le général Custine. Il s'agissait de l'ancienne chambre du Conseil. Cette cellule qui vit se jouer l'affaire de l'oeillet est plus près de l'ancienne entrée de la prison.
Lorsque vous êtes dans la cour des femmes, laissez la chapelle derrière vous et faites face au côté des douze, la fenêtre de cette cellule se trouve être la première (ou la seconde)à droite de la grille des douze. Actuellement, ce sont des bureaux qui se trouvent à cet endroit.
Quant à la seconde cellule, la partie qu'occuppaient les gendarmes se trouve être celle où le mannequin est actuellement placé. La partie où séjournait la Reine est celle où se situe l'autel et les tableaux.
Afin de vous apporter une réponse, je citerai un extrait du site des monuments nationaux :
Premier palais royal parisien, le Palais de la Cité connut son heure de gloire avec les rois capétiens. Au XIVe siècle notamment, Philippe le Bel l’agrandit et le transforma pour en faire la plus somptueuse demeure royale de l’Europe médiévale, symbole de sa puissance. De cette époque, la Conciergerie conserve la salle des gardes, l’immense salle des gens d’armes et les cuisines édifiées par Jean le Bon.A partir du règne de Charles V, à la fin du XIVe siècle, les rois de France délaissèrent le Palais de la Cité pour s’installer au Louvre et à Vincennes. Ils confièrent alors la garde du vieux palais au Concierge, personnage doté d’importants pouvoirs de police et de justice. Les parties basses de l’édifice ainsi érigé au rang de cour de justice furent transformées en prison. Cette fonction carcérale s’affirma au fil des siècles et, en 1793, la Conciergerie devint le principal lieu de détention de la justice révolutionnaire.
d'eon
duc de Berry :
Inventaire des effets laissés par Marie-Antoinette à la Conciergerie après son décès
A.N. W//534, registre 11
Du 26 du premier mois de l’an second de la République (26 vendémiaire an II, 17 octobre 1793) est comparu le citoyen Bault, concierge de la maison de justice de la Conciergerie accompagné de deux gendarmes et de l’officier du poste, lequel a déclaré que dans que dans la chambre ci-devant occupée par la veuve de Louis Capet, décédée le jour d’hier, se sont trouvés les effets dont la description suit :
- Quinze chemises de toile fine, garnies de petite dentelle.
- Un mantelet de raz de Saint Maur.
- Deux déshabillés complets, de pareille étoffe.
- Un fourreau à collet et un jupon de bazin des Indes à grandes rayes (rayures).
- Deux jupons de bazin à petites rayes.
- Cinq corsets de toile fine.
- Une robe à collet en toile de coton.
- Une camisole aussi à collet de pareille toile.
Linge à blanchir
- Quatre mouchoirs de baptiste.
- Un jupon de bazin à petites rayes.
- Une serviette.
- Et onze chauffoirs*.
--------------------------------
- Une paire de draps.
- Deux paires de poches de coton.
- Une serviette de toile de coton grise.
- Vingt-quatre mouchoirs de baptiste.
- Six fichus de linon.
- Une coiffe de linon.
- Deux paires de bas de soie noire.
- Une paire de gant aussi de soie noire.
- Deux paires de bas de filoselle** noire.
- Une paire de bas de fil.
- Une paire de chausson.
- Une ceinture de crêpe.
- Un petit fichu de mousseline.
- Un autre fichu de crêpe.
- Six serviettes de baptiste.
- Une grosse éponge fine.
- Une petite corbeille d’osier.
- Une paire de souliers neufs.
- Et deux paires de vieux.
- Une boite à poudre de bois.
- Et une houppe de cygne.
- Une petite boite de pommade, de fer blanc.
Lesquels effets, il a, à l’instant déposé au greffe et a requit acte du dit dépôt à lui octroyé et a signé avec nous greffier.
Soussigné Bault N.J. Sorbrun
* Chauffoir Au XVIIIe siècle : linge pour les menstrues.
** Filoselle : soie grossière.
Kiki :
Merci , cher Berry!
Le seul carton fourni par Rosalie Lamorlière aura-t-il suffi pour contenir tous ces effets?
Une armoire n'aurait assurément pas été de trop...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le transfert de Marie-Antoinette à la Conciergerie
Mme de Sabran a écrit:
Tes désirs sont des ordres ...
Merci, merci...
Mais il ne s'agissait nullement d'ordres ! :
Attention, précisons que nous sommes ici dans la section iconographique seulement.
La nuit, la neige- Messages : 18137
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le transfert de Marie-Antoinette à la Conciergerie
La nuit, la neige a écrit:
Mais il ne s'agissait nullement d'ordres ! :
Eh bien, en matière de bouturage, tu n'as qu'à émettre des désirs .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
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