Ventes aux enchères - Année 2014

Sotheby's 2014.


   The Courts of Europe

30 janvier 2014 | New York

Jean-Baptiste Greuze
TOURNUS 1725 - 1805 PARIS
PORTRAIT OF THE COMTESSE DU BARRY


Provenance
M. Mainnemare collection, Paris;
His estate sale, Paris, 18 rue de Courcelles, 21 February 1843, lot 15;
John Allan Rolls, 1st Baron Llangattock (1837-1912), The Hendre, Monmouth, Monmouthshire;
Thence by descent to John MacLean Rolls, 2nd Baron Llangattock (1870-1916);
His estate sale, London, Christie's, 28 November 1958, lot 27.




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Estimation 80 000 - 120 000 $

Même vente

Jean-Honoré Fragonard
GRASSE 1732 - 1806 PARIS
A YOUNG WOMAN ADORNING HER POWDERED COIFFURE WITH A SPRAY OF ROSES; A YOUNG BLONDE WOMAN WITH A GARLAND OF ROSES AROUND HER NECK


Provenance
Possibly Rothschild Collections, France(?)
Exposition
New York, Wildenstein, The Arts of France from François Ier to Napoléon Ier: A Centennial Celebration of Wildenstein's Presence in New York, 26 October 2005 - 6 January 2006, no. 102.



Estimation : 1.000.000 - 1.500.000 $

François Boucher
PARIS 1703 - 1770
THE SLEEP OF VENUS

Provenance
Jeanne-Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour (1721-1764), possibly in the King's bedroom in the Château de Bellevue, and in the postmortem inventory of her possessions with its pendant listed as in the vestibule on the ground floor of the Hôtel d'Evreux, also known as the Hôtel de Pompadour, the present-day Elysée Palace;
Her brother, Abel-François Poisson, Monsieur de Marigny and Marquis de Menars (1727-1781);
His deceased sale, Paris, 18 March 1782, lot 22 (with its pendant) for 300 livres, where according to an annotated catalogue it was acquired by M. Desmaisons for M. de Menou;
Presumably Jacques-François de Menou, Baron de Boussay (1750-1810), also known as Abdullah Jacques-François after his conversion to Islam;
Marquis Guy de Blaisel, Paris;
His deceased sale, Paris, Hôtel Drouot, 16-17 March 1870, lot 19, where unsold;
His deceased sale, London, Christie's, 17-18 May 1872, lot 90, where unsold;
His deceased sale sale, Paris, Hôtel Drouot, 9-10 May 1873, lot 109;
Eugène Secrétan (1836-1899);
His sale, Paris, Galerie Sedelmeyer, 1 July 1889, lot 103;
Mona Travis Strader (1897-1983), later Mona Williams and subsequently Countess Mona Von Bismarck, New York and Paris;
By order of whose Estate sold, Monaco, Sotheby's, 29 November 1986, lot 353;
With Sayn-Wittgenstein Fine Art, New York;
Private collection;
Anonymous sale, Monaco, Sotheby's, 5 December 1991, lot 182;
Purchased just after the sale by the present collectors.



Estimation : 2.000.000 - 3.000.000 $

Il me perturbe de te voir en femme ...  : 

Mme de Sabran a écrit:
Il me perturbe de te voir en femme ...   : 

 : ,


Changement d'année, changement de sexe. J'ai fait mon boulot de mâle.

... petit farceur, va !   

le comte axel a écrit:

Mme de Sabran a écrit:
Il me perturbe de te voir en femme ...   : 

 : ,


Changement d'année, changement de sexe. J'ai fait mon boulot de mâle.

Tu permets que je puisse avoir encore besoin de toi en tant que mâle ? : 

Mme de Sabran a écrit:
...  petit farceur, va !    

Nan, je suis sérieux   

... taratata !

Le Comte sait très bien que je n'ai aucune attirance pour les dames. :
Aussi magnifique soit la belle Jeanne ! boudoi30 

Reinette a écrit:Le Comte sait très bien que je n'ai aucune attirance pour les dames. :

Roooo

Aaaaahhh par contre, Dave, je l'adore !!! :c^ùù!!: 

Reinette a écrit:Le Comte sait très bien que je n'ai aucune attirance pour les dames. :
 

Ah la la ! ...  comment allez-vous vous en sortir, mes pauvres chéris ?     

Le portrait de Greuze est magnifique. On la croirait vivante.   
Elle a un air un peu désabusé, blasé.

... lointain .
Elle pose pour ce portrait, mais ses pensées sont ailleurs .

Très beau portrait, intime et sensuel !   

Ils ne rigolent pas chez Sotheby’s ce 30 janvier prochain : de très beaux tableaux sont proposés à la vente.
Les estimations bastonnent... 

Reinette a écrit:

le comte axel a écrit:

Mme de Sabran a écrit:
Il me perturbe de te voir en femme ...   : 

 : ,


Changement d'année, changement de sexe. J'ai fait mon boulot de mâle.

Tu permets que je puisse avoir encore besoin de toi en tant que mâle ? : 

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Les derniers effets de Napoléon seront vendus aux enchères en mars (2014)


Chemise, manches, bandelettes: d'humbles effets personnels de Napoléon 1er, portés par l'empereur déchu la veille et le jour de sa mort et rassemblés pieusement par son fidèle valet, seront dispersés aux enchères au printemps par la maison Osenat.

Une mèche de cheveux de Napoléon, coupée le 5 mai 1821, le jour de sa mort, est également proposée à la vente.

"C'est très émouvant. On touche à la vie de l'Empereur, dans ce qu'elle a de plus personnel, de plus intime", déclare à l'AFP le commissaire-priseur Jean-Pierre Osenat, qui organise cette vente le 23 mars à Fontainebleau (Seine-et-Marne).

Ces souvenirs de la captivité de Napoléon dans l'île britannique de Sainte-Hélène et de sa mort ont été ramenés par Achille Archambault (1792-1858). Entré au service de l'Empereur pour s'occuper de ses chevaux, il l'accompagne en exil et devient sur la fin son valet de pied.

Les objets présentés à la vente sont restés chez des descendants d'Archambault jusqu'à ce jour. "Ils étaient conservés dans un coffre en bois dans un petit village corse", raconte Me Osenat.

Lot phare de la vente, une chemise en batiste portée par Napoléon le 4 mai 1821 à la veille de sa mort est estimée 30.000 à 40.000 euros. Elle porte le célèbre chiffre "N" de Napoléon.

La maison d'enchères souligne qu'elle comporte des rousseurs, de petites reprises et "une large trace probablement de sudation à la pointe de l'encolure, pouvant prouver la souffrance du malade".

La chemise est accompagnée d'un billet manuscrit de la main d'Archambault, cousu sur un côté.

"C'est sans doute la chemise que Napoléon portait lorsqu'il prononça ses derniers mots +France! Mon fils! Armée!+ dans la nuit du 4 au 5 mai", selon Me Osenat.

Les manches de la dernière chemise que portait Napoléon au moment de sa mort le 5 mai en fin d'après-midi sont également proposées aux enchères. Accompagnées d'un billet manuscrit d'Archambault, elles sont estimées entre 8.000 et 10.000 euros.

La mèche de cheveux est estimée 3.000 à 5.000 euros. "Il y a tout l'ADN de Napoléon dedans. Pour les gens qui se demandent si il a été empoisonné ou pas, cela peut être très intéressant", estime Me Osenat.

Archambault: le seul qui pleure

Archambault a également conservé des bandelettes en batiste, sans doute découpées dans une chemise. Elles "ont servi à l'empereur pendant sa maladie à Sainte-Hélène", consigne soigneusement Archambault.

A partir du 21 avril 1821, l'ex-empereur éprouve des fièvres continuelles, qui déclenchent sueurs, hallucinations et délires. Le 3 mai les symptômes s'aggravent. Ces compresses "ont pu servir pour éponger ou rafraîchir le front" de Napoléon, note la maison d'enchères, spécialiste des ventes de souvenirs historiques autour de l'Empire.

Larges de 16 centimètres, elles sont estimées 3.000 à 5.000 euros.

Parmi les objets de Napoléon en exil, les collectionneurs pourront également acheter deux mouchoirs, un coupe-papier, et la fine canne à pommeau en ivoire "qui a servi à ses promenades", note Archambault.

Achille Archambault est "le fidèle d'entre les fidèles", qui assiste Napoléon jusque dans son agonie, "le seul qui pleure" pendant l'autopsie selon des témoignages anglais, souligne Me Osenat.

"C'est aussi Archambault qui soutient la tête du défunt pendant la prise d'empreinte du masque mortuaire", dit-il.

Les objets présentés à la vente n'ont jamais quitté la famille. En 1921, la collection d'Achille Archambault a été présentée au château de la Malmaison. Puis en 1924, une partie a été vendue aux enchères à Drouot et la Malmaison a acheté des pièces notamment la chemise que portait Napoléon le 5 mai au matin.

Archambault n'est pas été oublié dans le testament de Napoléon qui lui a légué 50.000 francs.

Défait à Waterloo le 18 juin 1815, Napoléon a été envoyé en captivité à Sainte-Hélène, une île perdue dans l'Atlantique Sud à plus de 1.800 km des côtes africaines, où il est resté jusqu'à sa mort, à l'âge de 51 ans.


Bien à vous.

La prochaine vente de souvenirs historiques, organisée par Coutau-Bégarie le 21 mars 2014, inclut des objets ayant appartenu à Marie-Antoinette, notamment des aiguilles à tricoter et un livre de la bibliothèque du château de Trianon.

Extrait du communiqué de presse :

... des aiguilles à tricoter !!!
Comme c'est singulier . J'ai toujours lu que Marie-Antoinette, Marie-Thérèse et Madame Elisabeth partageaient des travaux de broderie ( du reste avons-nous vu une tapisserie à l'exposition de Montreuil ), mais j'ignorais que Marie-Antoinette tricotait .
Savons-nous ce qu'elle tricotait ?

Le Figaro, le 31 mars 2008 a écrit:Depuis toujours, les souvenirs abondent : des aiguilles à tricoter en ivoire que la reine fit chercher aux Tuileries par la fille de son geôlier Tison pour sa détention au Temple (26000 €, le 21 mai 2003, Piasa)

http://www.lefigaro.fr/patrimoine/2008/03/31/05001-20080331ARTFIG00345-marie-antoinette-un-mythe-aux-encheres.php

Mais je suis pourtant sûr de les avoir vues encore plus récemment... Je continue mes recherches...

Piasa, en 2003 a écrit:Aiguilles à tricoter ayant appartenu à la reine Marie-Antoinette. Grande paire d'aiguilles à tricoter en ivoire. Longueur : 51,5 cm.

Elles sont accompagnées de pièces manuscrites faisant état qu'elles auraient appartenu à la reine Marie- Antoinette, durant sa détention au Temple, après l'avoir fait chercher aux Tuileries par la fille de son geôlier Tison.

Elles auraient été léguées par Madame l'Amiral Bruat, gouvernante des enfants de France, à Madame Lafond de Surey (ou Lafond de Lurcy ?), aïeule du " donateur le comte Etienne de Naléche " où jusqu'à ce jour elle sont restées dans la famille. Cette paire d'aiguilles est présentée dans un cadre en bois doré de style Louis XVI surmonté d'une couronne royale.

Expositions : - " Marie-Antoinette et son temps ", Versailles, 1955. - " Louis XVI et son image ", Paris, 1986. - " Louis XVII " Paris, 1987, n° 232.

Provenance : Vente Drouot, Couturier & Couturier, 8 et 9 avril 1976, n° 21.

4.000 / 5.000 €

http://www.piasa.auction.fr/FR/vente_peintures_arts_graphiques/v5371_piasa/l576411_aiguilles_tricoter_ayant_appartenu_la_reine_marie_antoinette.html

Voilà : elles proviennent de la fameuse collection Bancel, maintes fois évoquée sur les histoforums (Passion Histoire, celui de Maïalen... Le Boudoir sans doute ?) 

       Mais il me semble que les aiguilles à tricoter ont été vendues lors d'une vente après 2005 ! Chez Christie's je crois et elles devaient être aux Etats Unis ?

Ah, vous aussi vous avez cette impression !!!!

Eh bien, elles reviennent en France !
Ki k´en veut ?  boudoi32