Ventes aux enchères - Année 2014
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Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Cosmo a écrit:Comtesse Diane a écrit:Un belle acquisition à faire pour le comte Axel !
... ou par le comte Axel !
20.000 /30.000 pour un aussi beau portrait de Mme du Barry, par Drouais qui plus est, peintre préféré de Louis XV, je dis que c'est donné ! Il devrait faire au minimum 150.000 EUR! J'dis ça, j'dis rien !
Pour moi c'est bien Mme du Barry mais l'estimation est vraiment basse. Je pense comme Cosmo, plutôt dans les 100.000-150.000 €.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Comtesse Diane a écrit:Qu'allez-vous en penser, cher comte Axel ... ?
Merci chère Comtesse, je la connaissais . Bon les dessins sont un peu bizarres.
Invité- Invité
Portrait de Louis XIII
J'ai visité la galerie Weiss hier pour vérifier si le portrait que j'y ai aperçu par la vitrine la semaine dernière était de Louis XIII ou de son frère Gaston. C'est bien de Louis XIII. Nous avons eu une discussion bien intéressante au sujet de la portraiture du XVIIème siècle. Ce portrait est en vente à £650,000 …
Portrait de Louis XIII
Portrait de Louis XIII
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Le pourpoint et le col fraisé sont joliment intéressants :n,,;::::!!!: ...le visage l'est moins...
Bien à vous.
Bien à vous.
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Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Je l'ai vu lorsqu'il était exposé au Palais Brogniart il y a un ou deux mois. Je vous posterai les photos quand je serai de retour chez moi ce soir. C'est un Pourbus de toute beauté. J'aime beaucoup Louis XIII. Et ce portrait est magnifique.
Je m'étais aventuré à demander le prix à la dame, j'ai pas été déçu du voyage. :
Je m'étais aventuré à demander le prix à la dame, j'ai pas été déçu du voyage. :
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Idem Majesté, j'adore la fraise et le costume mais pour le visage . Même si j'avais la somme ce n'est pas ce tableau que j'achèterais.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Majesté a écrit:Le pourpoint et le col fraisé sont joliment intéressants :n,,;::::!!!: ...le visage l'est moins...
Bien à vous.
D'accord avec vous, Majesté! Mais je voulais savoir la couleur de ses yeux. C'est important pour un biographe de savoir ces sortes de choses. Ils ne sont pas noirs comme je pensais. Il est un ombre dans la vie d'Anne d'Autriche, un homme bien étrange (je ne dis rien de ses qualités de roi, je pense au contraire qu'il était assez majestueux).
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
le comte axel a écrit:Idem Majesté, j'adore la fraise et le costume mais pour le visage . Même si j'avais la somme ce n'est pas ce tableau que j'achèterais.
Oui, à choisir je veux bien que tu achètes un Vigée-Lebrun, un Drouais, un Boucher, un Fragonard, un Greuze... La liste est longue. Du XVIIème aussi, mais pas moche.
Un beau gosse si possible, je veux bien encore une jolie femme. Mais pas Louis XIII et sa tête de chien battu. On dirait Droopy. Encore que ce dernier soit mignon et attachant.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
evelynfarr a écrit: Il est une ombre dans la vie d'Anne d'Autriche, un homme bien étrange (je ne dis rien de ses qualités de roi, je pense au contraire qu'il était assez majestueux).
C'est fou, tous ces Bourbons qui fuyaient leurs femmes ...
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Cosmo a écrit:Voici les photos de ce portrait, que j'avais prises au mois de novembre dernier.
On voit bien la couleur des yeux.
Merci, cher Cosmo! J'ai oublié de prendre une photo hier. 001110
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Merci, mon cher Cosmo !Cosmo a écrit:Voici les photos de ce portrait, que j'avais prises au mois de novembre dernier.
On voit bien la couleur des yeux.
Je suis là étonné de la négligence capillaire du Roi...qui a fini par porter perruque car il était chauve...en est-ce là déjà une? :
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Superbe portrait !
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
En vente le 12 mars 2014 chez Beaussant Lefèvre, une collection d'autographes sur la Suède. Il s'agit d'environ 270 lettres et pièces numérotées, dont certaines concernant Fersen :
"Personnalités suédoises: Fersen (Axel de). Pièce signée avec 3 lignes autographes, 1791, relative au régiment de Royal Suédois (n° . - [Fersen (Axel de)]. Pièce manuscrite en français le concernant, 1800, certificat de résidence en Suède (n° 16)."
Estimation : 10 000 - 15 000 €.
"Personnalités suédoises: Fersen (Axel de). Pièce signée avec 3 lignes autographes, 1791, relative au régiment de Royal Suédois (n° . - [Fersen (Axel de)]. Pièce manuscrite en français le concernant, 1800, certificat de résidence en Suède (n° 16)."
Estimation : 10 000 - 15 000 €.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
C'est dingue...aurait-il le syndrome des Bogdanov...mais par le haut du visage?
ça semble affolant tant de longueur dans le visage... Disons que l'artiste a eu le pinceau malheureux d'accentuer à l'extrême cette physionomie...avec un chapeau, Charles X paraîtrait mieux
Bien à vous.
ça semble affolant tant de longueur dans le visage... Disons que l'artiste a eu le pinceau malheureux d'accentuer à l'extrême cette physionomie...avec un chapeau, Charles X paraîtrait mieux
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Un bon point pour ce portrait, il n'a pas la bouche à moitié ouverte.
Dernière édition par le comte axel le Lun 03 Mar 2014, 10:12, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Moi, c'est le détail qui m'attendrit chez le Comte d'Artois... boudoi30
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
On voit nettement la ressemblance avec un portrait de Louis XV sur ses vieux jours. Mais il est beaucoup moins beau !
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Ce 23 mars prochain, la maison de vente Enchères Perrin-Royère-Lajeunesse, à Versailles, proposera à la vente une paire de pastels d’Elisabeth Vigée Le Brun :
Portait de Madame de Montesson, Portrait de Philippe d’Orléans
Signés et datés au crayon à droite : Mde Lebrun 1779
Petite estimation entre 20 000 et 30 000 € (façon de parler boudoi32 ).
La note de l’expert. Intéressante, si vous avez le courage de la lire :
Ces deux pastels, inédits, font partie d’une commande de deux portraits, avec répétitions, mentionnés dans la liste de Mme Vigée Lebrun à la date de 1779 (Vigée Le Brun, Souvenirs, éd . Geneviève Haroche - Bouzinac , 2008, p . 335).
La technique du pastel n’étant pas mentionné dans la liste de Vigée Lebrun, on a longtemps cru qu’ils avaient été réalisés à l’huile.
Ce n’est que progressivement que l’on découvre que nombre de ces commandes était en fait réalisé dans ce médium dont l’avantage principal est la rapidité d’exécution, évitant ainsi aux modèles importants, comme les membres de la famille royale, des temps de pose trop longs. (Ah bon ? Confondre des pastels avec des huiles ? )
Une version plus petite du portrait du duc d’Orléans, conservée dans une collection privée, a été reproduite dans le catalogue de l'exposition Vigée Le Brun en 1982 ( Kimbell Art Museum, Fort Worth , Joseph Baillio , p 38 , fig 3 ) ; curieusement, dans la version exposée au Kimbell Art Museum, le duc d’Orléans porte l'insigne de l'ordre de la Toison d'or et de la Saint- Louis que l’on ne retrouve pas ici, ce qui tendrait prouver que nos pastels étaient destinés à un usage privé (intéressant).
La version exposée au Kimbell Art Museum, qui ne possède pas de pendant connu, pourrait quant à elle avoir été destinée à un rôle plus officiel.
Ces deux pendants sont à ce jour la seule version autographe désormais connue, bien que des copies non autographes existent des deux œuvres.
L'histoire de la commande et la venue de Vigée Le Brun au Raincy où le duc d'Orléans s’était retiré, est mentionnée par l'artiste dans ses souvenirs ( op. cit . , P . 222-23 ).
Charlotte Jeanne Béraud de La Haye de Riou épousa à 16 ans, en 1754, Jean-Baptiste, marquis de Montesson, qui la laissa veuve en 1769, non sans l'avoir introduite à la Cour de Versailles.
Sa fortune s'accrut considérablement à la mort de son frère unique, le marquis de la Haie de Riou, gentilhomme et officier supérieur de gendarmerie, qui fut tué à la bataille de Minden (1759).
L’excellente réputation de Madame de Montesson, sa beauté, ses talents, son amabilité et la bonté de son caractère la firent rechercher dans le monde.
Après la mort de la duchesse d'Orléans en 1759, et peu de temps avant son veuvage, elle devint la maîtresse en titre de Louis Philippe d'Orléans (1725-1785) dit « le Gros », duc d'Orléans à la suite de son père en 1752, prince du sang qu'elle appelait « Gros-Père » en lui tapant sur le ventre.
Le duc d'Orléans devenu veuf en 1759, tenta pendant plusieurs années d'obtenir de Louis XV la permission d'épouser sa maîtresse. Cette fois c'était son fils, le duc de Chartres, qui s'y opposait résolument.
Le roi n'y consentit qu'en 1772, et à la condition expresse que le mariage ne fût que morganatique et que Mme de Montesson ne devînt pas duchesse d'Orléans, ce qui fit dire que faute d'avoir pu faire de la marquise de Montesson une duchesse d'Orléans, le duc d'Orléans s'était fait marquis de Montesson.
La bénédiction nuptiale fut donnée le 23 avril 1773 dans la chapelle de l'hôtel de Mme de Montesson à la chaussée d'Antin, il avait été autorisé par l'archevêque de Paris, sur le consentement du roi, Sa Majesté voulant que le mariage restât secret, autant que faire se pourrait, c'est-à-dire aussi longtemps qu'aucun enfant n'en serait le fruit.
Après le mariage, le duc d'Orléans et sa nouvelle épouse quittèrent le Palais-Royal et le château de Saint-Cloud, leur situation étant désormais incompatible avec les obligations de l'étiquette.
Ils vécurent discrètement entre le château du Raincy et le château de Sainte-Assise, cadeau de mariage offert à Mme de Montesson, situé à Seine-Port (actuel département de Seine-et-Marne), au bord de la Seine, et où, en dépit de plusieurs années d'intrigue, elle n'eut jamais l'honneur d'une visite royale.
La réserve qu'elle garda dans ces nouvelles circonstances, lui gagna un grand nombre d’amis, et elle n’excita pas la moindre inimitié ; la douceur et l'affabilité qui lui étaient naturelles.
Le souvenir de ses œuvres caritatives concourut à la sauver au moment de la Terreur.
On n'avait pas pu oublier entièrement que dans l'hiver excessivement froid de 1788 à 1789, elle avait fait ôter les arbres de son orangerie et les plantes qui ornaient les serres de ses jardins, pour que ces bâtiments devinssent des salles de travail ouvertes aux pauvres.
Ils y recevaient la nourriture et des secours de toute espèce, en même temps qu'ils y trouvaient un abri contre les rigueurs de la saison.
Plus tard, elle fit élever dans l'église de Seine-Port la chapelle Saint-Louis pour recevoir les restes de son époux, en prévoyant de s'y faire inhumer elle-même, à la suite de quoi elle vendit Sainte-Assise et alla s'installer dans sa maison de la rue de Provence où elle résida jusqu'à sa mort en 1806.
Il est très probable que les cadres sont ceux qui habillaient nos pastels dès l'origine car on les retrouve sur d'autres pastels de Vigée Le Brun de la même période.
Nous remercions Monsieur Neil Jeffares pour son aide dans la description de ces pastels.
Portait de Madame de Montesson, Portrait de Philippe d’Orléans
Signés et datés au crayon à droite : Mde Lebrun 1779
Petite estimation entre 20 000 et 30 000 € (façon de parler boudoi32 ).
La note de l’expert. Intéressante, si vous avez le courage de la lire :
Ces deux pastels, inédits, font partie d’une commande de deux portraits, avec répétitions, mentionnés dans la liste de Mme Vigée Lebrun à la date de 1779 (Vigée Le Brun, Souvenirs, éd . Geneviève Haroche - Bouzinac , 2008, p . 335).
La technique du pastel n’étant pas mentionné dans la liste de Vigée Lebrun, on a longtemps cru qu’ils avaient été réalisés à l’huile.
Ce n’est que progressivement que l’on découvre que nombre de ces commandes était en fait réalisé dans ce médium dont l’avantage principal est la rapidité d’exécution, évitant ainsi aux modèles importants, comme les membres de la famille royale, des temps de pose trop longs. (Ah bon ? Confondre des pastels avec des huiles ? )
Une version plus petite du portrait du duc d’Orléans, conservée dans une collection privée, a été reproduite dans le catalogue de l'exposition Vigée Le Brun en 1982 ( Kimbell Art Museum, Fort Worth , Joseph Baillio , p 38 , fig 3 ) ; curieusement, dans la version exposée au Kimbell Art Museum, le duc d’Orléans porte l'insigne de l'ordre de la Toison d'or et de la Saint- Louis que l’on ne retrouve pas ici, ce qui tendrait prouver que nos pastels étaient destinés à un usage privé (intéressant).
La version exposée au Kimbell Art Museum, qui ne possède pas de pendant connu, pourrait quant à elle avoir été destinée à un rôle plus officiel.
Ces deux pendants sont à ce jour la seule version autographe désormais connue, bien que des copies non autographes existent des deux œuvres.
L'histoire de la commande et la venue de Vigée Le Brun au Raincy où le duc d'Orléans s’était retiré, est mentionnée par l'artiste dans ses souvenirs ( op. cit . , P . 222-23 ).
Charlotte Jeanne Béraud de La Haye de Riou épousa à 16 ans, en 1754, Jean-Baptiste, marquis de Montesson, qui la laissa veuve en 1769, non sans l'avoir introduite à la Cour de Versailles.
Sa fortune s'accrut considérablement à la mort de son frère unique, le marquis de la Haie de Riou, gentilhomme et officier supérieur de gendarmerie, qui fut tué à la bataille de Minden (1759).
L’excellente réputation de Madame de Montesson, sa beauté, ses talents, son amabilité et la bonté de son caractère la firent rechercher dans le monde.
Après la mort de la duchesse d'Orléans en 1759, et peu de temps avant son veuvage, elle devint la maîtresse en titre de Louis Philippe d'Orléans (1725-1785) dit « le Gros », duc d'Orléans à la suite de son père en 1752, prince du sang qu'elle appelait « Gros-Père » en lui tapant sur le ventre.
Le duc d'Orléans devenu veuf en 1759, tenta pendant plusieurs années d'obtenir de Louis XV la permission d'épouser sa maîtresse. Cette fois c'était son fils, le duc de Chartres, qui s'y opposait résolument.
Le roi n'y consentit qu'en 1772, et à la condition expresse que le mariage ne fût que morganatique et que Mme de Montesson ne devînt pas duchesse d'Orléans, ce qui fit dire que faute d'avoir pu faire de la marquise de Montesson une duchesse d'Orléans, le duc d'Orléans s'était fait marquis de Montesson.
La bénédiction nuptiale fut donnée le 23 avril 1773 dans la chapelle de l'hôtel de Mme de Montesson à la chaussée d'Antin, il avait été autorisé par l'archevêque de Paris, sur le consentement du roi, Sa Majesté voulant que le mariage restât secret, autant que faire se pourrait, c'est-à-dire aussi longtemps qu'aucun enfant n'en serait le fruit.
Après le mariage, le duc d'Orléans et sa nouvelle épouse quittèrent le Palais-Royal et le château de Saint-Cloud, leur situation étant désormais incompatible avec les obligations de l'étiquette.
Ils vécurent discrètement entre le château du Raincy et le château de Sainte-Assise, cadeau de mariage offert à Mme de Montesson, situé à Seine-Port (actuel département de Seine-et-Marne), au bord de la Seine, et où, en dépit de plusieurs années d'intrigue, elle n'eut jamais l'honneur d'une visite royale.
La réserve qu'elle garda dans ces nouvelles circonstances, lui gagna un grand nombre d’amis, et elle n’excita pas la moindre inimitié ; la douceur et l'affabilité qui lui étaient naturelles.
Le souvenir de ses œuvres caritatives concourut à la sauver au moment de la Terreur.
On n'avait pas pu oublier entièrement que dans l'hiver excessivement froid de 1788 à 1789, elle avait fait ôter les arbres de son orangerie et les plantes qui ornaient les serres de ses jardins, pour que ces bâtiments devinssent des salles de travail ouvertes aux pauvres.
Ils y recevaient la nourriture et des secours de toute espèce, en même temps qu'ils y trouvaient un abri contre les rigueurs de la saison.
Plus tard, elle fit élever dans l'église de Seine-Port la chapelle Saint-Louis pour recevoir les restes de son époux, en prévoyant de s'y faire inhumer elle-même, à la suite de quoi elle vendit Sainte-Assise et alla s'installer dans sa maison de la rue de Provence où elle résida jusqu'à sa mort en 1806.
Il est très probable que les cadres sont ceux qui habillaient nos pastels dès l'origine car on les retrouve sur d'autres pastels de Vigée Le Brun de la même période.
Nous remercions Monsieur Neil Jeffares pour son aide dans la description de ces pastels.
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Merci pour ces précisions passionnantes...
Sur le coup j'ai pensé voir Philippe Egalité par Elisabeth Vigée-Lebrun... mais il s'agit de son père.
Le Prince Rouge a-t-il été portraituré par l'amie de Marie-Antoinette?
Bien à vous.
Sur le coup j'ai pensé voir Philippe Egalité par Elisabeth Vigée-Lebrun... mais il s'agit de son père.
Le Prince Rouge a-t-il été portraituré par l'amie de Marie-Antoinette?
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
La nuit, la neige a écrit:Ce 23 mars prochain, la maison de vente Enchères Perrin-Royère-Lajeunesse, à Versailles, proposera à la vente une paire de pastels d’Elisabeth Vigée Le Brun :
.
J'en avais déjà parlé ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t221p30-ventes-aux-encheres
Ils sont très beaux ces deux pastels.
Invité- Invité
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Oups ! Désolé, je ne m’en souvenais plus...
La note de l’expert est cependant intéressante.
Beaux portraits, en effet.
La note de l’expert est cependant intéressante.
Beaux portraits, en effet.
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Ventes aux enchères - Année 2014
Quelle ressemblance entre le Gros Duc et l'Ordure ( * ) !!!
Si le buisson était gros, le hasard a bien fait les choses, car, de toute évidence, l'épine était légitime !
Ouf !!! j'ai dit l', pas la ... : : :
boudoi26
( * ): pour nos petits nouveaux, je signale qu'en jargon boudoiresque l'Ordure désigne le duc d'Orléans, futur Egalité . De la même façon, l'Enflure qualifie ( par euphémisme ) Monsieur, comte de Provence, qui se nomme Stautre lui-même .
La pilosité de sa gracieuse moitié nous a inspiré le sobriquet de Yéti .
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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