Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
+4
MARIE ANTOINETTE
La nuit, la neige
Gouverneur Morris
Mme de Sabran
8 participants
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Le patrimoine de Marie-Antoinette :: Divers : atours, objets et reliques etc. :: Bijoux et atours de Marie-Antoinette
Page 2 sur 4
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Moi, c'est celui sur Eléonore que j'attends avec impatience !!! :n,,;::::!!!:
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
La nuit, la neige a écrit:Sur le site de cette maison, il est dit que le bracelet appartient toujours à Mellerio.Cosmo a écrit:
Je crois comprendre que le fameux bracelet aurait été donné à une dame d'atours de la reine et qu'il se trouverait aujourd'hui "dans une grande famille française" et ce depuis longue date... pas chez Mellerio dits Meller donc.
Si on s’arrache les yeux à lire l’article inséré en illustration, le bracelet aurait été conservé chez les Castelbajac.
Ici : http://www.mellerio.fr/fr/histoire/joaillier-des-reines/4
.
M'enfin dans son émission, Franck Ferrand dit que le bracelet appartient aujourd'hui à "une grande famille française". On en perd son latin !
Invité- Invité
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Bah...ça c’est pas bien grave, hein ! :
Les lecteurs du bouquin nous diront si ce bracelet a jamais été porté un jour par la reine ; à qui elle est censée l’avoir donné ; et à quelle occasion ?
Les lecteurs du bouquin nous diront si ce bracelet a jamais été porté un jour par la reine ; à qui elle est censée l’avoir donné ; et à quelle occasion ?
La nuit, la neige- Messages : 18143
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Je viens de scinder ce sujet, afin d'en ouvrir un nouveau consacré à Eléonore Sullivan.
Cette dame faisait l'objet d'une digression qui allait s'allongeant ...
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Un lien vers un blog très intéressant menant une enquête documentée sur les origines du bracelet :
http://richardjeanjacques.blogspot.com/2014/01/mellerio-bracelet-de-marie-antoinette.html
http://richardjeanjacques.blogspot.com/2014/01/mellerio-bracelet-de-marie-antoinette.html
Gouverneur Morris- Messages : 11804
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
De Marie-Antoinette à Émilie Mellerio: splendeur et misère d'un bijou royal
Émilie Mellerio appartient à une famille de joailliers légendaires. Le bracelet que l'un de ses ancêtres aurait vendu à Marie-Antoinette en 1780 a été retrouvé. Il avait disparu depuis 50 ans. Point de Vue raconte.
Un demi-siècle d'oubli! Et le bracelet qui a fait entrer la maison Mellerio dans la légende revient, presque par hasard, dans les coffres de son créateur.
Marie-Antoinette: légendes et disparition
Les sept camées gravés aux profils d'empereurs romains sont rehaussés de petits rubis. Ils sont reliés par des palmettes serties des mêmes pierres. Plus qu'un bijou de Cour, c'est un bijou de mode. Le caprice d'une jolie femme.
Si l'on en croit la tradition, relayée depuis plus de deux siècles: une dame d'honneur de Marie-Antoinette aurait acheté ce bijou au jeune Jean-Baptiste Mellerio à la demande de Sa Majesté.
Un jour de 1780, son carrosse royal était arrêté à la grille de Versailles. Avisant un jeune marchand, debout devant les multiples tiroirs de son éventaire en bois, la reine aurait demandé à sa compagne de descendre de la voiture afin d'inspecter le contenu de ce que l'on appelait alors une "marmotte". La reine n'aurait pas résisté au plaisir de s'acheter le bracelet.
L'anecdote ne s'appuie sur aucun document. Les seules archives écrites antérieures à la Révolution que la maison possède encore sont celles de l'autre branche de la famille, celle de François Mellerio, un cousin de Jean-Baptiste.
A la fin du XVIIIe siècle, les Mellerio importent d'Italie des camées qu'ils vendent aux dames de la cour de Versailles et aux élégantes Parisiennes. Ce bracelet sur lequel les camées sont agrémentés de rubis est typique des bijoux qu'ils vendaient à cette époque.
A la fin du XVIIIe siècle, les Mellerio importent d'Italie des camées qu'ils vendent aux dames de la cour de Versailles et aux élégantes Parisiennes. Ce bracelet sur lequel les camées sont agrémentés de rubis est typique des bijoux qu'ils vendaient à cette époque.
Un trésor famillial
Offert par la reine à l'une de ses dames d'honneur, le bracelet se transmet dans plusieurs lignées de la noblesse française. Il est identifié au début du XXe siècle et sera exposé deux fois chez Mellerio au cours de ce même siècle, avec cette provenance royale. Disparu à la fin des années 1970, au hasard d'une succession dispersée à l'hôtel Drouot, il reparaît aujourd'hui. La maison le cherchait depuis plus de vingt ans.
Émilie Mellerio qui appartient à la quinzième génération de la lignée, le regarde d'un oeil admiratif et amusé. Ce bijou résume son sentiment face à cette tradition "mellerienne" dont elle est l'une des héritières. Il faut la respecter sans se faire écraser par elle.
"En soi, cela ne veut pas dire grand-chose, d'incarner la quinzième génération de cette famille, explique-t-elle avec humour. Je ne suis pas la seule. J'ai des cousins, des frères... J'ai grandi avec cet héritage, mais ce n'est pas quelque chose qui vous tombe dessus à un âge précis. D'ailleurs, j'étais plutôt décidée à faire autre chose de ma vie. La joaillerie n'était pas vraiment ce qui me passionnait."
Le village de Craveggia
Ce passé qu'elle découvre peu à peu au cours de son enfance et de son adolescence, il porte un nom, celui de Craveggia, un petit village accroché sur les contreforts des Alpes italiennes. La vallée s'y termine. Les Mellerio y vivent depuis toujours, et la plupart d'entre eux y possèdent une maison. "Passer quelques jours à Craveggia est une expérience extraordinaire, confie-t-elle. Nous y séjournons plusieurs fois par an, en été ou en hiver. Tout le monde se connaît, et c'est là que je me suis mariée. C'est un coin de montagne très éloigné de la sophistication du luxe parisien."
La mairie conserve les chartes octroyées par les rois de France à diverses familles du village, dont les Mellerio. Le premier brevet date de 1613. Il est signé Marie de Médicis. Il est renouvelé par Louis XIII, Louis XIV, le Régent qui le premier accorde aux Mellerio le privilège de commercialiser les diamants et pierres précieuses.
Jusqu'alors leur droit de commerce ne s'étendait qu'à de petits colifichets et bijoux surtout ornés de cristaux taillés. "Plusieurs générations de rois de France ont confirmé ces avantages, observe Émilie. Et cette permanence de la protection royale m'a toujours intriguée. En étudiant ces documents et d'autres concernant des villages voisins, je me suis aperçue que mes ancêtres n'étaient pas les seuls à avoir reçu des privilèges des rois de France. Toutes ces vallées alpines sont des points stratégiques, elles surveillent les passages entre la France, l'Italie, la Suisse."
De là à imaginer que les Mellerio et d'autres ont parfois servi de "courriers" entre les armées de Richelieu, de Louis XIV ou de Louis XV... Il n'y a qu'un pas. Ce lien avec les rois fait partie de l'histoire de France.
Entre tradition et modernité
Mais, aujourd'hui, c'est plutôt du côté des souverains du Moyen-Orient ou de l'Asie que regardent les Mellerio. Depuis un an, Émilie est présidente du conseil d'administration de Mellerio International, la holding familiale. À ce titre, elle est l'intermédiaire entre la tradition et l'activité contemporaine de la joaillerie, dont la direction générale a été confiée à Gilles Haumont. À elle de maintenir les principes qui ont toujours guidé le travail des Mellerio, tout en restant ouverte à l'innovation.
Avec quatre siècles d'histoire sur les épaules, la mission peut sembler un casse-tête. Pas pour elle. Ses études, HEC et ses expériences professionnelles dans le domaine du luxe et de l'horlogerie l'ont formée.
Et son chemin vers cette présidence familiale n'a pas été celui d'une simple héritière ou d'une enfant gâtée. "Cette responsabilité, je l'ai acceptée d'une manière très réfléchie, ce n'était ni un héritage ni un coup de tête. Pendant des années, j'ai même repoussé cette éventualité. Tout, plutôt que travailler chez Mellerio. Finalement, je me suis dit que c'était un défi extrêmement intéressant à condition de l'accepter pleinement. Et c'est ce que j'ai fait."
Emilie Mellerio porte le bracelet de camées et de rubis que son ancêtre Jean Baptiste aurait vendu à la reine Marie-Antoinette en 1780. Il a été retrouvé à la fin de l'année 2014.
Emilie Mellerio porte le bracelet de camées et de rubis que son ancêtre Jean Baptiste aurait vendu à la reine Marie-Antoinette en 1780. Il a été retrouvé à la fin de l'année 2014.
Émilie Mellerio: le choix de l'audace
Là est peut-être le secret d'Émilie Mellerio. Sous ses dehors de jeune femme bien élevée, très polie, mère de deux enfants et, en outre, épouse de diplomate, se dissimule un certain goût pour l'aventure. Des idées très arrêtées. Et des convictions fermes.
Cette Parisienne originaire des Alpes italiennes a vécu des années à New York et à Tel Aviv, où son mari était en poste. Et c'est ce qui lui a permis d'affirmer son autonomie et ses goûts. Y compris dans le domaine de la joaillerie. Le premier indice est sa bague de fiançailles. "Je ne voulais pas d'un solitaire", lance-t-elle. Sur son annulaire étincelle un "toi & moi" composé d'un saphir et d'un diamant disposés sur un double anneau d'or.
Le message est simple: une histoire d'amour cela se vit à deux. "J'aime la symbolique de cette bague. Le diamant incarne la force de l'engagement inaltérable. Le saphir est peut-être un peu plus tendre. Tous mes bijoux sont faits de cette manière. Chacun d'entre eux incarne une personne, un moment de ma vie, mes enfants..."
L'émotion d'un bijou
Selon elle, peu importe que le bracelet de camées et rubis ait appartenu à Marie-Antoinette ou pas. Aucun document ne prouve cette origine. Le bijou est incontestablement du XVIIIe siècle et sa relative simplicité correspond à ce que les Mellerio vendaient à cette époque. Les camées resteront d'ailleurs une de leurs spécialités durant tout le XIXe siècle.
Seules importent l'émotion, l'histoire ou la légende, qui s'attachent à chaque joyau. Une création doit débuter comme un conte. Il était une fois, une reine qui aimait les bijoux. À la même époque, vivait à Paris une famille de joailliers qui se nommait Mellerio. Comment imaginer qu'ils ne se sont pas croisés? Le reste est la part du rêve.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/familles-royales/de-marie-antoinette-a-emilie-mellerio-splendeur-et-misere-d-un-bijou-royal_1663247.html#OyPQVZa0MP6Fx0Zj.99
Bien à vous.
Par Vincent Meylan
Émilie Mellerio appartient à une famille de joailliers légendaires. Le bracelet que l'un de ses ancêtres aurait vendu à Marie-Antoinette en 1780 a été retrouvé. Il avait disparu depuis 50 ans. Point de Vue raconte.
Un demi-siècle d'oubli! Et le bracelet qui a fait entrer la maison Mellerio dans la légende revient, presque par hasard, dans les coffres de son créateur.
Marie-Antoinette: légendes et disparition
Les sept camées gravés aux profils d'empereurs romains sont rehaussés de petits rubis. Ils sont reliés par des palmettes serties des mêmes pierres. Plus qu'un bijou de Cour, c'est un bijou de mode. Le caprice d'une jolie femme.
Si l'on en croit la tradition, relayée depuis plus de deux siècles: une dame d'honneur de Marie-Antoinette aurait acheté ce bijou au jeune Jean-Baptiste Mellerio à la demande de Sa Majesté.
Un jour de 1780, son carrosse royal était arrêté à la grille de Versailles. Avisant un jeune marchand, debout devant les multiples tiroirs de son éventaire en bois, la reine aurait demandé à sa compagne de descendre de la voiture afin d'inspecter le contenu de ce que l'on appelait alors une "marmotte". La reine n'aurait pas résisté au plaisir de s'acheter le bracelet.
L'anecdote ne s'appuie sur aucun document. Les seules archives écrites antérieures à la Révolution que la maison possède encore sont celles de l'autre branche de la famille, celle de François Mellerio, un cousin de Jean-Baptiste.
A la fin du XVIIIe siècle, les Mellerio importent d'Italie des camées qu'ils vendent aux dames de la cour de Versailles et aux élégantes Parisiennes. Ce bracelet sur lequel les camées sont agrémentés de rubis est typique des bijoux qu'ils vendaient à cette époque.
A la fin du XVIIIe siècle, les Mellerio importent d'Italie des camées qu'ils vendent aux dames de la cour de Versailles et aux élégantes Parisiennes. Ce bracelet sur lequel les camées sont agrémentés de rubis est typique des bijoux qu'ils vendaient à cette époque.
Un trésor famillial
Offert par la reine à l'une de ses dames d'honneur, le bracelet se transmet dans plusieurs lignées de la noblesse française. Il est identifié au début du XXe siècle et sera exposé deux fois chez Mellerio au cours de ce même siècle, avec cette provenance royale. Disparu à la fin des années 1970, au hasard d'une succession dispersée à l'hôtel Drouot, il reparaît aujourd'hui. La maison le cherchait depuis plus de vingt ans.
Émilie Mellerio qui appartient à la quinzième génération de la lignée, le regarde d'un oeil admiratif et amusé. Ce bijou résume son sentiment face à cette tradition "mellerienne" dont elle est l'une des héritières. Il faut la respecter sans se faire écraser par elle.
"En soi, cela ne veut pas dire grand-chose, d'incarner la quinzième génération de cette famille, explique-t-elle avec humour. Je ne suis pas la seule. J'ai des cousins, des frères... J'ai grandi avec cet héritage, mais ce n'est pas quelque chose qui vous tombe dessus à un âge précis. D'ailleurs, j'étais plutôt décidée à faire autre chose de ma vie. La joaillerie n'était pas vraiment ce qui me passionnait."
Le village de Craveggia
Ce passé qu'elle découvre peu à peu au cours de son enfance et de son adolescence, il porte un nom, celui de Craveggia, un petit village accroché sur les contreforts des Alpes italiennes. La vallée s'y termine. Les Mellerio y vivent depuis toujours, et la plupart d'entre eux y possèdent une maison. "Passer quelques jours à Craveggia est une expérience extraordinaire, confie-t-elle. Nous y séjournons plusieurs fois par an, en été ou en hiver. Tout le monde se connaît, et c'est là que je me suis mariée. C'est un coin de montagne très éloigné de la sophistication du luxe parisien."
La mairie conserve les chartes octroyées par les rois de France à diverses familles du village, dont les Mellerio. Le premier brevet date de 1613. Il est signé Marie de Médicis. Il est renouvelé par Louis XIII, Louis XIV, le Régent qui le premier accorde aux Mellerio le privilège de commercialiser les diamants et pierres précieuses.
Jusqu'alors leur droit de commerce ne s'étendait qu'à de petits colifichets et bijoux surtout ornés de cristaux taillés. "Plusieurs générations de rois de France ont confirmé ces avantages, observe Émilie. Et cette permanence de la protection royale m'a toujours intriguée. En étudiant ces documents et d'autres concernant des villages voisins, je me suis aperçue que mes ancêtres n'étaient pas les seuls à avoir reçu des privilèges des rois de France. Toutes ces vallées alpines sont des points stratégiques, elles surveillent les passages entre la France, l'Italie, la Suisse."
De là à imaginer que les Mellerio et d'autres ont parfois servi de "courriers" entre les armées de Richelieu, de Louis XIV ou de Louis XV... Il n'y a qu'un pas. Ce lien avec les rois fait partie de l'histoire de France.
Entre tradition et modernité
Mais, aujourd'hui, c'est plutôt du côté des souverains du Moyen-Orient ou de l'Asie que regardent les Mellerio. Depuis un an, Émilie est présidente du conseil d'administration de Mellerio International, la holding familiale. À ce titre, elle est l'intermédiaire entre la tradition et l'activité contemporaine de la joaillerie, dont la direction générale a été confiée à Gilles Haumont. À elle de maintenir les principes qui ont toujours guidé le travail des Mellerio, tout en restant ouverte à l'innovation.
Avec quatre siècles d'histoire sur les épaules, la mission peut sembler un casse-tête. Pas pour elle. Ses études, HEC et ses expériences professionnelles dans le domaine du luxe et de l'horlogerie l'ont formée.
Et son chemin vers cette présidence familiale n'a pas été celui d'une simple héritière ou d'une enfant gâtée. "Cette responsabilité, je l'ai acceptée d'une manière très réfléchie, ce n'était ni un héritage ni un coup de tête. Pendant des années, j'ai même repoussé cette éventualité. Tout, plutôt que travailler chez Mellerio. Finalement, je me suis dit que c'était un défi extrêmement intéressant à condition de l'accepter pleinement. Et c'est ce que j'ai fait."
Emilie Mellerio porte le bracelet de camées et de rubis que son ancêtre Jean Baptiste aurait vendu à la reine Marie-Antoinette en 1780. Il a été retrouvé à la fin de l'année 2014.
Marie Clérin
Émilie Mellerio: le choix de l'audace
Là est peut-être le secret d'Émilie Mellerio. Sous ses dehors de jeune femme bien élevée, très polie, mère de deux enfants et, en outre, épouse de diplomate, se dissimule un certain goût pour l'aventure. Des idées très arrêtées. Et des convictions fermes.
Cette Parisienne originaire des Alpes italiennes a vécu des années à New York et à Tel Aviv, où son mari était en poste. Et c'est ce qui lui a permis d'affirmer son autonomie et ses goûts. Y compris dans le domaine de la joaillerie. Le premier indice est sa bague de fiançailles. "Je ne voulais pas d'un solitaire", lance-t-elle. Sur son annulaire étincelle un "toi & moi" composé d'un saphir et d'un diamant disposés sur un double anneau d'or.
Le message est simple: une histoire d'amour cela se vit à deux. "J'aime la symbolique de cette bague. Le diamant incarne la force de l'engagement inaltérable. Le saphir est peut-être un peu plus tendre. Tous mes bijoux sont faits de cette manière. Chacun d'entre eux incarne une personne, un moment de ma vie, mes enfants..."
L'émotion d'un bijou
Selon elle, peu importe que le bracelet de camées et rubis ait appartenu à Marie-Antoinette ou pas. Aucun document ne prouve cette origine. Le bijou est incontestablement du XVIIIe siècle et sa relative simplicité correspond à ce que les Mellerio vendaient à cette époque. Les camées resteront d'ailleurs une de leurs spécialités durant tout le XIXe siècle.
Seules importent l'émotion, l'histoire ou la légende, qui s'attachent à chaque joyau. Une création doit débuter comme un conte. Il était une fois, une reine qui aimait les bijoux. À la même époque, vivait à Paris une famille de joailliers qui se nommait Mellerio. Comment imaginer qu'ils ne se sont pas croisés? Le reste est la part du rêve.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/familles-royales/de-marie-antoinette-a-emilie-mellerio-splendeur-et-misere-d-un-bijou-royal_1663247.html#OyPQVZa0MP6Fx0Zj.99
Bien à vous.
Invité- Invité
Le bracelet de Marie Antoinette, c'est Bidon
Je sens que je vais faire grincer des dents, Emilie Mellerio a publié recemment un article sur ce bracelet dans l express, j'ai répondu ceci
jijire - 24/03/2015 17:50
Il n'y a aucune preuve que ce bijou ait été vendu à la Reine, aucune preuve qu'un colporteur puisse vendre un bijou de cette nature , Melle Mellerio utilise le conditionnel car c'est faux. De plus la Reine Marie Antoinette n'aimait pas les Camées. Le premier Mellerio bijoutier s'est installé en 1815. Du temps de la Reine , ils étaient fumistes. Pas une archive historique, pas un attentat recencé à cette époque contre le Roi Louis XIII c'est bidon. Ce bracelet a été exposé en 1935 lors de la réouverture de la bijouterie Mellerio, locataire au 9 rue de la Paix de Monsieur Seligmann propriétaire qui fut depossédé par l'aryanisation en tant que juif en 1940. Ce bracelet appartenait aux Castelbajac, ils ne se sont jamais prononcé sur la provenance. Ce bracelet doit avoir des poinçons, il faut les publier et les décrire C'est de la storytelling de bas étage:
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/familles-royales/de-marie-antoinette-a-emilie-mellerio-splendeur-et-misere-d-un-bijou-royal_1663247.html#ArfubJh2Zx6pk9oy.99
De même que Mellerio n'a pas 400 ans , l'ouverture de la première bijouterie date de 1815, ils ne sont propriétaires du 9 rue de la Paix que depuis 1941 grâce à l'achat par Maurice Mellerio de l'immeuble aryanisé (pour pas cher) sur le dos de Mr Seligman qui n'a pu après guerre le récupérer. Maurice Mellerio a été administrateur de biens juifs aryanisés
Mr Vincent Meylan a écrit un livre avec les données de la maison, et n'a pas cherché à connaître la vraie histoire que je raconte sur
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/
De plus je serais friand d'un descriptif de bijoux de Marie Antoinette avec des camées, elle n'aimait pas les camés...
jijire - 24/03/2015 17:50
Il n'y a aucune preuve que ce bijou ait été vendu à la Reine, aucune preuve qu'un colporteur puisse vendre un bijou de cette nature , Melle Mellerio utilise le conditionnel car c'est faux. De plus la Reine Marie Antoinette n'aimait pas les Camées. Le premier Mellerio bijoutier s'est installé en 1815. Du temps de la Reine , ils étaient fumistes. Pas une archive historique, pas un attentat recencé à cette époque contre le Roi Louis XIII c'est bidon. Ce bracelet a été exposé en 1935 lors de la réouverture de la bijouterie Mellerio, locataire au 9 rue de la Paix de Monsieur Seligmann propriétaire qui fut depossédé par l'aryanisation en tant que juif en 1940. Ce bracelet appartenait aux Castelbajac, ils ne se sont jamais prononcé sur la provenance. Ce bracelet doit avoir des poinçons, il faut les publier et les décrire C'est de la storytelling de bas étage:
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/familles-royales/de-marie-antoinette-a-emilie-mellerio-splendeur-et-misere-d-un-bijou-royal_1663247.html#ArfubJh2Zx6pk9oy.99
De même que Mellerio n'a pas 400 ans , l'ouverture de la première bijouterie date de 1815, ils ne sont propriétaires du 9 rue de la Paix que depuis 1941 grâce à l'achat par Maurice Mellerio de l'immeuble aryanisé (pour pas cher) sur le dos de Mr Seligman qui n'a pu après guerre le récupérer. Maurice Mellerio a été administrateur de biens juifs aryanisés
Mr Vincent Meylan a écrit un livre avec les données de la maison, et n'a pas cherché à connaître la vraie histoire que je raconte sur
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/
De plus je serais friand d'un descriptif de bijoux de Marie Antoinette avec des camées, elle n'aimait pas les camés...
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Soyez, Jijire, le bienvenu dans le forum de Marie-Antoinette...
Merci pour cet éclaircissement qui contrarie l'ouvrage sur les Mellerio dits Meller de Vincent Meylan que j'avais tant aimé l'an passé...et ça me fait mentir également car j'avais paré Marie-Antoinette de ce bracelet sur ma dernière composition :
Bien à vous.
Merci pour cet éclaircissement qui contrarie l'ouvrage sur les Mellerio dits Meller de Vincent Meylan que j'avais tant aimé l'an passé...et ça me fait mentir également car j'avais paré Marie-Antoinette de ce bracelet sur ma dernière composition :
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
;
Bonjour et bienvenue, JIJIRE .
... J'suis bidon !
Bonjour et bienvenue, JIJIRE .
... J'suis bidon !
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Vincent Meylan met en couverture de son bouquin le grand bouquet de rose créé d'après lui par Mellerio pour la princesse Mathilde, dans son livre , il écrit "ce bijou , l'un des plus célèbres du XIXème siècle a été vendu en 2004 chez Christie's". Essayez donc de le chercher chez Christie's en 2004 et autres... Rien , vous ne trouverez rien car ce bijou est de "Fester", mais il a d'énormes autres erreur pour Van Cleef, là où il est meilleur c'est sur les grandes cocottes et les altesses étrangères mais pour la joaillerie il se contente de reproduire les messages de publicité que veulent faire passer les marques. Voici ce que dit Christie's à propos de la broche de Mathilde:
Le Tudor Rose, une magnifique broche de diamants corsage, appartenait à la princesse Mathilde (1820-1904), fille de Jérôme Bonaparte (1784-1860) et Katharina, la princesse de Wurtemberg (1783-1835). L'Italien-née princesse était une étonnamment belle et intelligente femme, dont le salon littéraire et artistique était le plus distingué en France sous le Second Empire. Le salon comprenait des notables tels que Proust et Flaubert et ses somptueuses réceptions au château de Saint-Cloud et Les Tuileries étaient renommés. En Novembre 1840, elle a épousé un héritier minéral russe, Anatole Demidoff. Cependant, la relation est venu à une conclusion dramatique à un bal de robe lors de la princesse Demidoff giflé provoquant un scandale public. La Princesse Mathilde a obtenu une séparation par son cousin, le tsar Nicolas Ier (1796-1855), et s'enfuit à Paris avec ses bijoux, dont elle se servait pour mobiliser des fonds pour un autre cousin, Napoléon III. Sa fabuleuse collection de bijoux était réputée comme étant l'une des plus extravagantes en Europe, en second lieu seulement à celle de l'impératrice Eugénie elle-même. Après sa mort en 1904, les bijoux de la princesse Mathilde ont été vendus aux enchères à la Galerie Georges Petit à Paris - le même sort que les Joyaux de la Couronne de France plusieurs années auparavant. Le catalogue de vente mentionne "un spray corsage sous la forme d'une rose entièrement ouverte et deux boutons de rose, avec onze feuilles réglée entièrement en très fines brillants brésiliens" . C'est la broche magnifique, créé par le joaillier parisien Théodore Fester en 1855, et maintenant connu sous le nom Tudor Rose. Le bijou a été acheté par le célèbre joaillier français Art Déco Janesich puis vendu par Cartier à Mme Cornelius Vanderbilt, la "Reine de la société New York ". Comme l'épouse de l'un des plus riches "barons voleurs" de l'Amérique, Mme Vanderbilt a amassé une collection de bijoux d'une grande importance. Les Vanderbilt étaient parmi les plus influents de la nouvelle aristocratie américaine et Cartier meublé la dynastie de la famille avec des bijoux européens de la Couronne ainsi que des pièces personnalisées spectaculaires. En 1972, le Tudor Rose passa de nouveau la main et a été vendu par Genève Christie à un collectionneur privé. C'est de ce collecteur que Fred Leighton a été en mesure de l'acheter, et en faire la clé de voûte de son personnel Collection. Connu aujourd'hui comme le «Tudor Rose", une référence indirecte au XVe siècle Anglais union entre les maisons royales de Lancaster et de York , cette broche est partie à un passé incroyable. Voyageant du salon français de Napoléon III à l'aristocratie américaine des années 1900, Christie est fier d'offrir cette pièce très spéciale et belle de l'histoire.
.
Le Tudor Rose, une magnifique broche de diamants corsage, appartenait à la princesse Mathilde (1820-1904), fille de Jérôme Bonaparte (1784-1860) et Katharina, la princesse de Wurtemberg (1783-1835). L'Italien-née princesse était une étonnamment belle et intelligente femme, dont le salon littéraire et artistique était le plus distingué en France sous le Second Empire. Le salon comprenait des notables tels que Proust et Flaubert et ses somptueuses réceptions au château de Saint-Cloud et Les Tuileries étaient renommés. En Novembre 1840, elle a épousé un héritier minéral russe, Anatole Demidoff. Cependant, la relation est venu à une conclusion dramatique à un bal de robe lors de la princesse Demidoff giflé provoquant un scandale public. La Princesse Mathilde a obtenu une séparation par son cousin, le tsar Nicolas Ier (1796-1855), et s'enfuit à Paris avec ses bijoux, dont elle se servait pour mobiliser des fonds pour un autre cousin, Napoléon III. Sa fabuleuse collection de bijoux était réputée comme étant l'une des plus extravagantes en Europe, en second lieu seulement à celle de l'impératrice Eugénie elle-même. Après sa mort en 1904, les bijoux de la princesse Mathilde ont été vendus aux enchères à la Galerie Georges Petit à Paris - le même sort que les Joyaux de la Couronne de France plusieurs années auparavant. Le catalogue de vente mentionne "un spray corsage sous la forme d'une rose entièrement ouverte et deux boutons de rose, avec onze feuilles réglée entièrement en très fines brillants brésiliens" . C'est la broche magnifique, créé par le joaillier parisien Théodore Fester en 1855, et maintenant connu sous le nom Tudor Rose. Le bijou a été acheté par le célèbre joaillier français Art Déco Janesich puis vendu par Cartier à Mme Cornelius Vanderbilt, la "Reine de la société New York ". Comme l'épouse de l'un des plus riches "barons voleurs" de l'Amérique, Mme Vanderbilt a amassé une collection de bijoux d'une grande importance. Les Vanderbilt étaient parmi les plus influents de la nouvelle aristocratie américaine et Cartier meublé la dynastie de la famille avec des bijoux européens de la Couronne ainsi que des pièces personnalisées spectaculaires. En 1972, le Tudor Rose passa de nouveau la main et a été vendu par Genève Christie à un collectionneur privé. C'est de ce collecteur que Fred Leighton a été en mesure de l'acheter, et en faire la clé de voûte de son personnel Collection. Connu aujourd'hui comme le «Tudor Rose", une référence indirecte au XVe siècle Anglais union entre les maisons royales de Lancaster et de York , cette broche est partie à un passé incroyable. Voyageant du salon français de Napoléon III à l'aristocratie américaine des années 1900, Christie est fier d'offrir cette pièce très spéciale et belle de l'histoire.
.
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Je n'ai pas compris le message de madame De Sabran, je disais c'est une enquête Bidon, au même titre qu'une adresse bidon, car souvent le langage familier permet de mieux comprendre le français mais si madame de Sabran le pense trop familier je peux lui dire en Anglais.
it's a load of tosh mais si elle doute de mes informations, je peux lui apporter une précision plus importante que ce que j'ai écrit et qui n'est pas contredite:
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/search?q=princesse+Mathilde
it's a load of tosh mais si elle doute de mes informations, je peux lui apporter une précision plus importante que ce que j'ai écrit et qui n'est pas contredite:
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/search?q=princesse+Mathilde
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
En résumé, d'où vient ce bracelet? quels sont les poinçons, a-t-il un poinçon de Maître? un poinçon de métal? une étude scientifique sur les camées et sur les rubis, est-ce une fonte? un travail fait main, et quelle est sa tracabilité?
J'ai ecrit plusieurs articles sur les Mellerio et l'un des jeunes membres éminents de la famille est venu me voir en Avignon et m'a invité au restaurant nous avons discuté quatre heures de ce que j'avais écrit, surtout a propos du 9 rue de la Paix, j'ai passé une excellente journée avec lui .
J'ai ecrit plusieurs articles sur les Mellerio et l'un des jeunes membres éminents de la famille est venu me voir en Avignon et m'a invité au restaurant nous avons discuté quatre heures de ce que j'avais écrit, surtout a propos du 9 rue de la Paix, j'ai passé une excellente journée avec lui .
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
JIJIRE a écrit:Vincent Meylan met en couverture de son bouquin le grand bouquet de rose créé d'après lui par Mellerio pour la princesse Mathilde, dans son livre , il écrit "ce bijou , l'un des plus célèbres du XIXème siècle a été vendu en 2004 chez Christie's". Essayez donc de le chercher chez Christie's en 2004 et autres... Rien , vous ne trouverez rien car ce bijou est de "Fester"
La couverture est aussi un portrait de l'Archiduchesse Marie-Josèphe...soeur de Marie-Antoinette qu'il pensait sans doute y apposer :
JIJIRE a écrit:Je n'ai pas compris le message de madame De Sabran, je disais c'est une enquête Bidon, au même titre qu'une adresse bidon, car souvent le langage familier permet de mieux comprendre le français mais si madame de Sabran le pense trop familier je peux lui dire en Anglais.
Loin d'elle cette pensée !
Elle ne faisait qu'introduire la chanson à laquelle votre titre lui faisait penser
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
JIJIRE a écrit:Je n'ai pas compris le message de madame De Sabran, je disais c'est une enquête Bidon, au même titre qu'une adresse bidon, car souvent le langage familier permet de mieux comprendre le français mais si madame de Sabran le pense trop familier je peux lui dire en Anglais.
Mais non, cher Monsieur : Majesté vous a parfaitement répondu en mon nom !
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Je n'avais pas compris, je m'en excuse
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Oh, je vous en prie ! Il n'y a pas de quoi .
C'est moi au contraire qui vous demande de pardonner mon espièglerie !
C'est moi au contraire qui vous demande de pardonner mon espièglerie !
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Pour Majesté et Madame de Sabran
J'ai ecrit un article assez complet sur cette affirmation de Mellerio et Meylan (qui ne répond jamais à mes courriers) et n'ai reçu aucune contradiction:
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/2014/01/mellerio-bracelet-de-marie-antoinette.html
J'ai ecrit un article assez complet sur cette affirmation de Mellerio et Meylan (qui ne répond jamais à mes courriers) et n'ai reçu aucune contradiction:
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/2014/01/mellerio-bracelet-de-marie-antoinette.html
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Merci pour toutes ces informations, cher JIJIRE !!!
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Oui, merci à vous pour cet article très détaillé !
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Les messages ont été fusionnées dans ce sujet déjà existant.
Merci, JIJIRE, pour ces compléments d'information et soyez le bienvenu ici.
Je renvoie nos amis lecteurs au site de la Maison Mellerio qui présente une autre version que la vôtre, et notamment au sujet de l'installation du premier point de vente sédentaire, apparement localisé rue Vivienne (en 1799).
Voir ici : http://www.mellerio.fr/fr/historique/#
Quant à vos autres commentaires, concernant une période bien plus récente et de triste mémoire, nous avons pris note qu'ils sont présentés dans votre blog que vous citez en lien. Ils n'engagent que vous, et je préfère de toutes les manières qu'ils ne soient pas abordés dans ce sujet qui ne concerne que ce bracelet précisément, et l'époque à laquelle il aurait été réalisé.
Merci, JIJIRE, pour ces compléments d'information et soyez le bienvenu ici.
JIJIRE a écrit:Je sens que je vais faire grincer des dents,
De même que Mellerio n'a pas 400 ans , l'ouverture de la première bijouterie date de 1815, ils ne sont propriétaires du 9 rue de la Paix que depuis 1941 grâce à l'achat par Maurice Mellerio de l'immeuble aryanisé (pour pas cher) sur le dos de Mr Seligman qui n'a pu après guerre le récupérer. Maurice Mellerio a été administrateur de biens juifs aryanisés
Je renvoie nos amis lecteurs au site de la Maison Mellerio qui présente une autre version que la vôtre, et notamment au sujet de l'installation du premier point de vente sédentaire, apparement localisé rue Vivienne (en 1799).
Voir ici : http://www.mellerio.fr/fr/historique/#
Quant à vos autres commentaires, concernant une période bien plus récente et de triste mémoire, nous avons pris note qu'ils sont présentés dans votre blog que vous citez en lien. Ils n'engagent que vous, et je préfère de toutes les manières qu'ils ne soient pas abordés dans ce sujet qui ne concerne que ce bracelet précisément, et l'époque à laquelle il aurait été réalisé.
La nuit, la neige- Messages : 18143
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Chère Monsieur,
Je cite, dans mon premier épisode, ce point de vente sédentaire de 1799 ce qui ne ferait que 216 ans. Mais vous ne m'avez pas lu car vous verriez qu'il y a eu de nombreuses branches Mellerio. Donc laquelle est l'actuelle?
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/2013/06/le-quatrieme-centenaire-de-la-maison.html
mais puisque votre morale est un peu sèche sachez que Monsieur Laurent Mellerio et l ' Historienne Emilie Mellerio sont venus me voir en Avignon, et que non seulement nous n'en sommes pas venus aux mains , mais que ce fut une symphatique journée.
Ce bracelet doit être analysé par un véritable expert et non par une agence de pub.
Et même 1799 discutable, ne fait pas 400 ans. Si vous pensez que l'histoire de France ne doit se concevoir qu'au travers des maisons de publicités, je vous laisse l'affirmer et comme vous dites à mon égard elle n'engage que vous car moi, je me suis engagé . Quant au sort des Seligman, je vous laisse juge face à l'histoire. Vous n'aimez pas la vérité, les anciens patrons de Mellerio sont dans le déni total , vous auriez pu laisser mes messages précédents . Cela enlève beaucoup de sérieux à votre forum.
Je cite, dans mon premier épisode, ce point de vente sédentaire de 1799 ce qui ne ferait que 216 ans. Mais vous ne m'avez pas lu car vous verriez qu'il y a eu de nombreuses branches Mellerio. Donc laquelle est l'actuelle?
http://richardjeanjacques.blogspot.fr/2013/06/le-quatrieme-centenaire-de-la-maison.html
mais puisque votre morale est un peu sèche sachez que Monsieur Laurent Mellerio et l ' Historienne Emilie Mellerio sont venus me voir en Avignon, et que non seulement nous n'en sommes pas venus aux mains , mais que ce fut une symphatique journée.
Ce bracelet doit être analysé par un véritable expert et non par une agence de pub.
Et même 1799 discutable, ne fait pas 400 ans. Si vous pensez que l'histoire de France ne doit se concevoir qu'au travers des maisons de publicités, je vous laisse l'affirmer et comme vous dites à mon égard elle n'engage que vous car moi, je me suis engagé . Quant au sort des Seligman, je vous laisse juge face à l'histoire. Vous n'aimez pas la vérité, les anciens patrons de Mellerio sont dans le déni total , vous auriez pu laisser mes messages précédents . Cela enlève beaucoup de sérieux à votre forum.
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
JIJIRE a écrit: vous auriez pu laisser mes messages precedents . Cela enleve beaucoup de sérieux a votre forum.
Vos messages sont bien toujours là, sur la page précédente : les deux sujets ont simplement été fusionnés .
Mme de Sabran- Messages : 55531
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Merci je n'avais pas bien regardé le fonctionnement du site. Donc je maintiens ce que j'ai dit sur mon blog, ce bracelet n'a jamais été dans les coffres de Mellerio, il est apparu dans une exposition chez eux en 1935 de divers bijoux et orfévrerie prêtés pour cette exposition, il est retourné logiquement à son propriétaire dont pas un article de presse ne cite le nom et l'origine de ce bracelet. Il aurait appartenu aux Castelbajacs qui eux , le disent de provenance Royale , c'est tout, alors votre facon de voir l'histoire est digne de PDVIDM.
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Bijoux de Marie-Antoinette : le bracelet Mellerio
Et pour la nuit la neige , melle Mellerio ecrit dans l express
L'émotion d'un bijou
Selon elle, peu importe que le bracelet de camées et rubis ait appartenu à Marie-Antoinette ou pas. Aucun document ne prouve cette origine. Le bijou est incontestablement du XVIIIe siècle et sa relative simplicité correspond à ce que les Mellerio vendaient à cette époque. Les camées resteront d'ailleurs une de leurs spécialités durant tout le XIXe siècle. Seules importent l'émotion, l'histoire ou la légende, qui s'attachent à chaque joyau. Une création doit débuter comme un conte. Il était une fois, une reine qui aimait les bijoux. À la même époque, vivait à Paris une famille de joailliers qui se nommait Mellerio. Comment imaginer qu'ils ne se sont pas croisés? Le reste est la part du rêve.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/familles-royales/de-marie-antoinette-a-emilie-mellerio-splendeur-et-misere-d-un-bijou-royal_1663247.html#85f5hGzy4HzxOyOw.99
L'émotion d'un bijou
Selon elle, peu importe que le bracelet de camées et rubis ait appartenu à Marie-Antoinette ou pas. Aucun document ne prouve cette origine. Le bijou est incontestablement du XVIIIe siècle et sa relative simplicité correspond à ce que les Mellerio vendaient à cette époque. Les camées resteront d'ailleurs une de leurs spécialités durant tout le XIXe siècle. Seules importent l'émotion, l'histoire ou la légende, qui s'attachent à chaque joyau. Une création doit débuter comme un conte. Il était une fois, une reine qui aimait les bijoux. À la même époque, vivait à Paris une famille de joailliers qui se nommait Mellerio. Comment imaginer qu'ils ne se sont pas croisés? Le reste est la part du rêve.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/styles/familles-royales/de-marie-antoinette-a-emilie-mellerio-splendeur-et-misere-d-un-bijou-royal_1663247.html#85f5hGzy4HzxOyOw.99
JIJIRE- Messages : 17
Date d'inscription : 02/04/2015
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Sujets similaires
» Bijoux de Marie-Antoinette : les montres
» Bijoux de Marie-Antoinette : la parure de rubis des Habsbourg
» Exposition : Antoine Raspal (1738-1811), peintre de l'élégance provençale
» Bijoux de Marie-Antoinette : bracelets de diamants
» Bijoux de Marie-Antoinette : boucles d'oreilles et girandoles
» Bijoux de Marie-Antoinette : la parure de rubis des Habsbourg
» Exposition : Antoine Raspal (1738-1811), peintre de l'élégance provençale
» Bijoux de Marie-Antoinette : bracelets de diamants
» Bijoux de Marie-Antoinette : boucles d'oreilles et girandoles
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Le patrimoine de Marie-Antoinette :: Divers : atours, objets et reliques etc. :: Bijoux et atours de Marie-Antoinette
Page 2 sur 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum