Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
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Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
La Reine a occupé à la Conciergerie deux prisons différentes, d'abord celle dite la Chambre du Conseil, et ensuite le cachot, presque le souterrain, éclairé sur la cour des femmes.
« Cejourd'hui 11 septembre 1793, l'an II de la République une et indivisible, nous, administrateurs de police, en vertu de notre arrêté de ce jour, nous sommes transportés aux prisons de la Conciergerie, à l'effet d'y choisir un local pour la détention de la veuve Capet autre que celui où elle est maintenant détenue. Y étant arrivés et après avoir vu toutes les chambres qui en dépendent , nous nous sommes arrêtés à celle où est déposée la pharmacie du citoyen (Guillaume-Jacques-Antoine) Lacour, pharmacien de ladite prison; en conséquence, avons choisi ce local pour servir à la détention de ladite veuve Capet. Au moyen de quoi, arrêtons que ledit Lacour débarrassera dans le jour ledit local de tout ce qui peut lui appartenir et faire partie de ladite pharmacie, même de la boiserie et vitres qui en dépendent. Arrêtons, en outre, que la grande croisée qui donne sur la cour des femmes sera bouchée jusqu'au cinquième barreau de traverse. et que, quant à la seconde croisée ayant vüe sur l'infirmerie, elle sera condamnée en totalité; que, quant à la petite croisée ayant vüe sur le corridor, elle sera bouchée entièrement en maçonnerie, seuil de 5 pouces d'épaisseur et en bois sera mis entre les deux poteaux d'assise et de leur épaisseur, pose d'une seconde porte de forte épaisseur, laquelle ouvrira en dedans et sera fermée avec forte serrure de sûreté, deux verrous de sûreté extérieurs à la deuxième porte. De tous lesquels nous chargeons notre confrère Godard. »
Signé : FROIDURE, SOULÈS, GAGNANT, FIGUET,
CAILLEUX et GODARD.
Montjoie, Histoire de Marie-Antoinette, t. II, p. 156 : Cette chambre s'appelle la Chambre du Conseil, parce que c'était là que les magistrats des cours souveraines venaient, à certaines époques de l'année , recevoir les réclamations des prisonniers.
Plus tard, après l'affaire de l'œillet, on s'aperçut que de cette chambre, voisine de l'escalier montant à la grand'chambre, on pouvait entendre les pas des personnes qui circulaient dans le Palais de Justice. On craignit une évasion par les voûtes supérieures et la salle des Pas-Perdus ; la reine fut descendue au cachot souterrain, qui devint sa dernière demeure jusqu'au jour sinistre de l'exécution.
« Cejourd'hui 11 septembre 1793, l'an II de la République une et indivisible, nous, administrateurs de police, en vertu de notre arrêté de ce jour, nous sommes transportés aux prisons de la Conciergerie, à l'effet d'y choisir un local pour la détention de la veuve Capet autre que celui où elle est maintenant détenue. Y étant arrivés et après avoir vu toutes les chambres qui en dépendent , nous nous sommes arrêtés à celle où est déposée la pharmacie du citoyen (Guillaume-Jacques-Antoine) Lacour, pharmacien de ladite prison; en conséquence, avons choisi ce local pour servir à la détention de ladite veuve Capet. Au moyen de quoi, arrêtons que ledit Lacour débarrassera dans le jour ledit local de tout ce qui peut lui appartenir et faire partie de ladite pharmacie, même de la boiserie et vitres qui en dépendent. Arrêtons, en outre, que la grande croisée qui donne sur la cour des femmes sera bouchée jusqu'au cinquième barreau de traverse. et que, quant à la seconde croisée ayant vüe sur l'infirmerie, elle sera condamnée en totalité; que, quant à la petite croisée ayant vüe sur le corridor, elle sera bouchée entièrement en maçonnerie, seuil de 5 pouces d'épaisseur et en bois sera mis entre les deux poteaux d'assise et de leur épaisseur, pose d'une seconde porte de forte épaisseur, laquelle ouvrira en dedans et sera fermée avec forte serrure de sûreté, deux verrous de sûreté extérieurs à la deuxième porte. De tous lesquels nous chargeons notre confrère Godard. »
Signé : FROIDURE, SOULÈS, GAGNANT, FIGUET,
CAILLEUX et GODARD.
Montjoie, Histoire de Marie-Antoinette, t. II, p. 156 : Cette chambre s'appelle la Chambre du Conseil, parce que c'était là que les magistrats des cours souveraines venaient, à certaines époques de l'année , recevoir les réclamations des prisonniers.
Plus tard, après l'affaire de l'œillet, on s'aperçut que de cette chambre, voisine de l'escalier montant à la grand'chambre, on pouvait entendre les pas des personnes qui circulaient dans le Palais de Justice. On craignit une évasion par les voûtes supérieures et la salle des Pas-Perdus ; la reine fut descendue au cachot souterrain, qui devint sa dernière demeure jusqu'au jour sinistre de l'exécution.
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Faut-il transférer ou fusionner ici cet autre sujet ?
Combien de cellules de Marie-Antoinette à la Conciergerie ?
Combien de cellules de Marie-Antoinette à la Conciergerie ?
La nuit, la neige- Messages : 18137
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Tu as raison, c'est une bonne idée, et chose faite.La nuit, la neige a écrit:Faut-il transférer ou fusionner ici cet autre sujet ?
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Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Bonjour à tous excusez moi j'ai pas bien compris .les escaliers les marchés et les grilles ou Marie Antoinette est passé pour monter dans la charrette existe plus? .
J'ai vu il y a longtemps le cachot avec les mannequins tout était donc faux . Le lieu, le tissu avec fleur de lys ect.
La chapelle est donc le lieu réel transformé par Louis XVIII
C'est ça ?
J'ai vu il y a longtemps le cachot avec les mannequins tout était donc faux . Le lieu, le tissu avec fleur de lys ect.
La chapelle est donc le lieu réel transformé par Louis XVIII
C'est ça ?
Mr ventier- Messages : 1133
Date d'inscription : 18/11/2020
Age : 58
Localisation : Rouen normandie
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Si je ne m'abuse ce qui est authentique, c'est le pavage de chevrons de briques. Marie-Antoinette a dû fouler ce dallage.
_________________
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Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Oui, ainsi que le petit escalier et les grilles de la Cour de Mai si je ne m'abuse (?).
Gouverneur Morris- Messages : 11796
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Donc l'escalier les marches les grilles existent encore
Mr ventier- Messages : 1133
Date d'inscription : 18/11/2020
Age : 58
Localisation : Rouen normandie
Gouverneur Morris- Messages : 11796
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Buffet du palais quelle horreur...
Mr ventier- Messages : 1133
Date d'inscription : 18/11/2020
Age : 58
Localisation : Rouen normandie
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Cher amis,
Il m'est venu à l'esprit qu'ils sont encore en train de comparer ces témoignages quelque peu contradictoires.
Les souvenirs de Rosalie et de Mme Bault témoigneraient-ils des 2 chambres dans lesquelles la reine fut peu à peu emprisonnée..?
Tous deux se souviennent des créations de la reine à partir de fils.
Cependant, Rosalie décrit les gros fils d'une toile à tenture de papier, clouée sur des châssis le long des murailles.
Mais Mme Bault se souvient du tapis que son mari avait installé derrière le lit.
Cela ne serait pas nécessaire si ce papier peint était dans la pièce.
J'avais envie d'écrire que dans cette chapelle actuelle les murs étaient vraiment nus.
RELATION DE Rosalie
La Reine éprouvait une grande privation. On lui avait refusé toute sorte d'aiguilles, et elle aimait beaucoup l'occupation et le travail. Je m'aperçus qu'elle arrachait de temps en temps les gros fils d'une toile à tenture de papier, clouée sur des châssis le long des murailles; et avec ces
fils, que sa main polissait, elle faisait du lacet très uni, pour lequel son genou lui tenait lieu de coussin, et quelques épingles d'aiguilles.
RELATION DE LA FEMME BAULT
Souvent des administrateurs de la police, l'accusateur public ou même des membres du Comité de sûreté générale venaient eux-mêmes faire l'inspection ; c'était le moment des plus odieuses recherches. Ils aperçurent un jour une vieille tapisserie que mon mari avait fait attacher
le long du lit de la Reine, afin de corriger l'humidite du mur ; ils en témoignèrent leur mécontentement. « Ne voyez-vous pas, leur dit mon mari, « que c'est afin de rompre le bruit, et d'empêcher « qu'on n'entende rien dans la chambre voisine? »
Ils furent émerveillés de sa pénétration. « C'est juste, lui dirent-ils, tu as bien fait. » Pour tromper ces misérables, il fallait parler dans leur sens.
La Reine ne se découragea point, le cœur d'une mère est ingénieux, et le malheur double sa force. Elle imagina de tirer quelques fils de la tapisserie attachée à son lit, et d'en tresser une espèce de jarretière, à l'aide de deux cure-dents, seuls instruments de travail que lui eussent laissé ses misérables persécuteurs, qui lui avaient refusé ses aiguilles à tricoter. Lorsque l'ouvrage fut achevé, elle le laissa tomber un jour à ses pieds, au moment où mon mari entrait dans sa chambre. Il devina sur le champ la pensée de la Reine, s'avança rapidement vers elle, tira son mouchoir qui parut lui échapper, en couvrit la jarretière et ramassa le tout ensemble. Nous conservâmes religieusement ce tissu précieux; je le donnai à M. Hue, qui devait accompagner son Altesse Royale Madame à Vienne ;
Leos
Il m'est venu à l'esprit qu'ils sont encore en train de comparer ces témoignages quelque peu contradictoires.
Les souvenirs de Rosalie et de Mme Bault témoigneraient-ils des 2 chambres dans lesquelles la reine fut peu à peu emprisonnée..?
Tous deux se souviennent des créations de la reine à partir de fils.
Cependant, Rosalie décrit les gros fils d'une toile à tenture de papier, clouée sur des châssis le long des murailles.
Mais Mme Bault se souvient du tapis que son mari avait installé derrière le lit.
Cela ne serait pas nécessaire si ce papier peint était dans la pièce.
J'avais envie d'écrire que dans cette chapelle actuelle les murs étaient vraiment nus.
RELATION DE Rosalie
La Reine éprouvait une grande privation. On lui avait refusé toute sorte d'aiguilles, et elle aimait beaucoup l'occupation et le travail. Je m'aperçus qu'elle arrachait de temps en temps les gros fils d'une toile à tenture de papier, clouée sur des châssis le long des murailles; et avec ces
fils, que sa main polissait, elle faisait du lacet très uni, pour lequel son genou lui tenait lieu de coussin, et quelques épingles d'aiguilles.
RELATION DE LA FEMME BAULT
Souvent des administrateurs de la police, l'accusateur public ou même des membres du Comité de sûreté générale venaient eux-mêmes faire l'inspection ; c'était le moment des plus odieuses recherches. Ils aperçurent un jour une vieille tapisserie que mon mari avait fait attacher
le long du lit de la Reine, afin de corriger l'humidite du mur ; ils en témoignèrent leur mécontentement. « Ne voyez-vous pas, leur dit mon mari, « que c'est afin de rompre le bruit, et d'empêcher « qu'on n'entende rien dans la chambre voisine? »
Ils furent émerveillés de sa pénétration. « C'est juste, lui dirent-ils, tu as bien fait. » Pour tromper ces misérables, il fallait parler dans leur sens.
La Reine ne se découragea point, le cœur d'une mère est ingénieux, et le malheur double sa force. Elle imagina de tirer quelques fils de la tapisserie attachée à son lit, et d'en tresser une espèce de jarretière, à l'aide de deux cure-dents, seuls instruments de travail que lui eussent laissé ses misérables persécuteurs, qui lui avaient refusé ses aiguilles à tricoter. Lorsque l'ouvrage fut achevé, elle le laissa tomber un jour à ses pieds, au moment où mon mari entrait dans sa chambre. Il devina sur le champ la pensée de la Reine, s'avança rapidement vers elle, tira son mouchoir qui parut lui échapper, en couvrit la jarretière et ramassa le tout ensemble. Nous conservâmes religieusement ce tissu précieux; je le donnai à M. Hue, qui devait accompagner son Altesse Royale Madame à Vienne ;
Leos
Leos- Messages : 799
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 55
Localisation : Zlin, Tcheque
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
Leos a écrit:
RELATION DE Rosalie
La Reine éprouvait une grande privation. On lui avait refusé toute sorte d'aiguilles, et elle aimait beaucoup l'occupation et le travail. Je m'aperçus qu'elle arrachait de temps en temps les gros fils d'une toile à tenture de papier, clouée sur des châssis le long des murailles; et avec
ces fils, que sa main polissait, elle faisait du lacet très uni, pour lequel son genou lui tenait lieu de coussin, et quelques épingles d'aiguilles.
Merci, mon cher Leos, pour tes recherches.
Cette relation de Rosalie est à découvrir sur Gallica:
La dernière prison de Marie-Antoinette / relation de Rosalie Lamorlière,... ; préface de Paul Gaulot
Lamorlière, Rosalie (1768-1848). Auteur du texte
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5698216z/f1.item
La relation de Mme Bault est-elle bien fiable ?
Les Richard n’ont pas laissé de témoignage écrit. Un nouveau concierge, qui fut celui de la prison de la Force au temps des massacres de Septembre, est nommé : Lebeau et sa femme, plus connus sous cette orthographe, Bault. Le concierge répond, sur sa tête, de la personne de la reine et, pour cela, il est le seul à être en possession des clefs de son cachot. Il est tentant de prêter une grande attention à ce témoin puisqu’il fut l’un des seuls à être en contact journalier avec Marie-Antoinette et, en particulier, au cours de ses derniers moments, quand elle apprend qu’elle est condamnée à mort et qu’elle doit se préparer à mourir. Cette source a, cependant, une part d’ombre : le témoignage de Bault est rédigé longtemps après sa mort, par sa femme, au moment de la première Restauration, sous le titre de Récit exact de la Dame Bault. L’auteur de ce Récit se veut très précis sur un point : qui a pu, ou non, approcher la reine Marie-Antoinette dans sa geôle ? La veuve Bault révèle qu’elle n’a jamais pénétré dans le cachot de la prisonnière. Seuls son mari et sa fille ont pu le faire. Le premier en effectuant auprès de la détenue les taches ménagères. La seconde était responsable de préparer les repas de la prisonnière, et tenue d’effectuer de menus travaux d’aiguille, dont la reprise des vêtements dégradés rapidement par l’humidité de la prison. Madame Bault souligne, ce qui est peut-être le plus important pour cette étude, que c’est également sa fille qui « au dernier moment […] remplit ce triste office » [2]
[2] Victor Pierre, « Marie-Antoinette à la Conciergerie », Revue…. Enfin, si la veuve Bault mentionne que la reine avait grand besoin de linge de corps, elle ne fait jamais mention d’un mal gynécologique souillant des vêtements.
https://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2008-1-page-469.htm
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
J.aurais plutôt tendance à croire la version de Rosalie.
Mais il me semble un jour avoir vu un morceau de fils tressés par la Reine. L’expo du grand palais peut être je ne m’en souviens plus.
Mais il me semble un jour avoir vu un morceau de fils tressés par la Reine. L’expo du grand palais peut être je ne m’en souviens plus.
_________________
Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3193
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 65
Localisation : près des Cordeliers...
Re: Marie-Antoinette à la Conciergerie : sa cellule et la chapelle expiatoire
la sorte historique et les marches menant vers la cour existent toujours
il n'y a plus de buffet des avocats, mais les lieux sont occupés actuellement par la police.
des travaux sont prévus pour restaurer les lieux après le départ des squatters actuels, c'est prévu, mais il faut de la patience.
mon service secret, les dames de la conciergerie, me font part des avancées de ces programmes............. car j'ai fait des dons, après mon grand départ, pour ces lieux..........la grande statue de LORD GOWER, des images concernant les faits etc.....j'ai signé les papiers et tout est officiel.... je suis donc bien vue !!!!
pour Notre Dame, j'ai donné mon album de cartes postales anciennes mais neuves des chimères installées sur les tours, car j'avais de meilleurs documents concernant 3 chimères abimées le 19 avril.
MARIE ANTOINETTE
il n'y a plus de buffet des avocats, mais les lieux sont occupés actuellement par la police.
des travaux sont prévus pour restaurer les lieux après le départ des squatters actuels, c'est prévu, mais il faut de la patience.
mon service secret, les dames de la conciergerie, me font part des avancées de ces programmes............. car j'ai fait des dons, après mon grand départ, pour ces lieux..........la grande statue de LORD GOWER, des images concernant les faits etc.....j'ai signé les papiers et tout est officiel.... je suis donc bien vue !!!!
pour Notre Dame, j'ai donné mon album de cartes postales anciennes mais neuves des chimères installées sur les tours, car j'avais de meilleurs documents concernant 3 chimères abimées le 19 avril.
MARIE ANTOINETTE
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
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