Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
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Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Si certains d'entre-vous sont intéressés par ce sujet, et plus particulièrement par l'angle d'étude de cet essai, vient de paraître :
Vendée, 1793-1794
Crime de guerre ? Crime contre l'humanité ? Génocide ?
Un étude juridique
De Jacques Villemain
Editions du Cerf (Février 17)
Présentation de l'éditeur
Si les faits qui se sont produits en Vendée en 1793-1794 avaient lieu aujourd’hui, comment seraient-ils qualifiés
au regard du droit pénal international : crimes de guerre ? crimes contre l’humanité ? crime de génocide ? et qui sont ceux dont la responsabilité pénale devrait être mise en cause ?
Telles sont les questions auxquelles ce livre essaie de répondre.
Une polémique est née aux alentours de la célébration du bicentenaire de la Révolution française à propos d’un « génocide franco-français » qui aurait été commis en Vendée.
Ce n’est cependant que dans le courant de la décennie suivante que les crises de l’ex-Yougoslavie et du Rwanda et les violences qu’elles ont engendrées ont donné lieu à l’institution de tribunaux pénaux internationaux spécialisés en 1993 et 1994, puis d’une Cour pénale internationale en 1998 qui ont précisé les concepts de crime contre l’humanité et de crime de génocide et actualisé la jurisprudence sur les crimes de guerre.
« Génocide » est le nom d’un crime. C’est donc par une analyse juridique au regard des normes du Droit précisées par les tragiques expériences du XXe siècle que doivent être complétées, voire révisées, les analyses historiennes sur cette controverse.
Diplomate et juriste, Jacques Villemain a travaillé pendant plusieurs années sur les questions de justice et de droit pénal international et sur la guerre de Vendée.
Voir notamment notre sujet, ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2724-la-chouannerie-et-les-guerres-de-vendee?highlight=vend%C3%A9e
Vendée, 1793-1794
Crime de guerre ? Crime contre l'humanité ? Génocide ?
Un étude juridique
De Jacques Villemain
Editions du Cerf (Février 17)
Présentation de l'éditeur
Si les faits qui se sont produits en Vendée en 1793-1794 avaient lieu aujourd’hui, comment seraient-ils qualifiés
au regard du droit pénal international : crimes de guerre ? crimes contre l’humanité ? crime de génocide ? et qui sont ceux dont la responsabilité pénale devrait être mise en cause ?
Telles sont les questions auxquelles ce livre essaie de répondre.
Une polémique est née aux alentours de la célébration du bicentenaire de la Révolution française à propos d’un « génocide franco-français » qui aurait été commis en Vendée.
Ce n’est cependant que dans le courant de la décennie suivante que les crises de l’ex-Yougoslavie et du Rwanda et les violences qu’elles ont engendrées ont donné lieu à l’institution de tribunaux pénaux internationaux spécialisés en 1993 et 1994, puis d’une Cour pénale internationale en 1998 qui ont précisé les concepts de crime contre l’humanité et de crime de génocide et actualisé la jurisprudence sur les crimes de guerre.
« Génocide » est le nom d’un crime. C’est donc par une analyse juridique au regard des normes du Droit précisées par les tragiques expériences du XXe siècle que doivent être complétées, voire révisées, les analyses historiennes sur cette controverse.
Diplomate et juriste, Jacques Villemain a travaillé pendant plusieurs années sur les questions de justice et de droit pénal international et sur la guerre de Vendée.
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Voir notamment notre sujet, ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2724-la-chouannerie-et-les-guerres-de-vendee?highlight=vend%C3%A9e
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
C'est exact, oui, ce sujet est toujours d'actualité !
Voici quelques mois il a enflammé l'Assemblée Nationale alors qu'un vote était lancé pour savoir si les victimes de la Commune devaient être honorées, un député de Vendée a établi une analogie entre ces victimes et celles de la guerre de Vendée, et s'est indigné du silence observé à leur endroit;
Je mettrai le lien, si cette information/débat vous intéresse sur le forum, j'ai supprimé ce téléchargement pour cause d'ordinateur croulant sous les dossiers.......
Voici quelques mois il a enflammé l'Assemblée Nationale alors qu'un vote était lancé pour savoir si les victimes de la Commune devaient être honorées, un député de Vendée a établi une analogie entre ces victimes et celles de la guerre de Vendée, et s'est indigné du silence observé à leur endroit;
Je mettrai le lien, si cette information/débat vous intéresse sur le forum, j'ai supprimé ce téléchargement pour cause d'ordinateur croulant sous les dossiers.......
Invité- Invité
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Une zone de guerre civile. Chiffre des victimes (tuées au combat, massacrées, mortes d'épuisement, de maladies...) très difficile à établir.
Un mort, c'est un mort de trop.
L'historien doit être objectif. Sinon, ce n'est plus de l'Histoire mais du roman.
Un mort, c'est un mort de trop.
L'historien doit être objectif. Sinon, ce n'est plus de l'Histoire mais du roman.
pilayrou- Messages : 674
Date d'inscription : 06/03/2014
Age : 63
Localisation : Guilers (Brest)
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Pilayrou a écrit:Une zone de guerre civile
Tout à fait; le hasard a voulu que le député qui a pris la parole était Vendéen, mais la Bretagne a été impliquée tout aussi gravement;
Et ce souvenir y est encore très vif;
Invité- Invité
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Trop affreux pour moi, j'en ferais des cauchemars ...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Voici une interview de Jacques Villemain par Le courrier de l'Ouest =
Diplomate et juriste, Jacques Villemain vient de publier un ouvrage intitulé Vendée, 1793-1794. Interrogé dans le Courrier de l'Ouest, il déclare :
« Je suis passionné d’histoire, je ne lis que ça. J’étais en poste à La Haye aux Pays-Bas quand est sorti un numéro de la revue « L’histoire » consacré à la guerre de Vendée. Il y avait toute une partie sur la question du génocide et j’ai constaté que tous les historiens étaient contre cette thèse. Or à cette époque, en juin 2012, j’avais affaire quotidiennement dans les tribunaux que je suivais à ces questions de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide. Il m’a sauté aux yeux que les arguments de ces historiens ne tiendraient pas bien longtemps la route devant un tribunal pénal. »
Qu’est-ce qu’un génocide du strict point de vue du droit ?
« Le crime contre l’humanité, y compris le génocide, a été défini pour le procès de Nuremberg. Le génocide, définition précisée en 1948 par l’ONU, c’est la « destruction totale ou partielle d’un groupe national, racial, ethnique ou religieux, comme tel ». Selon la jurisprudence pénale internationale, il faut entendre par là un groupe stable et permanent. »
Votre thèse, c’est qu’il y a eu « génocide » en Vendée en 1794. Comment arrivez-vous à cette conclusion ?
« Mes analyses n’engagent bien entendu que moi seul. Je restreins le crime de génocide concernant la guerre de Vendée à la période après janvier 1794, c’est-à-dire au moment des Colonnes infernales. Les armées bleues ratissent la Vendée militaire en tuant toutes les personnes qu’elles rencontrent. Elles considèrent qu’on ne pourra pas instaurer la République si on n’éradique pas cette « race maudite » pour reprendre une expression de l’époque. Le fait de massacrer tous les Vendéens - femmes, enfants vieillards - sans se poser la question de savoir s’ils sont républicains ou pas, rebelles ou pas, est constitutif du crime de génocide. On les tue parce qu’ils sont vendéens et non pour ce qu’ils ont fait. »
On vous opposera qu’on ne peut pas qualifier de génocide des crimes commis 150 ans avant la création même de ce concept…
« Je me suis posé cette question bien sûr. La convention de 1948 de l’ONU sur le génocide précise que les nations civilisées ont toujours reconnu que vouloir éradiquer une population entière était un crime. Cela correspond à un principe de philosophie du droit très ancien disant que certaines lois non écrites, portant les valeurs humanistes, s’imposent même en l’absence de lois écrites et même contre elles si les lois écrites les nient. Par exemple : une loi raciste n’est pas une loi qui puisse obliger en conscience. Et commettre des actes racistes en exécution d’une telle loi, même dûment votée et publiée au JO, serait toujours nécessairement une infraction pénale : c’est reconnu dans notre droit positif. Il est donc parfaitement légitime en droit d’appliquer le crime de génocide à des faits qui lui sont antérieurs. Les tribunaux de Nuremberg et de Tokyo n’ont rien fait d’autre en 1945. » [...]"
Que devrait faire la France, selon vous, pour reconnaître ses crimes ?
« S’agissant de la Vendée, le crime n’a jamais été reconnu et nommé. 15 à 20 % de la population dans les quatre départements de la Vendée militaire ont été tués. Pour qu’il y ait réconciliation, il faut qu’il y ait vérité. La représentation nationale pourrait le faire en annulant les lois des 19 mars, 1er août et 1er octobre 1793 qui ont conduit au génocide. Il faudrait annuler ces textes comme on l’a fait pour les lois de Vichy en 1945. Concernant les Colonnes infernales, un geste fort serait d’effacer le nom du général Turreau de l’Arc de Triomphe aussi. C’est symbolique, bien sûr, mais dans ce domaine les symboles ont de l’importance. »
Diplomate et juriste, Jacques Villemain vient de publier un ouvrage intitulé Vendée, 1793-1794. Interrogé dans le Courrier de l'Ouest, il déclare :
« Je suis passionné d’histoire, je ne lis que ça. J’étais en poste à La Haye aux Pays-Bas quand est sorti un numéro de la revue « L’histoire » consacré à la guerre de Vendée. Il y avait toute une partie sur la question du génocide et j’ai constaté que tous les historiens étaient contre cette thèse. Or à cette époque, en juin 2012, j’avais affaire quotidiennement dans les tribunaux que je suivais à ces questions de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide. Il m’a sauté aux yeux que les arguments de ces historiens ne tiendraient pas bien longtemps la route devant un tribunal pénal. »
Qu’est-ce qu’un génocide du strict point de vue du droit ?
« Le crime contre l’humanité, y compris le génocide, a été défini pour le procès de Nuremberg. Le génocide, définition précisée en 1948 par l’ONU, c’est la « destruction totale ou partielle d’un groupe national, racial, ethnique ou religieux, comme tel ». Selon la jurisprudence pénale internationale, il faut entendre par là un groupe stable et permanent. »
Votre thèse, c’est qu’il y a eu « génocide » en Vendée en 1794. Comment arrivez-vous à cette conclusion ?
« Mes analyses n’engagent bien entendu que moi seul. Je restreins le crime de génocide concernant la guerre de Vendée à la période après janvier 1794, c’est-à-dire au moment des Colonnes infernales. Les armées bleues ratissent la Vendée militaire en tuant toutes les personnes qu’elles rencontrent. Elles considèrent qu’on ne pourra pas instaurer la République si on n’éradique pas cette « race maudite » pour reprendre une expression de l’époque. Le fait de massacrer tous les Vendéens - femmes, enfants vieillards - sans se poser la question de savoir s’ils sont républicains ou pas, rebelles ou pas, est constitutif du crime de génocide. On les tue parce qu’ils sont vendéens et non pour ce qu’ils ont fait. »
On vous opposera qu’on ne peut pas qualifier de génocide des crimes commis 150 ans avant la création même de ce concept…
« Je me suis posé cette question bien sûr. La convention de 1948 de l’ONU sur le génocide précise que les nations civilisées ont toujours reconnu que vouloir éradiquer une population entière était un crime. Cela correspond à un principe de philosophie du droit très ancien disant que certaines lois non écrites, portant les valeurs humanistes, s’imposent même en l’absence de lois écrites et même contre elles si les lois écrites les nient. Par exemple : une loi raciste n’est pas une loi qui puisse obliger en conscience. Et commettre des actes racistes en exécution d’une telle loi, même dûment votée et publiée au JO, serait toujours nécessairement une infraction pénale : c’est reconnu dans notre droit positif. Il est donc parfaitement légitime en droit d’appliquer le crime de génocide à des faits qui lui sont antérieurs. Les tribunaux de Nuremberg et de Tokyo n’ont rien fait d’autre en 1945. » [...]"
Que devrait faire la France, selon vous, pour reconnaître ses crimes ?
« S’agissant de la Vendée, le crime n’a jamais été reconnu et nommé. 15 à 20 % de la population dans les quatre départements de la Vendée militaire ont été tués. Pour qu’il y ait réconciliation, il faut qu’il y ait vérité. La représentation nationale pourrait le faire en annulant les lois des 19 mars, 1er août et 1er octobre 1793 qui ont conduit au génocide. Il faudrait annuler ces textes comme on l’a fait pour les lois de Vichy en 1945. Concernant les Colonnes infernales, un geste fort serait d’effacer le nom du général Turreau de l’Arc de Triomphe aussi. C’est symbolique, bien sûr, mais dans ce domaine les symboles ont de l’importance. »
Invité- Invité
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Je ne le comprends guère, mais nous savons que ce débat reste sensible et très discuté : Guerres de Vendée, crimes de guerre ou génocide ?
Si le sujet vous intéresse, le site du journal Atlantico en partenariat avec Storia Voce proposait récemment une émission radiophonique pour approfondir ce lien entre d’une part l’Histoire et d’autre part le Droit.
Et ceci à partir d’un cas particulier : la Vendée des années 1793-1794.
Présentation(extraits) :
Nous sommes donc sous la Révolution française, pendant la Terreur, pendant ce que l’historien Jean-Clément Martin a appelé “la part maudite de la Révolution”.
Véritable sujet d’histoire après avoir été trop longtemps laissé à la mémoire, les guerres de Vendée sont largement étudiées depuis une trentaine d’années.
Mais qu’en est-il exactement du dossier juridique ?
Comment peut-on qualifier les événements qui ont eu lieu à cette époque dans l’ouest de la France ?
S’agissait-il d’une guerre civile ? Peut-on parler de crime de guerre ou bien même de crime contre l’humanité voire de génocide comme l’affirme l’historien Reynald Seycher ?
En somme, si demain de tels faits avaient lieu, comment seraient-ils qualifiés au regard du droit pénal international ?
Autant de questions auxquelles Jacques Villemain, juriste et auteur de La Vendée, 1793-1794 (Editions du Cerf), répond.
L’invité :
Diplômé de Sciences Po, juriste et énarque, Jacques Villemain travaille au Quai d’Orsay. Il assure aujourd’hui le poste de représentant permanent de la France auprès de l’OCDE. Il a aussi travaillé pendant plusieurs années sur les questions de justice et de droit pénal international auprès de la Cour de la Haye.
Sur le fondement de son expérience acquise au sein de cette institution, il s’est penché sur la question vendéenne dans La Guerre de Vendée, Crime de Guerre ? Crime contre l’humanité ? Génocide ? Une étude juridique (Editions du Cerf, 304 pages, 24€)
Source, infos complémentaires et lien de diffusion audio, ici : www.atlantico.fr/decryptage/guerres-vendee-crimes-guerre-ou-genocide-3340715.html#BB1qq5Wy2wiPppwc.99
L'émission de radio peut aussi être écoutée sur Youtube :
Si le sujet vous intéresse, le site du journal Atlantico en partenariat avec Storia Voce proposait récemment une émission radiophonique pour approfondir ce lien entre d’une part l’Histoire et d’autre part le Droit.
Et ceci à partir d’un cas particulier : la Vendée des années 1793-1794.
Présentation(extraits) :
Nous sommes donc sous la Révolution française, pendant la Terreur, pendant ce que l’historien Jean-Clément Martin a appelé “la part maudite de la Révolution”.
Véritable sujet d’histoire après avoir été trop longtemps laissé à la mémoire, les guerres de Vendée sont largement étudiées depuis une trentaine d’années.
Mais qu’en est-il exactement du dossier juridique ?
Comment peut-on qualifier les événements qui ont eu lieu à cette époque dans l’ouest de la France ?
S’agissait-il d’une guerre civile ? Peut-on parler de crime de guerre ou bien même de crime contre l’humanité voire de génocide comme l’affirme l’historien Reynald Seycher ?
En somme, si demain de tels faits avaient lieu, comment seraient-ils qualifiés au regard du droit pénal international ?
Autant de questions auxquelles Jacques Villemain, juriste et auteur de La Vendée, 1793-1794 (Editions du Cerf), répond.
L’invité :
Diplômé de Sciences Po, juriste et énarque, Jacques Villemain travaille au Quai d’Orsay. Il assure aujourd’hui le poste de représentant permanent de la France auprès de l’OCDE. Il a aussi travaillé pendant plusieurs années sur les questions de justice et de droit pénal international auprès de la Cour de la Haye.
Sur le fondement de son expérience acquise au sein de cette institution, il s’est penché sur la question vendéenne dans La Guerre de Vendée, Crime de Guerre ? Crime contre l’humanité ? Génocide ? Une étude juridique (Editions du Cerf, 304 pages, 24€)
Source, infos complémentaires et lien de diffusion audio, ici : www.atlantico.fr/decryptage/guerres-vendee-crimes-guerre-ou-genocide-3340715.html#BB1qq5Wy2wiPppwc.99
L'émission de radio peut aussi être écoutée sur Youtube :
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Un moment historique très délicat dans une période historique tout aussi délicate.
Je rejoins Eléonore, je n'ai plus la force de lire ce genre de livres même si c'est très instructif.
Bien sûr, nous souhaitons tous que cela ne se reproduise pas aujourd'hui, mais l'Homme ..... a la mémoire courte. Qui encore en Vendée se rappelle ou parle de cette période ?
Je rejoins Eléonore, je n'ai plus la force de lire ce genre de livres même si c'est très instructif.
Bien sûr, nous souhaitons tous que cela ne se reproduise pas aujourd'hui, mais l'Homme ..... a la mémoire courte. Qui encore en Vendée se rappelle ou parle de cette période ?
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Vendée, 1793-1794. De Jacques Villemain
Je crois au contraire que le souvenir en demeure très vif encore, là-bas en Vendée .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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