Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi
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Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi
;
Inconnu ? ... non, pas tout à fait, car vous nous le présentiez ( dans une autre vie ) , chère Marie-Antoinette .
Vous nous disiez :
MARIE-ANTOINETTE :
Grâce à notre merveilleuse MADAME DE CHIMAY je viens d'acquérir une plaquette consacrée à PIERRE BLAIZOT , librairie géographe de la Reine qui était très proche du couple royal - LOUIS XVI, qui avait grande confiance en lui, lui avait demandé à compter de 1787, pour s'éclairer par lui-même sur l'état de l'opinion publique, de lui faire parvenir tout ce qu'il trouverait de brochures et de pamphlets relatifs aux incidents du jour .
BLAIZOT s'acquitta ponctuellement de la commission pendant quelques temps, mais BRETEUIL mis au courant du fait et mécontent de ce petit mystère, se hâta d'y mettre ordre.
BLAIZOT se retrouva à LA BASTILLE - le Roi étonné de ne plus recevoir son informateur quotidien, s'enquit de lui - Il manda BRETEUIL, se fâcha, fit élargir BLAIZOT et le consola de sa mésaventure en le nommant son libraire ordinaire.
Originaire de MONTSURVENT / COUTANCES, il vint à VERSAILLES rejoindre son oncle qui tenait commerce de livres et d'estampes - sur la rampe de la Chancellerie - dès 1769, il prit la succession de son oncle avec le titre de Marchand d'estampes - dès 1770 quittant les barraques, ouvre une boutique au 5 (de nos jours le 9) rue de SATORY.
Il fonde un cabinet littéraire et payant - cabinet de lecture "s'abonner pour les gazettes et journaux qui ont cours en Europe en langue française"
Il joint à la vente des livres celles des estampes anciennes et modernes, celle même des TONTISSES (tentures imitant des étoffes, fort en usage au XVIII° - la reine avait une pièce tendue de ce genre de papier peint dans une pièce de la maison de la reine du HAMEAU)
Fournisseur du chateau, il présente les livres récents, il a la clientèle du Roi et de la Reine - cette clientèle remonterait à l'époque où il travaillait pour son oncle qui l'envoyait au palais porter des images aux enfants des seigneurs de la Cour !!!!!
La protection des époux ne lui fit jamais défaut - voir document ci-dessous - original signé par MARIE ANTOINETTE avec la signature du secrétaire des commandements AUGEARD !!!!
A la Révolution, après le départ du château - le commerce s'effondre !!!! il s'engage dans la garde nationale, fait partie de la municipalité-
suspecté de tiédeur - BLAIZOT travaille un mois à la pose des scellés à TRIANON et au CHATEAU - malade et gardant le lit, il signe et envoie son adhésion à la Constitution jacobine, ne pouvant assumer les fonctions de membre de la Commission des Arts.
L'orage passé, il redevient un homme d'ordre, un bourgeois paisible et rangé - siègeant au Tribunal de Commerce - suppléant du juge de paix
dans le canton sud de VERSAILLES -
Il cède sa boutique à son gendre ETIENNE, et s'éteint le 25 Avril 1808 âgé de 66 ans.
MARIE ANTOINETTE
Qquelques lignes tirées du tiré à part Revue de l'histoire de Versailles 1918 - E.HENNET DE GOUTEL et CH. HIRSCHAUER
POUR une meilleure lecture du document original -
la Reine signait personnellement les brevets pour honorer la personne choisie !!!
seuls les secretaires des commandements avaient le droit d'apposer une signature MARIE ANTOINETTE imitée de la vraie !!!!
Pierre Blaizot, détenteur d'une charge de libraire ordinaire du roi
et libraire géographe de la reine, ouvrit en 1770 une boutique à l'actuel n°7 de la rue de Satory. On y trouvait les ouvrages français et étrangers les plus en vogue, beaucoup d'oeuvres de Voltaire et toutes sortes d'almanachs, mais aussi des estampes, des partitions musicales, des cartes de géographie ou encore du papier peint. Pour rendre sa boutique plus attrayante, d'autant plus qu'il avait plusieurs concurrents dans le même quartier, Blaizot créa en 1775 un cabinet littéraire où l'on venait, moyennant un abonnement, lire la presse de Paris et la presse étrangère francophone. C'est certainement ce qui lui valut une fréquentation soutenue pendant les États généraux. Il avait habilement inauguré durant cette période une bibliothèque gratuite pour les députés. C'est ainsi que Mirabeau devint un de ses lecteurs les plus assidus. Cette année-là , Versailles concentrant l'attention de toute la France, Blaizot obtint également le privilège de faire paraître deux fois par semaine un Journal de Versailles dans lequel étaient résumées les séances des États et qu'il diffusait jusqu'en province. Une part de son activité fut beaucoup plus discrète : à cette époque où les livres interdits pour libertinage ou irréligion connaissaient un succès inédit jusque chez les courtisans les plus haut placés, Blaizot, qui avait la confiance du roi, avait été chargé de l'informer sur ce trafic à Versailles. Ces livres, généralement imprimés en Hollande ou en Suisse, parvenaient dans la ville royale dissimulés dans des ballots de marchandises anodines, avant d'être distribués sous le manteau par certains libraires, par des libraires clandestins, et surtout par des colporteurs. Grâce à la complicité des portiers, ces derniers exerçaient leur commerce également dans les entrées des hôtels particuliers, au Grand Commun, aux Écuries et autres lieux non visités par la police en raison du rang de leurs propriétaires. C'est ainsi qu'on vendait des libelles infâmants au sujet de la reine jusque dans les escaliers et galeries du château.
https://www.versailles.fr/ma-ville/decouvrir/litineraire-des-droits-de-lhomme/
Nous devons à Pierre Blaizot ce plan de Versailles .
Plan de Versailles
Dedié à Monseigneur le Comte de Noailles
http://gallica.bnf.fr/accueil/?mode=desktop
Libraire et marchand d'estampes, de musique, de cartes géographiques, de papiers peints ; libraire (ordinaire) du Roi, de la Reine et de la famille royale. - Fils d'un colporteur de livres de Montsurvent, près de Coutances. Orphelin dès l'âge de 9 ans, il est formé par un oncle qui tient commerce de livres et d'estampes sur la rampe de la Chancellerie à Versailles. Lui-même s'y établit vers 1769. En 1775, ouvre un cabinet littéraire à Versailles et un autre magasin à Paris. Soupçonné de vendre des livres prohibés, il est emprisonné du 10 au 16 mai 1782. Élu conseiller municipal de Versailles en 1790 et 1792 puis juge au tribunal de commerce et juge suppléant à la justice de paix. Fait plusieurs fois l'objet de fouilles et de perquisitions pendant la Révolution. Dès juillet 1792, cède sa boutique au libraire Nicolas Angé puis, en 1802, contribue à l'établissement comme libraire de son gendre Antoine-Hippolyte Étienne (1776-1840), mais semble cependant avoir continué à exercer. Dit âgé de 36 ans lors de son mariage (nov. 1776) et de 67 ans et 6 mois lors de son décès (Montigny-le-Bretonneux, Yvelines, 25 avril 1808)
Références bibliographiques :
HENNET DE GOUTEL (E.), HIRSCHAUER (Charles), Un libraire de Marie-Antoinette sous la Terreur : Pierre Blaizot, Revue d'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, 1917-1918, p. 203-206.
ÉVRARD (Fernand), Versailles, ville du roi, 1770-1789, Paris, Librairie Ernest Leroux, 1935, p. 485-489 [Notice consacrée à Blaizot, libraire du roi.].
LAGNY (Jean), Pierre Blaizot, libraire du roi et de la reine et ses successeurs, Revue d'histoire de Versailles et des Yvelines, t. 68, 1984, p. 63-89.
LEVRON (Jacques), Les almanachs de Versailles, Revue de la Société des Amis de Versailles, n° 35, 1er trimestre 1969.
TERRADE (A.), Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi Louis XVI, Versailles illustré, t. VII, avril 1902, p. 59, mars 1903, p. 91.
https://francearchives.fr/facomponent/d24d361327d6cbc5a6c9619d89f84ecf89a2e737
Encore un illustre inconnu de la fin XVIIIème,
Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi .
Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi .
Inconnu ? ... non, pas tout à fait, car vous nous le présentiez ( dans une autre vie ) , chère Marie-Antoinette .
Vous nous disiez :
MARIE-ANTOINETTE :
Grâce à notre merveilleuse MADAME DE CHIMAY je viens d'acquérir une plaquette consacrée à PIERRE BLAIZOT , librairie géographe de la Reine qui était très proche du couple royal - LOUIS XVI, qui avait grande confiance en lui, lui avait demandé à compter de 1787, pour s'éclairer par lui-même sur l'état de l'opinion publique, de lui faire parvenir tout ce qu'il trouverait de brochures et de pamphlets relatifs aux incidents du jour .
BLAIZOT s'acquitta ponctuellement de la commission pendant quelques temps, mais BRETEUIL mis au courant du fait et mécontent de ce petit mystère, se hâta d'y mettre ordre.
BLAIZOT se retrouva à LA BASTILLE - le Roi étonné de ne plus recevoir son informateur quotidien, s'enquit de lui - Il manda BRETEUIL, se fâcha, fit élargir BLAIZOT et le consola de sa mésaventure en le nommant son libraire ordinaire.
Originaire de MONTSURVENT / COUTANCES, il vint à VERSAILLES rejoindre son oncle qui tenait commerce de livres et d'estampes - sur la rampe de la Chancellerie - dès 1769, il prit la succession de son oncle avec le titre de Marchand d'estampes - dès 1770 quittant les barraques, ouvre une boutique au 5 (de nos jours le 9) rue de SATORY.
Il fonde un cabinet littéraire et payant - cabinet de lecture "s'abonner pour les gazettes et journaux qui ont cours en Europe en langue française"
Il joint à la vente des livres celles des estampes anciennes et modernes, celle même des TONTISSES (tentures imitant des étoffes, fort en usage au XVIII° - la reine avait une pièce tendue de ce genre de papier peint dans une pièce de la maison de la reine du HAMEAU)
Fournisseur du chateau, il présente les livres récents, il a la clientèle du Roi et de la Reine - cette clientèle remonterait à l'époque où il travaillait pour son oncle qui l'envoyait au palais porter des images aux enfants des seigneurs de la Cour !!!!!
La protection des époux ne lui fit jamais défaut - voir document ci-dessous - original signé par MARIE ANTOINETTE avec la signature du secrétaire des commandements AUGEARD !!!!
A la Révolution, après le départ du château - le commerce s'effondre !!!! il s'engage dans la garde nationale, fait partie de la municipalité-
suspecté de tiédeur - BLAIZOT travaille un mois à la pose des scellés à TRIANON et au CHATEAU - malade et gardant le lit, il signe et envoie son adhésion à la Constitution jacobine, ne pouvant assumer les fonctions de membre de la Commission des Arts.
L'orage passé, il redevient un homme d'ordre, un bourgeois paisible et rangé - siègeant au Tribunal de Commerce - suppléant du juge de paix
dans le canton sud de VERSAILLES -
Il cède sa boutique à son gendre ETIENNE, et s'éteint le 25 Avril 1808 âgé de 66 ans.
MARIE ANTOINETTE
Qquelques lignes tirées du tiré à part Revue de l'histoire de Versailles 1918 - E.HENNET DE GOUTEL et CH. HIRSCHAUER
POUR une meilleure lecture du document original -
la Reine signait personnellement les brevets pour honorer la personne choisie !!!
seuls les secretaires des commandements avaient le droit d'apposer une signature MARIE ANTOINETTE imitée de la vraie !!!!
Pierre Blaizot, détenteur d'une charge de libraire ordinaire du roi
et libraire géographe de la reine, ouvrit en 1770 une boutique à l'actuel n°7 de la rue de Satory. On y trouvait les ouvrages français et étrangers les plus en vogue, beaucoup d'oeuvres de Voltaire et toutes sortes d'almanachs, mais aussi des estampes, des partitions musicales, des cartes de géographie ou encore du papier peint. Pour rendre sa boutique plus attrayante, d'autant plus qu'il avait plusieurs concurrents dans le même quartier, Blaizot créa en 1775 un cabinet littéraire où l'on venait, moyennant un abonnement, lire la presse de Paris et la presse étrangère francophone. C'est certainement ce qui lui valut une fréquentation soutenue pendant les États généraux. Il avait habilement inauguré durant cette période une bibliothèque gratuite pour les députés. C'est ainsi que Mirabeau devint un de ses lecteurs les plus assidus. Cette année-là , Versailles concentrant l'attention de toute la France, Blaizot obtint également le privilège de faire paraître deux fois par semaine un Journal de Versailles dans lequel étaient résumées les séances des États et qu'il diffusait jusqu'en province. Une part de son activité fut beaucoup plus discrète : à cette époque où les livres interdits pour libertinage ou irréligion connaissaient un succès inédit jusque chez les courtisans les plus haut placés, Blaizot, qui avait la confiance du roi, avait été chargé de l'informer sur ce trafic à Versailles. Ces livres, généralement imprimés en Hollande ou en Suisse, parvenaient dans la ville royale dissimulés dans des ballots de marchandises anodines, avant d'être distribués sous le manteau par certains libraires, par des libraires clandestins, et surtout par des colporteurs. Grâce à la complicité des portiers, ces derniers exerçaient leur commerce également dans les entrées des hôtels particuliers, au Grand Commun, aux Écuries et autres lieux non visités par la police en raison du rang de leurs propriétaires. C'est ainsi qu'on vendait des libelles infâmants au sujet de la reine jusque dans les escaliers et galeries du château.
https://www.versailles.fr/ma-ville/decouvrir/litineraire-des-droits-de-lhomme/
Nous devons à Pierre Blaizot ce plan de Versailles .
Plan de Versailles
Dedié à Monseigneur le Comte de Noailles
http://gallica.bnf.fr/accueil/?mode=desktop
Libraire et marchand d'estampes, de musique, de cartes géographiques, de papiers peints ; libraire (ordinaire) du Roi, de la Reine et de la famille royale. - Fils d'un colporteur de livres de Montsurvent, près de Coutances. Orphelin dès l'âge de 9 ans, il est formé par un oncle qui tient commerce de livres et d'estampes sur la rampe de la Chancellerie à Versailles. Lui-même s'y établit vers 1769. En 1775, ouvre un cabinet littéraire à Versailles et un autre magasin à Paris. Soupçonné de vendre des livres prohibés, il est emprisonné du 10 au 16 mai 1782. Élu conseiller municipal de Versailles en 1790 et 1792 puis juge au tribunal de commerce et juge suppléant à la justice de paix. Fait plusieurs fois l'objet de fouilles et de perquisitions pendant la Révolution. Dès juillet 1792, cède sa boutique au libraire Nicolas Angé puis, en 1802, contribue à l'établissement comme libraire de son gendre Antoine-Hippolyte Étienne (1776-1840), mais semble cependant avoir continué à exercer. Dit âgé de 36 ans lors de son mariage (nov. 1776) et de 67 ans et 6 mois lors de son décès (Montigny-le-Bretonneux, Yvelines, 25 avril 1808)
Références bibliographiques :
HENNET DE GOUTEL (E.), HIRSCHAUER (Charles), Un libraire de Marie-Antoinette sous la Terreur : Pierre Blaizot, Revue d'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, 1917-1918, p. 203-206.
ÉVRARD (Fernand), Versailles, ville du roi, 1770-1789, Paris, Librairie Ernest Leroux, 1935, p. 485-489 [Notice consacrée à Blaizot, libraire du roi.].
LAGNY (Jean), Pierre Blaizot, libraire du roi et de la reine et ses successeurs, Revue d'histoire de Versailles et des Yvelines, t. 68, 1984, p. 63-89.
LEVRON (Jacques), Les almanachs de Versailles, Revue de la Société des Amis de Versailles, n° 35, 1er trimestre 1969.
TERRADE (A.), Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi Louis XVI, Versailles illustré, t. VII, avril 1902, p. 59, mars 1903, p. 91.
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi
Eléonore, je suis content de lire et de découvrir ce Pierre Blaizot, libraire ordinaire de Louis XVI et sa mésaventure après de Breteuil.
Louis XVI avait une bonne idée pour se procurer tous les écrits tendancieux ou frondeurs du royaume et d'en prendre directement connaissance. Sonder les mouvements de l'opinion publique.
C'était une première démarche intéressante pour capter la mobilité de l'opinion .
Louis XVI avait une bonne idée pour se procurer tous les écrits tendancieux ou frondeurs du royaume et d'en prendre directement connaissance. Sonder les mouvements de l'opinion publique.
C'était une première démarche intéressante pour capter la mobilité de l'opinion .
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi
Dominique Poulin a écrit:
Eléonore, je suis content de lire et de découvrir ce Pierre Blaizot .
... et moi, très contente de vous faire plaisir !
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi
MARIE-ANTOINETTE a écrit:
Il joint à la vente des livres celles des estampes anciennes et modernes, celle même des TONTISSES (tentures imitant des étoffes, fort en usage au XVIII° - la reine avait une pièce tendue de ce genre de papier peint dans une pièce de la maison de la reine du HAMEAU)
Je ne connaissais pas ce terme de tontisses.
Ce que j'ai pu trouver à ce sujet est ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t635p75-papiers-peints-de-reve#106971
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pierre Blaizot, libraire ordinaire du roi
Dominique Poulin a écrit:Louis XVI avait une bonne idée pour se procurer tous les écrits tendancieux ou frondeurs du royaume et d'en prendre directement connaissance. Sonder les mouvements de l'opinion publique.
C'était une première démarche intéressante pour capter la mobilité de l'opinion .
Pas si balourd que ça, Louis XVI, la preuve !!!
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Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
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